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| Lettre de l'Administrateur Air France-KLM

| Christian Magne

Administrateur

Air France-KLM

repr�sentant les salari�s actionnaires PS et PNC

N�194, lundi 10 ao�t 2009, 4540 salari�s actionnaires du groupe AF-KLM re�oivent ce message...

 

La Revue de Presse...

 

> Air France-KLM : baisse limit�e du trafic passagers en juillet

 

PARIS, (source AFP) jeudi 6 ao�t - Air France-KLM a enregistr� une baisse de son trafic passagers "limit�e" � 3,3% en juillet, tandis que le cargo chutait de 17,2%, selon les chiffres diffus�s jeudi par le groupe franco-n�erlandais.

En juillet, la baisse du trafic est "limit�e" � -3,3%, apr�s un premier trimestre (avril � juin) de l'exercice 2009/10 en chute de -5,8%, a-t-il annonc� dans un communiqu�.

La baisse est inf�rieure � celle des capacit�s (-4,1%), permettant au coefficient d'occupation de gagner 0,7 point � 85,1%.

"La d�gradation des recettes unitaires est un peu plus limit�e que dans les mois pr�c�dents", commente par ailleurs Air France-KLM. La recette unitaire correspond � la recette pour un si�ge offert ou pour un passager payant transport� sur un kilom�tre.

Le trafic recule surtout en Asie (-5,5%), mais dans une moindre mesure que les capacit�s.

Concernant le cargo, la baisse du trafic (-17,2%) est en ligne avec celle des capacit�s (-17%), permettant une stabilit� du coefficient de remplissage � 64%.

"Ces chiffres confirment la tendance � la stabilisation de l'activit� cargo et � un ajustement progressif de l'offre � la demande", commente Air France-KLM.

Le trafic cargo, qui a �t� tr�s durement affect� par la crise �conomique mondiale, s'�tait effondr� de 22,7% sur le premier trimestre.

Mon commentaire : Une baisse certes, mais moins importante que celles des derniers mois, qui ne nous met pas � l'abri pour l'avenir. En effet, la client�le des mois de juillet et ao�t voyage principalement en classe �conomique, celle qui attire encore le consommateur. Les r�sultats de septembre donneront une indication plus fiable sur une �ventuelle inversion de tendance.

 

> Hausse du trafic de British Airways en juillet, optimisme pour l'�t�

 

LONDON (source Reuters) mercredi 5 ao�t - British Airways annonce avoir transport� au mois de juillet 1% de passagers de plus qu'au m�me mois de l'ann�e pr�c�dente, et pr�voit une poursuite de la hausse d'ici la fin de l'�t�, une perspective salu�e par une hausse du cours de l'action.

Apr�s avoir publi� la semaine derni�re, pour la premi�re fois de son histoire, une perte au titre du premier trimestre de son exercice et s'�tre montr�e pessimiste quant � une �ventuelle reprise, la compagnie a�rienne britannique a enregistr� une augmentation de son coefficient d'occupation de 3,1 points, � 84,6% en juillet.

"Les volumes sous-jacents et le taux d'occupation des si�ges se sont stabilis�s au premier trimestre et devraient progresser durant la haute saison d'�t�" a d�clar� la compagnie, malgr� une chute persistante du nombre de passagers voyageant en premi�re et en classe affaires, qui atteint 11% sur un an.

 

> Delta envisage de couper une nouvelle fois dans ses effectifs

 

(source les affaires.com) vendredi 7 ao�t - C�est du moins ce que sa direction a annonc� au personnel par l�entremise d�un message interne, en pr�textant une chute continue de ses revenus depuis le d�but de 2009. 

�� cause de la s�v�rit� de la crise �conomique, nous devons �liminer davantage de positions salariales � travers les emplois de l'administration et du management�, �crivent conjointement dans cette note Richard Anderson et Ed Bastian, respectivement pdg et CFO de la premi�re compagnie a�rienne mondiale. 

En fait, pour 2009, Delta Air Lines n�esp�re plus engranger de b�n�fice. Les comptes de Delta Air Lines ont �t� dans le rouge au deuxi�me trimestre, tout comme le trimestre pr�c�dent. La compagnie a�rienne, devenue la premi�re au monde depuis sa fusion avec Northwest Airlines en novembre dernier, a publi� une perte nette de 257 millions de dollars am�ricains, soit 31 cents par action, pour le trimestre �coul�. 

Les co�ts li�s � la fusion se montent � 58 millions de dollars am�ricains. En excluant ces co�ts exceptionnels, la perte par action se r�duit � 24 cents, contre 29 cents attendue par la plupart des analystes am�ricains. 

La baisse du prix du k�ros�ne - 42% par rapport au deuxi�me trimestre de 2008 - a permis de limiter la d�gradation des comptes de la compagnie. Delta a �galement b�n�fici� de ses r�ductions de capacit� et de la suppression de 8.000 postes depuis l'ann�e derni�re. 

Cependant, son chiffre d'affaires du deuxi�me trimestre - � structure comparable, c'est-�-dire sans Northwest Airlines - a tout de m�me chut� de 23%, � 7 milliards de dollars am�ricains sur un an, ce qui a conduit Delta � annoncer une nouvelle baisse de ses capacit�s, de 5% au troisi�me trimestre pour ses vols domestiques et de 15% � l'international. 

 

> Iberia et British Airways reprennent les n�gociations la semaine prochaine

 

MADRID (source Dow Jones) vendredi 7 ao�t - Les dirigeants d'Iberia vont se rendre � Londres la semaine prochaine pour reprendre les n�gociations avec British Airways concernant leur projet de fusion, rapporte vendredi le journal espagnol ABC, citant des sources proches du dossier. 

La porte-parole d'Iberia n'�tait pas en mesure de faire un commentaire dans l'imm�diat. 

Elle a toutefois indiqu� que le nouveau pr�sident d'Iberia, Antonio Vazquez, ainsi que le nouveau directeur g�n�ral, Rafael Sanchez Lozano, avaient rencontr� le patron de la compagnie a�rienne britannique, Willie Walsh, � Londres le 20 juillet. 

British Airways n'a pas pu faire de commentaire dans l'imm�diat.

 

> La crise des classes affaires d�stabilise le transport a�rien

 

(source Le monde.fr) Mercredi 5 ao�t - La crise continue de peser sur le transport a�rien : fret, passagers des classes arri�re ou avant, tous les indicateurs sont dans le rouge depuis plus d'un an. Mois apr�s mois, l'Association internationale du transport a�rien (IATA), qui regroupe 230 compagnies a�riennes assurant 93 % du trafic mondial, pr�voit des pertes de plus en plus importantes pour le secteur et met en avant la faiblesse de l'activit�.

L'IATA table d�sormais sur une perte globale de 9 milliards de dollars (6,2 milliards d'euros) en 2009 pour l'ensemble de ses adh�rents. En juin, le trafic fret a baiss� de 16,5 % par rapport � juin 2008 et le trafic passagers toutes classes confondues a recul� de 7,2 %. Pis. Au mois de mai, le nombre de passagers voyageant en classe premium (premi�re ou affaires) a plong� de 23,6 %, par rapport � mai 2008, mois � partir duquel le reflux a commenc�.

Une catastrophe pour les compagnies. Car si les passagers des classes affaires et premi�re, selon le crit�re du nombre, ne comptent que pour 7 % � 10 % du total des passagers, ils contribuent pour 25 % � 30 % aux recettes. Selon l'IATA, les revenus tir�s de la classe premium ont fondu de 45 %, sur un an, en mai 2009. Les compagnies a�riennes s'inqui�tent de la disparition de cette manne. Et elles redoutent que la crise, dans cette cat�gorie de places, lucratives pour elles, soit durable.

CHANGEMENT D'HABITUDE

C'est l'opinion r�cemment exprim�e par Willie Walsh, l'ex-pilote devenu patron de British Airways : "Le march� premium ne retrouvera peut-�tre jamais ses niveaux d'avant la crise."

De nombreux patrons de compagnies craignent aussi que les classes avant des vols long-courriers restent encore longtemps vides. Pourquoi ? Parce que l'essentiel de la client�le des classes affaires et premi�re est constitu� de cadres sup�rieurs dont les entreprises, obs�d�es par la r�duction des co�ts face � la crise, ont cherch� � limiter les d�placements ou � les rendre moins on�reux. Elles n'ont ainsi pas h�sit� � les faire voyager en classe �conomique, un changement d'habitude qui pourrait bien perdurer m�me lorsque la reprise �conomique sera l�.

"Avec la crise, tous les grands groupes ont banni la premi�re classe, sauf pour le top management", explique un conseiller de ces entreprises. "D�sormais, sur les moyens-courriers, pour aller dans les pays de l'Est, en Russie, voire � New York, les cadres partent en classe �conomique", poursuit ce sp�cialiste, qui affirme que les �conomies ainsi r�alis�es vont "parfois d'une �chelle de huit � un".

Ces mesures d'�conomies ont �t� prises chez L'Or�al. Impos�es depuis plusieurs mois aux cadres de ce groupe implant� dans 130 pays, elles visent � ne conserver que les d�placements essentiels et incontournables en avion. Ces derniers ne s'effectuent d�sormais plus qu'en classe �conomique. La direction souhaite ainsi modifier la fa�on de travailler et encourager, le plus possible, le recours aux visioconf�rences et aux conf�rences t�l�phoniques. "Les cadres apprennent � travailler autrement", explique la direction de L'Or�al, qui devrait donner des estimations chiffr�es sur les �conomies d�j� ainsi r�alis�es, fin ao�t, lors de la publication semestrielle des r�sultats. Avec l'ambition � peine voil�e de faire perdurer cette politique.

Chez Lafarge, "une certaine retenue, de bon sens" est de rigueur au sein du groupe. "Nous sommes un groupe mondial tr�s �parpill�. Il y a des d�placements minimums, mais nous les �vitons quand nous le pouvons, signale la porte-parole du groupe. La technologie le permet, nous sommes �quip�s de vid�oconf�rence." Et si "la crise a accentu� les efforts, la tendance aux �conomies de d�placement �tait d�j� l�", poursuit cette derni�re.

Face � ce changement de comportement et convaincues que les entreprises ne reviendront pas de sit�t aux habitudes ant�rieures pour les voyages d'affaires de leurs cadres, les grandes compagnies a�riennes cherchent � faire �voluer leur mod�le �conomique. La crise a d�montr� que celui-ci �tait trop largement tributaire de ce que l'on appelle "des classes � haute contribution" et elles cherchent aujourd'hui � s'inspirer des m�thodes de gestion des compagnies � bas co�ts qu'elles avaient pourtant largement critiqu�es dans le pass�.

Chez Air France, la r�flexion est d�j� bien avanc�e : l'automne verra la mise en place d'une classe interm�diaire, la premium, entre la classe affaires et la classe �conomique. On ne cache pas non plus r�fl�chir au dimensionnement de la cabine avant comme � la pertinence de maintenir ces m�mes classes avant sur le moyen-courrier, c'est-�-dire des vols de moins de trois heures. British Airways, de son c�t�, a d�j� r�duit le nombre de ses si�ges � l'avant de l'avion, comme l'a fait aussi la compagnie australienne Qantas.

Si, pour les compagnies a�riennes, la crise �conomique s'est traduite pas des d�g�ts financiers majeurs, l'apr�s-crise s'annonce lui aussi plein d'incertitudes et de menaces.

 

> L'Union Europ�enne va donner son feu vert au rachat d'Austrian par Lufthansa

 

BRUXELLES, (source Reuters) 31 juillet - La Commission europ�enne va proposer d'autoriser le rachat de la compagnie Austrian Airlines par Lufthansa apr�s les derni�res propositions soumises par le transporteur allemand, a annonc� vendredi la commissaire europ�enne � la Concurrence.

Dans un communiqu�, Neelie Kroes pr�cise qu'un projet de d�cision autorisant l'op�ration va �tre soumis d�s que possible aux organes europ�ens comp�tents en vue de sa validation...

... La Commission n'a pas pr�cis� le contenu des derni�res propositions formul�es par Lufthansa mais une source au fait de l'accord avait dit auparavant que le transporteur pourrait renoncer � des cr�neaux d'atterrissage et de d�collage � Vienne.

 

> Une � garantie beau temps � chez Lufthansa

 

(source la voix du nord) vendredi 7 ao�t - La compagnie allemande Lufthansa, touch�e par la crise, s'est engag�e � indemniser ses passagers pour 36 destinations tr�s touristiques... en cas de mauvais temps. � Si les pr�cipitations brisent le r�ve d'un s�jour ensoleill� �, Lufthansa veut � �claircir l'ambiance � avec 20 euros par jour et par personne. Mais la compagnie a d�j� pris soin de d�finir ce qu'elle consid�re comme un jour pluvieux : un minimum de 5 m m de pr�cipitations par m�tre carr� est requis. Par ailleurs Lufthansa ne remboursera gu�re plus de 10 jours de pluie, soit 200 euros par ticket.

 

> Air France-KLM : Oddo abaisse son objectif de cours
 

(source Tradingsat.com) lundi 3 ao�t - Suite � la publication des r�sultats du premier trimestre 2009/2010 d'Air France - KLM en fin de semaine derni�re, Oddo a abaiss� lundi ses pr�visions de r�sultats de la compagnie a�rienne pour l'ensemble de l'exercice en cours. Le broker, qui table d�sormais sur une perte op�rationnelle de 801 millions d'euros cette ann�e, ajuste son objectif de cours � 11,5 euros (contre 12 euros auparavant). Il maintient cependant sa recommandation "Achat" sur la valeur, estimant sa valorisation "attractive" au regard notamment de la solidit� des fondamentaux.

 

Fin de la Revue de Presse...

 

Rubrique : Votre message de la semaine

Chaque semaine, vous �tes nombreux � m'envoyer vos commentaires. Ils apportent un �clairage personnel que je souhaite partager avec les lecteurs. Afin de ne pas alourdir la revue de presse, je n'en retransmets qu'un seul chaque lundi. J'y ajoute d'�ventuelles r�actions suscit�es par le message de la semaine pr�c�dente :

Message re�u :

"j'ai toujours pens� qu'en n�gligeant l'importance des Low Cost, on les laissait se renforcer et qu'un jour ils nous attaqueront sur le Long Courrier !"

Quelques �l�ments de r�ponse :

Au sein de notre management, l'opinion la plus partag�e est qu'un mod�le long-courrier low cost ne peut voir le jour. Les arguments : 1) "on ne peut se passer de prestations � bord, contrairement � ce qui est possible en MC", 2) "Notre flotte LC est tr�s fortement utilis�e, un low cost LC ne pourrait faire mieux que nous, alors qu'en MC, notre flotte est moins optimis�e, la priorit� �tant donn�e � la synchronisation avec les plages de hub, ce qui explique une partie de l'avantage des low cost sur ce secteur."

Malgr� ces arguments, je partage votre point de vue. S'il est vrai qu'une compagnie naissante sur des destinations Long-courrier aurait du mal � �merger en concurren�ant une compagnie g�n�raliste, comme nous, sur sa base principale (le seul exemple r�ussi en Europe est Virgin, face � BA � Londres), cela pourrait �tre plus facile pour une compagnie d�j� "install�e", telle Ryanair ou easyJet. Le diff�rentiel de co�t, certes moindre, en pourcentage, qu'en MC, serait n�anmoins suffisant, en euros, pour attirer la client�le. Imaginons easyJet lan�ant des vols CDG-New-York ou CDG-P�kin commercialis�s 10 � 20% moins chers que les n�tres... Le risque existe, pour s'en convaincre, il suffit de voir ce qui se passe sur le secteur Cara�bes/Oc�an Indien.

Christian Magne.

Deux r�actions au message de la semaine pass�e :

Rappel du message d'un salari� d'Air France : "Je voudrais insister sur le fait que je suis vraiment inquiet pour AF. Je pense qu'on n'est plus dans le coup. Nous sommes en retard d'une guerre. Si on n'est pas en phase avec le client, maintenant qu'il y a concurrence, on meurt ! Les dirigeants des grandes entreprises vivent dans leur monde. Ils ne comprennent pas la base. Quand ils daignent �couter la r�alit�, c'est qu'il est trop tard. Alors, n'attendons pas la derni�re limite. Inspirons nous d'EasyJet pour le cot� commercial, communication et structure administrative all�g�e (chez eux, tout ce qui est inutile doit �tre supprim�), et de Lufthansa pour le c�t� s�rieux, travailleur. On n'entre pas � AF pour y travailler mais pour profiter des avantages: GP, CE, RTT, cong�s, stages bidons... C'est l'arm�e mexicaine: tout le monde cherche � �tre chef (superviseurs, AME, Leader, cadres inutiles...) pour surveiller et regarder les autres travailler. Et on manque de modestie : � l'�tranger, on nous juge pr�tentieux et fain�ants. On dit qu'AF est persuad�e d'avoir appris � voler aux oiseaux... Enfin, on n�glige beaucoup trop le Court-Moyen courrier. Je pense qu'il est comme les racines d'une plante. On s'int�resse aux feuilles, aux fleurs, mais si les racines sont malades, c'est la plante qui meurt. Quand on voit le service d�plorable de R�gional, souvent sur CDG cause remplissage, tellement peu ponctuels qu�ils d�goutent nos clients, on se dit qu'il vaudrait mieux exploiter nous m�mes les Embraer 190, beaucoup moins chers que les A318. Cela reviendrait plus cher, mais on retrouverait la confiance des clients en correspondance. R�gional devrait �tre d�ploy� sur les navettes, o� les cons�quences de la ponctualit� sont bien moindres. Il ne faut plus pouvoir dire: "A nous de vous faire pr�f�rer le train!". Je tiens vraiment � la compagnie et �a ne me fait pas plaisir de devoir vous dire tout cela. La situation est plus grave que certains l'imaginent"

Premi�re r�action re�ue :

"Je ne sais quel poste occupe l'agent qui vous a �crit ce message " qui d�coiffe ", vraisemblablement dans l'exploitation, mais je suis tout � fait d'accord avec lui/elle. Il y a fort longtemps qu'� AF, c'est l'arm�e mexicaine. Ce n'est pas nouveau, mais maintenant trop c'est trop !
S'il doit y avoir un plan social � la rentr�e, plan " cibl� ", selon Mr GOURGEON, il ne faudra pas se tromper de cibles ! ELLES NE SONT CERTES PAS DANS LES CATEGORIES A ou B."

Deuxi�me r�action re�ue :

"Je pense que cette vision Dantesque de la compagnie ne correspond en rien � la r�alit� du terrain. Ayant, de part mes fonctions, des rapports constants avec l'Activit� R�gionale et entre autres la compagnie REGIONAL � CDG - je puis assurer que notre client�le appr�cie nos services et les chiffres de ponctualit� infirment les commentaires de votre correspondant.
J'invite cet Agent d�moralis� � venir visiter le Terminal 2 G � Roissy. Je suis certain de pouvoir lui remonter le moral.
Il y a des encadrements de valeurs, des femmes et des hommes � Roissy passionn�s par les clients et par leur entreprise."


> Mon point de vue sur l'�volution du cours de l'action Air France-KLM

Cl�ture de l'action Air France-KLM � 8,831 � le vendredi 7 ao�t.

La moyenne des objectifs de cours (consensus) des principaux analystes pour l'action AFKL est descendue � 10,98 � apr�s la publication des r�sultats trimestriels.

Le p�trole remonte � environ 71 $.

La r�cession s'est install�e dans les pays d�velopp�s. La croissance des pays �mergents a ralenti (Chine, Inde...). La baisse des r�sultats de la plupart des entreprises a plomb� les march�s actions. Les commentaires n�gatifs des sp�cialistes de la finance sur l'activit� du transport a�rien maintiennent le cours de notre action � un niveau relativement bas.

Quelques indicateurs �conomiques font entrevoir une perspective de reprise d'activit� mondiale mais d'autres s'aggravent : ch�mage, endettement des Etats...

Ces informations indicatives ne constituent en aucune mani�re une incitation � vendre ou une sollicitation � acheter des actions Air France-KLM.

A bient�t.

Vous pouvez r�agir � cette "lettre" ou me poser, par retour, toute question de mon domaine de comp�tence...

Si vous n'avez pas re�u l'une des derni�res lettres, un clic sur l'un des liens ci-apr�s vous permettra de la retrouver...

Lettre N�190 du 13 juillet 2009 cliquez ici
Lettre N�191 du 20 juillet 2009 cliquez ici
Lettre N�192 du 27 juillet 2009 cliquez ici

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Id�e : Cette lettre peut int�resser l'un ou l'autre de vos coll�gues. Faites-la circuler. Ceux-ci pourront s'y inscrire pour la recevoir directement en m'envoyant un mail � chmagne@navigaction.com

 

 

> Rappel du num�ro vert gratuit "actionnariat salari� Air France-KLM" : 0800 04 2000

C'est � ce num�ro qu'une aide pourra vous �tre apport�e si vous rencontrez des difficult�s dans la gestion de vos actions Air France-KLM ou de votre �pargne salariale. La mise en relation gratuite avec HSBC et/ou la Soci�t� G�n�rale passe par ce num�ro.

Vous pourrez encore obtenir de l'aide par le mail : info.ors.esa@airfrance.fr

Je suis, dans tous les cas, � votre disposition au +33 (0)1 41 56 04 95 (r�pondeur en cas d'absence).

| Christian Magne

Administrateur Air France-KLM repr�sentant les salari�s actionnaires PS et PNC

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Cette lettre traite de sujets relatifs � l'actionnariat salari� d'Air France-KLM. Je vous l'adresse parce que nous avons pu �tre en contact � votre initiative, parce que vous avez souhait� �tre inform� par e-mail, parce que vous m'avez donn� pouvoir lors d'une assembl�e g�n�rale des actionnaires, ou bien que vos noms ou courriels sont visibles dans l'espace manager ou PNAF.net, ou encore le syndicat dont vous �tes adh�rent et qui me soutient (CFDT, CFTC et Unsa) m'a communiqu� votre adresse.

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