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| Lettre de l'Administrateur Air France-KLM

| Christian Magne

Représentant des salariés actionnaires PS et PNC


navigaction.com

N°227, lundi 29 mars 2010,

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La Revue de Presse du lundi...

 

> Accord sur les prises de contrôle entre compagnies transatlantiques

 

(source airjournal.fr) 26 mars - Une première : un accord préliminaire envisage la possible prise de contrôle des compagnies aériennes entre l’Europe et les Etats-Unis.

Le monde aérien bouge. British Airways a annoncé dernièrement son mariage avec la compagnie espagnole Iberia. Il faut préciser qu’en ce qui concerne prise de participation, fusion ou acquisition, la réglementation restait plus libre entre compagnies aériennes européennes qu’entre compagnies transatlantiques.

Mais une avancée vient de voir le jour avec un accord préliminaire signé jeudi 25 mars entre Bruxelles et les Etats-Unis, autorisant la prise de contrôle de compagnies, et ce même si elles sont séparées par l’Océan atlantique.

L’entrée dans le capital entre compagnies de continents différents se fera progressivement.

« C’est un pas en avant majeur », a déclaré Siim Kallas, le commissaire européen aux Transports. « Dès que cette mesure sera validée par le Congrès américain, d’ici deux ou trois ans, l’Union européenne observera la réciprocité », a poursuivi un porte-parole de la Commission. Mais il faudra encore attendre que le Congrès américain confirme cette décision en accordant son aval. S’il le confirmait, cela signifierait qu’un groupe comme Air France pourrait non seulement rentrer dans le capital de compagnies américaines, mais aussi posséder des établissements et des activités sur le territoire à la bannière étoilée. Dans ce secteur soumis à de fortes réglementations, précisons encore qu’en 2008, lors de la première étape de l’accord qui autorisait les transporteurs à desservir de manière illimitée l’autre continent, Washington avait lâché du lest en faisant passer de 25 % à plus de 50 % la part du capital des compagnies américaines qui pourrait être détenue par leurs homologues européennes. Mais pas davantage. Aujourd’hui, avec cet accord préliminaire (à finaliser fin juin), une fusion acquisition devient possible.

Mon commentaire : Cette évolution est importante. Aujourd'hui, les diverses limitations existantes interdisent une forte concentration du transport aérien. Si celles-ci disparaissaient, des fusions transatlantiques pourraient voir le jour, en particulier quand une compagnie devient fragile.

A l'heure actuelle, suite à la privatisation de 2004, les statuts d'Air France-KLM plafonnent à moins de 50% la détention du capital de la compagnie par des non résidents français (bref, par des capitaux étrangers). Cette limite pourrait-elle évoluer un jour ? En ce cas, Air France-KLM pourrait passer en des mains étrangères.

 

> Le groupe Amadeus officialise son projet de retour en Bourse à Madrid

 

(source lesechos.fr) 24 mars - Retiré de la cote en 2005, le groupe européen, numéro un mondial de la réservation de voyages, veut lever 910 millions d'euros afin de se désendetter, par la mise sur le marché d'« au moins » 25 % du capital.

Attendu depuis plusieurs mois, le projet de retour en Bourse du groupe Amadeus est officialisé. Amadeus IT Holding S.A., la maison mère du numéro un mondial des systèmes de réservation pour l'univers du voyage - par ailleurs fournisseur de technologies ad hoc pour les professionnels du secteur, mais aussi société de services pour les compagnies aériennes -, a annoncé hier « son intention » d'être réintroduit sur le marché madrilène « au cours de la première moitié de 2010 ».

L'opération, qui dépend des conditions de marché, comporterait deux volets : une augmentation de capital d'environ 910 millions d'euros ; et la cession d'actions existantes. Au bout du compte, « au moins » 25 % du capital d'Amadeus IT Holding seraient mis sur le marché, la levée de fonds servant à réduire son endettement.
Résistance à la crise

Emanation des grandes compagnies aériennes européennes, Amadeus avait été retiré des Bourses de Madrid, de Paris et de Francfort en 2005, dans le cadre d'un rachat par endettement piloté par BC Partners et Cinven. Les sociétés d'investissement avaient pris 52,76 % du capital d'un nouveau holding, réunissant aussi trois actionnaires historiques : Air France (23,14 %), Iberia (11,57 %) et Lufthansa (11,57 %), plus le management (0,96 %).

Depuis, le groupe européen, basé à Madrid, a renforcé sa position de numéro un mondial de la distribution de voyages face à la concurrence américaine, et diversifié son portefeuille d'activités, n'apparaissant plus seulement comme le gestionnaire du système de réservation (GDS) Amadeus (quelque 103.000 agences de voyages et points de vente connectés à plus de 720 compagnies aériennes et plus de 85.000 hôtels). Pour ce faire, il a investi plus d'un milliard d'euros.

Cette stratégie a permis de résister à la crise. Amadeus a dévoilé, hier, des éléments financiers pour 2009, avec un excédent brut d'exploitation de 894 millions d'euros, en hausse de 2,3 % par rapport à 2008, pour un chiffre d'affaires en retrait de 1,7 %, à 2,46 milliards. Sa marge opérationnelle s'est accrue de 1,4 point, à 36,3 %.

 

> Air France s'appuie sur Aeroflot pour desservir la Russie
 

(source lefigaro) 24 mars - Air France et la compagnie russe Aeroflot font cause commune contre Lufthansa. Les deux compagnies, déjà partenaires au sein de l'alliance SkyTeam, ont signé hier un accord commercial de «partage de codes». Il permet à Air France de proposer 6 nouvelles destinations russes à ses clients : Khabarovsk, Novossibirsk, Krasnoïarsk, Irkoutsk, Iekaterinbourg et Nijnevartovsk. En contrepartie, Aeroflot vend quatre destinations européennes supplémentaires avec correspondance à Paris : Strasbourg, Lyon, Marseille et Lisbonne. Les clients d'Air France iront à Moscou à bord d'un appareil français puis finiront leur voyage vers l'une des six villes à bord d'un avion Aeroflot, le tout avec un billet unique Air France. À l'inverse, les voyageurs russes commenceront leur voyage à bord d'appareils Aeroflot et le finiront à bord d'avions tricolores.

Jusqu'ici les deux compagnies, s'étaient contentées d'échanges de «blocs de sièges» sur leurs vols entre Paris et Moscou. De nouvelles perspectives de coopération se sont ouvertes lorsqu'Aeroflot a modernisé son aéroport de Moscou-Sheremetyevo et surtout a fait un effort en matière de sécurité des vols. La compagnie a modernisé sa flotte en achetant des Airbus A 330 et des Boeing 737. Une garantie jugée satisfaisante par Air France, qui attend maintenant la livraison de nouveaux appareils Aeroflot pour étendre le partenariat à de nouvelles villes.

«Généraliser ce type d'accord»

«Cet accord marque une étape importante de notre collaboration bilatérale, se félicite Dominique Patry, directeur des alliances chez Air France. La prochaine étape consistera à étendre le nombre de destinations desservies en Russie en coopération avec Aeroflot. Nous espérons également que l'accord que nous avons signé aujourd'hui incitera les autres membres de SkyTeam à développer avec Aeroflot des coopérations similaires.»

20 000 passagers concernés

Pour l'instant, 20 000 passagers par an sont concernés par cet accord. L'objectif est de faire mieux et de prendre des parts de marché à Lufthansa, très présente en Russie avec 18 vols directs à partir de Francfort ou de Munich ainsi qu'à son partenaire Austrian, qui opère 16 destinations. Aujourd'hui encore, sur beaucoup de destinations russes, un voyageur français a le choix entre un vol direct au départ de Francfort et un vol Paris-Moscou puis une correspondance à prendre sans garantie sur le hub de la capitale.

L'accord franco-russe qui prend effet le 28 mars permettra aux deux compagnies d'avoir une offre commerciale intégrée et d'être plus fortes face à la suprématie du groupe allemand sur cette partie du globe.

 

> Corsairfly se recentre sur les Antilles et la Réunion

 

(source airjournal.fr) 24 mars - La compagnie aérienne Corsairfly, qui se revendique deuxième compagnie française derrière Air France, se prépare à une crise de régime qui la verrait se recentrer sur les vols internationaux.

La nouvelle stratégie de Corsairfly fait suite à une année 2009 difficile, à l’instar des autres compagnies aériennes touchées par la cris.  Corsairfly a plus particulièrement souffert de la crise sociale aux Antilles. Désormais, son but affiché est de redevenir compétitive, retourner à la rentabilité et améliorer la qualité de son service.

Elle abandonnerait donc peu à peu ses activités de charter et peut-être même les lignes vers l’Amérique du Nord pour se concentrer sur la desserte régulière des Antilles et de la Réunion, cette dernière destination ayant vu sa part de marché chuter de 32 % à 27 % en 2009.

Rappelons que Corsairfly avait commencé à desservir l’île de l’Océan indien en 1991, sous le nom de Corsair. La flotte devrait également évoluer, avec l’acquisition de nouveaux Airbus A330 pour remplacer ses Boeing 747 de trop grande capacité. Corsairfly, propriété de Nouvelles Frontières, est l’une des huit compagnies du groupe TUI et la seule à avoir une activité régulière de long-courrier. Elle emploie quelques 1 500 personnes, dont certaines devraient faire les frais du changement de stratégie qui sera officiellement annoncé le 31 mars lors d’un comité d’entreprise.

 

> Iberia et British Airways : la fusion encore reportée
 

(source lechotouristique.com) 26 mars - La signature de l'accord était attendue pour jeudi 25 mars mais rien n'est ressorti de la réunion des conseils d'administration des deux compagnies.

Après avoir signé un accord intermédiaire en octobre 2009, British Airways et Iberia ont repoussé leur mariage et aucune date ultérieure n'a été indiquée. Le montant des retraites des salariés de la compagnie britannique a sans doute constitué le principal obstacle à toute avancée significative. Le succès des négociations avec les syndicats sur le financement du déficit des fonds de pension des retraites, chiffré à 4,1 milliards d'euros, est la condition sine qua non pour Iberia. British Airways est confronté à un climat social houleux.

Si le projet de fusion aboutit, la future entité sera détenue à 45% par Iberia et 55% par British Airways, réalisera un chiffre d'affaires de 15 milliards d'euros, transportera 62 millions de passagers et disposera de 419 avions pour 205 destinations. Les compagnies conserveraient leurs propres flottes et réseaux de destinations renforcés par leur complémentarité, British Airways vers l'Amérique du Nord et l'Asie et Iberia vers l'Amérique du Sud.

 

> Japan Airlines se rapproche de British Airways
 

(source challenges.fr) 25 mars - Japan Airlines, qui a opté de rester dans l’alliance Oneworld, vient d’annoncer un renforcement de sa coopération avec British Airways, qui en est également membre. Treize nouvelles lignes en code share vont ainsi pouvoir être exploitées par la compagnie japonaise.

Japan Airlines (JAL) est à la recherche de solutions pour enrayer le cycle de pertes quotidiennes qui l’assaillent. « JAL saigne tous les jours » a avoué son PDG, Kazuo Inamori. Deux mesures viennent d’être annoncées aujourd’hui, jeudi 25 mars 2010.

La première est l’abandon des vols exclusivement dédiés au transport de marchandises. La seconde est le rapprochement de la compagnie japonaise avec British Airways.

Ainsi, JAL va augmenter son offre de liaisons voyageurs en partenariat avec British Airways. Précisons que JAL a longtemps hésité entre plusieurs alliances (dont Skyteam et un rapprochement avec Air France – KLM et Delta Airlines) pour finalement opter pour Oneworld, dont British Airways est l’un des piliers. Treize nouvelles lignes vont ainsi être inaugurées d’ici la fin du mois d’avril. Elles s’ajouteront aux dix existantes. JAL réalise ainsi une bonne opération en étendant son réseau en Europe à 54 routes et 36 villes.

La compagnie japonaise doit faire face à un déficit colossal s’élevant à 15 milliards d’euros. Elle résiste aujourd’hui grâce à un fonds d’organisme public, l’Etic, chargé de la redresser. La compagnie s’est donnée trois ans pour retrouver une activité aux comptes équilibrés.

 

> Six candidats à la reprise de LOT Polish Airlines

 

VARSOVIE (source Dow Jones) 26 mars - Le Trésor polonais a reçu six propositions pour la reprise de la compagnie aérienne nationale LOT Polish Airlines, rapporte vendredi le quotidien Rzeczpospolita.

Selon le ministre polonais du Trésor, Aleksander Grad, quatre offres de reprise ont été soumises par des compagnies aériennes et deux par des investisseurs financiers.

Selon des informations non confirmées publiées auparavant dans la presse, Turkish Airlines, Lufthansa, Air France-KLM , Air China et Emirates Airlines seraient intéressés par le rachat de LOT ou auraient été approchés par le Trésor polonais à ce sujet, rappelle le journal.

L'Etat polonais détient directement et indirectement 93,07% du capital de la compagnie aérienne nationale en difficulté qui, selon le ministre du Trésor, peine encore à se maintenir à flot.

LOT s'est retrouvé au bord de la faillite l'an dernier, après avoir accusé une perte nette de 262 millions de dollars en 2008, principalement liée à l'échec de sa stratégie de couverture carburant.

Mon commentaire : Air France-KLM se concentre sur une gestion ajustée aux conséquences de la crise. Il est peu probable qu'elle disperse ses efforts et se déleste d'un cash dont elle a besoin.

 

> EasyJet n’hésite plus à communiquer
 

(source airjournal.fr) 23 mars - Par la voix de son directeur général pour la France et l’Europe du Sud, François Bacchetta, EasyJet avoue ne pas être suffisamment comprise par les voyageurs. Il va donc lancer un site concernant son mode d’emploi.

EasyJet, estime être victime de préjugés et être souvent mal comprise de la part des voyageurs estime François Bacchetta, directeur général pour la France et l’Europe du Sud. Il va donc lancer mi-mai un « mode d’emploi » créé spécialement pour eux.

Cette décision intervient alors que l’importance prise par les compagnies low cost ne se démentit pas, à l’inverse, leur progression paraît encore loin d’arriver à leur terme. Ainsi François Bacchetta affirme qu’ « en 2011, 43 % du trafic aérien sera assuré par des compagnies low cost. »

Rappelons qu’EasyJet a inauguré le 4 mars dernier une série de rencontre avec le public dans cinq villes de France : Nice, Toulouse, Lyon, Paris le jeudi 25 mars prochain. La tournée s’achèvera à Bordeaux le mercredi 31 mars 2010. De fait, EasyJet n’hésite désormais plus à critiquer, même les plus grandes compagnies. Ainsi, elle s’est plainte la semaine dernière du nouveau système de taxes adopté par les Aéroports de Paris, jugeant qu’il avantageait Air France au détriment des compagnies low cost.

Effectivement, ADP prévoit de baisser la taxe aéroportuaire basée sur le nombre d’appareils possédés par les compagnies aériennes pour préférer la taxe passagers. Or, les compagnies low cost ayant un taux de remplissage supérieur aux compagnies classiques, elles se retrouveraient pénalisées.

 

> Air France KLM : CRMC détient plus de 10% du tour de table

(source challenge.fr) 25 mars - Dans un avis de l'AMF, la société Capital Research and Management Company a déclaré avoir franchi en hausse, le 23 mars 2010, par suite d'une acquisition d'actions Air France KLM sur le marché, les seuils de 10% du capital et des droits de vote de la société Air France KLM et détenir 30.374.600 actions Air France KLM représentant autant de droits de vote, soit 10,12% du capital et des droits de vote de cette société.

Par courrier reçu le 23 mars 2010, complété par un courrier reçu le 24 mars, la déclaration d'intention suivante a été effectuée : "L'acquisition des titres de la société Air France KLM par CRMC s'inscrit dans le cadre normal de son activité de société de gestion de portefeuille menée sans intention de mettre en œuvre une stratégie particulière à l'égard de Air France KLM ni d'exercer, à ce titre, une influence spécifique sur la gestion de cette dernière. CRMC n'agit pas de concert avec un tiers et n'a pas l'intention de prendre le contrôle de Air France KLM ni de demander sa nomination ou celle d'une ou plusieurs personnes comme administrateur... ".

Mon commentaire : Depuis l'ouverture du capital en 1999, c'est la première fois qu'un investisseur dépasse 10% du capital d'Air France, devenu Air France-KLM en 2004. CRMC, qui détenait déjà 5% de notre capital au 31 mars 2009, est une filiale de Capital Group, investisseur institutionnel américain.

Voilà ce qui en est dit dans Wikipedia : "Capital Research and Management Company (CRMC) gère 30 millions de comptes pour investisseurs individuels, et a acquis des positions importantes dans les grands groupes américains. Sa stratégie annoncée d'investissement est de privilégier les prises de participation à long terme. Les gestionnaires de Capital Group se définissent ni comme des arbitragistes, ni comme des « raiders » tentant de faire pression sur le management pour promouvoir, par exemple, des cessions d'actifs ou des changements brutaux de stratégie."

 

(Les mises en caractères gras dans les articles de presse sont de mon fait et permettent une lecture synthétique aux lecteurs pressés.)


> Élection du représentant des salariés actionnaires PS/PNC d'Air France-KLM : clôture du vote : J-2 !

 

Ceux qui ne l'ont déjà fait peuvent désigner leur Administrateur Représentant les Salariés Actionnaires des personnels au sol et PNC du groupe Air France-KLM en se rendant sur le site de vote : af.epargneaction.portail-salaries.com

Je suis candidat à ce poste.

Codes de connexion non reçus ? Cliquez et remplissez le formulaire du site de vote AF

Mon Conseil : Ceux qui ne disposent d'Internet qu'au bureau peuvent apporter leurs codes de connexion au travail pour être en mesure de voter.

Le vote par Internet est possible jusqu'au 31 mars à 17 heures

Beaucoup m'ont fait part de leur soutien ou de leur vote pour cette élection. Je les en remercie chaleureusement.

Vos messages de soutien sont les bienvenus : message pour Christian Magne. Vous pouvez lire ceux rédigés par d'autres salariés ou anciens salariés actionnaires : Soutiens


> Rappel du numéro vert gratuit "actionnariat salarié Air France-KLM" : 0800 04 2000

C'est à ce numéro qu'une aide pourra vous être apportée par l'entreprise, si vous rencontrez des difficultés dans la gestion de vos actions Air France-KLM ou de votre épargne salariale. La mise en relation gratuite avec HSBC et/ou la Société Générale passe par ce numéro.

Vous pourrez encore obtenir de l'aide par le mail : info.ors.esa@airfrance.fr

De mon côté, en tant que représentant des salariés actionnaires, je suis à votre disposition au +33 (0)1 41 56 04 95 (répondeur en cas d'absence).

 

> Les infos sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM

Clôture de l'action Air France-KLM à 11,750 € le vendredi 26 mars.

La moyenne des objectifs de cours (consensus) des principaux analystes pour l'action AFKL est à 12,61.

Le pétrole est à 80 $. Un niveau assez élevé.

La récession s'est installée dans les pays développés. L'économie des pays émergeants et des Etats-Unis redémarre. Mais la vigilance est de mise tant que les informations économiques ne s'améliorent pas significativement. L'amélioration des remplissages et recettes unitaires de plusieurs compagnies, au cours des quatre derniers mois, a fait remonter progressivement les cours des actions des compagnies aériennes.

Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.

A bientôt.

Vous pouvez réagir à cette "lettre" ou me poser, par retour, toute question relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...

D'autres infos sur mon site web navigaction.com

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| Christian Magne

Administrateur Air France-KLM représentant les salariés actionnaires PS et PNC

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Cette lettre traite de sujets liés à l'actionnariat d'Air France-KLM. Je vous l'adresse parce que nous avons pu être en contact, parce que vous avez souhaité être informé par e-mail, que vous m'avez donné pouvoir lors d'une assemblée d'actionnaires et que vos coordonnées sont visibles dans l'espace manager, l'annuaire Lotus-notes, PNAF.net ou encore votre syndicat qui me soutient m'a communiqué votre adresse.

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