N°158, lundi 1er décembre 2008
3969 salariés actionnaires du groupe AF-KLM reçoivent ce message...
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Air France-KLM et Lufthansa en
course pour Alitalia
ROME, (source Reuters) mardi
25 novembre - Air France-KLM et Lufthansa restent tous
deux dans la course pour devenir le partenaire étranger
de la nouvelle Alitalia, a déclaré mardi le président du
consortium italien CAI qui rachète la compagnie aérienne
nationale en difficulté.
"Nous bouclons notre étude concernant un partenaire
étranger", a expliqué à la presse le président de CAI,
Roberto Colaninno, après une réunion du conseil
d'administration du consortium, qui a approuvé la levée
de 1,1 milliard d'euros pour financer l'acquisition
d'Alitalia.
Il a ajouté que les discussions se poursuivaient avec
Air France-KLM et Lufthansa sur un éventuel partenariat
et que les rôles des aéroports de Rome Fiumicino et de
Milan Malpensa allaient jouer un rôle dans le partenaire
à choisir.
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Lufthansa lance une compagnie aérienne en Italie
(source Les echos) mercredi 26 novembre
- Lufthansa Italia proposera bientôt des liaisons directes entre
l'Italie du nord et certaines destinations européennes. Cette
annonce intervient alors que le transporteur allemand est toujours
candidat à une entrée dans la nouvelle compagnie aérienne
italienne.
Lufthansa lance demain sa nouvelle
filiale italienne, " Lufthansa Italia. ". Elle disposera au
départ d'une flotte de six appareils et proposera dès le mois de
février 2009 des liaisons directes au départ de l'Italie du nord
vers les principales destinations européennes. Lufthansa fondera
sa propre compagnie aérienne italienne sous un nouveau nom en
début d'année prochaine et déposera une demande de Certificat de
transporteur aérien (CTA) italien. " Lufthansa Italia nous
positionnera sur un marché de taille caractérisé par une forte
demande, qui offre également des opportunités de croissance
soutenue pour l'avenir. Nous proposerons à notre clientèle
italienne un vaste réseau aérien reliant l'Italie du nord à des
destinations européennes attractives, " explique Wolfgang
Mayrhuber, PDG de Lufthansa, dans un communiqué " Milan et la
Lombardie comptent parmi les régions les plus fortes et les plus
importantes d'Europe d'un point de vue économique. Il est donc
essentiel de disposer d'un bon réseau aérien les reliant aux
principales villes européennes. Lufthansa Italia concrétise
cette vision et affiche en même temps un engagement clair envers
cette région ".
Les vols vers les deux premières
destinations, Barcelone et Paris (Charles de Gaulle), seront
disponibles à partir du 2 février 2009. Bruxelles, Budapest,
Bucarest et Madrid viendront
s'ajouter à la grille des vols
quatre semaines plus tard. Londres (Heathrow) et Lisbonne
rejoindront le réseau fin mars sur les horaires d'été 2009.
Grâce à ces nouveaux services, la clientèle se verra proposer
des liaisons rapides et sans escale. Les réservations auprès de
la nouvelle compagnie italienne ont commencé mi-octobre par les
circuits de distribution habituels.
Lufthansa Italia disposera d'un
Airbus A319, d'une capacité de 138 passagers en Business et
Economy Class. En coopération avec l'opérateur de l'aéroport de
Milan, SEA, l'aéroport de Malpensa fera l'objet d'une rénovation
pour offrir aux passagers de Lufthansa davantage de services et
de confort au sein même de l'infrastructure. Une nouvelle salle
d'attente et un passage des services de sécurité plus rapide les
attendent d'ici le printemps 2009.
Mon commentaire : La nouvelle Alitalia tarde à
voir le jour. Les réductions d'effectifs et les nouveaux contrats de
travail des salariés font partie des problèmes qui freinent le
démarrage effectif de la CAI. Lufthansa profite de la place laissée
libre à Milan pour y installer une filiale.
Si Air France-KLM est choisie comme partenaire de la
CAI, constituée de la fusion d'Alitalia et d'Air One, Lufthansa
Italia permettra à la compagnie allemande de compenser partiellement
la perte de son alliée Air One. En revanche, si Lufthansa devient
le partenaire d'Alitalia, elle anticipe sa position sur le marché
italien à notre détriment.
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Les bureaux internationaux d'Alitalia en
cessation d'activité le 31 décembre, les contrats de travail des employés d'Alitalia
à l'étranger vont prendre fin
(source tourMag, Geneviève BIEGANOWSKI) jeudi 27 novembre - La création de la nouvelle Alitalia par
le pool d’hommes d’affaires italiens regroupés
au sein de CAI a également une conséquence
importante pour les employés internationaux
d’Alitalia.
Comme pour leurs homologues italiens, les contrats de travail des employés d'Alitalia à l'étranger vont prendre fin avec la
disparition officielle de la compagnie. Puis, éventuellement, la nouvelle compagnie recréée leur
proposera un nouveau contrat de travail dont les conditions, il y a fort à parier, n’auront rien à
voir avec celles de feu-Alitalia.
Ceux qui continuaient à espérer secrètement qu’une solution de dernière minute les épargneraient comme
par le passé, n’ont plus aucun espoir aujourd’hui.
Même si la date de la création officielle de la nouvelle structure qui devait avoir lieu à la fin de
ce mois a été repoussée de quelques jours, le compte à rebours est bien enclenché.
C’est ainsi que les 79 employés d’Alitalia en France ont reçu une lettre officielle les prévenant de la
cessation d’activités d’Alitalia au 31 décembre.
Combien d’entre eux seront réintégrés dans la nouvelle structure ? Pour l’instant, personne ne
sait et Alessandro Innocenzi, le directeur général d’Alitalia en France, ne tient pas à s’exprimer.
Les employés d’Air One ne sont pas mieux informés sur leur sort
Le périmètre de la nouvelle équipe pourrait d’ailleurs varier grandement en fonction du
choix du partenaire industriel, Air France-KLM ou Lufthansa - sur lequel s’appuiera la nouvelle
compagnie.
Pendant ce temps, les employés d’Air One ne sont pas mieux informés sur leur sort. La compagnie italienne
a pris la décision de fermer plusieurs représentations internationales, notamment les bureaux situés en Autriche, en Suisse et en France.
Des CV sont arrivés sur le bureau de Claus Becker, le nouveau patron de Lufthansa en France pour la
nouvelle filiale Lufthansa Italia basée à Milan.
Aucun espoir, cependant, de retrouver des conditions de travail aussi confortables que celles d’Alitalia.
La Dolce Vita, c’est bien fini.
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Emirates veut augmenter sa part
de marché en Italie
(source
aérocontact.com) mardi 25 novembre -
La réduction du
nombre de
créneaux
d’Alitalia en
Italie, prévue
par son plan de
restructuration,
va profiter aux
Emirats. Adolfo Urso, le
secrétaire
d’Etat italien
au développement
économique et au
commerce
extérieur, a
conclu un accord
avec le ministre
de l’Economie
des Emirats
arabes Unis le
24 novembre,
ouvrant la voie
à l’augmentation
des créneaux
aéroportuaires
italiens
réservés à
Emirates et
Etihad.
Emirates veut
considérablement
renforcer son
programme de
vols vers
l’Italie, ce qui
a amené Adolfo
Urso à déclarer
qu’elle voulait
en faire un « hub pour
l’Europe ». En
effet, alors que
la compagnie de
Dubaï y réalise
actuellement une
petite dizaine
de liaisons
hebdomadaires,
elle a demandé
l’obtention de
vingt et un
slots par
semaine à Rome
(Fiumicino),
autant à Milan
(Malpensa) et
quatorze à
Venise. Elle
souhaite ajouter
à cela
vingt-huit
créneaux pour
ses vols cargo. Etihad, moins
gourmande, a
demandé sept
slots à Rome et
sept autres à
Milan.
Le but est de
dynamiser le
tourisme entre
l’Italie et les
Emirats. Mais en
agissant ainsi,
Emirates et
Etihad
ouvriraient
également un
large accès à
l’Asie du
Sud-Est, de
l’Inde à la
Chine et à
l’Australie, aux
Italiens.
Cet accord a été
rendu possible par le
plan de
restructuration
d’Alitalia, qui
prévoit
l’abandon de
routes, donc de
créneaux dans
les aéroports
italiens.
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Rachat d'Austrian
Airlines : Bruxelles "étudie" une
plainte de Ryanair
(source
AFP) samedi 22 novembre -
Bruxelles étudie une requête de la compagnie
irlandaise à bas coût Ryanair lui demandant
d'interdire à Vienne d'éponger une partie
des dettes de la compagnie Austrian Airlines
(AUA) avant sa vente à l'allemand Lufthansa,
selon un porte-parole cité par Die Presse
samedi.
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La fusion entre Iberia et British Airways
dans une phase délicate
(source La Tribune.fr, Fabrice Gliszczynski)
dimanche 23 novembre - Pour le directeur commercial d'Iberia
Manuel Lopez Colmenarejo, le déficit du fonds de pension de près de
2 milliards d'euros de la compagnie britannique «constitue un gros
risque financier». Pour lui, une répartition à 50-50 des deux
compagnies dans la futur groupe «est une possibilité» en raison de
l'évolution des cours de Bourse depuis le début des discussions fin
juillet.
Les discussions sur une fusion entre British Airways (BA) et
Iberia sont délicates. Lancées fin juillet, elles visent à
rapprocher les deux compagnies par le biais d'un échange
d'actions. L'un des points sensibles aujourd'hui reste le
déficit à hauteur de 1,6 milliard de Livres (1,9 milliard
d'euros) du fonds de pension de la compagnie britannique. Une
dette qui fait tiquer la direction espagnole. «C'est un
problème, elle constitue un gros risque financier», a déclaré Manuel Lopez Colmenarejo,
directeur commercial d'Iberia. "Nous pensons néanmoins qu'ils
vont trouver une solution», a-t-il ajouté.
Cette question du fonds de pension risque de faire traîner
les discussions qui pourraient aboutir (si les problèmes sont
résolus) «au cours des quatre premiers mois de 2009». Bruxelles
devra ensuite donner son avis. Et complexifie le calcul de la
parité des deux compagnies dans le nouvel ensemble, déjà pollué
par les évolutions des deux cours de Bourse depuis plusieurs
semaines. Au début des discussions fin juillet, British Airways
représentait deux tiers du nouvel ensemble. Depuis, l'action du
britannique a dévissé de 50%, quand celle de l'espagnol a mieux
résisté (-11%). De fait, les capitalisations boursières sont
aujourd'hui complètement différentes: vendredi, celle de BA
s'élevait à près de 1,49 milliard de Livres (1,77 milliard
d'euros), à peine supérieure à celle d'Iberia (1,677 milliard
d'euros). «Une répartition à 50-50 est une possibilité au regard
de l'évolution des cours de Bourse», a déclaré Manuel Lopez
Colmenarejo.
Le dirigeant d'Iberia a par ailleurs dessiné les grandes
lignes de la structure du futur groupe si un accord est atteint.
Elle sera très proche de celle d'Air
France-KLM. A savoir la création d'un holding (coté à
Londres et à Madrid), maison-mère à 100% de deux filiales
opérationnelles British Airways et Iberia. La holding sera basée
en Europe dans le pays présentant le plus d'intérêt sur le plan
fiscal.
Par ailleurs, Iberia attend des autorités américaines un feu
vert - l'immunité antitrust - à son alliance transatlantique
avec British Airways et American Airlines. Il s'agit d'une
co-entreprise, un système de partage de coûts et de recettes sur
un plan de vols harmonisé (avec des tarifs également
harmonisés), sans échanges capitalistiques. Washington qui a
déjà accordé un tel accord à
Air France-KLM et Delta, devrait se prononcer en
2009. Le périmètre de cette co-entreprise s'étendrait dans un
premier temps à l'Europe, les Etats-Unis, le Canada, le Mexique,
et Porto Rico, mais pas à l'Amérique du sud...
Une flotte long courrier à renouveler
Iberia a reporté la livraison d'un Airbus A340-600 après juin
2010. La compagnie discute aussi avec l'avionneur pour le report
de quatre A320. L'an prochain, après la fusion avec British
Airways, Iberia passera une commande pour renouveler l'ensemble
de sa flotte long-courrier. Les livraisons débuteraient à partir
de 2014 pour s'échelonner pendant une bonne dizaine d'années. Le
choix se fera entre le Boeing 787 et l'Airbus A350. Même si
Iberia est un client très fidèle de l'européen, le 787 a un
avantage de poids. Il a déjà été commandé par British Airways.
Et au nom de l'harmonisation des flottes en cas de fusion,
Iberia choisira «probablement» le 787 a déclaré Manuel Lopez
Colmenarejo.
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Opinions d'analystes financiers
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Exane BNP Paribas maintient sa recommandation sur Air France-KLM
à « Surperformance »
(source Tradingsat.com)
vendredi 21
novembre - Le broker considère que la compagnie aérienne, « très solide
», profite du « profil défensif » de son réseau et prend les mesures adéquates «
pour protéger ses bénéfices et conserver du cash ».
Lors d'une rencontre avec des analystes, le management du groupe a récemment
reconnu ne pas s'expliquer pourquoi Air France – KLM avait plus souffert en
bourse que les autres représentants du secteur aérien, en dépit de la solidité
de ses résultats opérationnels. « Cela peut tenir à la grève des pilotes, au
sentiment que British Airways et Lufthansa sont mieux placées dans la course aux
acquisitions, et à l'incapacité du marché à voir les avantages de la coopération
transatlantique avec Delta », estime Exane.
L'objectif de cours de 15 euros que le courtier assigne au titre sous-entend un
potentiel de hausse de plus de 50% sur les cours actuels.
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Air
France-KLM : RBS conseille toujours de vendre, abaisse son objectif
(source Tradingsat.com) vendredi 21
novembre - Les analystes de Royal Bank of Scotland
fortement abaissé vendredi leur objectif de cours sur Air France-KLM, de 14 à
8 euros. Ils conseillent toujours logiquement de vendre l'action de la compagnie
aérienne franco-néerlandaise.
Partant du principe que le meilleur moment pour acheter les actions du secteur,
c'est lorsque qu'elles sont noyées dans les mauvaises nouvelles, le broker
estime qu'il est prématuré d'adopter une opinion positive sur Air France - KLM,
qui vient seulement d'admettre un ralentissement de son trafic premium.
RBS craint par ailleurs pour les marges élevées des réseaux d'Air France - KLM
en Afrique. Le broker évoque la concurrence de Brussel Airlines (détenu par
Lufthansa), la poursuite de l'expansion en Afrique de son partenaire américain
Delta, et le développement des réseaux des transporteurs du golfe.
En terme de résultats, RBS ne table plus que sur un bénéfice opérationnel de 427
millions d'euros en 2009 (contre une précédente estimation de 739 millions
d'euros), de 177 millions d'euros en 2010 (contre 776 millions d'euros), et de
419 millions d'euros en 2011 (contre 706 millions d'euros).
Mon commentaire : Les deux analyses ci-dessus divergent radicalement.
On mesure la difficulté d'anticiper les résultats d'une
entreprise en situation de compétition et de deviner quel
sera le cours de son action à terme.
Je rappelle que lorsque je cite
des "recommandations d'analystes", elles ne constituent en
aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation
à acheter des actions Air France-KLM. Ce choix appartient au
salarié actionnaire. Ma démarche consiste à vous apporter
des informations diffusées par la presse et à tenter de les
"décoder".
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Citigroup maintient sa recommandation d'achat sur Air France-KLM, mais revoit à
la baisse son objectif de cours
(source CercleFinance.com)
mercredi 26 novembre -
Citigroup maintient sa recommandation d'achat sur Air France-KLM, mais revoit à
la baisse son objectif de cours sur le titre en perspective de pertes au niveau
des instruments de couverture pétrolière du transporteur.
L'analyste indique avoir abaissé de 761 millions d'euros (soit une marge de
3,1%) à 516 millions d'euros (2,1%) sa prévision de résultat opérationnel pour
l'exercice 2008/2009 et de 467 millions d'euros (1,9%) à 125 millions d'euros
son estimation de résultat pour 2009/2010.
'Nous nous attendons désormais à ce que le groupe enregistre des pertes nettes
au moins jusqu'à l'exercice 2009/2010', ajoute l'intermédiaire, qui précise que
le dividende du groupe pourrait 'être abaissé, voire significativement réduit'.
Citigroup explique qu'à l'heure où beaucoup de compagnies aériennes voient leur
facture pétrolière s'alléger, Air France-KLM devrait voir la sienne grimper de
10% sur les exercices 2009/2010 et 2010/2011, en raison de positions non
bénéficiaires ('out of the money') sur ses produits dérivés avec le repli des
prix du pétrole.
'Air France-KLM est sans aucun doute l'un des gagnants du retournement en cours
et ses parts de marché vont sans doute progresser, mais le coût de sa politique
de couverture du pétrole devrait peser sur sa compétitivité', assure-t-il dans
sa note de recherche.
Mon commentaire
: Citigroup met, entre autres, en évidence un phénomène aberrant des
nouvelles normes comptables IFRS. Certaines de nos couvertures pétrolières nous
obligent, du fait des cours actuels du pétrole, à comptabiliser des pertes,
alors que les contrats en question ne sont pas arrivés à leur terme et qu'on ne
peut préjuger que ces pertes se vérifieront. Air France-KLM est intervenue
auprès de l'organisme IASB, en charge des normes comptables, pour faire évoluer
celles-ci.
Fin de la Revue de Presse....
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Pensez à voter aux élections
"prud'hommes" du mercredi 3 décembre
Les prud’hommes constituent une institution originale
constituée de magistrats non professionnels, issus des
organisations syndicales et élus par l’ensemble des salariés
du privé. Ces magistrats proviennent du monde du travail et
règlent les litiges entre un employeur et un salarié.
Participer au scrutin, c’est donner à cette institution
toute son importance et en préserver la singularité. C’est
défendre une relation juste entre un employeur et son
salarié. C’est défendre le respect des droits et le droit au
respect des salariés.
Voter aux prud’hommes est un acte pleinement civique, qui
vous permet de faire valoir vos intérêts et vos droits.
Mon
commentaire :
Les trois syndicats
qui ont soutenu mon
élection en tant
qu'administrateur
d'Air France-KLM, en
2004 : CFDT, CFTC et
UNSA, présentent
chacun des
listes de candidats
à ces élections.
>
Mon point de vue sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
Clôture de l'action Air France-KLM à
9.365 € lundi 1er décembre.
La
moyenne des objectifs de cours des principaux analystes est descendue à 12.13 €,
soit une baisse de 3 euros en une semaine. Le pétrole
reste bas à 49 $ à New-York.
Face à la crise bancaire, les
décisions prises par les dirigeants des principaux
pays semblent progressivement
débloquer la situation des banques, et, indirectement du
financement des entreprises. Mais la
récession est là, dans le monde
entier et les
résultats trimestriels des
entreprises, la plupart du temps en
baisse,
plombent les marchés
actions.
La
croissance des
pays émergents
ralentit (Chine,
Inde...).
Cette crise
financière, puis
économique, aura, bien sûr, une fin
mais il ne semble pas
qu'elle se profile à un
horizon visible. Les
spécialistes se
demandent si le "point
bas" des marchés est
atteint et beaucoup
pensent qu'il ne l'est
pas encore.
Les commentaires
négatifs des
observateurs sur
l'activité du transport
aérien entretiennent la
baisse du cours de notre action.
Quels éléments entrainent une hausse de l'action :
Bons résultats généraux d'Air France-KLM.
Effets à long terme de l'accord UE/USA sur le transatlantique.
Plan triennal d'économies en cours
et son renforcement annoncé.
Effets favorables sur Air France-KLM de la fusion Delta/Northwest
Quels éléments entrainent une baisse de l'action :
Crise de l'immobilier aux USA
initiée en 2007 (effet subprime) et
sa contamination au secteur financier
et bancaire mondial, dont les marchés actions.
Doutes des analystes financiers sur les perspectives du secteur du transport aérien
Publication de mauvais résultats ou prévisions économiques.
Tensions géopolitiques.
Événements terroristes ou sanitaires.
Un facteur de hausse ou de baisse sur les marchés actions :
Une décision des banques centrales de hausse des taux directeurs a généralement un effet négatif sur les marchés actions et vice-versa.
Risques à moyen et long terme :
Résultat des enquêtes sur d'éventuelles ententes tarifaires entre compagnies aériennes sur les lignes Europe/Japon.
Conséquences des démarches de développement durable sur l'économie et le développement du transport aérien.
Effets de la concurrence low cost sur le secteur Moyen-courrier. Développement du hub d'Emirates.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
A bientôt.
Vous pouvez réagir à cette "lettre" ou me poser, par retour, toute question de mon domaine de compétence...
Avertissement : A chaque envoi de cette lettre, plusieurs messages de distribution infructueuse me reviennent. Généralement pour cause de "messagerie pleine".
Si vous êtes de ceux qui n'ont pas reçu ces dernières lettres, un "clic" sur les liens ci-après vous permettra de les retrouver...
Leur contenu, selon le sujet, peut "dater" un peu... merci d'en tenir compte
D'autres infos sur le site
www.navigaction.com
Idée :
Cette lettre peut intéresser l'un ou l'autre de vos collègues. Faites-la circuler ? Ceux-ci pourront s'y inscrire pour la recevoir directement en m'envoyant un mail à
chmagne@navigaction.com
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Idée encore :
si un jour, vous changez d'adresse e-mail (ex : départ à la retraite), merci de me la transmettre, sinon vous ne recevrez plus ces lettres.
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Rappel du numéro vert
gratuit "actionnariat salarié Air France-KLM" :
0800 04 2000
C'est à ce numéro qu'une aide pourra vous être apportée si vous rencontrez des difficultés dans la gestion de vos actions Air France-KLM ou de votre épargne salariale. La mise en relation avec HSBC et/ou la Société Générale passe par ce numéro.
Je
suis, dans tous les cas, à votre disposition au +33 (0)1 41 56 04 95 (répondeur en cas d'absence).
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Christian Magne
Administrateur Air France-KLM représentant les salariés actionnaires PS et PNC CL-DA
N'imprimez cette lettre qu'en cas de nécessité
Cette lettre vous est adressée dans le but de vous tenir informé de tout sujet relatif à l'actionnariat salarié du groupe Air France-KLM. Il vous est adressé personnellement soit parce que nous avons pu être en contact à votre initiative, parce que vous avez souhaité être informé par e-mail, parce que vous m'avez donné pouvoir lors d'une assemblée générale des actionnaires, parce que votre adresse est visible dans
PNAF.net, ou bien encore parce que le syndicat dont vous êtes adhérent et qui me soutient (CFDT,
CFTC et
Unsa) m'a communiqué votre adresse.
Si vous ne souhaitez plus recevoir cette lettre électronique, merci de me la retourner en le précisant. Si vous préférez recevoir cette lettre sur une autre adresse de messagerie, merci de me l'indiquer par retour. Toute suggestion est la bienvenue.
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