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| Lettre de l'Administrateur Air France-KLM

| Christian Magne

Représentant des salariés actionnaires PS et PNC


navigaction.com

N°211, lundi 7 décembre 2009,

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La Revue de Presse du lundi...

 

> Panne de l'A380 d'Air France : un problème de pilote automatique

 

(source AFP) 30 novembre - L'A380 d'Air France, qui a dû faire demi-tour vendredi peu après son décollage, a connu une panne du pilote automatique, a déclaré à l'AFP Erick Derivry, porte-parole du SNPL, principal syndicat de pilotes de la compagnie, qui a qualifié cet incident de "petite anomalie".

"La panne a été générée après le décollage. Le pilote automatique ne s'enclenchait pas", a-t-il expliqué.

"Il faut remettre l'incident en perspective. Cela fait l'objet d'un suivi attentif. Des incidents en vols, des avions qui font demi-tour en vol et qui ne se posent pas à l'aéroport prévu, il y en a plusieurs par heure", a toutefois relativisé le porte-parole du SNPL, soulignant qu'il s'agissait "d'une petite anomalie".

La réglementation interdit de traverser l'Atlantique au-dessus de 28.000 pieds si le pilote automatique est hors service.

"L'équipage aurait pu techniquement traverser l'Atlantique en-dessous des 28.000 pieds sans problème, mais l'appareil n'avait pas assez de carburant" car plus un avion vol bas, plus il consomme, a-t-il expliqué.

Selon lui, l'équipage, "après plusieurs tentatives pour relancer le pilote automatique (...) a décidé de faire demi-tour".

"C'est pour ça que l'avion est resté en l'air une heure et demie : pour essayer de répondre à cette petite anomalie technique. N'ayant pas trouvé de solution, il ne pouvait que retourner à New York".

M. Derivry a précisé qu'il y avait à bord un contrôleur de l'OCV (organisme de contrôle en vol), ainsi qu'un pilote d'essais d'Airbus, car l'A380 est en phase de lancement chez Air France.

L'incident a eu lieu cinq jours après le début des vols commerciaux de l'A380 d'Air France, première compagnie européenne à mettre en service le plus gros avion de ligne au monde.

Air France a indiqué lundi, sans plus de précision, qu'une "panne informatique mineure" avait contraint l'A380 qui assurait la liaison New-York Paris à faire demi-tour.

Mon commentaire : Ce type d'incident, assez banal, prend une couleur particulière dans un contexte où nous sommes "observés de près" par une presse avide de sensations depuis l'accident de l'AF447.

 

> Réseau européen : Air France vise 120 millions de gain d'Ebit en plus

 

PARIS, (source Reuters) 2 décembre - Air France veut renégocier les accord collectifs des personnels navigants dans le cadre de la réorganisation de son réseau intra-européen, avec pour objectif un gain supplémentaire de 120 millions d'euros au niveau du résultat d'exploitation de la compagnie, annonce Les Echos.

Ce gain de productivité s'ajouterait aux gains de 500 millions d'euros attendus au niveau du groupe Air France-KLM en vue d'un retour à l'équilibre du réseau domestique et européen sur l'exercice 2011-2012, précise le quotidien économique dans un article à paraître jeudi...

..."La direction veut (...) renégocier les accords collectifs définissant les conditions de travail et de rémunération des personnels navigants d'Air France, pilotes et personnels de cabines", indique Les Echos. "Avec pour objectif, selon nos informations, un gain d'Ebit de 120 millions d'euros, qui s'ajouteraient aux 500 millions d'Ebit supplémentaires à trouver au niveau du groupe Air France-KLM, au cours des prochains mois, pour permettre le retour à l'équilibre du réseau domestique et européen sur l'exercice 2011-2012", poursuit-il.

Mon commentaire : Les perspectives d'économies avancées dans cet article, 120 millions, ne sont pas confirmées à ce stade par le groupe. Mais les discussions avec les organisations PNT et PNC se profilent alors que les accords en cours ne sont pas arrivés à leur échéance. La situation risque d'être conflictuelle.

 

> Transavia proche de l'équilibre en 2009, bénéfices en 2010

 

(source AFP) 4 décembre - Après deux ans de pertes, Transavia, la filiale low cost d'Air France, prévoit d'être à l'équilibre cette année et envisage des premiers bénéfices en 2010, affirme le quotidien La Tribune vendredi.

 

> Les enchères montent autour de Japan Airlines

 

(source AFP) 4 décembre - Le groupe aérien américain American Airlines et l'alliance Oneworld se sont dits prêts à investir massivement dans la compagnie nippone en difficulté Japan Airlines, pour éviter qu'elle ne cède aux surenchères de la rivale Delta Air Lines liée au regroupement Skyteam.

American Airlines et Oneworld, associés au fonds d'investissement américain TPG, proposent d'injecter 1,1 milliard de dollars (730 millions d'euros) dans le capital de JAL afin de "fortifier son assise financière immédiatement et à long terme". American Airlines, déjà partenaire de JAL au sein de Oneworld, essaie de conserver le fleuron japonais à ses côtés, alors que d'autres acteurs du secteur tentent de l'en séparer.

"Rester avec American Airlines et Oneworld est clairement la meilleure décision pour JAL", a insisté le directeur financier du groupe américain, Tom Horton, lors d'une conférence de presse. "Nous sommes sûrs que c'est avec nous que JAL a le plus à gagner car son appartenance à Oneworld lui a déjà permis d'accroître ses revenus de l'ordre de 500 millions de dollars par an".

Reste que JAL, malgré sa situation financière déplorable, est actuellement très courtisée, car elle détient une position stratégique en Asie, marché promis à un radieux avenir. Poussée par le gouvernement qui en a repris le contrôle de facto, l'ex-compagnie publique est sommée de choisir un partenaire pour être plus puissante au niveau mondial.

Delta Air Lines et l'alliance SkyTeam (dont est membre Air France-KLM mais qui n'a pas d'adhérent japonais) souhaiteraient attirer JAL à laquelle ils ont initialement proposé 1,02 milliard de dollars (dont 500 millions d'investissement direct). "C'est très risqué de proposer à JAL de changer d'alliance, c'est une idée très osée" et l'opération serait coûteuse, a répliqué M. Horton, tout en reconnaissant qu'il est de bonne guerre pour Delta et Skyteam de faire cette avance.

Delta Air Lines a précisé jeudi qu'elle et Skyteam pouvaient même aligner des sommes plus élevées. "S'il existait un intérêt du gouvernement japonais pour que JAL lève davantage de fonds par le biais d'investisseurs tiers, nous serions prêts à nous associer à cet effort", a déclaré jeudi le PDG de Delta Air Lines, Edward Bastian, laissant entendre que l'argent supplémentaire pourrait venir d'un fonds d'investissement.

JAL est actuellement sous perfusion gouvernementale, la crise ayant amplifié ses faiblesses structurelles et asséché ses finances. Elle est dès lors sensible aux offres sonnantes et trébuchantes. American Airlines estime toutefois avoir des arguments autres que financiers à faire valoir auprès de la direction de JAL et de ses tuteurs publics et privés. Outre les frais liés à un changement d'alliance (déménagement dans les aéroports, prise en charge des miles...), M. Horton évoque les risques de concurrence faussée par une éventuelle coentreprise JAL/Delta Airlines. Un tel projet pourrait in fine être bloqué par les autorités américaines car il donnerait à Skyteam 62% du transport de passagers Etats-Unis/Japon, laissant 6% à Oneworld.

Star Alliance, autre regroupement auquel adhèrent les compagnies américaines Continental Airlines et United, ainsi que japonaise All Nippon Airways (ANA) en détiendrait 31%. Ces trois sociétés étudieraient d'ailleurs une fusion de leurs liaisons nippo-américaines pour mieux affronter une concurrence qui va s'intensifier.

 

> British Airways : Baisse de - 4,3% du trafic passagers en novembre

 

LONDRES, (source CercleFinance.com) 3 décembre - British Airways a fait part d'une baisse de 4,3% en novembre de son trafic passagers (mesurée en recettes par mile-passager ou RPM) qui, combinée a une baisse de 6,2% des capacités (exprimées en mile-passager disponibles ou RPM) a résulté en un coefficient d'occupation amélioré de 1,5 point à 75,9%.

La baisse a été moins forte de trafic passager sur le segment premium (-1,7%) que pour le trafic non premium (-4,8%). Par ailleurs, le transporteur aérien a enregistré une hausse de 2,4% de son transport de fret.

'Les volumes et les rendements en non-premium et en premium moyen courrier restent stables. Néanmoins, le premium long courrier donne des signes d'amélioration' précise la compagnie britannique.

Mon commentaire : En termes de tonnage fret transporté, les volumes d'activité de British Airways se tiennent mieux, depuis quelques mois, que les nôtres.

 

> Ryanair : Hausse de 15% du trafic en novembre

 

(source Tourmag.fr) 3 décembre - En novembre 2009, le trafic de Ryanair affiche une hausse de 15% par rapport à 2008 avec 4,96 millions de passagers. Le taux de remplissage s'établit à 80% soit un point supplémentaire. Au cours des 12 derniers mois, la low cost a transporté 64,8 millions de passagers avec un taux de remplissage moyen de 82%.

 

> EasyJet a connu un trafic passagers en hausse de 12,2% en novembre
 

(source Keystone) 4 décembre - Le trafic de la compagnie aérienne britannique à bas prix easyJet a progressé de 12,2% en novembre par rapport au même mois de 2008, à 3,351 millions de passagers.

Le taux de remplissage a augmenté de 0,9 point à 84,8%.

En cumul sur les douze derniers mois, le trafic d'easyJet a progressé de 3,2% par rapport aux douze mois précédents, à 45,79 millions de passagers, pour un taux de remplissage en hausse de 1,4 point à 85,8%.

Mon commentaire : Les niveaux de progression de Ryanair et d'easyJet se redressent, par rapport à ceux des derniers mois. Cela ne va pas faciliter la restauration de notre secteur court et moyen courrier.

 

> L'atterrissage "vert" ou le vol plané au service du climat

 

(source AFP) 30 novembre - En planant à travers le ciel blanc de l'hiver suédois, le commandant de l'A321 Henrik Ekstrand a épargné 300 litres de kérosène à sa compagnie charter Novair, permettant de réduire les coûts et les émissions de CO2.

La compagnie suédoise a bouclé cette semaine une série de dix vols expérimentaux, les premiers en Europe à combiner un atterrissage moteurs au ralenti avec une approche dite "en courbe", réduisant de plusieurs kilomètres la distance parcourue, hors des habituels longs couloirs aériens.

Ce type d'atterrissage "vert" qui utilise la navigation par satellite est en plein essor dans les pays nordiques et notamment en Suède, sous l'impulsion de la première compagnie scandinave SAS et de l'aéroport international de Stockholm-Arlanda.

"C'est très silencieux, on note vraiment la différence au niveau du bruit. C'est beaucoup plus confortable, sans à-coups", note Mathias Klarowski, un étudiant allemand en aéronautique de 23 ans, invité à bord grâce à son université de Stockholm.

Dans une Suède très soucieuse d'écologie, SAS a commencé en janvier 2006, à Stockholm, ces atterrissages à faible consommation de kérosène, qui rallongent de quelques minutes la durée des vols mais qui sont moins coûteux et moins polluants en termes de bruit et de C02.

"Bien sûr, je pourrais voler plus vite", a expliqué à l'AFP Ulf Martinsson, un pilote de SAS. "Mais le gain de l'approche verte vient du fait qu'on va plus lentement", souligne le pilote.

Le type d'atterrissage mené par Novair est plus subtil car il combine la route plus courte de l'approche par GPS avec un atterrissage moins gourmand.
"C'est le début d'une évolution d'un système fondé sur la réglementation vers un système fondé sur l'efficacité", se félicite Lars Lindberg, président d'Avtech, la société aéronautique suédoise qui dirige le projet.

Depuis juin dernier, l'expérience menée sur plusieurs vols commerciaux avec passagers a permis d'économiser en moyenne 165 litres par vol avec divers types d'appareils.

Cette technique, impossible en cas de mauvaise visibilité, favorise également une approche mieux synchronisée, permettant près d'une demi-heure à l'avance de savoir quand l'avion se posera, à une dizaine de secondes près.

L'aéroport international de Stockholm-Arlanda, où plus de 2.000 atterrissages "verts" ont été menés depuis janvier 2006 --le plus souvent par SAS-- s'est fixé un objectif de 80% d'atterrissages de ce type d'ici à 2012, afin de réduire les émissions.

Quelque 17 autres compagnies, comme Air France, Nav Portugal, TAP Portugal, Icelandair ou Iberia, ont également mené des essais, selon le Sesar, l'organisme européen chargé de coordonner l'espace aérien en Europe.

Les compagnies aériennes, en difficulté à cause de la crise économique mondiale, sont sous pression pour réduire leurs coûts mais aussi leurs rejets polluants.

Selon le Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (Giec), le transport aérien représente 2% des émissions de CO2 et 13% des émissions liées au transport, une proportion en constante augmentation.

 

> Aer Lingus : Suppressions de postes et de lignes sous peu

 

LONDRES, (source Reuters) 3 décembre - Aer Lingus va supprimer des emplois et des lignes avec effet immédiat faute d'être parvenu à un accord avec l'ensemble de ses employés, annonce-t-elle jeudi.

La compagnie aérienne irlandaise a prévenu que des licenciements secs et immédiats étaient probables après l'échec de ses négociations avec certains groupes de salariés, notamment les pilotes.

Aer Lingus, qui a échappé à deux OPA hostiles de Ryanair, a fait savoir qu'il souhaitait réduire ses coûts d'exploitation annuels de 97 millions d'euros.

"Le groupe est parvenu aux dernières heures des négociations et son estimation est que, pour l'instant, le fossé est trop important avec les exigences des pilotes et des personnels de cabine", explique Aer Lingus dans un communiqué.

"C'est pourquoi, un groupe d'étude sera mis en place avec effet immédiat afin d'enclencher le processus de licenciements secs et de suppression de lignes".

Mon commentaire : La situation économique désastreuse de nombreuses compagnies met leurs syndicats dans une situation difficile : accepter de renoncer à des avantages du personnel, au risque d'être incompris, ou bien défendre "jusqu'au bout", ce qui peut entrainer des mesures drastiques. Aer Lingus fait partie de ces quelques compagnies qui ont tenté de se transformer en compagnie low cost, avec un certain niveau de succès, au départ. La démarche montre désormais ses limites. Certains l'ont dit : on "nait" low cost, on ne peut le devenir...

 

> Ryanair fait du chantage

 

(source ouverture-voyage.fr) 3 décembre - Ryanair menace de quitter l'aéroport de Poitiers-Biard. La low cost réclame une rallonge d'un million d'euros de subventions pour son marketing, indique France 3 Limousin Poitou-Charente, sinon elle abandonnera ses dessertes sur Poitiers-Biard. Pour rappel : en 2007 la compagnie avait fermé sa liaison avec Londres pendant tout l'hiver et ne l'avait reprise qu'après avoir obtenu un supplément de subvention.

Mon commentaire : Voilà sur quoi repose une partie du miracle économique de la low cost Ryanair. Il y a quelques temps, les services économiques d'Air France avaient calculé que le niveau du bénéfice de Ryanair correspondait sensiblement au montant reçu en subventions diverses par la compagnie irlandaise. Air France a encore quelques actions en justice en cours sur le sujet. Mais Ryanair, et ceux qui la subventionnent, deviennent de plus en plus habiles pour maquiller ces subventions de façon à ce qu'elles soient inattaquables en justice...

 

> Air France-KLM : Goldman Sachs revoit son objectif à la baisse

 

(source Tradingsat.com) 4 décembre - ...Goldman Sachs vient d'abaisser son objectif de cours de 12,5 à 11,5 euros, en confirmant une recommandation à l'achat.

La compagnie aérienne accentue ses efforts afin de redresser son réseau européen lourdement déficitaire. Hier, le groupe s'est dit prêt à revoir la rémunération de ses navigants "avec pour objectif un gain d'Ebit de 120 millions d'euros", selon 'Les Echos'.

 

Fin de la Revue de Presse...


> Rappel du numéro vert gratuit "actionnariat salarié Air France-KLM" : 0800 04 2000

C'est à ce numéro qu'une aide pourra vous être apportée par l'entreprise, si vous rencontrez des difficultés dans la gestion de vos actions Air France-KLM ou de votre épargne salariale. La mise en relation gratuite avec HSBC et/ou la Société Générale passe par ce numéro.

Vous pourrez encore obtenir de l'aide par le mail : info.ors.esa@airfrance.fr

De mon côté, en tant que représentant des salariés actionnaires, je suis à votre disposition au +33 (0)1 41 56 04 95 (répondeur en cas d'absence).

 

> Les infos sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM

Clôture de l'action Air France-KLM à 11,425 € le vendredi 4 décembre.

Evolution depuis le 1er janvier

Action Air France-KLM :

+24,59%

Action British Airways :

+17,97%

Action Lufthansa :

+4,16%

Action easyJet :

+39,16%

Action Ryanair :

-9,42%

La moyenne des objectifs de cours (consensus) des principaux analystes pour l'action AFKL descend à 12,97 €.

Le pétrole reste à 76 $.

La récession s'est installée dans les pays développés. Au cours de l'hiver 2008/9, la baisse des résultats de la plupart des entreprises a fait s'écrouler les marchés actions. Ils sont néanmoins en hausse sensible depuis leurs plus bas niveaux atteints au printemps 2009. La vigilance reste de mise tant que les informations économiques ne s'améliorent pas significativement.

Les commentaires globalement négatifs des spécialistes de la finance sur l'activité du transport aérien ont maintenu, ces derniers trimestres, le cours de notre action à un niveau relativement bas.

Quelques indicateurs économiques font entrevoir une perspective de reprise d'activité mondiale bien que d'autres s'aggravent : chômage, endettement des Etats... Ainsi, une stabilisation de l'économie mondiale pourrait intervenir dans le deuxième semestre 2009.

Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.

A bientôt.

Vous pouvez réagir à cette "lettre" ou me poser, par retour, toute question de mon domaine de compétence...

D'autres infos sur mon site web navigaction.com

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| Christian Magne

Administrateur Air France-KLM représentant les salariés actionnaires PS et PNC

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