N°1000, 20 janvier 2025
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Message de François Robardet
Message de
Christian Magne
Lettre du lundi
Sommaire :
Plus qu’une simple revue de presse Une lettre en constante
évolution Une parenthèse particulière : la période Covid Votre avis, lecteurs de
Christian Votre avis, lecteurs de François
Éditorial AF001 : le premier parfum d'Air France
est signé Francis Kurkdjian
Article Bonus :
L’obsession climatique
Barclays redoute que l'instabilité politique en France plombe encore l'action Air France-KLM
>
Plus qu’une simple revue de presse
Dès ses débuts, cette lettre s'est distinguée par une ligne
éditoriale claire : proposer un éclairage unique sur l’actualité du
transport aérien et les fluctuations boursières de l’action Air
France-KLM, en s’appuyant sur des articles récents.
Les
commentaires ne devaient pas se limiter à résumer les articles, mais
plutôt les enrichir d'informations complémentaires, tout en incitant
les lecteurs à consulter les contenus originaux.
Afin de
faciliter une lecture rapide, des passages essentiels des articles
ont été mis en gras. Par ailleurs, dans un souci de respect du
travail des journalistes, seuls des extraits d'articles payants sont
reproduits, régulièrement entrecoupés de " (...) ".
>
Une lettre en constante évolution
Sélection et analyse
Au départ, la
lettre reprenait une dizaine d’articles chaque semaine, mais seuls
trois ou quatre faisaient l’objet de commentaires approfondis. Avec
le temps, le nombre d’articles a diminué, mais davantage d’entre eux
sont désormais commentés, rendant les articles sans commentaire très
rares.
La structure d’origine a été préservée, comme le
montre la lettre n°158
(1er décembre 2008), première publication
dans le format actuel.
Améliorations progressives
Trois évolutions majeures ont marqué cette lettre :
- Identification des commentaires
En
réponse à un lecteur ayant confondu article et commentaire, les
commentaires sont affichés sur fond bleu depuis la
lettre
713
(juillet 2019).
- Multilinguisme
La publication s’est
ouverte à l’international avec une version anglaise (lettre
695) puis néerlandaise (lettre n°698) en mars 2019.
- Réorganisation récente
Depuis la
lettre n°990 (11 novembre 2024), la présentation des articles a été
inversée pour mieux s’adapter aux habitudes des lecteurs. Chaque
article est désormais structuré ainsi :
- le titre,
- la source et la date de publication (avec outil de
traduction si nécessaire),
- le commentaire,
- l’extrait de l’article.
De nouveaux éléments ont également enrichi la lettre :
- un éditorial introduisant parfois les articles,
- un sommaire en début de lettre,
- un article "bonus", offrant des perspectives éloignées du secteur
aérien mais utiles pour anticiper des tendances futures.
>
Une parenthèse particulière : la période Covid
Avec l’APLD (Activité Partielle Longue Durée), de nombreux
collaborateurs d’Air France se sont retrouvés éloignés de leur
environnement professionnel. En réponse aux demandes des lecteurs,
le nombre d’articles publiés a été augmenté.
C’est à cette
période qu’a été introduit l’article "bonus". Souvent non abrégé et
abordant des sujets en marge de l’aérien, il a été très bien
accueilli. Parmi les plus marquants figure l’article sur le paradoxe
de Tocqueville, explorant la tolérance aux inégalités (lettre
n°945,
1er janvier 2024).
>
Votre avis, lecteurs de Christian
"Comme bien d'autres, je vous remercie pour l'aide que vous nous
apportez au quotidien, aussi bien en ayant le talent de nous révéler
l'actualité de notre chère compagnie presque au jour le jour, que
pour l'information toujours claire sur nos dividendes ! J'ai eu le
plaisir de vous avoir un jour au téléphone, je peux témoigner de
votre disponibilité et de votre dévouement envers les autres",
Chef de Cabine Principal, retraitée
"Merci pour la
lettre toujours très complète et intéressante surtout si on n'est
pas trop calé, Hôtesse, Orly
"Tu fais un excellent
travail et j'espère que l'on t'en remercie souvent.",
Secrétaire, Paris
"Bravo pour ton bulletin
d'administrateur sur AF/KL, comme toujours d'une grande clarté", Agent de maîtrise
logistique, Lyon
"Je profite de l'occasion pour vous
dire que je trouve vos informations très claires, suffisantes. Quand
on reçoit vos infos on a vraiment envie de les lire.", Cadre, Roissy
"Votre lettre elle est très bien rédigée et pleine
d'informations, mes remerciements pour ce travail de qualité", Servair, Roissy
"Je voulais juste vous remercier de votre travail et vous dire
mon soutien", Agent Escale, Roissy
"Merci encore
pour la qualité de votre lettre de l'administrateur Air France-KLM
et de votre engagement à nous tenir informés de l'évolution de notre
compagnie", Cadre Technique Entretien, Roissy
"Mon
courriel arrive de loin : l'Afrique, Douala particulièrement. Juste
un petit mot pour vous dire comme je suis heureux de vous lire et
ainsi avoir des nouvelles " du PAYS " via notre Compagnie. Votre
action est remarquable au sein de notre entreprise autant par la
lettre de l'Administrateur que votre site Navigaction. Encore merci pour cela
pour nous qui sommes très loin de la France", Cadre, Douala
>
Votre avis, lecteurs de François
"Merci d’avoir maintenu votre lettre d’information. Elle est
claire, lisible, bien présentée et agrémentée de commentaires
pertinents. De plus, les mises en gras pour une lecture plus rapide
sont cohérentes. Exactement ce dont nous avons besoin",
Cadre, Roissy.
"Un court message qui se rajoute à la longue liste que vous devez
recevoir régulièrement, mais celui-ci simplement pour vous remercier
de la qualité de votre newsletter. La diversité des sujets
traités et la synthèse de vos commentaires me sont d’une grande aide
dans la compréhension globale des enjeux de notre secteur et
m’aident à porter ces sujets auprès de mes équipes. Merci
beaucoup pour ce travail de synthèse !", Chef de Cabine.
"Pour un retraité c'est toujours un plaisir de lire la lettre de
l'administrateur chaque semaine. Cela permet de garder le contact en
restant informé de ce qui se passe dans l'entreprise et le milieu
aérien. Les dossiers sont aussi très intéressants. Donc merci
pour tout ce travail d'information et je vous souhaite donc une
bonne année 2024 qui va être riche en événements", un retraité des opérations aériennes.
"Nous ne nous connaissons pas, mais je souhaiterai vous remercier
pour vos lettres d’information toujours très intéressantes. Aussi
je vous souhaite tous mes bons vœux pour 2025 !",
Cadre, Roissy
"Merci beaucoup pour le travail
fantastique que vous effectuez. Votre blog est une mine d’or
d’informations", Analyste de vol au Revenue Management Passage.
La lecture de ton blog très pertinent est toujours un
plaisir! Même si les nouvelles ne sont pas toujours bonnes.... tu les
décryptes très bien ! Et nous aide à faire le tri entre l’essentiel et
l’urgence..... Cadre Air France-KLM, durant la période Covid.
"De la part de nos membres de l'Amicale USA, merci pour vos
newsletters qui sont extrêmement populaires auprès de vos collègues
aux États-Unis, surtout avec l’option l’anglais".
Éditorial
>
AF001 : le premier parfum d'Air France est signé Francis Kurkdjian
(source Vogue) 14 janvier 2025
Lire l'article :
Référence aérienne absolue à travers le monde, Air France permet
de quadriller le globe, tout en célébrant un certain art de vivre à
la française et en se renouvelant sans cesse. Après avoir pris les
commandes d'une plage durant le dernier Festival de Cannes, la
compagnie tricolore dévoile, ce mercredi 15 janvier un tout nouveau
projet olfactif. Aux côtés du parfumeur Francis Kurkdjian, à
la tête de sa maison éponyme, Air France réalise son premier parfum
d'intérieur. Nommé AF001, il pourra être humé au sein des salons de
l'aéroport Paris-Charles de Gaulle, mais aussi dans les suites du
salon La Première, avant de rejoindre plus d'espaces à travers le
monde.
Principalement florale, cette fragrance mise sur des
notes jasminées et rosées, associées à du mimosa de Provence.
L'inspiration ? « C’est l’illusion d’un rayon de soleil sur les
ailes d'un avion qui m’a guidé pour composer ce parfum d’intérieur
léger, frais et réconfortant. » précise Francis Kurkdjian.
Avis aux amateurs.
Article Bonus
>
L’obsession climatique
(source Contrepoints) 16 janvier 2025
Lire l'article :
La question climatique a envahi tous les débats de société. Dans
son livre Le Changement climatique n’est plus ce qu’il était (2024),
la climatologue Judith Curry soutient que cette obsession n’est pas
raisonnable et qu’elle est même nuisible.
Samedi 14 décembre, le
cyclone Chido s’abat sur Mayotte, ravage l’île et cause de très
nombreuses victimes humaines. Aussitôt, les experts et militants en
tout genre se disputent pour savoir si le réchauffement climatique a
une part de responsabilité dans cet événement tragique. La question
n’a pourtant pas vraiment de sens, car il est très difficile, pour
ne pas dire impossible, de rattacher un unique événement à un
phénomène global. Même si on arrivait à montrer que, en moyenne, la
force des cyclones augmente avec le réchauffement climatique, il ne
serait en effet pas évident de savoir si la force de celui-ci y
trouverait son explication. En revanche, une question
fondamentale est de se demander comment les populations humaines
auraient pu être mieux protégées. À cette question, la climatologue
Judith Curry apporte, dans son livre Le Changement climatique n’est
plus ce qu’il était (L’Artilleur, 2024) une réponse claire et à contre-courant des discours dominants. En substance, elle
dit qu’il
faudrait moins chercher à diminuer le taux de CO2 dans l’atmosphère
que la pauvreté dans le monde, qui est la cause principale de la
vulnérabilité face aux aléas climatiques. Les biais du
GIEC
En tant que climatologue, ayant suivi de près les travaux du
GIEC,
Curry ne remet pas en cause les études scientifiques sur l’évolution
du climat. Mais, dans son livre, elle montre tout à la fois que la
focalisation sur le taux de CO2 relève d’un biais méthodologique lié
au fonctionnement même du GIEC, que ces études comportent encore une
grande part d’incertitude et que ce n’est pas en faisant de la
diminution des émissions de CO2 une priorité que l’on protège au
mieux les populations humaines. Il faut bien comprendre que
les recherches actuelles sur le climat se font dans un cadre schéma
de pensée prédéfini. En 1992, la Convention-cadre des Nations unies
sur le changement climatique identifiait en effet ce dernier à la
part de la variabilité du climat due aux activités humaines.
Implicitement, la part due à la variabilité naturelle eut donc
tendance à sortir des discussions. En outre, cette même convention
partait du principe que le réchauffement était dangereux, sans
considérer ses éventuels aspects bénéfiques, et visait à stabiliser
les concentrations de gaz à effet de serre dans l’atmosphère.
Tacitement, il en découlait que l’élimination des énergies fossiles
était le chemin à suivre en priorité. Or, fait remarquer Curry, il
n’est pas du tout évident que la situation climatique nous est moins
favorable de nos jours qu’elle ne l’était avant l’ère industrielle.
Elle suggère même que rares seraient les gens « qui choisiraient [le
climat], préindustriel, du 18e siècle » (p. 37). Il y a bien
sûr la possibilité que le changement climatique augmente la
fréquence et l’intensité des inondations, des sécheresses, des feux
de forêt et des ouragans. Mais, selon Curry, « il n’y a guère de
preuves que le réchauffement récent ait aggravé de tels événements ».
Elle soutient même que la « première moitié du 20e siècle a connu
davantage de phénomènes météorologiques extrêmes que la seconde,
durant laquelle le réchauffement causé par les activités humaines
est censé être le principal responsable du changement climatique
observé » (p. 41). Il y a certes une perception que les événements
météorologiques extrêmes sont plus fréquents et plus graves. Mais
elle estime que c’est dû « à l’augmentation de la population et [à]
la concentration de la richesse dans les régions côtières et
d’autres régions susceptibles de désastres » (p. 41). De toute
façon, quand bien même ces événements augmenteraient, elle fait
remarquer que le nombre de leurs victimes a diminué au cours du
siècle, notamment grâce au développement économique.
Développement ou baisse des émission Cela étant dit, elle
reconnaît que le réchauffement climatique pourrait devenir
dangereux. Elle rappelle toutefois que les scénarios extrêmes du GIEC sont, selon ses propres dires, peu probables. Quant à ceux qui
sont le sont davantage, ils ne conduisent pas à une fin du monde,
comme certains militants le prétendent. Ils peuvent bien sûr
entraîner des problèmes, plus ou moins graves. Mais Curry soutient
que, face à ces problèmes, il est légitime de discuter des
recommandations politiques du GIEC selon lesquelles l’objectif
prioritaire est de réduire les émissions de CO2. Elle
explique en effet qu’un organisme scientifique ayant pour objectif
de trouver un consensus n’a pas vraiment de sens au regard de
l’activité scientifique, dans la mesure où les thèses minoritaires
ont souvent un rôle crucial à jouer pour faire progresser la
science. Or, en étant construit sur la recherche du consensus, cet
organisme en vient, immanquablement, à minimiser les études
divergentes et les incertitudes. En outre, ayant été mis sur pied à
partir de l’idée que les émissions de CO2 sont néfastes, il a
nécessairement un biais en faveur de leur réduction. Enfin, Curry
rappelle que, si notre objectif est l’amélioration de la condition
de vie des humains, il ne faudrait pas promouvoir une réduction du
CO2 avant d’avoir vérifié que les conséquences économiques et
sociales de cette mesure ne sont pas pires que les conséquences du
réchauffement climatique. Sur ce point, elle montre que, à
ce jour, les impacts les plus dramatiques du changement climatique
sont surtout les symptômes d’un sous-développement. Or les mesures
de réduction du CO2 ont tendance à nuire au développement des
régions qui en auraient le plus besoin. Il vaudrait donc mieux aider
les populations de ces régions à s’enrichir, à avoir accès à de
l’énergie bon marché et donc à mieux résister aux aléas climatiques
qu’à baisser les émissions de CO2. Surtout que, comme Curry le fait
remarquer, la réduction des émissions « n’aidera personne au cours
des prochaines décennies, alors que les [mesures d’adaptations]
soulagent les gens à court terme » (p. 85). Enfin, pour bien
faire comprendre que cette obsession pour la réduction du CO2 n’est
pas raisonnable, Curry imagine la situation suivante : « Si le
climat mondial se réchauffait au rythme actuel uniquement en raison
de causes naturelles, l’humanité se sentirait-elle obligée de
ralentir le réchauffement futur (peut-être par la capture directe du
CO2 atmosphérique ou l’ingénierie du rayonnement solaire) ? C’est
peu probable ; un tel contrôle du climat serait, à juste titre,
considéré comme futile et/ou dangereux. Les hommes s’adapteraient,
comme ils l’ont toujours fait, au changement climatique » (p. 458).
L’ouvrage suggère que, dans les débats sur le climat, c’est
surtout le fait que ce soient les humains qui le modifient qui est
jugé problématique. Autrement dit, on peut se demander si ce n’est
pas l’image désuète d’un paradis perdu, souillé par l’activité
humaine, qui nourrit le militantisme climatique et, parfois aussi,
le travail des climatologues.
Revue de presse boursière
>
Barclays redoute que l'instabilité politique en France plombe encore l'action Air France-KLM
(source BFM Bourse) 15 janvier 2025
Lire l'article :
Air France-KLM fait face à des incertitudes
La
banque britannique a abaissé ce mercredi son conseil sur le
titre du groupe de transport aérien à "sous-pondération" contre
"pondération de marché". L'établissement note que le
contexte politique risque de peser sur l'activité locale et la
confiance des consommateurs et se montre prudente sur le
redressement de KLM. Air France-KLM souffre
en Bourse depuis maintenant plusieurs trimestres.
Le groupe de transport aérien franco-néerlandais accuse une baisse
de 40,8% sur un an et de 12,7% depuis le début de 2025.
Barclays ne se montre pas optimiste sur un potentiel rebond du
titre, bien au contraire. L'établissement britannique a
abaissé ce mercredi 15 janvier son conseil de "pondération
en ligne" à "sous-pondération", ce qui revient à passer de
"neutre" à "vendre". La banque a également ajusté son
objectif de cours à 7 euros contre 8,5 euros précédemment.
Ce changement d'opinion a pesé un peu sur Air France-KLM qui
reculait de près de 2% en début de séance ce mercredi. (...)
Fin de la revue de presse
>
Évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à
7,232 euros en clôture vendredi 17 janvier. Sur la semaine, elle est en
légère baisse (-0,58%).
Elle était à 13,60 euros
le 1er janvier 2024, à 8,23 euros le 1er juillet 2024.
La moyenne (le consensus) des analystes à 12 mois pour l'action
AF-KLM est à 9,65 euros (elle était à 17,50 euros début janvier
2024). L'objectif de cours le plus élevé est à 13 euros, le plus
bas à 6,45 euros.
Je ne
prends en compte que les opinions d'analystes postérieures au 1er
juillet 2023.
Vous pouvez retrouver sur
mon blog le
détail du consensus des analystes.
>
Évolution du prix du carburant cette semaine
Le baril de Jet Fuel en Europe est en hausse (+4$) à 100$. Il était à 94$
fin juin 2023, à 79$
avant le déclenchement de la guerre en Ukraine.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord)
est
en hausse (+1$) à 81$.
De la mi-février
2022
à fin juillet 2022, il faisait le yoyo entre 100 et 120$. Depuis, il oscille
entre 75$ et 99$.
>
Gestion des FCPE
Lorsque vous placez de l'argent dans un des fonds FCPE d'Air
France, vous obtenez des parts dans ces fonds. Vous ne détenez pas
directement d'actions.
Ce sont les conseils de surveillance,
que vous avez élus en juillet 2021 pour cinq ans, qui gèrent les fonds
et qui prennent les décisions.
Les fonds Partners for the
Future, Aeroactions,
Majoractions et Concorde ne détiennent que des actions Air France.
Les fonds Horizon Épargne Actions (HEA), Horizon Épargne Mixte
(HEM), Horizon Épargne Taux (HET) gèrent des portefeuilles d'actions
diverses.
Précisions
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux vous informer.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
À bientôt.
Pour retrouver mes dernières lettres, c'est
ici
Si vous appréciez cette lettre, faites-la
circuler.
Les nouveaux lecteurs pourront la recevoir en
me communiquant l'adresse
email de leur choix.
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François Robardet
À la pointe d'une aviation européenne plus responsable, nous rapprochons les peuples pour construire le monde de demain.
(Raison d'être d'Air France-KLM)
Je représentais les salariés et anciens salariés
d'Air France-KLM. Vous pouvez me retrouver sur mon
compte twitter @FrRobardet ainsi que sur LinkedIn.
Cette lettre traite de l'aérien dans le monde et de sujets
liés à l'actionnariat d'Air France-KLM. Si vous ne voulez plus
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email. Pour me joindre :
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