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| Lettre de l'Administrateur Air France-KLM

| Christian Magne

Repr�sentant des salari�s actionnaires PS et PNC


navigaction.com

N�248, lundi 23 ao�t 2010,

La Revue de Presse du lundi...

> Vers de nouvelles r�gles pour l�indemnisation des passagers a�riens


(source Lesechos) 17 ao�t - Quatre mois apr�s la crise volcanique, qui a co�t� plus de 1 milliard d�euros aux compagnies a�riennes, la r�vision de la r�glementation europ�enne de 2005 relative � l�indemnisation des retards et des annulations de vols est plus que jamais d�actualit�. Bien d�cid�s � ne plus devoir supporter seuls le fardeau financier de tels �v�nements, les transporteurs a�riens font en effet pression sur Bruxelles pour obtenir, d�ici � la fin de l�ann�e, une modification des textes, qui pr�ciserait et limiterait leur responsabilit� financi�re.

Certains transporteurs, comme KLM, ren�clent m�me � appliquer la r�glementation actuelle (...).

Un diff�rent qui illustre l�exasp�ration des compagnies face � une r�glementation jug�e injuste, voire ruineuse.

Un cadre plus strict

En juin dernier, la Commission europ�enne avait elle-m�me annonc�, dans un rapport sur la crise volcanique, le lancement du processus de r�vision du r�glement � afin d��viter de faire peser un fardeau excessif et injuste sur l�industrie de l�aviation, tout en s�assurant que les passagers ne sont pas les seuls � supporter le co�t financier et les inconv�nients de catastrophes naturelles comme l��ruption �. Deux mois plus tard, un premier projet de r�vision, �manant d�une association de transporteurs fran�ais, le Syndicat des compagnies a�riennes autonomes (Scara), est d�j� sur la table, qui pourrait d�boucher, d�s l�automne, sur une premi�re proposition de r�glement.

Au c�ur du projet, le probl�me de l�indemnisation des retards, qui oppose associations de transporteurs et de passagers, depuis qu�un arr�t de la Cour de justice europ�enne de novembre 2009 � l�arr�t Sturgeon � a �tendu les indemnisations pr�vues d�annulations de vols aux retards de plus de trois heures � l�arriv�e. A l��poque, cette d�cision avait d�j� suscit� une lev�e de boucliers des compagnies. La crise volcanique, avec plus d�un million de passagers bloqu�s, l�a rendue encore plus insupportable.

Mais, plut�t que de remettre en cause ce droit, le Scara propose habilement de l�int�grer au nouveau r�glement, tout en l�encadrant plus strictement, � travers une d�finition exhaustive des � circonstances exceptionnelles �, qui exon�rent les compagnies de son application. Les probl�mes politiques, les conditions m�t�orologiques, les risques li�s � la s�curit�, les mouvements sociaux � annonc�s ou spontan�s � et m�me les d�faillances techniques � qui ne seraient pas dues � un d�faut de maintenance � seraient ainsi autant de circonstances exceptionnelles.

Par ailleurs, le texte du Scara introduit un principe de proportionnalit� entre le montant des indemnit�s de retards et d�annulations et le prix du billet.

Aujourd�hui, l�indemnit� est fix�e selon la longueur du vol : 250 euros jusqu�� 1.500 kilom�tres, 400 euros de 1.501 � 3.500 kilom�tres et 600 euros au-del�, m�me si le prix du billet est inf�rieur � ces montants.

Un bar�me jug� injuste par les compagnies � bas co�ts, dont le prix moyen tourne aux alentours de 70 � 80 euros. Le Scara propose donc de modifier le bar�me, en offrant 75% du prix du billet en dessous de 1.501kilom�tres, 50% de 1.501 � 3.500 kilom�tres et 30% au-del�.

La position fran�aise en attente

Reste � savoir si ces propositions sauront convaincre les diff�rents lobbies bruxellois �Notre projet vise � r�tablir l��quilibre entre les transporteurs et les passagers, affirme Jean-Baptiste Vall�, le pr�sident du Scara. Il renforce les droits des passagers, en indemnisant les retards, tout en �vitant l�effet d�aubaine. Il a d�ailleurs re�u un tr�s bon accueil, tant au minist�re qu�� l�aviation civile.�

Du c�t� des autorit�s fran�aises, on pr�f�re toutefois attendre l�avant-projet de la Commission europ�enne, avant de se prononcer, tout en reconnaissant cependant soutenir le principe d�une r�vision de la r�glementation europ�enne. � C�est � la Commission de prendre l�initiative, explique-t-on. Apr�s quoi, chacun pourra apporter sa contribution. �

 

> L'Europe demande � KLM de d�dommager les passagers pour le nuage de cendres

 

AMSTERDAM (source Dow Jones) 16 ao�t - La Commission europ�enne a demand� lundi � KLM, la division n�erlandaise de la compagnie a�rienne Air France-KLM (AF-FR), de d�dommager int�gralement les passagers pour les retards et annulations li�s � l'�ruption de cendres du volcan islandais qui a paralys� le transport a�rien au printemps dernier, et d'adopter une politique conforme � la l�gislation communautaire sous peine de faire face � des poursuites judiciaires.

Si KLM ne se conforme pas � la l�gislation europ�enne, la Commission prendra des mesures pouvant inclure des poursuites au niveau national ou europ�en afin de garantir le respect du droit communautaire, a d�clar� un porte-parole de la Commission.

Il est apparu r�cemment que KLM ne remboursait ses passagers retard�s par le nuage de cendres que pour les premi�res 24 heures de retard.

Un porte-parole de KLM a indiqu� que la compagnie attendrait l'issue de la revue du conseil de transport de l'Union avant de modifier sa politique.

 

> Air France-KLM envisage de rouvrir la ligne Paris-Tripoli

 

(source AFP) 23 ao�t - PARIS � La compagnie a�rienne Air France-KLM envisage de rouvrir la ligne Paris-Tripoli, ferm�e apr�s l'attentat contre un avion du transporteur fran�ais UTA en 1989 ayant fait 170 victimes, a-t-on appris lundi aupr�s d'une porte-parole de la compagnie.

"La ligne Paris Charles-de-Gaulle-Tripoli fait partie des destinations qui int�ressent potentiellement Air France, sachant qu'Air France-KLM dessert d�j� Tripoli � raison de six vols hebdomadaires au d�part d'Amsterdam", a d�clar� � l'AFP une porte-parole de la compagnie.

Si cette ligne �tait ouverte, elle le serait en compl�ment des vols op�r�s depuis Amsterdam, a-t-elle ajout� (...).

"Air France suit de pr�s l'�volution des �changes �conomiques entre la France et la Libye et l'�volution du potentiel du trafic de correspondance via (l'a�roport) Charles-de-Gaulle en compl�ment de celui d'Amsterdam", a encore expliqu� la porte-parole.

Selon le journal La Tribune, certains syndicats de la compagnie "ne seraient pas oppos�s au projet", contrairement � ce qui s'�tait pass� en 2007 et d�but 2010 quand la direction nourrissait le m�me projet.

"Nous ne sommes pas oppos�s pour des raisons de principe � l'ouverture d'une ligne quelle qu'elle soit mais il faut regarder si c'est possible d'un point de vue conditions de travail et d'un point de vue s�ret�", a expliqu� � l'AFP le porte-parole du SNPL, syndicat de pilotes majoritaire, soulignant que "Tripoli est une ville symbolique, en particulier, pour les anciens d'UTA".

Apr�s la lev�e en 2003 de l'embargo contre la Libye, des compagnies a�riennes europ�ennes � l'instar de Lufthansa, British Airways ou encore KLM, filiale d'Air France, ont repris des vols vers Tripoli.

Le 19 septembre 1989, un avion DC10 de la compagnie UTA, rachet�e par la suite par Air France, reliant Brazzaville (Congo) � Paris via N'Djamena (Tchad), avait �t� vis� par un attentat, co�tant la vie � 170 personnes. Cet acte avait conduit � un gel des liens entre Paris et Tripoli.

En 2004, les deux pays avaient finalement sign� un accord sur l'indemnisation des familles des victimes.

 

> Su�de : SAS dans le rouge � cause du nuage de cendres

 

(source RTBF) 18 ao�t - La compagnie a�rienne scandinave SAS a � nouveau subi une perte au deuxi�me trimestre 2010. Ses r�sultats ont �t� influenc�s par le nuage de cendres �mis au printemps par un volcan islandais, a-t-elle expliqu� mercredi.

SAS a enregistr� une perte nette de 502 millions de couronnes su�doises (53,2 millions d'euros), par rapport � une perte de pr�s d'un milliard de couronnes au deuxi�me trimestre 2009.

La compagnie, d�tenue par des groupes danois, norv�giens et su�dois, a expliqu� que les semaines d'annulation de vols et d'interruption dues � l'�ruption d'un volcan islandais ont provoqu� une perte de revenus de 700 millions de couronnes.

Le chiffre d'affaires trimestriel a baiss� � 19,5 milliards de couronnes, contre 20,5 milliards � la m�me p�riode l'ann�e pass�e. Le nombre de passagers a baiss� � 12 millions.

SAS a d�j� fait part de son intention de trouver un partenaire solide d�s qu'elle aurait retrouv� sa rentabilit�. L'allemande Lufthansa est cit�e comme acheteur potentiel.

 

> Tours : Ryanair reprend ses r�servations

 

(source France 3) 17 ao�t - Centre Un conflit opposait la compagnie a�rienne � bas prix et le conseil g�n�ral d'Indre-et-Loire.
Le conflit qui opposait la compagnie a�rienne au conseil g�n�ral d'Indre-et-Loire s'est finalement achev�. Le d�partement a vers� une cr�ance de 438 000 euros � la compagnie. Une cr�ance r�clam�e par Ryanair depuis plusieurs mois.

Faute de l'avoir re�ue en temps et en heure, la compagnie avait d�cid� en d�but de semaine dernie�re de suspendre les r�servations de ses vols sur Tours. Un psychodrame qui a beaucoup agit� le microcosme politique tourangeau. Pour l'adjoint au maire de Tours c'est un soulagement. Ryanair ce sont 60 emplois directs et 300 emplois indirects

 

> Pourquoi les low cost n'aiment pas certains passagers

 

(source Lepoint) 22 ao�t - Les personnes handicap�es, les enfants non accompagn�s et m�me les passagers ayant des bagages en soute sont per�us comme des g�neurs face au mod�le �conomique des compagnies � bas co�t.

Trois incidents en six mois mettent en cause easyJet, qui a refus� l'embarquement de passagers handicap�s. Une enqu�te est en cours � la Direction g�n�rale de l'aviation civile. Mais les passagers � mobilit� r�duite ne sont pas les seuls vis�s par les mesures discriminatoires des compagnies � bas co�t. Les enfants non accompagn�s ne sont pas accept�s non plus par ces transporteurs. Ces derniers manifestent �galement peu d'enthousiasme � faire voyager des groupes et, en g�n�ral, tous les passagers susceptibles de poser des probl�mes.

Cet ostracisme est provoqu� par le mod�le �conomique des compagnies low cost. Le principe de base, pour offrir des billets � prix cass�s par rapport aux compagnies classiques, consiste � optimiser l'exploitation de chaque avion pour r�aliser chaque jour au moins une �tape de plus. Comme la hausse de la vitesse en vol n'apporterait qu'un gain de temps marginal et tr�s co�teux en carburant, c'est la r�duction du temps d'escale au sol qui permet d'y arriver. Le "demi-tour" � l'a�roport, en jargon a�ronautique, dure en g�n�ral une heure en moyen-courrier, mais peut �tre r�duit � vingt minutes par un transporteur low cost. � la fin de la journ�e, l'avion aura alors "�conomis�" au moins deux heures.

Pour gagner ce pari, d�barquement et embarquement des passagers doivent �tre r�alis�s tr�s rapidement pendant que les h�tesses effectuent un nettoyage sommaire de l'avion. Un passager � mobilit� r�duite est susceptible de gripper ce dispositif. Toujours pour limiter les co�ts, le personnel d'escale, tr�s peu nombreux, effectue successivement plusieurs t�ches comme la billetterie, l'enregistrement, l'embarquement, etc. Personne n'est donc pr�vu pour accompagner des enfants mineurs. Les handicap�s moteurs doivent, eux, voyager sous la responsabilit� d'un membre de leur famille pr�sent � bord ou d'un autre passager. (...) Le souci de fluidit� des op�rations au sol des low cost est tel que le passager avec bagage de soute est presque un g�neur, car il provoque des pertes de temps et des co�ts de manutention. On lui facture donc d�s la premi�re valise.

L'enqu�te de la Direction g�n�rale de l'aviation civile devrait clarifier ces points et montrer pourquoi un passager refus� � bord d'un avion d'easyJet est accept� sur celui d'Air France. Les r�gles de s�curit� sont, en effet, les m�mes et reposent d'ailleurs sur des normes europ�ennes, en particulier l'�vacuation d'un avion en 90 secondes. Pour cela, easyJet avait demand� � Airbus de lui dessiner une version sp�ciale de l'A319 �quip�e de deux issues de secours au lieu d'une, ce qui permet d'embarquer 156 passagers, contre 142 sur le mod�le standard. Pr�s de 10 % de rentabilit� de plus.

 

> Des Boeing 747 reprennent du service

 

(source lefigaro) 23 ao�t - Remis�s au plus fort de la crise dans le d�sert de Mojave, les gros-porteurs font leur retour dans la flotte mondiale � la faveur du rebond du trafic a�rien.

(...) Plusieurs compagnies ont d�cid� de remettre en service des gros-porteurs qu'elles avaient sortis de leur flotte au plus fort de la crise (...). Fin 2009, le stock �d'avions immobilis�s avait atteint un pic � 3700 appareils (...). Mais, en juin dernier, et pour la premi�re fois depuis d�but 2009, le nombre de gros-porteurs repris par leur propri�taire a exc�d� celui des avions remis�s (...).

Les compagnies pr�parent actuellement la saison d'hiver 2010-2011 qui s'ouvre le 1er novembre et dure six mois. Et elles ont d�cid� d'augmenter leur capacit�. British Airways offrira 7% de si�ges de plus que lors de la m�me saison en 2009-2010. La compagnie britannique va par exemple remettre en service un B747 entre Londres et Dallas, ce qui lui permet de lib�rer un B777 sur la liaison Londres-New York. La Lufthansa, pour sa part, envisage de reprendre un gros-porteur qu'elle avait mis au garage en Allemagne apr�s avoir repris une douzaine de court-courriers de type B737 et A320. (...) Cathay Pacific a rappel� cinq gros-porteurs en version cargo (...)

Avions plus �conomiques

Le retour des gros-porteurs dans les flottes reste cependant mesur�, au regard de la vigueur du rebond du trafic. Il a augment� de 12% pour les passagers et de 27% pour le transport de marchandises en juin dernier, selon l'Association internationale des compagnies a�riennes (Iata). �Le danger, c'est d'augmenter les capacit�s trop vite et trop fort �, r�agit Chris Tarry, un consultant a�ronautique bas� � Londres. A contrario, une compagnie qui ne d�ploierait pas assez de capacit�s risquerait de rater le train de la reprise (...)

Chez Air France, la question se pose aussi, mais la compagnie continue, � contre-courant du mouvement observ� par Ascent Worlwide, de sortir des B747 de sa flotte. Rien d'illogique. Au contraire : �Nous faisons entrer dans notre flotte des avions plus modernes, plus �conomiques et plus �cologiques, comme l'A380. Et nous renfor�ons notre flotte de B777-300�, souligne une porte-parole d'Air France. Et de rappeler que l'A380 repr�sente une �conomie d'exploitation annuelle de 15 millions d'euros par rapport au B747.

Air France s'est d�j� d�lest�e de trois B747. Un quatri�me les rejoindra � partir de novembre. Il reste encore treize B747, dont dix en version passagers, en service au sein de la compagnie fran�aise, mais ils sont vou�s � en partir avec la mont�e en puissance des A380. La compagnie a re�u mi-ao�t son quatri�me super-jumbo, qui assurera la liaison entre Paris et Tokyo � partir du 1er septembre. Le cinqui�me A380 devrait entrer en service en avril prochain. Parall�lement, Air France renforce sa flotte de B777, un gros-porteur dont elle a command� deux versions : long-courrier et Cara�bes-oc�an Indien.

 

Fin de la Revue de Presse


> Mon commentaire sur l'�volution du cours de l'action Air France-KLM

Cl�ture de l'action Air France-KLM � 10,530 � le vendredi 20 ao�t

La moyenne des objectifs de cours (consensus) des principaux analystes pour l'action AFKL est � 13,58 �.

Le p�trole descend � 74 $ le baril.

Apr�s une r�cession mondiale sans pr�c�dent, l'�conomie des pays �mergents, des Etats-Unis et d'une partie de l'Europe a red�marr�. Mais la vigilance est de mise tant que les informations �conomiques ne s'am�liorent pas significativement. Les d�s�quilibres budg�taires de nombreux �tats (Gr�ce, Portugal, Espagne, puis Royaume-Uni, Etats-Unis voire France) font peser une menace sur la durabilit� de la reprise, sur l'euro, sur le cours des actions et sur la n�tre en particulier.

Les cours des actions sont affect�s par les r�centes marques d'essoufflement de l'�conomie am�ricaine.

Ces informations indicatives ne constituent en aucune mani�re une incitation � vendre ou une sollicitation � acheter des actions Air France-KLM.

A bient�t.

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| Christian Magne

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