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| Lettre de l'Administrateur Air France-KLM | |
| Christian Magne Représentant des salariés actionnaires PS et PNC
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N°266, lundi
27 décembre 2010,
La Revue de Presse du lundi...
> Le patron d'Air France-KLM met en cause ADP dans les difficultés de dégivrage
(source AFP) 24 décembre - Le directeur exécutif d'Air France-KLM, Pierre-Henri Gourgeon, a déploré vendredi les difficultés d'approvisionnement en glycol, liquide nécessaire pour le dégivrage des avions, rencontrées par Aéroports de Paris (ADP) à Roissy (...) : "Il est surprenant et peu admissible qu'un aéroport tel que Roissy Charles de Gaulle ait ce problème d'approvisionnement. C'est un cas isolé en Europe", a-t-il déclaré à l'AFP. Il a en outre affirmé que la Direction générale de l'aviation civile (DGAC) avait demandé l'annulation de vols à Roissy vendredi en raison du manque de glycol. M. Gourgeon a expliqué que les difficultés ont démarré jeudi après-midi. "Il y a eu une baisse brutale de la capacité (de dégivrage des avions) de 30 à 10 à l'heure. Nous n'en avons pas été informés. Donc les avions ont continué à faire la queue. Finalement, ils ont dû faire demi-tour et nous avons dû débarquer des milliers de passagers. Hier, nous n'aurions pas dû avoir des annulations mais des retards liés au dégivrage", a-t-il ajouté. "Ce qui est dommageable, c'est que nous ne l'ayons pas su à temps. Nous n'avons donc pas pu anticiper et nous n'avons pu que constater les problèmes", a-t-insisté. Il a en outre indiqué qu'à Orly, le problème ne s'était pas posé car ADP ne gérait pas les stocks de glycol, les compagnies aériennes faisant appel à des prestataires. M. Gourgeon a par ailleurs estimé que la majorité des passagers en souffrance vendredi soir devraient pourvoir voyager samedi avec le retour à la normal du trafic (...).
> Neige : la pénurie de dégivrant à Roissy
(source lemonde.fr) 24 décembre - (...) Dans la matinée, le secrétaire d'Etat aux transports, Thierry Mariani, a confirmé l'existence de "problèmes de dégivrage" dus à la qualité de la neige et aux faibles stocks de glycol dans les aéroports parisiens. "Ce n'est pas la pagaille dans les trains, ce n'est pas la pagaille sur les routes", a assuré Thierry Mariani sur France Inter, avant de concéder qu'il y avait "un vrai problème de dégivrant, qui manque à l'heure actuelle sur l'aéroport de Roissy". Le secrétaire d'Etat a souligné que (...) tous les aéroports européens "se sont jetés sur le glycol, qui permet de dégivrer les avions". Il a parlé de "loi des séries", la principale usine fabriquant ce produit en France (à Fos-sur-Mer) étant en grève. "La production sera à nouveau en place à partir de lundi", a-t-il assuré. "Il n'y a aucune grève sur notre site, affirme de son côté au Monde.fr, Pierre Martinetti, délégué CGT du site pétrochimique Lyondell de Fos-sur-Mer qui fabrique le glycol. La production de glycol est à l'arrêt depuis le 9 décembre parce que nous avons exercé notre droit de retrait en raison de sous-effectifs sur cette unité. Elle a redémarré mercredi." La direction de Lyondell n'était pas joignable vendredi en fin de matinée. La société qui fournit Roissy en produit dégivrant, Abax, n'est de toute façon pas cliente de Lyondell. "Mais la grève à Fos a créé une tension sur tout le marché, assure Eric Brun, le directeur commercial d'Abax, d'autant plus qu'en quatre semaines, la consommation de glycol en Europe a atteint celle de l'ensemble de l'hiver dernier." Sur Europe 1, le PDG d'Aéroports de Paris (ADP) a affirmé que les stocks se limitaient à 115 tonnes jeudi soir. Deux livraisons ont eu lieu vendredi matin, en provenance d'Allemagne et des Etats-Unis, mais n'ont pas permis de reprendre un programme de vol normal dans l'après-midi. Contrairement à Roissy, Orly ne fait pas face à une pénurie. Dans cet aéroport, ADP a confié le dégivrage à plusieurs "sociétés d'assistance" selon le document des plans hivernaux d'Aéroports de Paris. Air France s'assure ainsi du dégivrage de ses propres avions et "ne rencontre aucune pénurie de glycol", assure-t-on au service de presse de la compagnie. Une façon détournée de critiquer la gestion du dégivrage par ADP à Roissy. "Il n'y a pas plus de problème d'approvisionnement à Roissy qu'à Orly, répond pourtant Bernard Cathelin, directeur général adjoint d'ADP, les répercussions sont seulement plus fortes pour Air France à Roissy parce que c'est un 'hub', ce qui crée des problèmes de réacheminement ou d'hébergement des passagers en transit qui ne se posent pas à Orly." "Il n'y a d'ailleurs pas plus d'annulations à Roissy" assure-t-il, contre toute évidence. Une journaliste de l'AFP présente à Orly a ainsi constaté que seule une dizaine de vols avait été annulée dans la matinée (...). "Il y a clairement un problème d'approvisionnement à Roissy qui n'existe pas à Orly, appuie-t-on, énervé, à la DGAC, sinon nous n'aurions pas demandé d'annulations uniquement pour Roissy alors que la météo est similaire pour les deux aéroports ! D'autant plus que ces demandes ont justement eu lieu en raison des contraintes de manque de glycol dont ADP nous a fait part (...).
Mon commentaire :
ADP a du mal à assumer sa part de responsabilité dans le chaos des
derniers jours. Les stocks de glycol, gérés par ADP sont insuffisants
lorsque les conditions météo de gel ou de neige s'enchaînent jour après
jour, empêchant la circulation normale des camions d'approvisionnement.
> Le terminal 2E évacué
(source lemonde.fr) 23 décembre - Source supplémentaire de soucis pour ADP, environ 2 000 personnes ont été évacuées du terminal 2E de l'aéroport parisien de Roissy à cause d'une accumulation excessive de neige sur le toit. Ce terminal s'était effondré peu après son inauguration, en 2004, faisant quatre morts. Cette procédure, effectuée par précaution en raison d'une quantité de neige d'environ 60 cm, s'est déroulée dans le calme, a précisé une source aéroportuaire. "Il n'y pas eu d'évacuation. Nous avons simplement demandé aux passagers de se pousser de la zone au-dessus de laquelle se trouve cette accumulation de neige", a relativisé le directeur général adjoint d'ADP, Bernard Cathelin.
Mon commentaire :
La jetée du 2E s'étant effondrée en 2004, ADP a eu tout le temps
de reconstruire une jetée irréprochable. ADP a choisi de la reconstruire
en verre. Un matériau certes léger, sauf lorsqu'il supporte un manteau
neigeux...
> Air France chiffre jusqu'à 35 millions le coût des derniers épisodes neigeux
(source AFP) 21 décembre - Le directeur exécutif d'Air France-KLM Pierre-Henri Gourgeon a chiffré mardi sur Europe 1 entre 25 et 35 millions d'euros le coût pour la compagnie des deux derniers épisodes neigeux de décembre qui ont paralysé les aéroports parisiens. Tout ça va représenter environ 15 à 20 millions d'euros au total sur ce week-end", sachant qu'"on a déjà eu un épisode un peu moins fort qui a représenté 10 à 15 millions d'euros il y a une quinzaine de jours", a dit M. Gourgeon. Le directeur exécutif a présenté ses "excuses à tous les passagers" et a "tiré son chapeau" au personnel qui a été "sur le pont" tout le week-end, rendant hommage à son dévouement. Lundi soir, les perturbations restaient importantes dans les aéroports parisiens. Les retards atteignaient deux à trois heures à Roissy, où 3.000 personnes ont passé la nuit de dimanche à lundi, et plus de trois heures à Orly.
Mon commentaire :
L'évaluation date du 21 décembre. Ce montant sera dépassé puisque
les difficultés ont continué les jours suivants.
> L'aéroport de Francfort complètement bloqué
(source tourmag) 19 décembre - Près de 500 vols ont été annulés, dimanche 19 décembre 2010, à l'aéroport de Francfort. La vague de froid et les chutes de neige ont complètement perturbé le trafic aérien en Allemagne. Un tiers des vols prévus, dimanche 19 décembre 2010 à l'aéroport de Francfort ont été annulés en raison des chutes de neige et du froid. Fermées en alternance, le temps d'être déneigées et déverglacées, les pistes rouvrent mais 490 vols ont dû être annulés sur les 1329 prévus dans la journée. (...) Depuis la veille, la Lufthansa conseille à ses passagers de prendre le train. La situation est problématique pour des centaines de passagers. Certains viennent de passer leur deuxième nuit à l'aéroport. Selon un porte-parole de l'aéroport allemand, l'un des plus importants d'Europe, le centre de transit affiche complet.
> Après le chaos dans les aéroports, Londres veut une nouvelle loi
(source LEMONDE.FR avec AFP) 26 décembre - Le gouvernement britannique veut une nouvelle législation qui infligerait de lourdes amendes aux aéroports en cas d'importants défauts d'organisation affectant durement les déplacements des voyageurs, comme ce fut le cas à Heathrow avant les fêtes de Noël (...). Selon le ministre des transports, Philip Hammond, (...), il n'est pas acceptable que BAA, l'opérateur sous capitaux espagnols du plus grand aéroport mondial pour le trafic de passagers, bloqué pendant plusieurs jours, ne soit pas sanctionné. "Il doit y avoir une amende économique pour service défaillant", affirme M. Hammond, soulignant que le passager doit être satisfait et évoquant des pénalités de plusieurs dizaines de millions de livres (...). BAA a déclaré dimanche "accueillir favorablement" l'idée d'une nouvelle législation "destinée à améliorer la situation des passagers dans les aéroports britanniques". "Nous prendrons, bien sûr, toute notre part dans les discussions menées par le gouvernement au sujet des perturbations liées aux intempéries cette année et nous rendrons publics les résultats de notre propre enquête", a expliqué une porte-parole. Une enquête externe a été lancée jeudi par BAA et son directeur général, Colin Matthews, a annoncé qu'il renonçait cette année à son bonus, dont le montant n'a pas été divulgué. Le gestionnaire d'Heathrow, qui a été accusé cette semaine de ne pas avoir suffisamment de chasse-neige pour dégager rapidement l'une des pistes, va investir 10 millions de livres (12 millions d'euros) dans de nouveaux équipements, a indiqué son président Nigel Rudd dans un entretien au Daily Telegraph. M. Rudd a fait valoir, pour la défense de BAA, que l'aéroport avait dû faire face à une conjonction particulièrement défavorable, avec "les pires conditions météo" qu'il ait jamais vues de sa vie pendant "la semaine la plus chargée de l'année". A la suite de chutes de neige le week-end dernier en Grande-Bretagne, Heathrow a été paralysé et des milliers de passagers en attente ont dû camper pendant plusieurs jours dans les terminaux (...).
> Rio-Paris : Le crash "pas lié" aux sondes
(source Europe1) 21 décembre - Invité sur Europe 1 mardi, Pierre-Henri Gourgeon, PDG d’Air France-KLM, a estimé qu'il serait "hasardeux de faire un lien" entre le crash du vol Rio-Paris en juin 2009 et les sondes Pitot. "On sait que les sondes ne fonctionnent pas pendant les minutes qui précèdent l'accident mais on ne sait pas expliquer l'accident", a-t-il expliqué. Certains experts avaient considéré que la défaillance de ces sondes Pitot serait à l'origine de l'accident, qui avait fait 228 morts. Mon commentaire : Le défaut d'informations suffisantes empêche d'affirmer que la défaillance des sondes "sont" la cause de l'accident ou sont "sans lien" avec le crash.
> Les flottes des compagnies du Moyen-Orient quasiment triplées d'ici 2026
(source AFP) 16 décembre - Les flottes (passagers et cargo) des compagnies du Moyen-Orient vont quasiment tripler d'ici la fin de 2026, passant de 564 avions de plus de 100 places aujourd'hui à 1.622 appareils, selon des prévisions du constructeur européen Airbus. Mon commentaire : La croissance phénoménale de ces compagnies est vraiment préoccupante. Elles capteront à cette date des passagers qui auparavant opéraient une correspondance dans un aéroport européen. Parmi les bonnes raisons, dont la liste n'est pas close à ce jour, on peut déjà inclure que ces hubs permettront aux clients d'échapper au piège de la neige.
> Les vrais bénéficiaires de la concurrence low cost
(source lesechos) 24 décembre - Longtemps en retrait, le low cost aérien connaît depuis trois ans une croissance marquée dans notre pays, pour représenter aujourd'hui près de 30 % du trafic court/moyen-courrier. Mais cet essor renvoie à deux réalités distinctes, dont l'impact sur les consommateurs apparaît très différencié. Un premier modèle, incarné par Ryanair, repose d'abord sur la création de nouveaux marchés, par ouverture-fermeture de lignes sur lesquelles aucune compagnie aérienne n'opère. Dans ce cas de figure, la concurrence est quasi inexistante et le faible prix du billet pratiqué par le low cost résulte pour l'essentiel d'une baisse drastique des coûts unitaires, de l'ordre de 40 à 50 % par siège kilomètre offert. Mais un second type de compagnies low cost, incarné par easyJet, choisit d'entrer délibérément sur des lignes déjà existantes (...). Au départ des deux grands aéroports parisiens, sur 80 lignes opérées par des low cost, 72 % se trouvent aujourd'hui en concurrence avec un opérateur historique. Au départ des grandes métropoles de province, la major - le plus souvent Air France ou ses franchisés -doit désormais affronter des compagnies low cost sur pas moins de 39 lignes. A qui profite cette nouvelle concurrence ? Pour répondre à cette question, nous avons mesuré l'impact de l'entrée d'un low cost sur le pouvoir d'achat des passagers, en prenant le cas de l'aéroport de Lyon Saint-Exupéry (1). La low cost easyJet y a en effet ouvert 11 lignes en concurrence avec un opérateur, qui se trouvait jusqu'ici en situation de monopole. Les premiers gagnants sont bien entendu les anciens clients de l'opérateur historique, qui ont rejoint la compagnie low cost. Selon des études américaines, la baisse de prix du billet atteint en moyenne 49 %. (...) Mais la concurrence du low cost aérien profite aussi, et surtout, à ceux qui ne l'utilisent pas : les grands gagnants sont en réalité les clients restés fidèles à l'opérateur historique. En effet, face à la menace low cost, la compagnie installée a dû ajuster ses prix à la baisse. D'après ce qu'on a pu constater aux Etats-Unis, la diminution du prix des billets serait de l'ordre de 30 % et intervient souvent de manière préventive, avant même l'entrée du low cost. (...) Si l'on extrapole nos résultats sur l'ensemble des lignes en France avec une concurrence low cost, il est probable que le gain total de pouvoir d'achat dépasse le milliard d'euros sur la période 2007-2009. La concurrence low cost contribue également à élargir la taille du marché : la baisse du prix donne accès à l'avion à des clients qui voyageaient peu jusqu'ici ou utilisaient d'autres modes de transport alternatifs. A Lyon, l'entrée du low cost a conduit à une augmentation du trafic de 112 %. Cet effet d'induction a profité à la compagnie low cost mais aussi… à la compagnie historique, qui a capté une partie de cette clientèle additionnelle. Au-delà du gain de pouvoir d'achat, la concurrence low cost participe ainsi à une certaine forme de démocratisation du transport aérien.
Mon commentaire :
Cette démonstration, qui semble valider le modèle low cost, est
incomplète. En particulier, elle ne mentionne pas le phénomène des
subventions et aides diverses accordées à certains opérateurs low cost,
dont Ryanair. Sans ces aides publiques, leurs tarifs seraient moins
attractifs.
> British Airways : verra-t-on des grèves en Janvier 2011
(source deplacementspro) 23 décembre - Difficile fin d'année pour British Airways, montrée du doigt dans la gestion des intempéries neigeuses et qui se refuse pour l'heure à porter seule le chapeau. Pour la compagnie britannique, les dysfonctionnements des aéroports londoniens sont importants et l'incapacité à gérer la communication de crise n'est pas à mettre sur le seul dos des compagnies aériennes. Mais ce qui inquiète le plus c'est le nouvel appel à la grève lancé par le syndicat Unite qui vient de demander au personnel de cabine de s'exprimer sur un nouveau mouvement de grève pour la fin janvier 2011. La bataille, engagée depuis neuf mois entre la direction et les navigants, vise à l'obtention d'une amélioration des conditions de travail ainsi qu'une augmentation salariale. Après déjà 22 jours de grève en 2010, Unite précise que la combativité du personnel semble intacte et que la volonté d'en découdre avec la direction pourrait coûter cher à la compagnie. Le vote, qui se terminera le 21 janvier, décidera de la suite à donner au mouvement.
Fin de la Revue de Presse
| Vous pouvez obtenir l'information la plus large possible sur l'épargne salariale et l'actionnariat salarié en appelant Air France au 0 800 04 2000(gratuit à partir d'un fixe en France)
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Mon commentaire sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM Le pétrole continue sa montée et atteint à 92 $ le baril. Il devrait encore monter en cas d'accroissement de la demande mondiale en l'absence d'accroissement des quotas de production.
Après une récession
sans précédent, l'économie des pays émergents, des Etats-Unis et d'une
partie de l'Europe a redémarré. La vigilance est de mise tant que
les informations économiques ne s'améliorent pas significativement.
Les déséquilibres budgétaires de nombreux états (Grèce, Portugal,
Espagne, Irlande, puis Royaume-Uni, Etats-Unis voire France) font peser
une menace sur la durabilité de la reprise, sur le cours des
actions, dont la nôtre.
Une embellie s'est développée ces derniers mois et les cours
des actions des compagnies aériennes remontent progressivement, suivant
en cela
les résultats en progrès publiés par les compagnies.
Ces informations indicatives ne constituent en
aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter
des actions Air France-KLM.
A bientôt.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou me
poser, par retour, toute question relative au groupe Air France-KLM ou à
l'actionnariat salarié... D'autres infos sur mon site web navigaction.com Si vous appréciez cette revue de presse, faites la circuler. Les nouveaux lecteurs pourront la recevoir directement en m'envoyant un message à chmagne@navigaction.com
Bonnes fêtes de fin d'année à toutes et tous Tous mes encouragements aux salariés, de service ou volontaires, qui affrontent les difficultés dues aux intempéries afin d'offrir le meilleur service possible à nos passagers et clients.
| Christian MagneAdministrateur Air France-KLM représentant les salariés actionnaires PS et PNC N'imprimez ce document qu'en cas de nécessité. Cette revue de presse traite de sujets liés à l'actionnariat d'Air France-KLM. Vous recevez cette revue de presse pour l'une ou plusieurs des raisons suivantes : Vous vous y êtes inscrit - Nous avons été en contact - Vous m'avez confié des pouvoirs lors d'une assemblée générale d'AF ou AF-KLM - Un syndicat d'AF qui m'a soutenu ou un de vos collègues m'a communiqué votre adresse. Désabonnement, cliquez ici : désabonnement. Si vous préférez recevoir la revue de presse sur une autre adresse, merci de me l'indiquer. Pour me joindre : message pour Christian Magne. 6215 salariés actionnaires du groupe AF-KLM reçoivent cette revue de presse |