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| Lettre de l'Administrateur Air France-KLM | ||||||||||||||
| Christian Magne Administrateur Air France-KLM repr�sentant les salari�s actionnaires PS et PNC |
N�201, lundi 28
septembre 2009,
4624
salari�s actionnaires du groupe AF-KLM re�oivent
cette revue de presse
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> Air France � la recherche d'un mod�le low cost
(source Lepoint.fr) 21 septembre - Avec 814 millions d'euros de perte nette en 2008-2009 et 426 millions d'euros au cours du 1er trimestre de cette ann�e, Air France-KLM sait que l'heure des mesures d'urgence est venue. La situation financi�re actuelle - saine "avec une solide position de tr�sorerie de 4,3 milliards d'euros et de 1,2 milliard d'euros de lignes de cr�dit disponibles" selon le dernier rapport annuel -, ne le restera pas �ternellement. La crise financi�re mondiale et ses cons�quences sur l'activit� �conomique ne sont pas les seules responsables. � ce lourd facteur conjoncturel - certains clignotants commenceraient d'ailleurs � repasser au vert - s'ajoute un d�s�quilibre structurel irr�versible des r�seaux court et moyen-courriers d'Air France. Le court-courrier qui dessert la France et quelques destinations proches comme Londres, Bruxelles, Gen�ve, est d�stabilis� par la concurrence du TGV et de ses cousins Eurostar, Thalys ou Lyria. Les tarifs mais aussi les temps de transport et la simplicit� des formalit�s sont devenus les arguments du ferroviaire pour les liaisons de moins de trois heures. Pour les vols moyen-courriers vers l'Europe et le bassin m�diterran�en, Air France doit se battre, cette fois dans le ciel, attaqu�e par les compagnies a�riennes low cost aux tarifs parfois imbattables (Ryanair, easyJet, Flybe, Vueling, Air Berlin, etc.). La guerre s'est d'ailleurs r�cemment �tendue aux liaisons transversales fran�aises et au march� pourtant tr�s prot�g� de la Corse. Proposition � la fin du mois Actuellement, au si�ge d'Air France, � Roissy-Charles-de-Gaulle, une demi-douzaine de groupes de travail planchent sur une question capitale : dans quelles activit�s le groupe peut-il faire des �conomies ? Le comit� de pilotage tranchera d'ici � la fin du mois avant d'entamer les d�licates n�gociations avec les partenaires sociaux qui n'ont pas tous pris en compte le fait qu'Air France est aujourd'hui une entreprise priv�e, cot�e en Bourse, soumise � la concurrence et ne jouissant plus gu�re de monopoles. � l'aide d'�conomistes et d'experts en transport a�rien, lepoint.fr a d�nombr� quelques sources d'�conomies possibles pour Air France, des gisements par ailleurs identifi�s par les groupes de travail de la compagnie. Une approche simple consiste � tenter de transposer le mod�le low cost � Air France. Dans une certaine mesure, la m�me th�rapeutique vient d'�tre appliqu�e r�cemment en douceur au secteur cargo d'Air France-KLM, tr�s mal en point, en faisant appel � la filiale low cost hollandaise Martinair. Seulement quatre Boeing cargo vont �tre exploit�s par Air France contre une douzaine autrefois. Classe unique en moyen-courrier Faut-il supprimer la classe affaires ? Contrairement � des rumeurs r�centes, ce n'est pas � l'ordre du jour. Air France, ne l'oublions pas, gagne sa vie gr�ce aux si�ges des cabines situ�es � l'avant des vols long-courriers. Seulement 60 % des passagers partent de Paris. Il faut �tre en mesure de proposer aux autres, ceux venus de toute l'Europe via une correspondance, de voyager plus confortablement, m�me pendant les deux � trois heures de ce pr�-acheminement. En revanche, on devrait voir appara�tre une simplification : les trois classes actuelles - affaires, tempo challenge et tempo - vont �tre r�duites � deux. En fait, il n'existe pas - physiquement - de classe affaires sur les avions moyen-courrier d'Air France (tous de la famille A 320) comme il y en une en long-courrier avec des si�ges sp�cifiques diff�rents de ceux de la classe �conomique. En moyen-courrier, seule une cloison mobile, constitu�e de rideaux, est d�plac�e plus ou moins vers l'arri�re en fonction du remplissage. Des accoudoirs mobiles permettent de transformer les rang�es de deux fois trois si�ges en deux fois deux si�ges. British Airways et Lufthansa utilisent le m�me syst�me. Seul le service propos� au passager au sol et en vol, lui, est diff�rent, notamment avec des plats chauds et l'acc�s � un salon avant le d�part. Aussi, la neutralisation de la classe affaires, faute de client, peut-elle intervenir au coup par coup en quelques minutes sans qu'il soit n�cessaire de reconfigurer l'avion. Rentrer le soir � la maison La v�ritable source d'�conomies sur laquelle travaille Air France, consiste � supprimer les "night stops", les nuits pass�es par les avions et les �quipages dans les escales du r�seau autres que Roissy-CDG et Orly. Aujourd'hui, les co�ts d'h�tels et de restaurants pour les navigants, la n�cessit� de pr�voir deux �quipages dormant � l'ext�rieur, les redevances de stationnement des avions sont tr�s p�nalisants par rapport au fonctionnement des compagnies low-cost. Celles-ci construisent leurs dessertes de mani�re � ce que les avions et les �quipages reviennent chaque soir � leurs bases. Supprimer les "night stops" constituerait un chantier tr�s lourd, avec, � la cl�, la reconstruction de la grille horaire du r�seau moyen-courrier de telle sorte que les correspondances du hub de Roissy-CDG continueraient d'�tre assur�es. Il serait, en effet, absurde de gagner quelques sous sur le moyen-courrier et de perdre des fortunes sur le long-courrier, la vraie source de profit d'Air France-KLM. Meilleure productivit� des navigants � salaire �gal, un pilote d'Air France vole un peu moins de 600 heures par an quand ceux d'easyJet ou de Ryanair totalisent entre 800 et 900 heures. L'objectif serait d'obtenir une am�lioration de la productivit� de 20 % qui rendrait la compagnie nationale plus comp�titive. La n�gociation sociale avec les pilotes et le personnel de bord va �tre serr�e. Un probl�me difficile � r�soudre car les navigants en moyen-courrier sont majoritaires au prorata d'une centaine d'avions long-courrier et de 150 moyen-courriers (KLM et filiales non comprises). Arr�ter les destinations non rentables Chez Air France, supprimer une desserte demande des mois de r�flexion alors que chez easyJet, ce type de d�cision prend une semaine, m�me si les passagers n'y trouvent pas toujours leur compte. Est-ce toujours la solution ? Prenons un vol, Paris-Naples, o� il n'y a pas de client�le affaires : c'est une destination certes pas rentable lorsqu'elle est exploit�e avec un avion d'Air France, mais elle pourrait le devenir avec un appareil de Transavia, la filiale low cost bas�e � Orly. Difficult� : ces transferts sont verrouill�s par des accords sociaux � n�gocier. Sous-traiter le fonctionnement des escales Les 1.500 d�parts volontaires r�cemment annonc�s chez Air France semblent insuffisants, � en croire certains audits qui parlent de 3.000 � 10.000 suppressions de postes souhaitables. Les sureffectifs sont d'autant plus aigus que l'activit� diminue. De plus, les nouveaux services num�riques de r�servation, d'enregistrement et d'embarquement se g�n�ralisent, n�cessitant moins de personnel. Il est notoire qu'une escale g�r�e par Air France en direct co�te deux fois plus cher que celle ayant le m�me trafic confi�e � une chambre de commerce ou une soci�t� d'assistance. Ryanair ou easyJet ont recours syst�matiquement � ce genre de prestataires ext�rieurs. R�duire les structures Cette solution avait �t� envisag�e par Christian Blanc, ancien pr�sident d'Air France. En 1993, il avait fait adopter le plan de sauvetage de la compagnie. L'externalisation de l'informatique, devenue plus complexe aujourd'hui, ne semble plus d'actualit�. Le moindre bug peut avoir des cons�quences dramatiques et paralyser la compagnie, ses plans de vol, ses r�servations, ses enregistrements de passagers, ses sites internet, etc. Les �conomies r�alisables semblent modestes face aux risques encourus. En revanche, r�duire l'activit� du si�ge au marketing, aux relations humaines et � la finance s'est montr� �tre une mesure efficace lors du redressement r�cent de certaines compagnies am�ricaines. Vendre ou fusionner Britair et R�gional Les deux filiales exploitant des avions de moins de cent vingt si�ges accumulent les pertes. Les synergies entre les deux sont d�j� optimis�es : les achats d'avions, de carburant et d'assurances sont r�alis�s au niveau du groupe Air France-KLM. D'autres pourraient encore �tre accomplies, mais au prix d'une grosse fi�vre sociale. Mon commentaire : Il est inhabituel qu'un journaliste fasse le tour des experts et des �conomistes dans le but de d�finir la strat�gie d'une entreprise. Mais si un salari� du groupe lui sert sur un plateau ses propres cogitations, dont quelques propositions semblent socialement inacceptables, on a peine � imaginer qu'il r�siste � en faire la mati�re premi�re d'un article. Reste � peser l'int�r�t de ces fuites intentionnelles.
> Les march�s appr�cient la gestion des capacit�s d'Air France-KLM
(source Latribune) 23 septembre - La compagnie a�rienne franco-n�erlandaise r�duit de 2% son offre de si�ges kilom�tres offerts pour la saison d'hiver. La Bourse de Paris salue cette mesure de gestion et esp�re une am�lioration de la rentabilit� du groupe. Air France -KLM a annonc� ce lundi que "pour la saison hiver 2009-2010 qui d�bute le 25 octobre" son offre en termes de si�ges kilom�tres offerts (SKO) sera en baisse 2% par rapport � l�hiver 2008 et de 3,6% par rapport � l�hiver 2007. Dans le d�tail, sur les r�seaux long-courriers et moyen-courriers, le recul de l'offre sera respectivement de 1,8% et de 2,9% et de 2,8% et de 6,4% par rapport � l�hiver 2007. Air France pr�cise que " dans un contexte �conomique qui reste tr�s d�grad� et qui se traduit par une forte chute de la demande en classes avant, le programme d�Air France amplifie, l�hiver 2009, la baisse initi�e l�hiver dernier. En termes de si�ges kilom�tre offerts (SKO), l�offre baisse de -1,7% par rapport � l�hiver 2008 et de 4,8% par rapport � l�hiver 2007. Air France rappelle qu'outre des baisses de fr�quences, elle ferme ou suspend aussi des lignes telles Paris-Shannon (Irlande), Bordeaux-Bruxelles, Lyon-Francfort, de London City vers Strasbourg, Roissy, Nice et Gen�ve, de Clermont-Ferrand vers Biarritz, Lille, Marseille, Strasbourg et Toulouse. A la Bourse de Paris, les march�s consid�rent cette baisse des capacit�s comme une mesure de gestion permettant une am�lioration de la rentabilit� du groupe. Le titre a �t� pl�biscit� mardi sur le SBF 120, en hausse de 4,74% � 12,71 euros.
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Air
France-KLM : Une facture qui s'annonce sal�e dans l'affaire du cartel du
fret Impliqu�e � nouveau dans une affaire d'ententes tarifaires ill�gales dans le fret a�rien, la compagnie a�rienne pourrait devoir payer � quelque 517 millions d'euros � d'amende, indiquent ce matin �Les Echos'. La Commission europ�enne charg�e de l'enqu�te doit en effet rendre son verdict � la mi-octobre sur ce dossier qui devrait aussi faire r�agir des soci�t�s clientes l�s�es dans cette affaire et susciter � une avalanche de demandes de dommages �. Au total, 25 compagnies internationales, dont Air France KLM et sa filiale Martinair, sont concern�es. Une douzaine de compagnies majeures, dont British Airways, JAL et Qantas, ont d�j� vers� plus de 1,6 milliard de dollars d'amende, dont 350 millions de dollars pour le groupe Air France-KLM, qui a �galement provisionn� 316 millions d'euros dans ses comptes clos le 31 mars, en pr�vision de l'amende europ�enne, rappelle le quotidien �conomique. Mon commentaire : Contrairement � ce que mentionne cet article, Air France-KLM n'est pas "impliqu�e � nouveau dans une affaire d'ententes tarifaires". Il s'agit toujours de la m�me affaire dont le jugement au regard du droit europ�en, n'avait pas encore �t� prononc�. Il serait sur le point de l'�tre. Une amende s�v�re serait un coup dur pour les nombreuses compagnies mises en cause, dans une p�riode o� leurs activit�s fret sont malmen�es.
> British Airways r�duit la subvention repas pour ses salari�s
(source Lefigaro.fr) 23 septembre - La compagnie a�rienne britannique souhaite �conomiser 2,7 millions de livres (3 millions d'euros) par an avec cette mesure. Asphyxi� par la chute du trafic, British Airways (BA) se creuse les m�ninges pour r�aliser le plus d'�conomies possibles. Apr�s avoir annonc� des suppressions de postes, demand� � ses salari�s de travailler quelques semaines b�n�volement ou supprim� les repas gratuits sur les vols courts, la compagnie a�rienne britannique a annonc� mercredi qu'elle allait r�duire sa participation aux repas de son personnel. Avec cette mesure, BA esp�re ainsi �conomiser 2,7 millions de livres (3 millions d'euros) par an. La compagnie estime qu'elle ne peut plus subventionner ces repas � hauteur de 60% comme elle le faisait jusqu'� pr�sent. Une charge estim�e � 6,5 millions de livres par an. �Financi�rement, cela n'est plus possible� a indiqu� Raghbir Pattar, en charge des partenariats chez BA. La compagnie �continuera � donner une subvention pour le repas et les boissons, mais � un degr� moindre. Les �conomies viendront d'une simplification de la gamme de repas, et d'heures d'ouvertures plus limit�es�, outre les hausses de prix, a poursuivi le responsable. Dans ses efforts d�sesp�r�s pour r�duire ses couts de fonctionnement, la compagnie a d�j� r�ussi � n�gocier avec les pilotes des baisses de salaires en �change d'actions, mais elle est toujours englu�e dans des n�gociations salariales avec le reste du personnel. Elle souhaite toujours supprimer 3700 emplois cette ann�e. En mai dernier, BA avait annonc� une perte record sur l'ann�e 2008/09 achev�e le 31 mars. Tr�s lucratives, les classes sup�rieures ont notamment vu leur trafic s'�crouler de 13% avec la crise financi�re.
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Alitalia a assez de fonds pour 2009 et 2010 ROME (source Dow Jones) 23 septembre - Alitalia n'a pas besoin d'une augmentation de capital car la compagnie a�rienne italienne dispose des fonds n�cessaires pour fonctionner jusqu'� la fin 2010, a estim� mercredi Rocco Sabelli, son directeur g�n�ral. "Nous avons les fonds pour 2009 et 2010", a-t-il indiqu� devant la commission des Transports de la chambre basse du Parlement italien. "Nous n'avons pas besoin de nouveaux capitaux". Le pr�sident d'Alitalia a indiqu� de son c�t� que le plus dur �tait pass� pour la compagnie, m�me s'il restait beaucoup � faire pour qu'Alitalia soit de nouveau en bonne sant�. Air France-KLM a une participation de 25% dans Alitalia.
> Le G20 dans ses habits neufs pose les bases d'une gouvernance �conomique
(source AFP) 25 septembre - Les pays du G20, r�unis � Pittsburgh, aux Etats-Unis, ont jet� vendredi les bases d'une nouvelle gouvernance �conomique et financi�re, dans l'espoir qu'elle �vitera au monde une nouvelle crise. Dans leur communiqu� final, les pays industrialis�s et �mergents du G20 ont d�cid� de renforcer leur coop�ration, au point m�me d'accepter un droit de regard de leurs partenaires sur la fa�on dont ils g�rent leurs �conomies, avec l'aide du Fonds mon�taire international (FMI) qui sort renforc� de ce sommet. "Le Fonds doit jouer un r�le crucial pour promouvoir la stabilit� financi�re mondiale et r��quilibrer la croissance", ont affirm� les pays du G20. Concr�tement, le FMI sera charg� de surveiller les d�s�quilibres et de faire des recommandations de politique �conomique aux pays qui devront prendre des mesures correctives adapt�es. Et pour enfoncer le clou, les pays du G20 ont d�cid� que leur enceinte, qui repr�sente quelque 90% du Produit int�rieur brut (PIB) de la plan�te, deviendrait d�sormais le principal forum de la coop�ration �conomique internationale, aux d�pens du G8. Profitant de cette vaste tribune diplomatique offerte � Pittsburgh, la France, les Etats-Unis et la Grande-Bretagne ont �t� au-del� du domaine �conomique pour, ensemble, accuser l'Iran d'avoir d�velopp� en secret un site nucl�aire d'enrichissement d'uranium. Les dirigeants du G20 ont ensuite retrouv� la table des n�gociations pour �voquer la situation �conomique mondiale, certes mieux portante, mais pas encore suffisamment pour baisser la garde. Le G20 confirme la n�cessit� de maintenir les plans de relance. "Le sentiment de retour � la normalit� ne doit pas nous conduire � un exc�s de confiance", soulignent ainsi les pays du G20. Les pays du G20 entendent aussi "r��quilibrer la croissance" de l'�conomie mondiale. Ils d�crivent ainsi une nouvelle �conomie o� le consommateur am�ricain ne serait plus le centre du monde et o� les grands exportateurs (Chine et Allemagne en t�te) importeraient davantage. Le G20 s'est aussi efforc� de renforcer la r�gulation financi�re afin d'�viter une nouvelle crise. "L� o� l'inconscience et l'absence de responsabilit� ont entra�n� la crise, nous n'autoriserons pas un retour aux pratiques bancaires ant�rieures", ont-ils indiqu�. Ils ont ainsi d�fini un encadrement renforc� des bonus des traders et banquiers, dont les montants faramineux ont d�clench� la col�re de l'opinion publique. La France a �t� "entendue sur la question des bonus" avec notamment "l'interdiction des bonus garantis au-del� d'un an" ou encore "l'instauration d'un syst�me de bonus-malus", s'est f�licit� sur ce point le pr�sident fran�ais Nicolas Sarkozy qui avait fait de la question des bonus son cheval de bataille. D'une fa�on g�n�rale, le G20 reprend � son compte les recommandations du Conseil de stabilit� financi�re (CSF), l'organe de coordination entre r�gulateurs financiers et banques centrales, afin de lier la r�mun�ration des banquiers et acteurs de march� aux performances � long terme, et non � la prise de risque excessive. Les pays du G20 vont aussi "agir de concert" pour relever les normes bancaires en termes de fonds propres, une formule devant permettre d'aplanir les divergences sur ce point entre Europ�ens et Am�ricains. Sur la question houleuse de la r�forme du Fonds mon�taire international (FMI), le G20 est finalement parvenu � un accord sur sa future gouvernance. Le G20 a d�cid� du transfert d'"au moins 5%" des quote-parts du FMI aux pays �mergents, qui se plaignaient depuis longtemps d'�tre sous-repr�sent�s. C'est une "victoire extraordinaire", s'est f�licit� le pr�sident br�silien Luiz Inacio Lula da Silva. Ce transfert doit se faire avant 2011, mais le G20 n'a pas d�termin� selon quelle m�thode, ni d�sign� qui perdrait ou gagnerait � l'issue de cette op�ration. La France a toutefois d�j� annonc� que les Europ�ens feraient des sacrifices, mais pas seulement eux, citant l'Arabie saoudite, l'Iran, la Russie et l'Argentine. Et les gagnants devraient �tre la Chine, la Cor�e et la Turquie.
La presse boursi�re...
> Air France-KLM : UBS initie la couverture � la Vente
(source AOF) 24 septembre - UBS a initi� la couverture de l'action Air France-KLM � la Vente avec un objectif de cours de 12 euros. Il estime qu'il n'est pas surprenant de voir les compagnies a�riennes en proie � des difficult�s dans l'environnement �conomique le plus difficile que l'industrie a jamais connu. Ce contexte a d�bouch� sur la faillite d'un certain nombre de compagnies europ�ennes et sur des bilans gravement atteints. UBS constate toutefois que les titres des compagnies a�riennes ont r�cemment connu un rallye gr�ce au r�tablissement de l'�conomie ainsi que du trafic passagers et du trafic cargo. Bien que le plus dur semble pass� pour le secteur a�rien europ�en, on observe toujours un d�clin de la tendance, ajoute-t-il. Il n'anticipe pas d'inversion de cette tendance avant 2010.
> Air France-KLM : Oddo reste � l'achat
(source AOF) 23 septembre - Oddo conserve sa recommandation � l'Achat et son objectif de cours de 14,50 euros sur Air France-KLM apr�s les d�clarations de Pierre Henri Gourgeon, le directeur g�n�ral du groupe. Dans une interview aux Echos, le dirigeant a annonc� attendre un retour � l'�quilibre hors effet des couvertures carburant d�but 2010-2011. La recette unitaire devrait par ailleurs montrer des signes d'am�lioration � partir du quatri�me trimestre. �Les �l�ments apport�s par cette interview sont conformes � nos pr�visions�, �crit Oddo. �Nous attendons un retour � un r�sultat net l�g�rement positif de 88 millions d'euros avec une am�lioration de la recette unitaire de 3,5% en 2010-2011�, ajoute-t-il. Le broker estime par ailleurs que la reprise d'une couverture carburant syst�matique est positive pour Air France-KLM dans la mesure o� elle permet de faciliter la gestion du groupe en fixant son deuxi�me poste de co�t.
Fin de la Revue de Presse...
> Salari�s AF : Pas d'abondement avec la prime d'int�ressement
La direction AF a indiqu�, lors du CCE du 4 septembre, qu'en raison des difficult�s de l'entreprise, il n'y a pas, cette ann�e, de possibilit� d'abondement li� au versement de la prime d'int�ressement. J'invite les salari�s AF qui souhaiteraient investir dans le PEE ou le PERCO � consulter les pages qui leur sont consacr�es dans l'Intralignes, dans l'espace "salari�s AF". Rubrique Epargne salariale : guide PEE ou guide PERCO. Ou bien dans la partie "groupe AF KLM, le lien action/�pargne.
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Rappel du num�ro vert gratuit
"actionnariat salari� Air France-KLM" :
0800 04 2000 C'est � ce num�ro qu'une aide pourra
vous �tre apport�e si vous rencontrez des difficult�s dans la
gestion de vos actions Air France-KLM ou de votre �pargne salariale.
La mise en relation gratuite avec HSBC et/ou la Soci�t� G�n�rale passe par ce
num�ro.
Vous pourrez encore obtenir de l'aide
par le mail :
info.ors.esa@airfrance.fr
Je suis, dans tous les cas, � votre
disposition au +33 (0)1 41 56 04 95 (r�pondeur en cas d'absence).
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Les infos sur l'�volution du
cours de l'action Air France-KLM
Cl�ture de l'action Air France-KLM � 12,05 � le vendredi 25 septembre. Evolution
depuis le 1er
janvier
La moyenne des objectifs de cours (consensus) des principaux
analystes pour l'action AFKL est � 11.75 �.
Le p�trole a baiss� de 10% en quelques jours �
environ 66 $.
La r�cession s'est install�e dans les
pays d�velopp�s.
La croissance des pays �mergents a ralenti
(Chine, Inde...).
La baisse des r�sultats de la plupart des entreprises a plomb� les
march�s actions. Ils sont n�anmoins en hausse depuis leurs plus bas
niveaux du printemps.
Les commentaires n�gatifs des sp�cialistes de la finance sur
l'activit� du transport a�rien ont maintenu, ces derniers mois, le cours de notre action
� un niveau relativement bas.
Des indicateurs �conomiques de plus en plus nombreux font entrevoir une perspective de
reprise d'activit� mondiale mais d'autres
s'aggravent : ch�mage, endettement des Etats... Ainsi, une stabilisation de l'�conomie mondiale pourrait intervenir dans
le deuxi�me semestre 2009.
Ces informations indicatives ne constituent en
aucune mani�re une incitation � vendre ou une sollicitation � acheter
des actions Air France-KLM.
A bient�t.
Vous pouvez r�agir � cette "lettre" ou me
poser, par retour, toute question de mon domaine de comp�tence...
D'autres infos sur le site
navig
| Christian Magne Administrateur Air France-KLM repr�sentant les salari�s actionnaires PS et PNC N'imprimez ce document qu'en cas de n�cessit� Cette lettre traite de sujets li�s � l'actionnariat d'Air France-KLM. Je vous l'adresse parce que nous avons pu �tre en contact, parce que vous avez souhait� �tre inform� par e-mail, que vous m'avez donn� pouvoir lors d'une assembl�e d'actionnaires, ou bien que vos coordonn�es sont visibles dans l'espace manager ou PNAF.net, ou encore votre syndicat qui me soutient (CFDT, CFTC et Unsa) m'a communiqu� votre adresse. D�sabonnement, cliquez ici : d�sabonnement. Si vous pr�f�rez recevoir la revue de presse sur une autre adresse, merci de me l'indiquer : Cliquez sur ce lien pour faire une suggestion � Christian Magne |
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