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| Lettre de l'Administrateur Air France-KLM

| Christian Magne

Représentant des salariés actionnaires PS et PNC


navigaction.com

N°278, lundi 14 mars 2011,

La Revue de Presse du lundi...

 

> Vol AF447 : mise en examen d’Air France

 

(source airjournal) 18 mars - Comme prévu, Air France est à son tour mise en examen pour homicide involontaire dans l’enquête sur le crash du vol AF 447 Rio-Paris en 2009, qui avait causé la mort de 228 personnes au large du Brésil.

Après Airbus, la juge Sylvie Zimmerman a décidé de mettre Air France en examen à titre de personne morale. Elle s’appuie sur les premières conclusions des enquêteurs du Bureau d’enquêtes et d’analyses (BEA), qui estime que la défaillance des sondes Pitot de l’appareil est un des éléments expliquant l’accident, mais ne peut être à lui seul à l’origine de la catastrophe.

Les experts auraient notamment jugé « trop tardive et inefficace » la réaction de la compagnie aérienne française à de premières alertes sur la fiabilité de ces sondes. Airbus et Air France considèrent pour leur part que toute recherche de responsabilité est prématurée puisqu’aucune cause de la catastrophe n’a pu être déterminée à ce jour, l’épave de l’appareil et ses enregistreurs de vols restant introuvables.

Ces deux mises en examen coïncident avec le lancement lundi d’une nouvelle phase de recherches en mer de l’épave de l’Airbus sur une nouvelle zone de 10.000 km2 au large du Brésil. Il s’agira de la quatrième phase de recherches de l’appareil accidenté et de ses boîtes noires, qui pourrait s’étaler jusqu’en juillet, en trois étapes de 36 jours chacune.

Mon commentaire : La question initiale reste posée : les sondes Pitot ont-elle une part de responsabilité ? Si oui, laquelle, puisque l'avion reste pilotable même sans ces sondes ? La justice attend que les experts rendent des enquêtes sur les faits permettant de déterminer les responsabilités. On a déjà été confronté dans le passé aux rapports des spécialistes. L'ennui c'est que trois groupes d'experts, aussi sûrs de leurs conclusions que possible, peuvent rendre des avis opposés.

 

> Comment le trafic civil cohabite avec les avions de chasse engagés en Libye

 

(source lepoint.fr) 20 mars - Les avions de ligne doivent régulièrement adapter leurs routes aux zones d'interdiction aérienne. L'aviation civile n'a pas attendu la résolution de l'ONU sur la Libye, qui instaure, entre autres, une zone d'exclusion aérienne, pour réagir à la crise dans ce pays.

Dès les premiers troubles, les compagnies aériennes, sur la recommandation d'Eurocontrol, ont modifié leurs plans de vol pour contourner l'espace aérien de la Libye. Pour les compagnies françaises, comme Air France, Air Austral ou Corsairfly, desservant La Réunion et les îles de l'océan Indien, le temps de vol a été allongé de quelques dizaines de minutes. Il s'agit désormais de transiter par la zone du Caire, puis de mettre cap au sud, sensiblement au-dessus de la vallée du Nil. Autre vol concerné, celui d'Air France Paris-Johannesburg assuré chaque nuit en Airbus A380 (...).

Voler entre Rafale et Mirage

À l'annonce du vote de l'ONU en faveur d'une zone d'interdiction aérienne, la Direction générale de l'aviation civile à Paris a diffusé un premier Notam (notice to airmen), un message à tous les pilotes signifiant l'interdiction de pénétrer dans l'espace aérien. Tout équipage, lors de la préparation de son vol, trouve dans le dossier fourni par le service opérations de sa compagnie les Notams concernant son itinéraire ainsi que les prévisions et les cartes météo pour la route, la liste des passagers, etc.

Samedi matin, un autre Notam a été ajouté pour prévenir les pilotes que des aéronefs armés - des Mirage 2000, des Rafale et des avions des autres nations - allaient emprunter l'espace aérien civil pour gagner la Libye. Ces chasseurs viennent essentiellement de l'est de la France, et les ravitailleurs d'Istres, mais aussi de la Grande-Bretagne, du Danemark, de la Norvège, etc.

Une patrouille de quatre Rafale qui avait décollé de Saint-Dizier a d'ailleurs survolé Marseille à haute altitude vers 13 heures, cap au sud. Ce mélange ne pose aucun problème de sécurité aérienne, tous les avions, qu'ils soient civils ou militaires, sont suivis et guidés au radar et restent en contact radio avec les mêmes équipes d'aiguilleurs du ciel dans les espaces aériens internationaux. Puis des contrôleurs militaires, eux-mêmes embarqués sur des avions-radar AWACS, prennent le relais à l'approche de la Libye et guident les chasseurs dans un espace où il n'y a plus aucune circulation aérienne civile.

 

> Air France dénonce la «menace» des compagnies du Golfe

 

(source AFP) 16 mars - Le président du conseil d'administration d'Air France-KLM, Jean-Cyril Spinetta, a dénoncé mercredi la «menace» présentée selon lui par les compagnies du Golfe pour les autres transporteurs aériens. Les compagnies Emirates (Dubaï), Etihad (Abou Dhabi) et Qatar Airways «mettront en ligne dans quelques années deux fois plus d'avions que Lufthansa, British Airways, Air France et KLM réunis», a déclaré M. Spinetta à l'Assemblée nationale, devant la mission d'information sur la compétitivité de l'économie française.

«Ce qui fait de ces compagnies une menace pour l'ensemble du transport aérien au niveau mondial, c'est que ces compagnies n'ont pas de préoccupation de rentabilité», a-t-il dénoncé. «Aucun métier ne peut résister à ce type de défi», a ajouté M. Spinetta. Fin janvier, la France et les Émirats arabes unis ont trouvé un accord permettant à Emirates et Etihad d'obtenir des vols supplémentaires vers l'Hexagone, en particulier la province.

Les compagnies du Golfe sont des clientes extrêmement importantes pour l'avionneur européen Airbus, avec leurs commandes massives pour l'A380 et le futur long courrier A350, un argument qu'elles font valoir pour négocier des droits de trafic. M. Spinetta a balayé l'argument selon lequel les pays européens devraient ménager ces compagnies pour favoriser Airbus: «ça n'a aucun effet positif sur les fabricants d'avions, ça déplace seulement la demande de transport d'avion des compagnies habituelles vers les compagnies nouvelles».

 

> Les pilotes d'Air France acceptent la riposte au low- cost

 

(source figaro.fr) 21 mars - L'idée de «bases de province» a été massivement approuvée par référendum. Les personnels navigants habitant à proximité des bases n'auraient plus à faire d'escale, ce qui devrait permettre à la compagnie de faire des économies.

Les résultats ne sont pas totalement définitifs mais le oui l'emporte très largement - autour de 70 %. Les 4180 pilotes d'Air France étaient invités par le Syndicat national des pilotes de lignes (SNPL) à se prononcer jusqu'à vendredi soir sur les principes de la négociation qui doit être menée avec la direction pour réorganiser l'activité court et moyen-courrier, attaquée par les compagnies low-costs.

Le syndicat de pilotes, sorti grand vainqueur des élections professionnelles - avec 71,2 % des voix dans sa catégorie - est devenu le principal interlocuteur de la direction d'Air France pour bâtir ses «bases de province». Ces quatre plates-formes, basées dans les aéroports de Marseille, Nice, Toulouse et Bordeaux, doivent permettre de décentraliser les vols court et moyen-courriers, en calquant le taux d'utilisation des appareils sur celui des compagnies à bas coûts.

La direction de la compagnie a en effet prévu de baser une dizaine d'appareils sur chacune des bases, ce qui mobiliserait au total un millier de volontaires (...).

D'après les calculs de la direction d'Air France, la réorganisation doit globalement atteindre 15 % d'économies pour redevenir rentable. Mais pour que le projet puisse voir le jour, direction et syndicats de pilotes, d'hôtesses et de stewards, doivent s'entendre sur un nouveau cadre social. «Le référendum nous accorde un mandat pour entrer en négociation», souligne Louis Jobard, porte-parole du SNPL, commandant de bord chez Air France.

Alors que Pierre-Henri Gourgeon, le PDG d'Air France-KLM, avait montré ces derniers mois une certaine prudence sur sa capacité à ouvrir ces bases cet été comme prévu, les pilotes du SNPL semblent plus optimistes depuis leur plébiscite aux élections professionnelles.

Nouveau référendum

Pour eux, un accord est possible dès juin. «Ce ne sera pas une négociation classique, souligne Jean-Louis Barber, du SNPL. Il s'agit de construire un projet et de le faire partager par l'ensemble de la profession. Le changement des conditions d'utilisation des appareils aura une incidence sur l'organisation du temps de travail, le système de rémunération… Et nous tenons à assurer le même niveau de sécurité aux passagers alors que le rythme de travail sera plus soutenu. Nous organisons le 8 avril une assemblée générale avec les pilotes pour préciser certains points comme la rémunération. Ensuite, nous entrerons en négociation avec la direction».

Fin mai, les négociateurs devraient organiser un nouveau référendum qui pourrait aboutir à un accord en juin. Un calendrier qui permettrait à Pierre-Henri Gourgeon d'afficher un tableau d'honneur lors de la prochaine assemblée générale des actionnaires. Son mandat arrive à échéance cet été.

Mon commentaire : La mise en œuvre de ce projet est loin d'être acquise. L'aval des pilotes est incontournable, mais il n'est pas encore acquis, la négociation n'étant pas terminée. Il faudra également convaincre les PNC qui peuvent s'inquiéter, dans ce cadre, de conditions de travail intenses. Convaincre aussi les personnels au sol des villes de province concernées, inquiets du recours à la sous-traitance. Convaincre enfin les personnels de compagnies régionales d'Air France, dont certains lignes pourraient être échangées avec celles d'Air France.

C'est seulement au prix de toutes ces étapes franchies et assumées que le développement du secteur court/moyen courrier sera assuré.

 

> Rio-Paris : Airbus mis en examen pour homicides involontaires

 

(source AFP) 17 mars - Le constructeur aéronautique européen Airbus a été mis en examen jeudi comme personne morale dans l'enquête sur l'accident le 1er juin 2009 du vol Rio-Paris qui avait causé la mort de 228 personnes au large du Brésil, a annoncé jeudi son président Thomas Enders (...).

"Je confirme qu'Airbus a été mis en examen. Nous désapprouvons fermement cette décision que nous jugeons prématurée", a dit M. Enders à l'issue de la convocation du groupe chez la juge Sylvie Zimmerman. "Nous continuerons néanmoins à coopérer à l'enquête et à la prochaine phase de recherche des boîtes noires", a-t-il ajouté (...).

La mise en examen d'Airbus est la première dans l'enquête, suspendue à l'éventuelle découverte des boîtes noires de l'Airbus A330 qui s'est abîmé le 1er juin 2009 dans l'Océan atlantique. Jusqu'à présent, seuls 3% de l'avion et une cinquantaine de corps ont été repêchés dans les jours qui ont suivi la catastrophe aérienne (...).

 

> Trafic aérien vers le Japon : les compagnies s’interrogent

 

(source airjournal) 19 mars - Certaines compagnies aériennes ont mis en suspens leurs projets d’expansion de desserte du Japon, d’autres préférant attendre l’évolution de la situation dans le pays où plane la menace d’une catastrophe nucléaire après le tremblement de terre et le tsunami du 11 mars 2011.

Suite à Singapore Airlines qui a décidé hier de repousser sine die la mise en service de l’Airbus A380 sur la route Singapour – Tokyo – Los Angeles, Delta Air Lines a annoncé la « suspension temporaire » de ses vols depuis Detroit et Los Angeles vers Tokyo – Haneda qui devaient être inaugurés la semaine prochaine, sans toutefois remettre en question sa desserte de Narita.

Les compagnies aériennes américaines avaient prévu d’augmenter de 10,2% leurs capacités en avril par rapport à l’année dernière, mais elles s’interrogent désormais sur le futur de la desserte du Japon. United Airlines avec Continental Airlines opèrent en moyenne 26 vols par jour, Delta Air Lines jusqu’à 40 certains jours et American Airlines 6.

Le groupe United a pour l’instant maintenu son programme de vol, tout en se réservant la possibilité d’amender ce programme car elle a déjà enregistré une baisse de la demande. Hawaiian Airlines en revanche a déjà annoncé le maintien de sa nouvelle liaison entre Honolulu et l’aéroport d’Haneda et le lancement en juin de celle vers Osaka.

La desserte internationale du Japon est emmenée par Japan Airlines (près de 800 vols par semaine), loin devant Delta, Korean Air, All Nippon Airways et Asiana Airlines. Viennent ensuite Cathay Pacific (200 vols par semaine), China Eastern Airlines, China Airlines et United Airlines, la première européenne étant Air France – KLM (76 vols hebdomadaires) devant Lufthansa (52 vols).

 

> La liaison aérienne London Express mise en service à la fin du mois

 

(source aufaitmaroc.com) 19 mars - American Airlines et British Airways ont annoncé le 17 mars qu'ils allaient mettre en place un service de "navette aérienne" entre l'aéroport JFK de New York et Heathrow, à Londres. Le service a été baptisé "London Express".

Les deux compagnies vont aligner leurs horaires pour espacer les vols de façon régulière à travers la journée : il y aura un départ par heure depuis le Royaume-Uni vers New York pendant une grande partie de l'après-midi, et dans la soirée. Pour le trajet New York-Londres, les horaires ont été modifiés pour faciliter les arrivées le même jour, et pour plus de logique: auparavant, deux vols partaient de JFK à 8h30 -- désormais, l'un partira à 8h et l'autre à 9h30. Ce nouveau calendrier horaire sera mis en place à compter du 27 mars. Au total, 15 vols quotidiens relieront les deux métropoles, contre 11 actuellement.

(...) D'autres changements sont prévus sur les vols entre Londres et Chicago, Miami et Boston.

 

> Un indice de pollution pour les transporteurs

 

(source routard.com) 15 mars - Tout comme l’étiquette énergie, qui classe l’électroménager de A à G, l’ONG allemande Atmosfair a crée un indice un indice de la performance énergétique des compagnies aériennes. Baptisé "Atmosfair Airline Index", l’indice attribue 0 à 100 points à plus d’une centaine de compagnies aériennes en fonction de la quantité d’émission de CO2 par kilomètre et par passager, pour chaque type de trajet (court, moyen et long-courrier). Il décerne également une lettre, de A à G.

D'après l'ONG, la consommation de kérosène par passager et par kilomètre peut varier du simple au double selon les compagnies. Parmi les court-courriers, Air Europa est le premier de la classe tandis que Lufthansa (79ème) ou Alitalia (99ème) font office de mauvais élèves. Au classement général, Monarch Airlines prend la tête des compagnies les moins polluantes tandis qu’Air France arrive en 39ème position.

Mon commentaire : Je serai surpris que cette ONG dispose, pour chaque compagnie, des données fiables lui permettant d'établir un classement de qualité. Mais la démarche de transparence sur ce sujet est intéressante. Pour investir dans des avions neufs, moins gourmands en carburant et moins polluants, il faut au minimum une bonne santé économique des compagnies.

 

> L’Europe veut l’e-mail de Ryanair

 

(source airjournal) 16 mars - La compagnie aérienne low cost Ryanair ne suivrait pas les règles européennes en n’offrant pas à ses clients la possibilité de correspondre par e-mail, selon le commissaire européen aux services Michel Barnier.

Le quotidien anglais Daily Mail a révélé l’affaire, ajoutant qu’une lettre du commissaire précisait que la politique de la compagnie à bas coûts irlandaise était « incompatible » avec l’article 5 de la directive européenne sur le commerce électronique, qui exige des compagnies la fourniture d’une adresse e-mail à leurs clients. Cette adresse doit être « accessible facilement, directement et de façon permanente » aux clients comme aux autorités. M. Barnier avoue qu’il est « possible » que la loi ne soit pas « appliquée complètement » en Irlande. Et il ajoute que la Commission contactera les autorités irlandaises afin de s’assurer que Ryanair applique la loi.

La low cost a réagi par son porte-parole Stephen McNamara, qui reconnait que les clients ne peuvent la joindre que par voie postale ou au téléphone. Il ajoute que « cela ne va pas m’empêcher de dormir, notre façon de faire fonctionne depuis près de 20 ans », et précise que Ryanair s’applique à répondre sous sept jours après réception de la plainte – et qu’un passage à l’e-mail ralentirait probablement le tout, même s’il reste dans le domaine du possible.

Si c’est le cas, les passagers mécontents devraient retrouver un peu le sourire – le prix de l’appel téléphonique au service clientèle est en France de 0,34 euros par minute depuis une ligne fixe, mais dans le cas de problème d’utilisation du site ou de besoin d’aide pour une réservation en ligne, il faut y ajouter 1,34 euros de frais de connexion.

Mon commentaire : Ryanair ne manque pas d'air : elle exige l'usage d'internet pour vendre ses billets mais l'interdit pour les réclamations sous prétexte que ce serait trop lent ! La mauvaise foi est évidente.

 

Fin de la Revue de Presse

 

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(gratuit à partir d'un fixe en France)

 

> Mon commentaire sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM

Clôture de l'action Air France-KLM à 11,310 € le vendredi 18 mars.
La publication de nos résultats du 3ème trimestre, inférieurs aux prévisions des analystes, a fait chuter l'action AFKL. La baisse s'est amplifiée du fait des tensions géopolitiques, en particulier à la suite de la hausse du carburant qu'elles entrainent.

La moyenne des objectifs de cours (consensus) des principaux analystes pour l'action AFKL a baissé d'environ deux euros à 15,52 € en quelques semaines.

Le baril Brent (mer du nord) est à 114 $. Ce prix élevé du pétrole demeure une source d'inquiétude. Si les quotas de production restent inchangés, le prix devrait monter car la demande mondiale augmente.

Après une récession sans précédent, l'économie des pays émergents, des Etats-Unis et d'une partie de l'Europe a redémarré en 2010. La vigilance est de mise tant que les informations économiques ne s'améliorent pas significativement. Les déséquilibres budgétaires de nombreux états (Grèce, Portugal, Espagne, Irlande, puis Royaume-Uni, Etats-Unis voire France) font peser une menace sur la durabilité de la reprise, sur le cours des actions, dont la nôtre.

 

Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.

A bientôt.

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| Christian Magne

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