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| Christian Magne

Représentant des salariés actionnaires PS et PNC

navigaction.com

N°226, lundi 22 mars 2010,

La Revue de Presse du lundi...

> La direction d'Air France lâche du lest pour éviter une grève dure

(source Lesechos.fr) 19 mars - Face à la menace d'une grève massive des hôtesses et stewards, la compagnie a repoussé d'un an l'entrée en vigueur de certaines mesures d'économies devant accompagner l'instauration, le 28 mars, du nouveau service européen.

Annoncé en grande pompe en novembre dernier, le nouveau service européen NEO d'Air France connaît des débuts difficiles. Le démarrage de cette offre commerciale, le 28 mars, pourrait en effet s'accompagner d'une grève des personnels navigants commerciaux (PNC), sans précédent depuis la grande grève des hôtesses et stewards de novembre 2007. C'est du moins la menace brandie par la totalité des organisations syndicales de PNC, si la direction ne revient pas sur certaines mesures de réduction des coûts du projet NEO, censé dégager 500 millions d'économies sur le réseau moyen-courrier d'ici à 2013, assorties d'une augmentation de la productivité de 20 %.

Après plusieurs semaines de réunion infructueuses, la direction d'Air France a pourtant lâché du lest. Dans un communiqué diffusé avant-hier soir sur le réseau interne, la direction a, en effet, exclu un passage en force sur la modification des conditions d'utilisation et de rémunération des navigants. « Le temps nécessaire doit être donné à ces discussions qui se dérouleront tout au long de l'année 2010 », affirme le communiqué. Surtout, la direction a reporté à l'exercice 2010-2012 la suppression annoncée d'un PNC sur quatre sur les Airbus A319, qui devait se traduire par 13 millions d'euros d'économies sur l'exercice 2010-2011, mais aussi quelque 200 suppressions de postes et une probable augmentation de la charge de travail des hôtesses et des stewards . « Nous n'avons pas pour objectif d'augmenter la charge de travail des PNC, assure le communiqué. Nous appelons à un dialogue responsable et tout le monde doit mesurer les conséquences désastreuses d'une grève inutile », conclut-il.

Points de crispation

Hier matin, c'était au tour de Pierre-Henri Gourgeon de monter au créneau, à l'occasion de la traditionnelle journée de rencontre avec les personnels navigants commerciaux, comme il l'avait déjà fait le 12 mars avec les pilotes. Après avoir détaillé la difficile situation de l'entreprise et les mesures décidées pour y remédier, le patron d'Air France-KLM a réaffirmé sa volonté de parvenir, par le dialogue social, à un nouvel accord collectif.

«  L'accord collectif, qui court jusqu'en mars 2013, ne peut donc pas être dénoncé avant, explique-t-on du côté de la direction. Nous avons donc le temps de trouver un accord gagnant-gagnant sur le moyen-courrier, qui nous permette de retrouver de la compétitivité face aux low cost, tout en offrant des gratifications aux PNC. »

Une nouvelle rencontre ce matin entre les syndicats et la direction devrait permettre de savoir si ces concessions ont porté. Mais hier soir, les syndicats semblaient encore peu disposés à renoncer à la grève. Outre l'habituelle compétition intersyndicale, plusieurs points de crispation restaient encore à régler, comme la réintroduction du plat chaud en cabine Premium sur les vols européens de plus de deux heures trente, ou la suppression d'un PNC sur le vol d'Alger.

Par ailleurs, si la direction se dit prête à négocier, elle entend toujours dénoncer, dès le 28 mars, les protocoles de services qui régissent le nombre de PNC en vol. Compte tenu du préavis légal, syndicats et direction auront donc quinze mois pour trouver un accord avant que n'expirent les accords existants. Ce qui n'est pas gagné. Car même reporté à 2013, l'objectif d'un gain de productivité de 20 %, réclamé aux navigants comme aux personnels au sol, suscite apparemment toujours autant de scepticisme. « Depuis des années, nous constatons une « low-costisation » du moyen-courrier, qui ne semble pas avoir de fin », explique un responsable syndical. On est arrivés à la corde. »

> Le syndicat Unite appelle British Airways au dialogue

LONDRES (source Reuters) 21 mars - Le syndicat britannique Unite appelle de ses vœux la reprise des discussions avec les dirigeants de la compagnie aérienne British Airways pour mettre fin à une grève qui provoque l'annulation de centaines de vols.

La grève de trois jours du personnel navigant commercial, qui a débuté samedi, est un véritable casse-tête pour le Premier ministre travailliste Gordon Brown à quelques semaines des élections législatives, le syndicat Unite étant le plus gros contributeur financier du Labour.

Dans une lettre adressée aux membres du syndicat, Tony Woodley, secrétaire général adjoint d'Unite, espère que de nouvelles discussions avec la direction de BA permettront d'éviter une autre grève prévue entre le 27 et le 30 mars à propos des salaires et de l'emploi.

"Aujourd'hui, je lance un appel à British Airways pour qu'elle prenne la situation en main et qu'elle reprenne des négociations afin de parvenir à un accord qui permettrait d'éviter la nouvelle grève (...) et assurerait la reprise de nos activités normales".

"Nous avons toujours dit que les négociations étaient la voie à suivre et non pas les litiges, l'intimidation ou la confrontation", a-t-il ajouté.

Le syndicat Unite et British Airways se livrent une guerre des chiffres. Selon le syndicat, 80% de ses membres suivent le mouvement tandis que Willie Walsh, le directeur général de la compagnie, a estimé que la situation était meilleure que prévu.

Unite a accusé la direction de British Airways de publier des chiffres mensongers sur le nombre de grévistes.

Si Woodley estime que le différend doit se résoudre par la négociation, sa lettre met en garde BA qui "doit comprendre que la capitulation n'est pas à l'ordre du jour".

Le journal The Observer rapporte dimanche que des responsables du gouvernement ont été en contact avec Woodley pour tenter de mettre fin à ce mouvement qui fait de l'ombre à Gordon Brown à quelques semaines des élections.

L'opposition conservatrice, en tête dans les sondages, a accentué la pression sur le Labour à propos de ses liens avec Unite, affirmant que le gouvernement était resté longtemps passif afin de ne pas s'aliéner ses principaux financiers.

"Nous déplorons cette grève, le Premier ministre et le secrétaire aux Transports l'ont clairement dit", a réagi le secrétaire au Foreign Office, David Miliband, sur Sky News.

"La façon de résoudre ces différends passe par la négociation, cette situation est dommageable pour la compagnie, dommageable pour le personnel et dommageable pour le pays", a-t-il ajouté.

La compagnie aérienne britannique, confrontée à une baisse de la demande, à la volatilité du prix du pétrole et à une concurrence accrue de la part des 'low costs', cherche à économiser 62,5 millions de livres (69,5 millions d'euros).

> Menace de grève des pilotes de Lufthansa du 13 au 16 avril

(source AFP) 22 mars - Les pilotes de la compagnie aérienne allemande Lufthansa, numéro un européen du secteur, ont menacé de faire une nouvelle grève, du 13 au 16 avril, a annoncé lundi le syndicat Cockpit qui les représente, après l'échec de négociations avec la direction sur les salaires.

Cockpit appelle les pilotes basés en Allemagne de l'enseigne Lufthansa, de la filiale de fret Lufthansa Cargo et de la marque low-cost Germanwings à cesser le travail pendant quatre jours, entre le mardi 13 avril et le vendredi 16 avril, selon un communiqué.

Mais le syndicat a précisé qu'il prévenait dès maintenant de ses intentions pour laisser passer Pâques d'une part et "pour laisser à la direction de Lufthansa suffisamment de temps pour rectifier le tir" d'autre part.

Cockpit et Lufthansa négociaient depuis fin février sur les salaires et le statut des pilotes. Ceux-ci refusent la proposition de la société d'un statu-quo sur les salaires cette année si elle n'est pas assortie d'une garantie d'emploi.

Lufthansa, qui a subi de plein fouet la crise du trafic aérien l'an dernier, considère avoir fait une offre "compatible avec la situation de l'entreprise et les conditions économiques" (...)

Fin février, Cockpit avait déjà appelé à quatre jours de grève. Un seul jour de grève avait finalement eu lieu avant que les deux parties ne reprennent les négociations. Lufthansa, qui opère quelque 1.800 vols par jour, avait dû annuler près de 60% de ses vols ce jour-là.

> Les pilotes de Eurowings, filiale de Lufthansa, menacent de faire grève

(source AFP) 18 mars - Les pilotes de Eurowings, filiale régionale de Lufthansa en Allemagne, ont voté à 99% le principe d'une grève (...) a indiqué jeudi le syndicat Cockpit.

> Transavia développe son réseau international au départ des villes de province

(source Businesstravel) 18 mars - Transavia va inaugurer plusieurs vols au départ de Nantes en y basant son huitième avion. Elle va également lancer un vol domestique au Portugal mais a abandonné son projet de développer des vols domestiques en France au départ de Nice.

«Nous comptons actuellement 7 avions dans notre flotte, qui est restée stable l'année passée. Grâce à la livraison de notre huitième avion nous allons pouvoir lancer de nouveaux vols au départ de Nantes» se félicite Lionel Guérin, PDG de Transavia.

La compagnie aérienne low-cost s'envolera cet été vers Djerba (Tunisie), Funchal (Madère, Portugal), Héraklion (Crète), Marrakech (Maroc), Monastir (Tunisie) et Porto (Portugal)

Au départ de Lyon, la compagnie desservira Djerba, Héraklion et Monastir.

Par ailleurs, pour la première fois la compagnie low-cost Transavia va lancer un vol domestique en dehors du territoire français.

Il s'agit du vol Porto-Funchal qui sera inauguré au mois d'avril prochain.

Par contre, la compagnie aérienne a abandonné son projet de lancer des vols domestiques en France au départ de l'aéroport de Nice. Ce projet connu sous le nom de code Mimosa visait à faire opérer des vols domestiques au départ de Nice par Transavia, vols qui sont aujourd'hui opérés par d'autres filiales d'Air France.

«Nous souhaitons nous concentrer sur notre business model et on a donc décidé de ne pas le faire» a-t-il précisé.

Le business model de Transavia est de desservir des destinations loisirs, sur un marché où la recette unitaire est moins forte au contraire d'autres low-cost comme Easyjet qui desservent des villes d'affaires comme Madrid, Londres...

La compagnie aérienne se distingue également d'autres low-cost en réservant des lots pour les tours-opérateurs via l'intégration de ses vols dans les GDS. Les ventes B2B représentent aujourd'hui 45% du total, contre 55% pour les ventes grand public via le site Internet.

Cet été, Transavia réserve de bonnes surprises aux fêtards avec le lancement d'un vol au départ de Paris vers Ibiza.

Les familles pourront profiter d'autres nouvelles destinations comme Izmir en Turquie, Fès au Maroc et Reykjavik en Islande, un pays en vogue grâce au taux de change très favorable aux européens. Un neuvième avion de Transavia Hollande devrait venir rejoindre la flotte française d'avril à septembre afin de répondre aux pics d'affluence de la période d'été.

Rappelons que Transavia France est détenue à hauteur de 60% par Air France et de 40% par la compagnie hollandaise Transavia.com, filiale de KLM.

> Air France-KLM et Aeroflot doivent signer un accord de partage de codes

(source airjournal.fr) 20 mars - Il existait déjà un accord référent de partage de code entre la compagnie française et Aeroflot mais sur la seule liaison Paris Charles de Gaulle – Moscou – Cheremetievo. A la suite du prochain accord de partages de codes, Air France pourra vendre des billets à son nom sur des vols opérés par la compagnie russe. Ainsi Air France offrira six nouvelles destinations en Russie.

De son côté, la plus importante compagnie aérienne russe offrira en partage de codes trois nouvelles destinations en France plus un vol vers la capitale portugaise Lisbonne sur des vols opérés par la compagnie aérienne française.

Ce nouvel accord de partages de code sera signé mardi 23 mars prochain (...). « La signature de cet accord marquera une nouvelle étape dans l’approfondissement des relations commerciales entre les deux compagnies aériennes » indique un communiqué.

> Alitalia a enregistré une perte de 326 millions d'euros en 2009

   
(source Lematin.ch) 18 mars - Le groupe aérien Alitalia a enregistré une perte nette de 326 millions d'euros en 2009 pour un chiffre d'affaires de 2,9 milliards d'euros, a annoncé la compagnie. Ces chiffres sont conformes aux attentes, selon elle.

Le groupe aérien Alitalia a enregistré une perte nette de 326 millions d'euros en 2009 pour un chiffre d'affaires de 2,9 milliards d'euros, a annoncé la compagnie. Ces chiffres sont conformes aux attentes, selon elle.

Le résultat d'exploitation a aussi été négatif à hauteur de -274 millions d'euros. "Ces résultats sont conformes aux attentes et à l'objectif d'un retour à l'équilibre du compte d'exploitation en 2011", a indiqué la firme qui a indiqué avoir transporté 21,8 millions de passagers l'an passé.

(...) Alitalia, qui était au bord de la faillite fin 2008, a été refondée par une alliance de grands patrons italiens et fusionnée avec Air One. La "nouvelle Alitalia" a démarré le 13 janvier 2009, au lendemain de l'annonce de son alliance avec le groupe Air France-KLM, qui a repris 25% du capital.

Au 31 décembre dernier, l'endettement financier net était de 799 millions d'euros, surtout lié à la flotte d'avions appartenant au groupe.

> Air France-KLM : certification d'AFI KLM E&M par Magellan

(source CercleFinance.com) 19 mars - AFI KLM E&M a ouvert à l'aéroport de Schiphol-Amsterdam un atelier de réparation des tuyères d'éjection en partenariat avec le fabricant Aeronca, une filiale du groupe américain Magellan.

La filiale d'Air France-KLM précise ainsi devenir, avec l'obtention de cette nouvelle capacité, le seul spécialiste européen de la réparation (MRO) certifié par le constructeur pour la réparation des tuyères.

AFI KLM E&M précise qu'il s'agit d'un marché spécifique qui recèle un potentiel de développement très élevé.

'Outre l'activité induite par la flotte Air France-KLM E&M et par ses propres clients tiers, AFI KLM E&M peut également compter sur la clientèle d'Aeronca en Europe', explique la filiale dans un communiqué.

> Iberia et British Airways devraient convoler en justes noces le 25 mars

(source La Tribune) 18 mars - International Airlines Group sera très probablement le nom de l'entité réunissant les deux compagnies. Cette marque a été déposée début mars par le cabinet d'avocat qui conseille Iberia.

Les bancs n’ont pas été déposés…. Mais on connaît le nom de famille que se sont choisis les deux conjoints. Le 5 mars, le cabinet d’avocat J&A GARRIGUES qui conseille Iberia a en effet déposé la marque « International Airlines group » à l'Office de l'harmonisation dans le marché intérieur. Et tout laisse à penser que ce nom sera celui de la nouvelle entité réunissant British Airways et Iberia.

Si on en croit le journal espagnol Expansion, le mariage de la compagnie aérienne espagnole avec British Airways aura lieu la semaine prochaine. Les dirigeants des deux compagnies auraient en effet prévu de ratifier le 25 mars leur opération de fusion. Toujours selon le journal espagnol la nouvelle entreprise commencera à être opérationnelle à la fin de l'année et son président sera bien, comme prévu, Antonio Vazquez, l’actuel président d'Iberia.

Le rapprochement entre le géant espagnol, très puissant en Amérique Latine, et British Airways donnera naissance à la troisième compagnie aérienne mondiale en termes de chiffre d'affaires.

> British Airways trouve un accord pour son fonds de pension
 

(source agefi.fr) 17 mars - La compagnie britannique est parvenue à un accord avec les syndicats afin de réduire le déficit de ses deux fonds de retraite, qui s’élève au total à 3,7 milliards de livres. Les salariés devront choisir entre une diminution des prestations versées ou une hausse supplémentaire de 4,5% de leurs cotisations. Après avoir reçu l’aval du régulateur d’ici au 30 juin, cet accord devrait lever le principal obstacle à la fusion prévue avec Iberia.

> Lufthansa Cargo - Forte croissance du fret aérien

FRANCFORT, 18 mars (source Reuters) - Le président du directoire de Lufthansa Cargo, Carsten Spohr, a déclaré jeudi que la demande de fret aérien était en forte augmentation, en particulier en Asie.

La demande de fret aérien en provenance et en direction de la Chine en particulièrement forte en ce moment, a-t-il précisé, ajoutant que la reprise dans le secteur dépendrait aussi de la discipline des transporteurs aériens qui ne devaient pas remettre des capacités de transport sur le marché plus vite que la demande n'augmente.

Lufthansa Cargo, le cinquième transporteur aérien de marchandises au monde et le premier en Europe, a subi une perte record de 171 millions d'euros en 2009 mais s'attend à retrouver un résultat opérationnel positif d'ici l'an prochain. "Si la dynamique de marché se poursuit, alors nous pourrions bien atteindre cet objectif en 2010", a déclaré Carsten Spohr.

L'entreprise avait introduit des mesures de temps partiel pour ses employés l'an dernier, à mesure qu'elle réduisait ses coûts et ses capacités. La compagnie a annoncé jeudi qu'elle reviendrait progressivement sur cette politique en avril et en mai et qu'elle y mettrait totalement fin en septembre, une fois passée la traditionnelle période creuse de l'été.

Lufthansa Cargo avait aussi rejoint l'initiative d'autres transporteurs de remiser des appareils dans un cimetière à avions situé en Californie. Au vu de la reprise du trafic aérien de marchandises, la compagnie dit se préparer à faire redécoller deux avions-cargos MD-11 sur les quatre qu'elle y a entreposés.

"Notre but est à terme de faire voler à nouveau l'intégralité de notre flotte de 19 appareils", a indiqué Carsten Spohr, lui-même pilote chevronné d'Airbus.

Mon commentaire : L'activité cargo se reprend, même si les recettes moyennes restent bien plus basses qu'auparavant.

> EasyJet : 26% du trafic France proviennent de la clientèle affaires
           
(source Lepoint.fr) 17 mars - Quelque 26% du trafic France de la compagnie britannique à bas coûts easyJet provient de la clientèle affaires, a annoncé mercredi le directeur général France.

> La classe éco américaine au régime

(source Airjournal.fr) 16 mars - Continental Airlines, dernière compagnie américaine à servir des repas gratuits à ses passagers de classe économique, a finalement cédé : elle va faire payer la nourriture sur tous ses vols intérieurs, vers le Canada et quelques pays d’Amérique du Sud. Heureusement pour les clients, les vols intercontinentaux et ceux de plus de six heures en général ne sont pas concernés.

La décision cadre bien avec la stratégie du nouveau CEO de la quatrième compagnie américaine, Jeff Smisek, de facturer la plupart des services comme la nourriture ou l’enregistrement des bagages aux passagers achetant les tickets les moins chers, à l’instar des trois grands Delta Airlines, American Airlines et United, toutes sous pression des low-cost (...).

(Les mises en caractères gras dans les articles de presse sont de mon fait et permettent une lecture synthétique aux lecteurs pressés.)