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| Lettre de l'Administrateur Air France-KLM

| Christian Magne

Administrateur

Air France-KLM

représentant les salariés actionnaires PS et PNC

N°188, lundi 29 juin 2009, 4466 salariés actionnaires du groupe AF-KLM reçoivent ce message...

 

La Revue de Presse...

 

> Le transport aérien français demande l'aide de l'Etat

 

  (source La tribune) jeudi 25 juin - La fédération nationale de l'aviation marchande (Fnam) veut une anticipation du dégrèvement de la taxe professionnelle, un gel des hausses des charges aéronautiques, des aides aux lignes d'aménagement du territoire et une révision des règles sociales et fiscales pour maintenir la compétitivité des compagnies françaises.

Les entreprises de transport aérien poussent un cri d’alarme. A l’occasion de l’assemblée générale, ce mercredi, de la fédération nationale de l’aviation marchande (Fnam) qui regroupe 375 entreprises dont Air France, elles ont demandé à l’Etat un plan de soutien. Le tout en brandissant la menace de licenciements massifs et de délocalisations.

«Nous observons des chutes de 15 à 20% du trafic passagers en moyenne, de 20% pour l’activité fret, et de 20% de la recette unitaire, explique Lionel Guérin, qui vient d’être reconduit pour trois ans à la présidence de la Fnam. « Nous avons fait une plate-forme de propositions aux pouvoirs publics et nous n’avons pas de réponse. A ce stade, aucune disposition concernant le transport aérien ne figure dans le plan de relance national alors que son volet transport prévoit 1,570 milliards d’euros au bénéfice des infrastructures routières, ferroviaires, fluviales et portuaires ainsi qu’à la RATP et la SNCF », déplore t-il. Le secteur aérien emploie 128 000 emplois directs (500 000 indirects) et pèse 18 milliards d’euros de chiffre d’affaires. Il contribue à 1% du PIB (produit intérieur du brut) selon la Fnam.

Alors que l’Etat a déjà annoncé la suppression de la taxe professionnelle, la Fnam demande une anticipation à 2009 du dégrèvement de la taxe professionnelle. « C’est indispensable », a indiqué Jean-Cyril Spinetta, le président d’Air France et d’Air France-KLM. Les compagnies demandent aussi un moratoire sur toute nouvelle hausse des charges aéronautiques qui se sont élevées à 4 milliards d’euros en 2008. « Soit une augmentation de 80% par rapport à 2000 alors que le trafic n’a crû que de 26% », explique le syndicat professionnel.

La requête porte aussi sur la mise en place d’un soutien conjoncturel sur les lignes existantes d’aménagement du territoire (d’obligation de service public) qui bénéficient d’une aide financière. L’idée est également de placer sous ce régime de nouvelles lignes régionales.

Surtout, les compagnies veulent le respect strict d’un décret de novembre 2006 obligeant les compagnies aériennes étrangères basées en France à appliquer les règles sociales françaises. Ceci afin d’éviter une « concurrence déloyale ». Ryanair est principalement montré du doigt.

Plus largement, la Fnam demande de revoir « l’ensemble des dispositions en matière sociale et fiscale applicables aux compagnies françaises pour maintenir leur compétitivité face à des concurrents traitées plus favorablement ». Faute de quoi, « la profession subira inévitablement une érosion significative de son pavillon, soit par délocalisation, soit par attrition au bénéfice de pavillons étrangers. Et Lionel Guérin de s’interroger. « Veut-on un transport aérien comme le transport maritime, ou qu’on lance des plans de licenciements massifs ? »

Jean-Cyril Spinetta va dans le même sens. Il regrette l’absence d’harmonisation sociale au sein de l’Union européenne - Selon lui, si la France appliquait les mêmes règles que les Pays-Bas, « Air France-KLM aurait 800 millions d’euros de plus dans les caisses »-. Et de prévenir : «La crise va modifier profondément et durablement les comportements des clients.

Aujourd’hui ces derniers trient les compagnies sur le critère exclusif du prix. Aussi, si l’on veut garder un transport aérien basé en France et conserver en France des centres de décision, il faut changer les règles ». Sinon, ce sont les clients qui pousseront à la délocalisation en utilisant d’autres compagnies, comme celles du Golfe. « L’emploi se délocalisera, personne ne le verra », a-t-il prévenu.

De toutes leurs demandes, celles concernant le financement des avions devrait être rapidement exaucé. Les compagnies aériennes françaises ne pouvaient pas jusqu’ici bénéficier des aides de l’Etat français destinés au crédit export pour les clients d’Airbus. Ceci en raison d’une règlementation qui exclut les compagnies aériennes de la même nationalité que celles des constructeurs.

Enfin, une circulaire encadrant juridiquement le chômage partiel des navigants doit être prochainement promulguée. « Ceci dans le but de préparer les conditions d’une mise en œuvre pour les compagnies voulant le mettre en place », explique Jean-Pierre Le Goff, directeur général de la Fnam.

 

> Air France-KLM place ses « Oceane » aux meilleures conditions

 

(source AGEFI) mardi 24 juin - Elles ont été émises avec une prime de 35 % et un coupon de 4,97 %. L’opération a été couverte plusieurs fois.

La multiplication des émissions d’« Oceane » n’altère en rien l’appétit des investisseurs. C’est du moins ce que suggèrent les résultats du placement d’ Air France-KLM (AF), dévoilés hier soir. Le groupe n’a pas donné de chiffre de souscription. Mais selon une source bancaire, « l’opération a été couverte plusieurs fois ».

Les modalités définitives tendent d’ailleurs à prouver que la participation a été élevée. Elles correspondent « aux meilleurs termes des fourchettes initiales de prime de conversion et de taux de rendement actuariel pour l’émetteur », précise AF. Dans le détail, cela donne un coupon de 4,97 %, soit 1,86 % au-dessus du taux de référence (swap à 5,76 ans de 3,11 %). La fourchette était de 1,86 % à 2,36 % au-dessus de ce taux de référence. 

Quant à la prime, elle a été arrêtée à 35 % (pour une fourchette de 30 % à 35 %). Par rapport au cours de référence de 8,74 euros, le prix d’émission est donc de 11,80 euros par obligation. En intégrant l’option de surallocation (qui porte l’opération de 575 à 661 millions d’euros), 56,02 millions de titres seront émis, ce qui sous-tend la création potentielle de 56,02 millions d’actions nouvelles. 

Par rapport au nombre d’actions actuel (300,22 millions), ces modalités favorables au groupe vont donc lui permettre de limiter l’éventuelle dilution du capital à 15,73 %. A titre de comparaison, une prime de seulement 30 % aurait porté ce chiffre à 16,23 %. 

Pour caractériser son succès, AF se targue notamment d’une participation de ses actionnaires à hauteur de 162 millions d’euros, soit 24 % du montant final de l’opération, et même 28 % avant option de surallocation. Ce chiffre est toutefois largement imputable à la mobilisation de l’Etat, qui apporte 103 millions d’euros, soit une part 15,7 % du montant levé correspondant à sa participation au capital. 

En retranchant la part de l’Etat, les fonds apportés par les actionnaires se limitent à 59 millions d’euros, soit 9 % des volumes après option de surallocation et 10 % des volumes avant option de surallocation. Autrement dit, ce sont surtout les institutionnels qui sont à l’origine de ce succès. Ce qui n’a rien d’étonnant. « dix à douze gros acteurs font le marché sur les convertibles », rappelait récemment à L’Agefi un spécialiste du primaire.

Mon commentaire : Cette opération financière est un succès pour l'entreprise et renforce sa solidité. Un précieux atout pour passer outre la frilosité des banques. Cela permet d'éviter le recours à des emprunts actuellement prohibitifs. De nombreux salariés m'ont exprimé leurs regrets d'une information tardive et de délais de souscription bien trop courts pour y participer comme ils l'auraient souhaité.

 

> Air France-KLM écope d'une amende pour entente sur les prix du fret au Canada

 

(source Tradingsat.com) lundi 29 juin - Air France - KLM s'est vue infliger une amende de 10 millions de dollars canadiens après avoir plaidé coupable à des accusations de « complot de fixation des prix », selon le Bureau canadien de la concurrence. Air France, KLM et Martinair, filiale du groupe, ont reconnu qu'elles avaient, entre avril 2002 et février 2006, « fixé le montant des frais supplémentaires pour le transport aérien de marchandises destinées à l'exportation sur certaines routes canadiennes », explique le Bureau, dans un communiqué publié à la veille du week-end.

« Les compagnies ont notamment admis qu'elles [avaient] communiqué avec des concurrents concernant le montant des frais supplémentaires pour le carburant et le moment où ceux-ci seraient exigés ». Le montant des surtaxes appliquées est estimé à environ 31,5 millions de dollars pendant la période du complot.

Les amendes imposées sont de 4 millions de dollars canadiens pour Air France, 5 millions pour KLM, et 1 million pour Martinair. Le montant de la pénalité a été réduit en raison de la coopération des trois compagnies à l'enquête, précise le Bureau.

Mon commentaire : Cette amende canadienne se situe dans le cadre du dossier engagé depuis plusieurs années et pour lequel des provisions avaient été passées par notre groupe.

 

> Ryanair veut commander 300 avions d'ici fin 2009, chez Boeing ou Airbus

 

(source AFP) samedi 27 juin - La compagnie aérienne irlandaise à bas coûts Ryanair veut passer commande d'ici la fin de l'année, ou poser une option ferme, sur près de 300 Boeing "ou" Airbus, a annoncé son directeur général Michael O'Leary dans une interview à paraître lundi en Allemagne.

"Nous voulons doubler cette année notre bénéfice d'exploitation. Ce sont toujours les acteurs les moins chers qui profitent de la récession. C'est valable pour Ryanair dans le transport aérien comme pour Ikea, Lidl ou Aldi dans le commerce", a expliqué l'emblématique patron au magazine Der Spiegel.

"C'est pourquoi nous voulons commander chez Boeing ou chez Airbus,- ou poser une option ferme - jusqu'à 300 nouveaux avions d'ici la fin de l'année. Nous achetons volontiers au moment où le ralentissement économique est à son maximum, parce que les prix sont alors particulièrement bas", a ajouté M. O'Leary.

Ryanair, a-t-il prophétisé, transportera "jusqu'à 150 millions de passagers (par an) au plus tard en 2017", contre 58,5 millions sur l'année écoulée et 67 millions prévus cette année.

M. O'Leary a par ailleurs affirmé que l'intérêt qu'il a publiquement manifesté pour un éventuel rachat du géant allemand Lufthansa n'était "en aucune manière" une plaisanterie. Mais il n'a donné aucune précision sur d'éventuels projets plus concrets en la matière.

Ryanair a annoncé début juin sa première perte annuelle (de 169,17 millions d'euros sur l'année achevée le 31 mars), mais a observé que celle-ci était due à des éléments exceptionnels et que cela ne l'empêcherait pas de continuer à croître, y compris sur les décombres de ses concurrentes.

 

> Transport aérien : la chute du trafic s'intensifie en mai

 

    (source AFP) jeudi 25 juin - Le trafic passager est reparti à la baisse au mois de mai avec un recul de 9,3% sur un an, affecté pour la première fois par le virus de la grippe porcine A(H1N1), a indiqué jeudi l'Association internationale du transport aérien (IATA)...

...La baisse du fret aérien, qui a plongé pendant cinq mois consécutif, a en revanche ralenti, restant toutefois à -17,4% sur un an. Le fret avait chuté de 21,70% en avril par rapport à la même période de 2008.

"Nous avons peut-être touché le fond, mais le chemin de la reprise sera long", a expliqué le directeur général de l'IATA, Giovanni Bisignani, cité dans le communiqué.

Il a une nouvelle fois estimé que les réductions de capacité des avionneurs n'étaient toujours "pas adaptées à la demande".

"Cette crise est la pire que nous ayons rencontrée", a-t-il insisté, rappelant que la baisse des revenus du trafic passager international avait atteint 20% au premier trimestre et qu'elle était estimée à -30% en mai...

 

> British Airways : 7 000 employés acceptent des sacrifices, 800 travailleront gratuitement

 

(source AFP) jeudi 25 juin - Près de 7.000 employés de la compagnie aérienne britannique British Airways ont consenti à des sacrifices financiers, pour aider leur entreprise à combler ses pertes, dont 800 qui travailleront gratuitement un mois maximum, a annoncé BA jeudi.

Sur un effectif de 40.000 employés au niveau mondial, 6.940 ont répondu à l'appel du groupe, qui leur avait proposé il y a plusieurs semaines de consentir, sur une base volontaire, à des réductions de salaires, sous forme de travail à temps partiel, de congés sans soldes ou de semaines de travail non rétribué, précise un communiqué du groupe.

Ces mesures devraient permettre à BA, qui a essuyé de lourdes pertes sur son dernier exercice financier, d'économiser jusqu'à 10 millions de livres (près de 12 millions d'euros), a ajouté l'ex-compagnie nationale du Royaume-Uni.

Le directeur général de BA, Willie Walsh, qui avait lui-même donné l'exemple en renonçant à un mois de salaire, s'est félicité de la "réponse fantastique" des employés, et les a remerciés d'aider le groupe "à sortir de cette période de difficulté".

Le groupe a ajouté qu'il pourrait proposer à nouveau d'ici la fin de l'année des mesures similaires aux salariés n'ayant pas pris part à ce programme d'économies.

 

> Openskies lâchée par British Airways ?

 

(source Tour hebdo) lundi 22 juin - Les jours d'OpenSkies seraient-ils comptés ? Frappée de plein fouet par la crise, British Airways serait, selon le journal anglais The Observer, sur le point de céder sa filiale. D'autant que le trafic sur les routes transatlantiques desservies par OpenSkies - Paris-New York et Amsterdam-New York - est en souffrance.

Du côté de British Airways, on se refuse à tout commentaire officiel. Mais, reconnait un porte-parole de la compagnie cité par le journal britannique : "Chacune de nos activités est passée au crible en cette période de difficultés et de challenges". Du côté d'OpenSkies, on promet une réaction qui se fait attendre. En tout cas, aucun démenti ferme n'a été pour l'instant prononcé.

Pour British Airways, renoncer à une compagnie créée il y a seulement un an et fusionnée pour un coût de 54 M€ avec la start-up française L'Avion, reviendrait à reconnaître qu'elle est au plus mal. En terme de communication, même si la filiale n'a pas atteint ses objectifs, cela sera du plus mauvais effet...

...Une chose est certaine, depuis son lancement puis sa fusion avec L'Avion, OpenSkies est toujours restée très dicrète sur ses résultats. Ne communiquant ni sur ses taux de remplissage, ni sur son chiffre d'affaires. Dale Moss, son directeur général, se bornant à communiquer sur la croissance de son trafic.

Cession d'OpenSkies, rumeur ou réalité ? Difficile de se prononcer. Reste que Willie Walsh tient un discours alarmiste sur la santé de son groupe. Il a déclaré à ses salariés que "la compagnie doit se battre pour survivre", les a invité à travailler gratuitement. Et la direction a même publié sur son intranet, rapporte le site Times Online, le message suivant :"Times is running" (le temps nous est compté).

 

> L'Union Européenne pourrait retarder l'accord à la fusion Lufthansa/Austrian Airlines

 

VIENNE, (source Reuters) lundi 29 juin - La Commission européenne a demandé davantage de concessions à Lufthansa pour l'autoriser à racheter Austrian Airlines, ce qui pourrait compromettre l'opération, a-t-on appris lundi de source gouvernementale autrichienne.

Selon ces sources proches du dossier, il semblerait que l'exécutif européen ne souhaite pas approuver la fusion avant la date-butoir, mercredi, mais souhaite examiner plus en détails le projet de rachat de la petite compagnie autrichienne par sa concurrente allemande.

La Commission "a demandé que AUA supprime plus de liaisons qu'initialement prévu, et cette requête est désormais étudiée par la direction d'AUA, en coopération avec Lufthansa", a déclaré à Reuters l'une des sources, qui n'a pas souhaité être identifiée.

"Ils pourraient toujours approuver l'accord en juillet, mais il est très incertain qu'il soit toujours intéressant pour Lufthansa dans ces conditions."

Selon une autre source au sein du gouvernement autrichien, la réunion de mercredi de la Commission européenne ne devrait pas donner lieu à un accord. "On dirait que la décision va être reportée à nouveau."

Lufthansa avait accepté en décembre de racheter Austrian Airlines, un transporteur public. L'accord prévoyait également le versement par Vienne d'une aide de 500 millions d'euros destinée à éponger une partie de la dette d'AUA, évaluée à un milliard d'euros.

Lufthansa n'a pas caché sa volonté de renoncer à l'opération si des concessions trop importantes lui étaient demandées...

 

> Hausses des réservations chez KLM

 

AMSTERDAM (source Dow Jones) lundi 22 juin - KLM, la division néerlandaise d'Air France-KLM, enregistre une hausse de ses réservations aux Pays-Bas en raison de la suppression au 1er juillet de la taxe locale sur les transports aériens, a indiqué lundi son directeur général Bram Graber dans le cadre d'un entretien accordé à Het Financieele Dagblad.

Cette taxe, mise en place l'année dernière et s'appliquant aux vols au départ des Pays-Bas, avait conduit de nombreux voyageurs néerlandais à choisir des vols au départ d'Allemagne ou de Belgique.

B.Graber a précisé que les réservations pour juillet et août étaient en hausse de 5% par rapport à l'an dernier.

Mon commentaire : De quoi se réjouir dans une ambiance générale emplie de mauvaises nouvelles !

 

Fin de la Revue de Presse...

 

Quelques brèves :

 

... Air France-KLM signe un accord de partage de codes avec Bangkok Airways ... Ryanair s'intéresse à une implantation à l'aéroport de Vatry dans la Marne ... Lufthansa trouve un accord pour acheter la britannique BMI par étapes ... L'union européenne autorise le rachat de Brussels Airlines par Lufthansa ... Virgin a envisagé d'acheter British Airways, laquelle rencontre des difficultés, puis y a renoncé ...

 

> Assemblée Générale des actionnaires Air France-KLM le 9 juillet

 

L'assemblée générale des actionnaires d'Air France-KLM se déroulera le 9 juillet 2009. Tout salarié actionnaire peut s'y présenter.

Chaque salarié actionnaire peut recevoir un ou plusieurs bulletins. Tout bulletin reçu doit être utilisé. Chaque bulletin correspond à des actions de nature différente (au "porteur", pour les actions logées dans des FCPE, au "nominatif" pour celles qui sont gérées par la Société Générale).

 

Ceux qui ne veulent pas voter eux-mêmes peuvent, s’ils le souhaitent, me confier leurs pouvoirs.

 

Pour me donner pouvoir à l’assemblée générale du 9 juillet :

Sur le bulletin, cochez la case :

« JE DONNE POUVOIR A : »

indiquez : Christian Magne

Adresse : CL-DA

Datez, signez, puis postez avec l’enveloppe jointe...

...ou renvoyez-moi sans tarder votre bulletin signé sous enveloppe service avec les mentions :

C. Magne  Service : CL-DA Roissy Siège

(Chaque bulletin reçu doit être utilisé)

 

Merci aux salariés qui m'ont déjà confié leurs pouvoirs

 


> Mon point de vue sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM

Clôture de l'action Air France-KLM à 9,230 € le lundi 29 juin.

La moyenne des objectifs de cours des principaux analystes pour l'action AFKL progresse de 11,80 à 12,19 €.

Le pétrole est remonté régulièrement depuis quelques semaines et atteint 71 $.

La récession s'est installée dans les pays développés. La croissance des pays émergents a ralenti (Chine, Inde...). La baisse des résultats de la plupart des entreprises a plombé les marchés actions. Les commentaires négatifs des spécialistes de la finance sur l'activité du transport aérien maintiennent le cours de notre action à un niveau relativement bas.

Quelques indicateurs économiques font entrevoir une perspective de reprise d'activité mondiale : niveau des stocks, consommation des ménages, rebond du secteur industriel allemand... mais d'autres indicateurs s'aggravent : chômage, endettement des Etats...

Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.

A bientôt.

Vous pouvez réagir à cette "lettre" ou me poser, par retour, toute question de mon domaine de compétence...

Si vous n'avez pas reçu l'une des dernières lettres, un clic sur l'un des liens ci-après vous permettra de la retrouver...

Lettre N°185 du 8 juin 2009 cliquez ici
Lettre N°186 du 15 juin 2009 cliquez ici
Lettre N°187 du 22 juin 2009 cliquez ici

D'autres infos sur le site navigaction.com

Idée : Cette lettre peut intéresser l'un ou l'autre de vos collègues. Faites-la circuler. Ceux-ci pourront s'y inscrire pour la recevoir directement en m'envoyant un mail à chmagne@navigaction.com

 

> Rappel du numéro vert gratuit "actionnariat salarié Air France-KLM" : 0800 04 2000

C'est à ce numéro qu'une aide pourra vous être apportée si vous rencontrez des difficultés dans la gestion de vos actions Air France-KLM ou de votre épargne salariale. La mise en relation gratuite avec HSBC et/ou la Société Générale passe par ce numéro.

Vous pourrez encore obtenir de l'aide par le mail : info.ors.esa@airfrance.fr

Je suis, dans tous les cas, à votre disposition au +33 (0)1 41 56 04 95 (répondeur en cas d'absence).

| Christian Magne

Administrateur Air France-KLM représentant les salariés actionnaires PS et PNC

N'imprimez ce document qu'en cas de nécessité

Cette lettre traite de sujets relatifs à l'actionnariat salarié d'Air France-KLM. Je vous l'adresse parce que nous avons pu être en contact à votre initiative, parce que vous avez souhaité être informé par e-mail, parce que vous m'avez donné pouvoir lors d'une assemblée générale des actionnaires, ou bien que vos noms ou courriels sont visibles dans l'espace manager ou PNAF.net, ou encore le syndicat dont vous êtes adhérent et qui me soutient (CFDT, CFTC et Unsa) m'a communiqué votre adresse.

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