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| Lettre de l'Administrateur Air France-KLM | ||||||||||||||||||||||||||||||||
| Christian Magne Administrateur Air France-KLM représentant les salariés actionnaires PS et PNC |
N°183, lundi 25
mai 2009,
4314
salariés actionnaires du groupe AF-KLM reçoivent
ce message...
Lundi : la Revue de Presse...
> British Airways annonce des pertes, son patron renonce à un mois de salaire
LONDRES (source AFP) vendredi 22 mai - La compagnie aérienne britannique British Airways (BA) a annoncé vendredi une perte record en 2008/09, et incité le personnel à travailler à temps partiel, le patron Willie Walsh et le directeur financier décidant de montrer l'exemple en renonçant à leur salaire de juillet. BA, qui ne recommandera pas non plus de dividende, a connu une perte nette part du groupe de 375 millions de livres (425 millions d'euros) contre un bénéfice de 712 millions un an plus tôt. La compagnie a vu s'écrouler de 13% le trafic de ses classes supérieures, très lucratives lorsque la bulle financière jetait dans les avions transatlantiques des flots serrés d'hommes d'affaires. Pour l'année en cours, BA a laissé entendre que la baisse du chiffre d'affaires pourrait dépasser les 5% déjà annoncés. La compagnie, dont le nombre total de passagers a baissé de 4,3% à 33,1 millions sur l'année écoulée, va aussi réduire sa capacité l'hiver prochain, de 4%. Après avoir déjà réduit de 2.500 depuis l'an dernier le nombre d'employés, à 40.000 environ, elle demande à présent à son personnel de prendre des congés non rémunérés ou à travailler à temps partiel. Le patron a décidé de donner l'exemple, et travaillera pour rien en juillet, comme le directeur financier Keith Williams. "Je veux que tout le monde examine sérieusement ces propositions, a-t-il dit. Personnellement, je ne veux ni congé supplémentaire ni travail à temps partiel, mais je veux faire une contribution, pour montrer que je reconnais dans quelle situation difficile nous sommes". M. Walsh est payé 735.000 livres par an et M. Williams 440.000 livres. Toutes les compagnies aériennes sont actuellement dans des situations difficiles, à l'exception peut-être des low-costs comme Ryanair, une des principales concurrentes de BA sur le moyen courrier. Mais le ton employé par les dirigeants de BA a été particulièrement lugubre. En particulier, ils ont estimé qu'on ne voit pas du tout la fin du tunnel. M. Walsh a remarqué qu'il n'y avait "aucune amélioration immédiate à l'horizon". Le président Martin Broughton a considéré que "toute reprise prendrait probablement plus longtemps qu'envisagé". Dans ce contexte, les discussions sur une fusion en actions avec l'espagnole Iberia, qui traînent depuis l'année dernière, vont encore prendre "plusieurs mois". L'une des rares consolations semble venir des 400 millions de dollars d'économie prévus sur le carburant cette année, après une facture de trois milliards l'an passé. Une autre vient aussi d'une ponctualité améliorée. British Airways a noté aussi d'excellentes enquêtes de satisfaction des passagers, et que les 24 millions de passagers qui ont traversé son nouveau Terminal 5 d'Heathrow, inauguré l'an dernier dans la douleur --pertes de bagages, retards--, l'ont "adoré". La compagnie, membre de l'alliance oneworld, espère aussi obtenir bientôt des autorités européennes et américaines l'immunité anti-trust pour lier ses opérations à celles d'American Airlines et d'Iberia au-dessus de l'Atlantique. Près de 3.400 lettres d'officiels favorables à cette alliance ont été reçues par le ministère des Transports américains. L'alliance Skyteam (Air France-KLM) a pris de l'avance dans ce domaine, sur oneworld et sur l'alliance Star (Lufthansa) L'analyste Chiara Carella du cabinet Frost & Sullivan a noté que "l'année serait certes cruciale pour British Airways", moins bien équipée contre la crise que Lufthansa, par exemple, mais que "tout n'allait pas aussi mal que ça en avait l'air". Mon commentaire : On relève de nombreuses similitudes entre la compagnie d'outre Manche et Air France-KLM. Ces résultats confirment que c'est bien toute l'activité du transport aérien qui est freinée. La perte est importante, proportionnellement supérieure à celle de notre groupe. Les dirigeants de BA n'envisagent pas une reprise rapide et ne voient pas non plus avec optimisme les résultats 2009/10. Comme AF-KLM, la compagnie britannique renonce à verser des dividendes aux actionnaires. Le haut management, de son côté, abandonne une partie de sa rémunération. Chez nous, la rémunération de nos dirigeants se réduit mécaniquement avec la baisse des résultats. En plus de cette diminution, notre président JC Spinetta a indiqué qu'il renonçait à percevoir 200 000 € de sa rémunération de 2009.
> Air France-KLM : des mesures saluées par les investisseurs
(source CercleFinance.com) vendredi 22 mai - Air France-KLM affiche une performance de plus de 8% sur l'ensemble de la semaine, après la publication de ses résultats pour l'exercice 2008-2009 et de l'annonce de mesures de réductions de coûts. La compagnie aérienne a accusé une perte nette part du groupe de 814 millions d'euros contre un profit de 756 millions d'euros au 31 mars 2008. Le résultat d'exploitation est négatif de 129 millions d'euros (1,41 milliard d'euros au 31 mars 2008). Le résultat d'exploitation ajusté est positif de 91 millions et la marge correspondante est de 0,4%, en baisse de 6,3 points. ' La dégradation de l'activité au cours du second semestre et particulièrement au dernier trimestre a fortement affecté les résultats de l'exercice malgré un premier semestre satisfaisant. ' a expliqué le transporteur aérien. Le chiffre d'affaires s'établit à 23,97 milliards d'euros (-0,6% après un effet de change défavorable de 1,9%) pour une production mesurée en ESKO (équivalent siège kilomètre offert) en augmentation de 3,6%. La recette unitaire est en baisse de 4,0% et de 2,2% hors change. Sous l'effet de la facture pétrolière, en hausse de 24,7% à 5,7 milliards d'euros, les charges d'exploitation sont en hausse de 6,1% à 24,1 milliards d'euros. Hors carburant, elles progressent de 1,4%. Le coût unitaire à l'ESKO est en hausse de 3,3% mais baisse de 0,8% à change et prix du carburant constants grâce aux 675 millions d'euros d'économies réalisées dans le cadre du plan 'Challenge 12'. ' L'environnement économique au premier semestre reste difficile et la visibilité sur le second semestre est faible. Même si certains signes de stabilisation se sont faits jour ces dernières semaines dans l'activité cargo et passage, il est encore trop tôt pour dire s'ils amorcent un début de reprise économique. ' a précisé le groupe franco-néerlandais. Le groupe continue à prendre des mesures d'adaptation dont une baisse des capacités de 4,5% dans l'activité passage et de 11% dans l'activité cargo pour la saison été 2009 et une réduction du plan d'investissements initialement prévu, de 2,9 milliards à 1,4 milliard d'euros. Air France-KLM a également relevé l'objectif d'économies à 600 millions d'euros incluant une adaptation des charges de personnel au niveau de l'activité. Ces mesures combinées à la baisse de 1,9 milliard de dollars de la facture pétrolière (à périmètre constant et sur la base de la courbe des prix à terme du 14 mai 2009) devraient compenser une partie significative de la baisse anticipée du chiffre d'affaires. En marge de la publication de ses résultats semestriels, Air France-KLM a fait part d'une ' adaptation des effectifs ' à la baisse en vue de faire face au contexte économique. Ainsi, le groupe envisage de diminuer ses effectifs de 3% en 2009-2010 dont une réduction de 1,25% chez KLM en 2010 et de 0,8% chez Air France en 2009. La direction souligne bien que le groupe n'engagera pas de ' procédure de licenciement '. La réduction des effectifs s'effectuera via des départs ' naturels '. Le groupe a diminué ses effectifs de 2,5% en 2008-2009 et ainsi baissé ses charges de personnels au dernier trimestre. Accord de coentreprise avec Delta AirLines Air France-KLM et Delta AirLines vont signer un accord de coentreprise portant sur l'exploitation en commun ainsi que sur le partage des recettes et des coûts de leurs liaisons transatlantiques. La nouvelle joint-venture couvrira environ 25% de l'offre transatlantique totale et sera un élément essentiel pour concurrencer les deux autres grandes alliances présentes sur ce marché. Le chiffre d'affaires annuel de la joint-venture est évalué à 12 milliards de dollars (environ 9,3 milliards d'euros). Ainsi, les partenaires seront en mesure de proposer à leurs clients plus de 200 vols transatlantiques quotidiens, soit environ 50 000 sièges par jour. Les transporteurs précisent que la signature de cet accord intervient dans le contexte plus large de la libéralisation des services aériens entre l'Union Européenne et les Etats-Unis, dans le cadre de l'accord dit 'Open Sky'. ' La clientèle d'Air France, de KLM et de Delta bénéficiera directement de la joint-venture : accès à un vaste réseau de routes, à de nouvelles destinations, à des fréquences multiples, à une gamme tarifaire élargie et à des services harmonisés à bord comme en aéroport' commente le transporteur aérien franco-néerlandais. Le périmètre géographique de la joint venture comprend les routes entre l'Amérique du Nord d'une part, et l'Europe d'autre part ; entre Amsterdam et l'Inde, ainsi qu'entre l'Amérique du Nord et Tahiti. Sur ces routes, les stratégies sont étroitement coordonnées et les recettes et les coûts sont partagés à parité entre les deux groupes. Le contrat de joint-venture est à durée indéterminée. Après une période de dix ans, l'accord pourra être dénoncé avec un préavis de trois ans. Les derniers avis des bureaux d'analyse RBS a relevé cette semaine son objectif sur Air France-KLM de 9 à 13 euros tout en maintenant sa recommandation ' achat ' sur le titre de la compagnie aérienne franco-néerlandaise, après la publication de ses résultats annuels. ' La compagnie réduit ses capacités, ses investissements, ses effectifs et ses autres coûts, affichant un niveau de flexibilité surprenant' a noté l'analyste. Le bureau d'études souligne que la perte opérationnelle de -129 millions d'euros, s'est avérée bien meilleure que celle de -206 millions attendue par RBS et un consensus de -203 millions d'euros, une surperformance s'appuyant sur un contrôle des coûts meilleur que prévu. ' Nous voyons Air France-KLM comme la carte la plus simple à jouer en termes de cycle dans le domaine du secteur aérien' estime RBS, qui souligne que ses concurrents Lufthansa et British Airways ont affaire à des catalyseurs spécifiques liés à leurs projets de fusions acquisition et d'alliance. ' Nous pensons que le sentiment plus positif du marché vis-à-vis du secteur aérien devrait se poursuivre et même se renforcer d'ici la fin de l'année. Nous confirmons notre recommandation Achat sur le titre et révisons à la hausse notre objectif de cours à 12,5 euros contre 11,0 euros précédemment' a estimé un analyste de CM-CIC Securities. UBS a également relevé sa recommandation sur Air France-KLM de 'vendre' à 'neutre'. Concernant l'exercice 2009/2010, l'analyste souligne que la base de comparaison du groupe est loin d'être facile, puisque son activité était ressortie en hausse de 6% au 1er trimestre 2008/2009, avant une croissance de 3% au 2ème trimestre et une évolution stable au 3ème. 'Malgré cela, Air France-KLM dispose d'une grosse quantité de cash, réduit ses dépenses d'investissement sans se trouver dans une situation financière difficile', a souligné l'intermédiaire, justifiant ainsi son relèvement de recommandation. Mon commentaire : La finalisation de l'accord de Joint-venture avec Delta nous donne une longueur d'avance sur nos concurrents pour l'ensemble des lignes transatlantiques. Elles représentent environ le quart du chiffre d'affaires du groupe.
> Air France-KLM : vers une grève en juillet ?
(source CercleFinance.com) vendredi 22 mai - L'activité d'Air France pourrait être perturbée cet été. Selon La Tribune, le Syndicat National des Pilotes de Ligne (SNPL), fortement implanté dans cette compagnie, a déposé voici huit jours un préavis de grève couvrant les week-ends du 10 juillet au 3 août prochains. Le quotidien économique indique que le SNPL conteste la loi sur la représentativité syndicale, qui dispose notamment que la table des négociations n'est ouverte qu'aux organismes syndicaux ayant dépassé les 10% de voix lors du scrutin désignant les membres du comité d'entreprise. Seuls ceux qui dépassent les 30% peuvent signer lesdits accords.
> Les conditions du rachat de BMI ne sont pas remplies, selon Lufthansa
FRANCFORT (source AFP) mercredi 20 mai - Le directeur financier de la compagnie aérienne allemande Lufthansa a estimé dans la presse mercredi que les conditions du contrat de reprise de la britannique BMI n'étaient "actuellement pas remplies" et a menacé d'y renoncer en cas de statu quo. "Nous voulons acquérir la compagnie dans les conditions du contrat", a affirmé au Financial Times Stephan Gemkow, le directeur financier de Lufthansa. "Actuellement ces conditions ne sont pas remplies (...) Si elles ne le sont pas, nous nous retirerons un jour", a-t-il menacé. M. Gemkow a notamment cité comme condition sine qua non les licences d'exploitation de BMI et "les fonds dont elle a besoin pour son activité". Cependant un porte-parole des autorités britanniques de l'aviation civile (CAA) interrogé par l'AFP mercredi a souligné que BMI possède et "remplit les conditions" nécessaires pour sa licence d'exploitation européenne. Cette licence oblige notamment les compagnies aériennes à disposer de liquidités suffisantes pour mener leurs opérations pendant trois mois sans entrée de revenus, a-t-il expliqué. Il a ajouté que l'évolution de la situation financière de BMI restait cependant "sous surveillance". BMI a enregistré une perte record de 114 millions d'euros l'an dernier, et reste en grande difficulté cette année en raison de la crise du marché aérien. La Commission européenne a donné son feu vert la semaine dernière au projet d'acquisition de BMI par Lufthansa. Mais la compagnie allemande pourrait renoncer à son projet si le grand actionnaire actuel de BMI, Thomas Bishop, n'apporte pas davantage de capital, selon le Financial Times. Lufthansa détient déjà 30% des parts et doit monter à 80% depuis que Thomas Bishop a exercé en octobre une option de vente vieille d'une décennie. Les 20% restants sont en possession de la compagnie scandinave SAS. BMI possède de précieux créneaux à l'aéroport londonien d'Heathrow et elle est très présente sur les vols transatlantiques, marché sur lequel Lufthansa souhaitait se renforcer. Lufthansa doit débourser 400 millions d'euros pour racheter les parts de M. Bishop, selon les termes originaux du contrat, rapporte le FT.
> Rémunération low-cost pour Aer Lingus
(source Figaro.fr) jeudi 21 mai - L'actionnaire Ryanair veut ramener le salaire du président actuel de 175 000 euros par mois, au niveau de celui de son prédécesseur en 2006 : 35 000 euros. Ryanair, qui aime la provocation, entend bien jouer son rôle d'actionnaire sourcilleux chez Aer Lingus, dont elle détient près de 30%. La compagnie irlandaise low-cost a annoncé qu'elle proposerait lors de l'assemblée générale d'Aer Lingus, le 5 juin, une réduction de la rémunération de son président et de ses dirigeants. Ryanair aimerait ainsi ramener le salaire de son président, Colin Barrington, aujourd'hui de 175 000 euros par mois, au niveau de celui de son prédécesseur en 2006 : 35 000 euros. Soit une réduction de 80%. De même, les salaires des dirigeants passeraient de 45 500 euros par mois à 17 500 euros. Aer Lingus ne l'entend pas de cette oreille. En février, elle a supprimé des emplois et diminué la rémunération de ses dirigeants de 20%. Du coup, elle a fait savoir hier que «la rémunération de son président et de ses dirigeants était raisonnable au regard de leur grande activité et de l'augmentation de leurs responsabilités depuis l'introduction en Bourse». Selon elle, son président gagnerait 140 000 euros par mois depuis février. Un salaire qu'elle juge suffisamment low-cost. Avec ces chicaneries, Ryanair fait payer à Aer Lingus sa résistance à ses deux OPA ratées de 2006 et 2008.
> Possible reprise de l'économie mondiale fin 2009, dit l'OCDE
MADRID (source Reuters) vendredi 22 mai - La contraction de la production économique mondiale semble ralentir et une reprise pourrait commencer à la fin de l'année, a annoncé le secrétaire général de l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) vendredi. Les indicateurs, allant des ventes de maisons aux Etats-Unis aux exportations chinoises, commencent à se rétablir et l'économie mondiale n'est plus en chute libre, a déclaré Angel Gurria lors d'un discours pendant un forum économique. Interrogé sur la possibilité de reprise de la production mondiale d'ici la fin de l'année, Gurria a répondu : "Je dirais oui. La question de la reprise ne signifie pas que nous commençons à avoir des chiffres très clairement positifs mais que, dans un premier temps, l'économie mondiale est en train d'arrêter de se contracter." Les prévisions à venir pour les membres de l'OCDE seront les premières, depuis plusieurs révisions, à ne pas montrer de sérieuse détérioration du produit intérieur brut (PIB), a dit Gurria. Les Etats-Unis retrouveront le chemin de la reprise plus rapidement que l'Europe grâce au plan de relance plus important initié par Washington et en raison du fait que la crise financière américaine a démarré avant la crise européenne, a dit Gurria. "Des signes d'amélioration apparaissent", a-t-il dit.
Fin de la Revue de Presse...
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM > Mon point de vue sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM Clôture de l'action Air France-KLM à 10,680 € le vendredi 22 mai. Une hausse sensible a encadré l'annonce des résultats du groupe. Elle salue des chiffres "moins pires" que ceux annoncés par le groupe quelques semaines avant leur publication définitive. Elle corrige également un excès de sanction des marchés envers l'action de notre groupe.
La moyenne des objectifs de cours des principaux analystes pour l'action AFKL remonte à 11,18 € à la suite de plusieurs relèvements de recommandations d'analystes. La récession s'est installée dans les pays développés. La croissance des pays émergents a ralenti (Chine, Inde...). La baisse des résultats de la plupart des entreprises a plombé les marchés actions. Les commentaires négatifs des spécialistes de la finance sur l'activité du transport aérien maintiennent le cours de notre action à un niveau relativement bas. Quelques indicateurs économiques font entrevoir une perspective de reprise d'activité mondiale : niveau des stocks, consommation des ménages, rebond du secteur industriel allemand, ... mais d'autres indicateurs s'aggravent : chômage, endettement des Etats... Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM. A bientôt. Vous pouvez réagir à cette "lettre" ou me poser, par retour, toute question de mon domaine de compétence... Si vous n'avez pas reçu l'une des dernières lettres, un clic sur l'un des liens ci-après vous permettra de la retrouver...
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