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| Christian Magne

Représentant des salariés actionnaires PS et PNC

navigaction.com

N°280, lundi 4 avril 2011,

La Revue de Presse du lundi...

> Des éléments du vol Rio-Paris localisés dans l'Atlantique

(source Reuters) 4 avril - Des éléments du vol Rio-Paris d'Air France, qui s'est abîmé au large du Brésil en juin 2009 faisant 228 morts, ont été localisés, a annoncé dimanche soir le BEA chargé de l'enquête technique.

Les enquêteurs ont désormais l'espoir de retrouver les boîtes noires de l'appareil susceptibles d'expliquer les causes de la catastrophe mais restent prudents.

"Pour l'instant, on reste très prudents. On a trouvé le site de l'accident et c'est le plus important", a déclaré Martine Del Bono, porte-parole du BEA sur BFM-TV. Depuis que l'appareil s'était abîmé au large du Brésil le 1er juin 2009 faisant 228 morts (des passagers de 32 nationalités, dont 72 Français et 59 Brésiliens) et aucun survivant, quatre phases de fouilles en mer ont eu lieu pour retrouver l'épave.

La dernière phase, entamée le 25 mars, s'est révélée fructueuse dans un délai très rapide. Des éléments de l'avion d'Air France ont été localisés "dans les dernières vingt-quatre heures", a annoncé le BEA dans un communiqué. Ces éléments "ont été identifiés par les enquêteurs du BEA comme appartenant à l'épave de l'avion A330-203, vol AF 447", accidenté le 1er juin 2009", ajoute l'organisme.

"C'est une excellente nouvelle qui récompense notre ténacité" pour apprendre "la vérité sur ce crash", s'est félicité sur LCI Robert Soulas, vice-président de l'association des victimes de l'accident. Selon lui, "il va s'écouler environ 2 ou 3 semaines" avant de pouvoir rapatrier les éléments retrouvés. Un bateau capable de les transporter doit être notamment acheminé sur place.

Fin mars, les compagnies Airbus et Air France ont été mises en examen comme personne morale dans l'enquête sur la catastrophe du vol Rio-Paris. Depuis le début de l'enquête, une défaillance des sondes de vitesse Pitot a été mise en cause dans la catastrophe.

Mais le BEA estime que ce problème n'explique pas à lui seul la chute de l'avion. La découverte des boîtes noires, si ces dernières s'avèrent exploitables après un long séjour en eaux profondes, pourrait lever les doutes sur les causes de la catastrophe.

> Air France : des éléments du vol AF447 retrouvés dans l'océan

(source Boursier.com) 4 avril - Le Bureau d'Enquêtes et d'Analyses (BEA) informe qu'au cours des opérations de recherches en mer effectuées dans les dernières vingt-quatre heures et dirigées par WHOI, l'équipe à bord du navire "Alucia" a localisé des éléments d'avion (...).

"Air France a été informé par le Bureau d'Enquêtes et d'Analyses de la localisation d'éléments de l'Airbus A330 effectuant la liaison Rio-Paris Charles de Gaulle qui s'est abîmé en mer le 1er juin 2009. Cette localisation, quelques jours à peine après le lancement de la 4ème phase de recherche en mer financée par Air France et Airbus, est une très bonne nouvelle car elle porte l'espoir de recueillir enfin des informations sur les causes de cet accident à ce jour inexpliqué.

Des réponses vont peut-être ainsi être apportées aux questions que se posent depuis le 1er juin 2009 les familles des victimes, notre compagnie et l'ensemble de la communauté aérienne mondiale quant aux faits ayant conduit à ce tragique accident.

Au nom de toute la compagnie, je remercie les autorités françaises qui ont poursuivi leurs recherches avec des moyens sans précédent ainsi que l'équipage du navire Alucia et toutes les équipes qui vont ainsi contribuer, nous l'espérons tous, à la récupération des enregistreurs de vol", affirme de son côté, Pierre-Henri Gourgeon, Directeur général d'Air France KLM.

Mon commentaire : Les enregistreurs de vol récents et leurs mémoires internes, dont sont équipés l'AF447, sont plus robustes que ceux d'autrefois. La perspective de connaitre enfin le scenario du drame s'élargit. Même si les enregistreurs ne sont pas retrouvés ou s'ils sont inexploitables, les autres éléments retrouvés apporteront des renseignements supplémentaires pour aider à comprendre l'origine du drame.

> Air France-KLM augmente le tarif de tous ses vols

(source lexpress.fr) 1er avril - PARIS - Le groupe Air France-KLM a procédé vendredi, pour la première fois depuis octobre 2009, à une augmentation générale du prix de ses billets, a-t-on appris auprès d'une porte-parole, qui a justifié cette hausse par l'inflation et la nécessité de maintenir les investissements.

"Le 31 mars (jeudi), Air France-KLM a introduit une augmentation générale (tous marchés, toutes lignes) de ses tarifs à partir du 1er avril" (vendredi), a-t-elle indiqué, confirmant une information du Quotidien du Tourisme.

"Hors coûts carburant, l'indice des coûts du groupe augmente structurellement dans un contexte économique caractérisé par une accélération de l'inflation", a-t-elle commenté.

La porte-parole a expliqué que ces augmentations permettraient au transporteur "de maintenir un niveau d'investissement significatif afin de continuer à toujours développer les offres et les services" proposés à ses clients.

A titre d'exemple, au départ du marché France en classe économique, un passager devra débourser deux euros supplémentaires pour un aller-retour court-courrier, entre 4 et 14 euros pour un vol moyen-courrier et entre 20 et 50 euros pour un aller-retour long-courrier.

Interrogée en outre sur l'éventuelle corrélation entre l'augmentation de ses prix et les troubles géopolitiques notamment en Côte d'Ivoire (pays vers lequel la compagnie française a annulé son vol jeudi), la porte-parole a assuré que les deux n'étaient pas "corrélés".

En février, le groupe avait prévenu que les intempéries combinées au développement de facteurs d'insécurité sur plusieurs destinations d'Air France-KLM (Niger, Mauritanie et Mali, Côte d'Ivoire, Tunisie et Egypte) auraient "des répercussions négatives sur la qualité des recettes du quatrième trimestre" (exercice clos fin mars).

Dans le sillage des autres compagnies aériennes, Air France avait déjà augmenté le 1er février la surcharge carburant payée par ses passagers, en raison de la hausse persistante du prix du pétrole.

Cette taxe supplémentaire est de deux euros sur un trajet court ou moyen-courrier et de 10 euros sur un vol long-courrier.

Yan Derocles, analyste chez Oddo Securities, a estimé que l'augmentation générale des prix appliquée vendredi était "plutôt un bon signe compte tenu des augmentations des prix du kérosène".

"Nous restons convaincus qu'il y a des zones qui peuvent absorber cette surcharge (surcoût pétrole) telles que l'Asie ou l'Amérique Latine. Mais tout ce qui participe à la compensation de cette hausse de carburant est une bonne chose", a-t-il commenté.

Il a enfin jugé que "l'augmentation de la facture pétrolière sera transférée sur le passager ou le cargo". (...)

Le groupe doit publier l'évolution de son trafic du mois de mars la semaine prochaine et ses résultats annuels le 18 mai.

> Air France-KLM : CSA demande le divorce

(source Tradingsat.com) 28 mars - Le torchon brûle entre Air France-KLM et Czech Airlines (CSA). Il y a une semaine, le site Internet Tourmag.com annonçait la suspension, à la demande unilatérale de CSA, de l'accord de partage de codes sur les liaisons Paris-Prague, qui permettait aux deux partenaires de proposer ensemble six vols quotidiens sur la ligne.

La suspension, qui a pris effet hier, 27 mars, porte également sur « les code-share sur les vols en correspondances au-delà de Paris et Prague », précise aujourd'hui La Tribune. Soit une quinzaine de destinations pour chacune des deux compagnies.

Mais ce n'est pas tout. Le quotidien révèle également, sans citer de sources, que « c'est carrément toute la joint-venture [collaboration permettant le partage des coûts et recettes sur un programme commun, NDLR] entre les hubs des deux compagnies de Paris et de Prague qui prend fin ».

La Tribune rappelle que « ce divorce n'est que l'ultime étape d'une dégradation des relations entre les deux compagnies depuis moins de trois ans ». Une période au cours de laquelle Air France a participé (sans succès) à l'appel d'offres pour le rachat de l'autrichienne Austrian Airlines, vue comme une menace dans la région, mais s'est également retirée du dossier de la privatisation de CSA...

Mon commentaire : La brouille CSA/Air France devrait se dissiper rapidement. Les deux compagnies discutent déjà d'un nouvel accord de partages de code.

> Air France, première compagnie européenne à offrir des vols vers le Cambodge

(Source : Communiqué de presse) 31 Mars - Le vol inaugural AF 274 Paris - Phnom Penh s’est posé aujourd’hui à l’aéroport international de Phnom Penh. Après 37 ans d’absence, Air France propose à nouveau 3 vols hebdomadaires (aller-retour) entre Paris et le Cambodge.

Pierre-Henri Gourgeon, Directeur Général d’AIR FRANCE KLM a déclaré : « Nous sommes fiers d’être la première compagnie européenne à offrir à nouveau des vols réguliers entre l’Europe et le Cambodge, dans un contexte de croissance de notre offre en Asie. » Il a ajouté : « Ces trois nouveaux vols hebdomadaires favoriseront les liens économiques et culturels avec cette région si dynamique et répondent à une forte demande de nos clients loisirs. » Ces vols sont opérés en Airbus A340-300 (275 sièges dont 30 en Affaires, 21 en Premium Voyageur et 224 en classe Voyageur / économique), puis - à compter du 9 mai 2011 - en Boeing 777-200 (309 sièges dont 35 en Affaires, 24 en Premium Voyageur et 250 en classe Voyageur / économique).

Cette nouvelle ligne devrait également permettre d’amplifier les opportunités de transports de marchandises (produits frais, textiles, etc.) entre la France et le Cambodge. Air France proposera des soutes offrant des capacités hebdomadaires de fret pouvant atteindre 40 tonnes.

L'ouverture de Paris – Phnom Penh s’inscrit dans un contexte de croissance de (+5,7%) de l’offre du groupe AIR FRANCE KLM, avec l’ouverture de 11 nouvelles destinations en 2011 : Phnom Penh, Bata, Billund, Freetown, Lima, Monrovia, Orlando et Cancun pour Air France, et Xiamen, Miami et Aalborg pour KLM.

Mon commentaire : Dans les années à venir, les populations de pays émergents vont accéder au transport aérien. La desserte des villes en développement de ces pays sera une condition essentielle du maintien d'Air France-KLM dans le peloton de tête des compagnies aériennes.

> Un avion transavia.com pour Thomas Cook basé à Lille pour plus de destinations cet été

(source lavoixeco) 29 mars - Un avion transavia.com sera basé à l'aéroport de Lille à partir du 15 avril.

Le tour opérateur Thomas Cook espère ainsi transporter 110 000 voyageurs au départ de Lesquin (contre 72 000 en 2010) vers près d'une vingtaine de destinations : Agadir, Marrakech (Maroc), Split, Dubrovnik (Croatie), Heraklion (Crète), Rhodes (Grèce), Djerba, Enfidha (Tunisie), Antalya, Izmir, Bodrum (Turquie), Palma, Ibiza (Baléares), Malaga (Espagne), Ténérife (Canaries) et, pour cinq week-ends chacune, Cracovie (Pologne), Prague (République Tchèque), Venise (Italie).

> Lufthansa met en ligne l'A380 sur Miami

(source capaero.fr)  Posté le 31/03/2011 dans Compagnies aériennes par thomas © Lufthansa La liste des destinations desservies en A380 par Lufthansa aux Etats-Unis s'allonge. Miami sera ainsi la troisième destination américaine desservie par l'A380 après New York JFK et San Francisco.

A partir du 10 Juin 2011, Lufthansa opérera un vol quotidien entre Francfort et Miami. L'avion remplacera les Boeing 747-400 sur cette ligne, et opérera avec les numéros de vols LH 462 et LH 463. La cabine pourra accueillir un total de 526 passagers et sera configurée avec huit sièges en Première classe, 98 en classe Affaires et 420 en classe économique. Les tarifs resteront inchangés, soit à partir de 787 € TTC l'aller/retour.

Lufthansa sera la première compagnie aérienne à exploiter l'A380 à l'aéroport international de Miami. Lufthansa est présent à l'aéroport de Miami depuis plus de trente ans, une destination populaire aussi bien auprès des voyageurs de loisirs que d'affaires

> SAS : la Norvège veut vendre sa participation de 14,3%, jugée "non déterminante"

Oslo (source awp/afp) 1er avril - Le gouvernement norvégien va céder sa part de 14,3% dans la compagnie aérienne en difficulté SAS, a annoncé vendredi le ministre du Commerce et de l'Industrie, Trond Giske.

"Nous souhaitons vendre les actions que l'Etat détient dans SAS", a déclaré M. Giske lors de la présentation d'un Livre Blanc sur les participations financières de l'Etat norvégien.

Le gouvernement de centre-gauche va demander les pleins pouvoirs au Parlement, où il dispose de la majorité, pour réaliser cette cession, a-t-il dit.

La Suède et le Danemark, qui détiennent respectivement 21,4% et 14,3% de la compagnie aérienne, ont aussi exprimé leur intention de céder leurs parts.

"Nous ne considérons pas que notre présence au capital de SAS est déterminante pour le maintien d'une bonne offre dans le transport aérien ni qu'elle soit justifiée par d'autres raisons", a expliqué M. Giske.

La presse économique scandinave a longtemps spéculé sur un rachat de SAS par une des grosses compagnies européennes telles qu'Air France-KLM, Lufthansa et British Airways.

Déjà partenaires au sein de la même alliance, Star Alliance, l'allemand Lufthansa est considéré comme le favori. (...)

Durement concurrencée par les compagnies à bas coûts, notamment la norvégienne Norwegian, SAS peine avec des problèmes récurrents de rentabilité.

L'an dernier, le groupe a essuyé une perte de 2,22 milliards de couronnes malgré une incursion dans le vert au dernier trimestre.

Pour 2011, SAS, qui a lancé en 2009 un plan de restructuration avec près de 5.000 suppressions d'emplois pour sortir du rouge, s'attend à des pertes au premier trimestre mais vise un bénéfice sur l'ensemble de l'année.

Mon commentaire : Les états propriétaires de la majorité du capital de SAS peinent à trouver des candidats à la reprise de leurs parts. Le prétendant naturel au rachat est Lufthansa car SAS est membre de Star Alliance, mais la compagnie allemande, semble-t-il, fait une pause dans ses acquisitions d'autres compagnies.

> Ryanair devancée par Manchester United au classement de l'impopularité

(source deplacementspro) 30 mars - Quel est le point commun entre le club de Manchester United, Ryanair et la compagnie du gaz British Gas ? C'est simple : elle constituent le tiercé de l'impopularité au Royaume-Uni.

La compagnie low-cost se classe ainsi deuxième d’un sondage visant à déterminer les entreprises les plus haïes en Grande-Bretagne : seuls les footballeurs de Manchester United ont réussi à faire mieux... ou pire, c'est selon... Le sondage réalisé récemment par Online Opinions auprès de 1000 personnes, et relayé ce lundi par le tabloïd The Sun, attribue 23% des suffrages à la compagnie aérienne.

Les personnes interrogées se disent dans la plupart des cas lassées des tentatives permanentes de Ryanair visant à gagner de l’argent de multiples manières (...).

Mon commentaire : Le vent tourne pour Ryanair ? A quand la stagnation de ses ventes.

> Ryanair / Directive EU261 : 2€ seront « prélevés » pour chaque réservation effectuée

(source quellecompagnie.com) 29 mars - La compagnie irlandaise Ryanair a annoncé aujourd’hui le « prélèvement » à venir de 2 € sur le montant de chaque réservation (par passager) effectuée à partir du 4 avril 2011.

Ryanair justifie ce surcoût en raison de l’obligation qui lui est faite d’appliquer la directive EU261. Cette directive européenne prévoit notamment l’indemnisation des passagers en cas d’annulation ou de retard important de leur vol. Elle impose également aux compagnies de supporter certains coûts annexes, comme l’hébergement, le repas, ou encore le prix de deux communications téléphoniques.

Ces aléas ont été particulièrement nombreux l’année dernière : nuage du volcan islandais Eyjafjöll, grèves (en Espagne ou en France notamment) ou encore épisode neigeux remarquable. La compagnie estime que ces événements lui ont coûté 100 millions d’euros, en raison notamment de l’application de cette directive, jugée injuste et discriminatoire par Ryanair.

Ce surcoût s’appliquera donc aux réservations effectuées à compter du lundi 4 avril 2011 et vise, selon la compagnie, à compenser ces dépenses exceptionnelles. Cette annonce vient s’ajouter aux deux hausses de prix observées ces derniers mois : celle des « frais d’enregistrement en ligne » (en décembre 2010) ainsi que celle des « frais administratifs » (ce mois-ci).

Appliquées à chaque fois de façon homéopathique par Ryanair, ces hausses successives influent de façon non négligeable sur le prix final du billet. Mais la compagnie irlandaise peut ainsi réaffirmer, sans risque d’être démentie, qu’elle ne facture aucune surcharge carburant à ses clients.

> Le gouvernement espagnol, Iberia Airlines et Airbus lancent une initiative sur les biocarburants

(source challenges.fr) 31 mars -  Le gouvernement espagnol, Iberia Airlines et Airbus ont signé un accord portant sur le développement d'une chaîne de valeur espagnole complète, dont le but est la production de biocarburant avion durable et renouvelable, pour une utilisation commerciale.

D'autres acteurs majeurs se joindront sous peu à cet accord. Parmi les signataires de cet accord passé à Madrid, figurent Isaías Táboas Suárez, Secrétaire d'Etat espagnol aux Transports, Antonio Vazquez, Président d'Iberia Airlines, et Tom Enders, Président et CEO d'Airbus .

Cet accord encourage et soutient les initiatives visant à développer une chaîne complète de production de biocarburants pour l'aviation espagnole, en utilisant des ressources durables, de la production à la consommation par l'aviation commerciale, avec une attention particulière portée sur l'analyse économique et technique.

"La mise en place des biocarburants par l'industrie aéronautique espagnole afin de développer une chaîne de valeur espagnole complète permettra de réduire otre dépendance envers l'énergie fossile, rendra nos sociétés plus compétitives grâce à la réduction des coûts associés au CO2 et créera de la valeur et de la richesse dans d'autres secteurs de notre économie nationale", a déclaré Isaías Táboas. "Nous sommes totalement convaincus que les secteurs public et privé peuvent coopérer dans le développement et la mise en place de cette initiative."

Fin de la Revue de Presse

(source Tradingsat.com) 1er avril - (...) Citigroup a dégradé sa recommandation de "Achat" à "Conserver" en ramenant l'objectif de cours à 13,7 euros, contre 16 euros précédemment. Le broker justifie sa décision en soulignant l'exposition importante de la compagnie aérienne aux régions du nord et de l'ouest de l'Afrique, ainsi qu'au Japon et à l'Europe.

| Vous pouvez obtenir l'information la plus large possible sur l'épargne salariale et l'actionnariat salarié en appelant Air France au numéro vert  0 800 04 2000

(gratuit à partir d'un fixe en France)

> Mon commentaire sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM

Clôture de l'action Air France-KLM à 11,645 € le vendredi 1er avril. La publication de nos résultats du 3^ème trimestre, inférieurs aux prévisions des analystes, a fait chuter l'action AFKL. La baisse s'est amplifiée du fait des tensions géopolitiques, en particulier à la suite de la hausse du carburant qu'elles entrainent. La catastrophe japonaise devrait affecter la clientèle touristique dans cette région.

La moyenne des objectifs de cours (consensus) des principaux analystes pour l'action AFKL a baissé  en quelques semaines de plus de deux euros à 15,25 €.

Le baril Brent (mer du nord) est à 117 $. Ce prix élevé du pétrole demeure une source d'inquiétude. Si les quotas de production restent inchangés, le prix devrait monter car la demande mondiale augmente.

Administrateur Air France-KLM représentant les salariés actionnaires PS et PNC

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