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| Lettre de l'Administrateur Air France-KLM | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| Christian Magne Administrateur Air France-KLM représentant les salariés actionnaires PS et PNC |
N°174, lundi 23
mars 2009,
4160
salariés actionnaires du groupe AF-KLM reçoivent
ce message...
Lundi : la Revue de Presse...
> Air France-KLM et Aeroflot intéressés par le tchèque CSA
PARIS/MOSCOU, (source Reuters) lundi 23 mars - Air France KLM a annoncé lundi son intention d'informer officiellement la compagnie tchèque Czech Airlines (CSA) de son intérêt pour une éventuelle entrée à son capital. Le groupe franco-néerlandais remettra dans la journée à CSA une lettre non engageante d'expression d'intérêt. Il précise dans un communiqué que les offres fermes ne sont pas attendues avant juin, après l'étude en profondeur de Czech Airlines par les candidats. "Czech Airlines, poursuit-il, est un proche partenaire d'Air France-KLM, notamment au sein de l'alliance SkyTeam dont il est membre depuis 2001." Son réseau, note-t-il, permettrait notamment à AF-KLM de se renforcer en Europe centrale et en Europe de l'Est. Le gouvernement tchèque a lancé un appel d'offres pour vendre les 91,5% détenus par l'Etat dans CSA et les analystes s'attendent à ce que cette cession rapporte dans l'année plus de 200 millions de dollars (146 millions d'euros). Outre Air France-KLM, la compagnie publique russe Aeroflot devrait soumettre une offre de rachat de CSA, selon le quotidien économique russe Kommersant...
> Le PDG de CSA réservé sur un éventuel rachat par Air France-KLM
PARIS (source Dow Jones) mardi 17 mars - Si la compagnie aérienne tchèque Czech Airlines, ou CSA, souhaite qu'Air France-KLM soit candidat à son rachat, son président-directeur général Radomir Lasak s'inquiète du fait que l'aéroport de Prague ne serait alors pas dans les priorités du groupe franco-néerlandais, selon un entretien publié par Les Echos mardi. "Le mieux pour CSA serait un partenaire éloigné géographiquement, qui favoriserait le développement de notre hub de Prague. Air France-KLM veut surtout défendre son marché européen", déclare-t-il...
> La nouvelle cabine "PREMIUM VOYAGEUR" sur les vols long-courriers d'Air France
(source Flash Actu Air France) vendredi 20 mars - 40 % d’espace en plus par rapport à la classe économique Un espace personnel préservé par un siège à coque fixe Des tarifs très compétitifs Air France continue d’innover en introduisant sur ses vols long-courriers, à compter de l'automne 2009, une nouvelle cabine privative, située entre les cabines Affaires et Economique : la Premium Voyageur. Cette cabine sera progressivement disponible sur l'ensemble du réseau long-courrier international d’Air France desservi par des Boeing 777, Airbus A340 et A330. Dès le 1er avril 2009, les clients d’Air France pourront réserver et acheter leur siège en cabine Premium Voyageur. Les premières destinations disponibles seront New York-JFK, Tokyo et Osaka. Air France propose une gamme tarifaire très compétitive, accessible à tous et particulièrement bien adaptée aux petites et moyennes entreprises. Exemples de tarifs :
. Paris New York aller/retour à partir
de 1038 euros TTC Ces tarifs permettent aux clients de passer du confort de la cabine Economique à l'espace dédié et privatif de la Premium Voyageur qui se caractérise par :
- 40 % d’espace supplémentaire : en
moyenne, 22 sièges Premium Voyageur seront disponibles sur un espace
occupé auparavant par 40 sièges de la cabine Economique ; Dans cette gamme de cabine intermédiaire, Air France est la première compagnie européenne à proposer des sièges à coque fixe, et la première compagnie au monde à libérer autant d’espace pour les jambes. La restauration est celle de la cabine économique : apéritifs, Champagne, repas élaborés par Michel Nugues - membre des "Toques du ciel" - avec un choix de deux plats chauds, digestifs, vins sélectionnés par Olivier Poussier - meilleur sommelier du monde 2000 - et sur les vols les plus longs, un buffet offrant, entre autres, des mini-sandwiches et des bâtonnets glacés Häagen Dazs (hors Caraïbes et Océan Indien). A l’aéroport, pour plus de rapidité et de commodité, un service inspiré de la classe Affaires : comptoirs d’enregistrement prioritaires, franchise bagages gratuite de 30 kg, embarquement à convenance et livraison prioritaire des bagages. Les clients voyageant en cabine Premium Voyageur bénéficient également du programme de fidélité Flying Blue. Un voyage en cabine Premium Voyageur permet d’accumuler plus rapidement des miles : un billet plein tarif en cabine Premium Voyageur (modifiable, remboursable…) rapportera 25 % de miles en plus par rapport à un même billet plein tarif en cabine Economique.
L’arrivée de Premium Voyageur est également l’occasion de faire évoluer
les marques des cabines qui seront progressivement mises en place à
partir d’avril 2009 :
> Air France lance sa nouvelle classe affaires « low cost »
(source L'expansion.com) vendredi 20 mars - Située entre la classe éco et la classe affaires, cette nouvelle cabine promet de l'espace en plus et des prix moins chers. Depuis quelques mois, la classe affaires est aussi en crise. Les entreprises auront bientôt dans leur arsenal une nouvelle mesure anticrise. Et elle n'a rien à voir avec une proposition du gouvernement. Vendredi, Air France a officialisé le lancement d'une nouvelle cabine, située entre la classe éco et la classe affaires. Baptisée « Premium Voyageur », elle est destinée à une clientèle aisée... mais pas trop. Air France promet ainsi « 40% d'espace en plus par rapport à la classe économique, un espace personnel préservé par un siège à coque fixe [et] des tarifs très compétitifs ». Dans le détail, tout n'est que subtils compromis. L'espace est réellement accru. « En moyenne, 22 sièges "Premium Voyageur" seront disponibles sur un espace occupé auparavant par 40 sièges de la cabine économique », vante Air France. Dans la cabine, le siège plus confortable, le large écran vidéo, la trousse de voyage et le coussin de plumes sont autant d' « éléments » importés de la cabine affaires. A l'aéroport, l'enregistrement prioritaire est aussi « inspiré » de la gamme supérieure. En revanche, la restauration se fait à la mode économique. Une révision des classes L'arrivée de cette nouvelle classe provoquera quelques évolutions chez Air France. A partir d'avril, l'Espace première deviendra La première. L'Espace affaires s'appellera simplement Affaires. Et Tempo, la classe économique, prendra le nom de Voyageur. Il sera possible, à partir du 1er avril, de réserver des vols pour l'automne sur trois premières destinations : New York, Tokyo et Osaka. Les tarifs cités dès aujourd'hui sont respectivement de 1038, 1660 et 1665 euros aller/retour. A titre de comparaison, un vol aller/retour vers New York en classé éco pour le mois d'octobre débute à 467 euros en classe éco. Et à 2621 euros en classe affaires. La compagnie juge cette classe « Premium Voyageur » « accessible à tous et particulièrement bien adaptée aux petites et moyennes entreprises ». La classe affaires en crise Air France a tout intérêt à choyer ce public. Le nombre de passagers voyageant en classe affaires ou première classe chute en effet dangereusement. Selon les récents chiffres de l'Association internationale du transport aérien (IATA), il est tombé de 16,7% en janvier comparé à l'année précédente, après une baisse de 13,3% en décembre. « Il existe des signes évidents que des passagers voyageant habituellement en classe affaires ou première s'installent désormais aux places économiques, particulièrement en Europe », remarquait l'IATA. Les effets sur les compagnies aériennes s'annoncent déjà importants. « En raison de la chute du prix moyen du billet d'avion et des surcharges carburant, nous estimons que le chiffre d'affaires provenant des passagers de première et de classe business s'est réduit d'un quart en janvier, pesant considérablement sur la profitabilité des compagnies aériennes », notait encore l'IATA. Air France avait, très tôt, senti le vent tourner. L'annonce de la création de sa nouvelle cabine « Premium Voyageur » remonte à avril 2008. Le coût prévu pour cet aménagement était alors de 60 millions d'euros. Mon commentaire : Les prestations de la classe affaires d'Air France, lancée en 2004, sont coûteuses. De nombreuses PME renonçaient à ce confort et se contentaient d'acheter des billets de notre classe économique ou se laissaient séduire par des produits concurrents, telle la classe "affaires" de British Airways au départ d'Orly vers New-York. "Premium voyageur", conçu avant la crise, devait séduire des clients de la classe éco cherchant un meilleur rapport prix/confort. Trouveront-ils satisfaction dans cette offre intermédiaire malgré cette période de restrictions budgétaires ? Ou bien les passagers encore fidèles à la classe Affaires seront-ils tentés de l'abandonner au profit de cette nouveauté ?
> Virgin Atlantic ne détourne pas ses yeux de l’Europe
(source aerocontact) mardi 17 mars - Virgin Atlantic a toujours été intéressée par l’Europe. La compagnie britannique n’avait pas caché son désir d’acquérir une participation dans bmi afin de mettre le vieux continent à sa portée mais la prise de participation majoritaire de Lufthansa semblait avoir calmé ses ardeurs. Que nenni… Le Directeur de la Communication Paul Charles a confirmé au Telegraph que l’expansion en Europe était le prochain pas logique du développement de Virgin. Les plans de développement ne sont pas encore au point. Virgin doit encore décider si cette expansion se fera par une acquisition ou par croissance organique. Il est donc également trop tôt pour prévoir quand les opérations pourraient éventuellement débuter et vers quelles destinations. En revanche, Virgin ne semble pas souhaiter renouveler l’expérience de Virgin Express. Elle compte plutôt proposer un vrai service Affaires dans ses appareils, alors que Virgin Express se calquait sur un modèle à bas tarifs. Si Virgin lance une nouvelle compagnie sur le réseau moyen-courrier – elle a déjà exploité des Airbus A320 et A321 via sa filiale Virgin Sun en 1998 et vers Athènes –, celle-ci aura donc vocation à concurrencer directement British Airways. Car contrairement aux low-cost, Virgin est très présente à Heathrow.
> La division fret de Lufthansa anticipe une année difficile
FRANCFORT (source
Reuters) samedi 21 mars - La division fret de la
compagnie aérienne allemande Lufthansa prévoit
une année 2009 difficile car le recul de la
demande pour le fret se poursuit, déclare son
directeur général. L'activité de fret a été particulièrement touchée par la réduction des dépenses des entreprises face à la crise. La fédération d'aéroports ACI a estimé en janvier que le trafic aérien de fret allait probablement poursuivre son recul au cours des six prochains mois. Un tiers du commerce mondial de marchandises est acheminé par les airs. La chute des volumes du trafic de fret traduit donc une forte dégradation de la situation économique. Le trafic de fret de Lufthansa a reculé de 24,5% en volumes en février, après une baisse de 24,3% en janvier. Le chiffre d'affaires annuel de la division cargo de Lufthansa devrait enregistrer une baisse importante cette année par rapport aux 2,91 milliards d'euros enregistrés en 2008 et le bénéfice d'exploitation sera également très inférieur aux 164 millions d'euros de l'année précédente, a prévenu Spohr. Face à la forte baisse de la demande, Lufthansa a déjà réduit le volume horaire de travail des pilotes et des équipes au sol de la division fret; les dirigeants de la division ont accepté de leur côté de renoncer à 10% de leur salaire.
> Ryanair : gel des salaires accepté
(source AFP) mardi 17 mars - Les pilotes de la compagnie aérienne irlandaise Ryanair ont accepté un gel de salaire de douze mois, assorti de "gains de productivité", préférant cette solution à la baisse de 10% du salaire que leur proposait la compagnie initialement, a-t-elle annoncé celle-ci aujourd'hui. Ryanair se félicite du "succès" de "négociations intensives" menées avec ses 31 bases de pilotes en Europe, assurant que ceux-ci ont voté "massivement" pour la solution retenue, "après deux trimestres consécutifs de pertes d'exploitations cet hiver". Ryanair indique que ses pilotes ont tenu compte "de l'état du secteur et des pertes d'emplois qui affectent actuellement un nombre énorme de pilotes qualifiés à travers l'Europe" où "de nombreux syndicats de pilotes ont accepté des baisses de salaires".
> Et maintenant, l'enregistrement !
(source Que choisir) jeudi 19 mars - En facturant, à partir d'aujourd'hui, des coûts d'enregistrement, la compagnie Ryanair allonge une nouvelle fois la liste des suppléments imposés à ses clients. Une tendance lourde dans le monde du transport aérien. Provocation ? Il y a quelques semaines, Michael O'Leary, l'iconoclaste patron de la compagnie aérienne à bas coût (low cost) Ryanair, avait envisagé de facturer l'accès aux toilettes de ses avions. Le projet n'a finalement pas vu le jour. Pour l'instant, du moins. Car sa compagnie se montre toujours très imaginative pour alourdir la note de ses passagers ! Depuis aujourd'hui, ceux qui voyagent avec des bagages en soute doivent payer 5 euros par trajet lors de leur enregistrement en ligne. S'ils le font à l'aéroport, cela leur coûte 10 euros. Dans tous les cas de figure, ce nouveau prélèvement s'ajoute aux frais de transport desdits bagages (10 euros pour le premier, puis 20 euros à partir du deuxième). Mais cette mesure est appelée à évoluer dans le temps. À partir du 1er mai, elle concernera tous les passagers Ryanair enregistrés en ligne, qu'ils aient ou non des bagages en soute. Pour ceux qui s'obstineront à s'enregistrer à l'aéroport, la note passera à 20 euros. Une possibilité qui sera supprimée le 1er octobre prochain. Par la suite, il n'y aura pas d'autres solutions qu'Internet. Une « option obligatoire » qui restera facturée 5 euros par personne et par trajet. D'ici à l'automne prochain, Ryanair espère en effet avoir complètement supprimé ses comptoirs d'enregistrement dans les aéroports. Mais, paradoxalement, ces gains de productivité (moins de personnel et plus de rapidité) alourdissent... la facture du passager, celui-ci devant donc payer pour s'enregistrer exclusivement en ligne ! Exceptionnelle il y a encore une vingtaine d'années, la facturation de services, en sus du prix du billet en lui-même et des taxes d'aéroport, est devenue la norme dans le transport aérien. Ce sont les compagnies à bas coût, comme Ryanair ou easyJet, qui ont lancé le mouvement, très vite suivies par les compagnies classiques. Ainsi, sur certains de ses vols, Air France applique désormais un supplément de 50 euros aux passagers qui souhaitent s'asseoir près des issues de secours afin de bénéficier de davantage d'espace pour leurs jambes. La différence entre le tarif toutes taxes comprises de départ et le prix réellement payé par l'usager peut être importante. Bref, à quand un supplément pour le sourire de l'hôtesse ou « l'option obligatoire payante » ceinture de sécurité sur son siège ?
> Grand ménage en vue dans le Cac 40
(source L'expansion) mercredi 18 mars - Maltraité par la chute brutale des cours depuis plus d'un an, le CAC 40 pourrait se séparer de ses valeurs les plus fragiles, telles que Dexia. L'occasion de diversifier un indice très dépendant des valeurs énergétiques et financières. Malmené par la chute record des cours depuis plus d'un an, le CAC 40 pourrait se séparer de ses valeurs les plus fragiles, ce qui permettrait une diversification de cet indice très dépendant des valeurs énergétiques et financières, bienvenue avec la crise. Signe des disparités criantes au sein du CAC 40, le seul poids de Total - autour de 18% - est supérieur à celui de plus de la moitié de l'indice vedette. Mieux, Total et GDF Suez pèsent à eux deux 25% de l'indice parisien et les valeurs bancaires, malgré leur effondrement, représentent encore plus de 10%, une hégémonie que la remontée de France Télécom et Sanofi-Aventis n'a pas entamée. "Notre indice est une bombe", lance Xavier de Villepion, vendeur d'actions chez Global Equities, pour qui le CAC 40, en faisant la part belle aux valeurs énergétiques et financières, "est mal équilibré et trop volatil". Plus nuancé, Jean-Paul Pierret, directeur de la stratégie chez Dexia Securities, estime que "le CAC 40 est un des indices les mieux équilibrés en Europe, mêlant consommation, immobilier, banques, luxe, industrie lourde", ce qui n'empêche pas pour lui quelques ajustements. "Tous les titres qui pèsent moins de 5 à 7 milliards de capitalisation posent question" et "des sorties probables sont à imaginer", juge-t-il. Plusieurs valeurs sont sur la sellette, leur capitalisation boursière s'étant réduite comme peau de chagrin avec la crise, dont la banque franco-belge Dexia qui a perdu plus de 85% sur un an, son poids en Bourse tombant à moins de 2 milliards d'euros. "Cette valeur n'a absolument pas sa place" dans le CAC 40, juge M. de Villepion. Parmi les valeurs dans la tourmente, figurent Air France-KLM, STMicroelectronics, Alcatel-Lucent, Vallourec ou encore l'automobile. Dans le même temps, les prétendants au CAC 40 sont légion, une vingtaine d'entreprises regroupées au sein de l'indice Next 20, "le purgatoire avancé", note M. Pierret. Au nombre de ces prétendants à la montée en première division boursière : le groupe de luxe Hermès, SES Global, spécialiste dans le lancement de satellites, Sodexho, groupe de taille mondiale et ancien pensionnaire du CAC 40, voire Nyse Euronext ou encore Casino. Toutes ces valeurs auraient en commun d'apporter une diversification sectorielle de l'indice permettant "d'amortir la volatilité et les chocs", explique M. de Villepion. Autre argument, la dernière modification au sein de la cote, hormis la fusion GDF Suez et l'introduction en Bourse de Suez Environnement en septembre 2008, remonte à mai 2007. AGF et Thomson avaient alors laissé leur place à Air France-KLM et à Unibail-Rodamco. Mais ces décisions sensibles, prises au compte-gouttes, sont entre les mains du Conseil scientifique des indices, composé de huit membres, qui se réunit chaque trimestre dans la discrétion pour éviter toute spéculation. Pour l'heure, le Conseil, qui n'a fait aucune communication, a précisément décidé de ne pas se réunir, à cause de la forte volatilité des marchés, a indiqué à l'AFP Martine Charbonnier, directeur exécutif en charge notamment des introductions en Bourse en Europe chez Nyse Euronext. Une configuration qui ne fait pourtant pas peur à tout le monde: les Bourses allemande et britannique ont laissé sur la touche en mars respectivement deux et quatre valeurs qui ne remplissaient plus les critères de capitalisation boursière nécessaires.
Fin de la Revue de Presse... > Mon point de vue sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM Clôture de l'action Air France-KLM à 7,060 € le vendredi 20 mars en clôture.
La moyenne des objectifs de cours des principaux analystes pour l'action AFKL descend à 9,66 €. La récession s'installe dans le monde entier. La baisse des résultats de la plupart des entreprises plombe les marchés actions. La croissance des pays émergents ralentit (Chine, Inde...). Les commentaires négatifs des observateurs sur l'activité du transport aérien maintiennent le cours de notre action à un niveau bas. Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM. A bientôt. Vous pouvez réagir à cette "lettre" ou me poser, par retour, toute question de mon domaine de compétence... Si vous n'avez pas reçu l'une des dernières lettres, un clic sur l'un des liens ci-après vous permettra de la retrouver...
D'autres infos sur le site navigaction.com
> Rappel du numéro vert gratuit "actionnariat salarié Air France-KLM" : 0800 04 2000 C'est à ce numéro qu'une aide pourra vous être apportée si vous rencontrez des difficultés dans la gestion de vos actions Air France-KLM ou de votre épargne salariale. La mise en relation gratuite avec HSBC et/ou la Société Générale passe par ce numéro. Vous pourrez encore obtenir de l'aide par le mail : info.ors.esa@airfrance.fr Je suis, dans tous les cas, à votre disposition au +33 (0)1 41 56 04 95 (répondeur en cas d'absence). | Christian Magne Administrateur Air France-KLM représentant les salariés actionnaires PS et PNC N'imprimez cette lettre qu'en cas de nécessité Cette lettre vous est adressée dans le but de vous tenir informé de tout sujet relatif à l'actionnariat salarié du groupe Air France-KLM. Elle vous est adressée personnellement soit parce que nous avons pu être en contact à votre initiative, parce que vous avez souhaité être informé par e-mail, parce que vous m'avez donné pouvoir lors d'une assemblée générale des actionnaires, parce que votre adresse est visible dans PNAF.net, ou bien encore parce que le syndicat dont vous êtes adhérent et qui me soutient (CFDT, CFTC et Unsa) m'a communiqué votre adresse. Si vous ne souhaitez plus recevoir cette lettre électronique, cliquez ici : désabonnement. Si vous préférez recevoir cette lettre sur une autre adresse de messagerie, merci de me l'indiquer par retour. Cliquez sur ce lien pour faire une suggestion à Christian Magne |