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| Lettre de l'Administrateur Air France-KLM

| Christian Magne

Représentant des salariés actionnaires PS et PNC


navigaction.com

N°299, lundi 15 août 2011,

 

La Revue de Presse du lundi...

 

> Air France-KLM : La compagnie aérienne la plus vulnérable selon Credit Suisse

 

(source Tradingsat.com) 10 août - Credit Suisse a réitéré sa recommandation "Sous-performance" et son objectif de cours de 8,1 euros sur Air France-KLM, qui est "la compagnie aérienne la plus vulnérable aux préoccupations macroéconomiques" selon le broker.

Dans le pire des scénarios, Credit Suisse estime qu'Air France-KLM pourrait flirter en 2012 avec la perte de 1,3 milliard d'euros enregistrée en 2009, à cause du manque de flexibilité de sa base de coût et de l'intensification de la concurrence.

Dans son "scénario de base", Credit Suisse envisage la génération par la compagnie d'un résultat opérationnel limité à 45 millions d'euros en 2011, suivi d'un bénéfice de 481 millions d'euros en 2012.

Au final, en dépit de la lourde chute enregistrée par l'action Air France-KLM pendant la tempête boursière de ces derniers jours, Credit Suisse ne voit qu'un faible potentiel de hausse pour le titre en Bourse, d'a peine 10% par rapport au cours actuel (7,3 euros).

Mon commentaire : L'analyste de 'Crédit Suisse' met en évidence la sensibilité de notre groupe aux variations de la conjoncture. Les incertitudes économiques et géopolitiques s'enchainent si vite que nous n'avons pas de répit pour trouver les bonnes réponses à la concurrence. Le trimestre juillet/septembre s'annonce plutôt bon. Il faudrait enchainer suffisamment de bons résultats trimestriels, sans fléchir, pour inspirer de nouveau confiance.

 

> Air France pourrait avoir besoin de capitaux en cas de crise selon le Crédit Suisse

 

(source Boursier.com) 11 août - Le Crédit Suisse s'intéresse au secteur aérien avec la montée en puissance des préoccupations macroéconomiques au cours des dernières semaines et l'impact probable sur les actions des transporteurs ainsi que la réponse potentielle à apporter en cas de détérioration continue des perspectives économiques. Le broker ne change pour le moment aucun de ses conseils et confirme ainsi sa recommandation "surperformer" sur le titre IAG qui reste le choix favori du broker dans l'industrie étant donnée sa forte exposition au marché premium transatlantique.

Selon le courtier, IAG et LHA sont les mieux équipés pour résister à une autre crise. Le groupe issu de la fusion entre Iberia et British Airways devrait avoir plus d'outils à sa disposition pour éviter des pertes au niveau opérationnel alors que LHR conserve une certaine résilience, que les synergies issues de la fusion sont à venir, et que les économies de coûts chez BA compenseront la faiblesse espagnole.

La résilience de Lufthansa été diluée par bmi / Austrian, mais le courtier pense que la restructuration depuis 2009 devrait permettre au transporteur de rester au-dessus des 130 ME de profits annuels.

Le Crédit Suisse estime enfin qu' Air France-KLM et qu'Air Berlin pourraient avoir besoin de capitaux supplémentaires (...).

 

> AF 447 : le silence des autorités

 

(source lexpress.fr) 11 août - L'agence européenne de la sécurité aérienne (AESA) a de nouveau été interpellée par Air France.

Saisie le 1er août par Air France sur le dysfonctionnement des alarmes qui aurait pu perturber les pilotes du vol AF 447 Rio-Paris, l'Agence européenne de la sécurité aérienne (AESA) a décidé de prendre son temps pour répondre et rappelle que c'est au Bureau d'enquêtes et d'analyses de faire des recommandations (BEA).

Elle assure ne pas avoir reçu d'autres signalements au sujet du fonctionnement des alarmes. Pourtant, en 2008, dans un rapport transmis à la Direction générale de l'aviation civile française sur des incidents similaires à celui de l'AF 447 (perte des indications de vitesse), la compagnie Air Caraïbes faisait état de "deux alarmes stall [décrochage] inappropriées".

L'information serait-elle passée inaperçue ? Une chose est sûre, l'AESA ne brille pas par sa réactivité : la modification de la certification des sondes Pitot, recommandée par le BEA en décembre 2009, n'a pas encore abouti.

 

> Des hôtesses de l'air chinoises à bord des vols d'Air France

 

(source quotidien du peuple) 4 août - Lors d'une interview accordée à la presse, le directeur général de la section Chine du groupe Air France-KLM, Frédéric Kahane, a souligné que le groupe KLM attache une grande importance au marché chinois et que la compagnie projette de mettre des hôtesses de l'air chinoises sur les lignes aériennes reliant la Chine à l'Europe.

« La Chine est un marché émergent. C'est pourquoi Air France attache une grande importance aux lignes aériennes vers la Chine », a révélé Frédéric Kahane aux journalistes du Quotidien de Guangzhou. Pour faire face à la demande de la part des passagers chinois, dont le nombre augmente à une grande vitesse, Air France proposera davantage de services adaptés aux passagers chinois. « Après l'augmentation du nombre de vols vers la Chine, on projette d'engager plus d'hôtesses de l'air chinoises à bord, leur nombre passant de une à trois sur chaque vol. Par ailleurs un service d'information en chinois sera fourni dans les aéroports à l'arrivée.

Par exemple, à l'aéroport de Charles de Gaulle, en plus des services en langue chinoise qui sont déjà fournis par Air France, l'aéroport proposera des émissions de radio en langue chinoise sur toutes les lignes aériennes reliant la Chine à la France pour mieux informer les passagers chinois. » a révélé Frédéric Kahane au Quotidien de Guangzhou.

Par ailleurs, selon le journal chinois « Southern Metropolis Daily », les repas chinois seront également proposés sur les vols d'Air France. En 2007, Air France a lancé des repas à la chinoise à bord, en coopérant avec le célèbre restaurant chinois « Qiaojiangnan ». Les passagers peuvent également lire des magazines, des journaux chinois, et regarder des films chinois et des informations de la chaîne de télévision CCTV 1. De plus, selon Frédéric Kahane, Air France compte faire la promotion de son offre « Premium Voyageur » en Chine, qui est très populaire en Europe. Par rapport à la classe économique, l'espace personnel dans la classe « Premium Voyageur » a augmenté de 40% (...).

Mon commentaire : Le marché chinois est celui qui offre les perspectives les plus prometteuses, en nombre de passagers. Mais les compagnies chinoises gagnent en crédibilité et les chinois pourraient rapidement les préférer aux nôtres. Il importe donc d'offrir aux chinois le meilleur service, adapté aux particularités de cette clientèle.

 

> Retour aux profits pour Virgin Atlantic

 

(source capaero.fr) 10 août - Virgin Atlantic a annoncé aujourd'hui un investissement de 100 millions de livres dans le développement de son produit à l'occasion du retour de la compagnie aérienne à la profitabilité.

Malgré la fermeture hivernale de l'aéroport de Londres Heathrow et la crise du nuage de cendres volcaniques qui ont coûté à l'entreprise environ 40 millions de livres, une forte croissance du trafic affaires a permis de réaliser un bénéfice d'exploitation avant impôts de 18,5 millions de livres.

Le taux de remplissage s'est amélioré et l'activité cargo a rebondi de 39%. Steve Ridgway, directeur général de Virgin Atlantic, a déclaré: "Nous avons démontré la résilience de notre activité dans une conjoncture très difficile pour le transport aérien.

Cette forte reprise au cours de la première moitié de l'année a toutefois été tempérée dans la dernière période en raison d'une capacité accrue sur le marché et les prix élevés du carburant."

Cette année, Virgin Atlantic va donc entreprendre d'améliorer son produit en vol et au sol pour un investissement de 100 millions de livres. L'arrivée d'un nouvel Airbus A330, l'augmentation des fréquences vers les Caraïbes et le lancement d'une ligne vers Accra va créer 1000 emplois au sein de la compagnie, notamment des PNC et PNT.

 

> Taxes sur les cartes de crédit : Lufthansa aussi

 

(source airjournal.fr) 10 août - Il fallait s’y attendre : après ses filiales Brussels Airlines et Swiss International Airlines, la compagnie aérienne Lufthansa va taxer tous les paiements par carte de crédit, quel que soit le mode de réservation.

La compagnie nationale allemande mettra en place le 2 novembre 2011 une taxe OPC (Optional Payement Charge) sur tous les vols au départ d’Allemagne, de Belgique, de Finlande, du Royaume Uni, des Pays-Bas et de Suisse, valable en ligne comme en agence.

Cette taxe s’élèvera par billet à 5 euros sur les vols domestiques, 8 euros sur les vols européens et 18 euros sur les vols intercontinentaux.

Seuls ces six pays sont apparemment concernés, la France et le reste du monde y échappant au moins pour le moment. La compagnie de Star Alliance justifie sans surprise sa décision par « la hausse ces dernières années des coûts de transaction liés aux paiements, et le développement de nouvelles formes de paiement ». Et d’ajouter qu’elle prélève une taxe depuis 2006 sur les réservations directes (site internet, comptoir ou centres d’appel).

Lufthansa précise que resteront exemptés de cette taxe les paiements en cash, ceux online par carte de débit, ceux par carte Maestro aux comptoirs de la compagnie, et pour les clients corporate ceux par AirPlus Debit Account, un produit financier qui sera mis en place début novembre – par Lufthansa elle-même… Outre Lufthansa, Brussels Airlines et Swiss, les autres compagnies du groupe (British Midland Bmi et Austrian Airlines) vont également mettre en place un système similaire d’ici début novembre.

 

> IAG lorgne sur TAP Portugal et parle alliances

 

(source airjournal) 11 août - Le président d’IAG, groupe aérien issu de la fusion en 2010 de British Airways et d’Iberia, se déclare prêt à acheter la compagnie aérienne TAP Portugal, dès que le gouvernement portugais aura décidé de sa date de mise en vente, selon un entretien au Daily Telegraph.

Willie Walsh, patron d’IAG, a confirmé dans les colonnes du Daily Telegraph être prêt à phagocyter la compagnie portugaise TAP Portugal, dès que le gouvernement aura donné le feu vert à sa mise en vente. Rien de nouveau quelque part, puisque tout le monde savait que TAP Portugal intéressait le groupe anglo-espagnol – et aussi Lufthansa, Air France-KLM, TAM Brazilian et LAN Chile, Avianca – Taca.

Pas de négociations entamées entre les deux entités jusqu’à maintenant puisque le gouvernement portugais, en recherche de trésorerie pour combler son déficit budgétaire, n’a pas encore annoncé la date de mise en vente de sa compagnie nationale. Malgré l’incertitude que provoque le plongeon de l’ensemble des bourses européennes, Willie Walsh lorgne donc sur TAP Portugal avec son réseau conséquent en Amérique du Sud et ses « huit villes desservies au Brésil ». « C’est suffisant pour justifier que nous gardions un œil sur la TAP. »

Wilie Walsh s’est aussi exprimé sur les alliances respectives des deux compagnies sud américaines TAM Brazilian et LAN Airlines qui doivent fusionner, a priori en début d’année prochaine si les autorités de la concurrence chilienne donnent leur accord à la fin de ce mois d’août. British Airways et Iberia sont membres de Oneworld. TAM Brazilian est membre de Star Alliance (comme Lufthansa) alors que LAN Chile est membre de Oneworld (comme donc les deux compagnies d’IAG).

Pour lui, il n’y a pas de contradiction à ce que les deux compagnies restent dans leur alliance respective à court terme même si cela semble moins réalisable « à long terme ». Il encourage donc LAN Airlines à rester dans leur alliance, même après leur fusion. « Nous croyons que nous pouvons répéter ce que Star Alliance a donné à TAM Airlines d’un point de vue européen », a-t-il affirmé. Quant à TAP Portugal, elle fait toujours partie de Star Alliance. Son rachat par telle compagnie décidera certainement de son maintien dans celle-là ou de son adhésion dans une autre alliance.

 

> Alliance commerciale entre Delta Airlines et Aeromexico

 

(source capaero.fr) 11août - Delta Air Lines et Aeromexico ont annoncé hier une alliance commerciale exclusive. Dans le cadre de l'accord, Delta va investir 65 millions de dollars dans Aeromexico. "Aeromexico est un partenaire solide pour Delta au Mexique et en Amérique latine.

En formant un partenariat commercial sur le long-terme, nous mettrons à profit les atouts de nos deux réseaux pour offrir des prestations élargies à la clientèle dans le but de construire les bases d'une joint-venture sur le marché Mexique - Etats-Unis", a déclaré le directeur général de Delta Airlines, Richard Anderson.

L'alliance entre les deux compagnies membres de Skyteam permettra notamment la mise en place d'un partage de codes sur l'ensemble des réseaux de Delta Airlines et Aeromexico.

 

> L'économie entre dans une phase "dangereuse", selon le chef de la Banque mondiale

 

(source AFP) 13 août - L'économie mondiale est entrée dans une "phase nouvelle et plus dangereuse", et les pays de la zone euro vont devoir réagir rapidement, a estimé samedi le président de la Banque mondiale, Robert Zoellick.

Même si c'est la baisse de la note de la dette américaine par l'agence de notation Standard and Poor's qui a provoqué la panique des marchés, M. Zoellick juge la crise de la dette des pays européens plus inquiétante dans l'immédiat.

Avec la Grèce et le Portugal assommés par leur dette et d'autres pays menacés, et sans possibilité de dévaluation, "les défis auxquels la zone euro est confrontée pourraient se révéler les plus importants", estime-t-il dans une interview publiée samedi par l'hebdomadaire australien The Weekend Australian Magazine.

Les investisseurs commencent à se demander combien de temps l'Allemagne et la France vont pouvoir continuer à soutenir les pays menacés sans se mettre elles-mêmes en danger de voir leur note abaissée à son tour.

"Nous sommes au début d'une tempête nouvelle et différente, ce n'est pas la même crise qu'en 2008. (...) Dans les quinze derniers jours, nous sommes passés d'une reprise difficile - avec une bonne croissance pour les pays émergents et quelques pays comme l'Australie mais bien plus hésitante pour les pays les plus développés - à une phase nouvelle et plus dangereuse", a-t-il expliqué.

La crise dans la zone euro "pourrait bien être le défi le plus important" pour l'économie mondiale, a poursuivi M. Zoellick, engageant les pays européens à prendre les mesures nécessaires le plus rapidement possible.

"La leçon de 2008, c'est que plus on attend et plus les mesures doivent être sévères", a-t-il rappelé. "La plupart des pays développés ont déjà utilisé toute leur marge de manœuvre fiscale, et la politique monétaire est aussi souple qu'elle peut l'être", mais cela a été insuffisant, selon M. Zoellick, qui laisse entendre qu'il faudrait passer à un régime plus rigoureux.

Il a sur ce point encouragé le Premier ministre britannique David Cameron à maintenir, malgré les émeutes, les mesures d'austérité annoncées ces derniers mois, qui sont "vraiment nécessaires".

M. Zoellick a par ailleurs souligné que des changements dans l'équilibre des pouvoirs dans le monde étaient en cours. La puissance et l'influence sont en train de basculer "très rapidement, selon les critères historiques", vers les économies émergentes avec à leur tête la Chine, a déclaré le président de la Banque mondiale, relevant toutefois que Pékin est "un acteur réticent" du système global.

La Chine a en effet ses propres soucis à gérer: éviter la surchauffe de son économie, mais aussi limiter la pollution, réformer son système financier et maintenir l'équilibre entre entreprises publiques et privées. Une réévaluation du yuan, a souligné M. Zoellick, aiderait à modérer l'inflation, mais rendrait les produits étrangers moins chers sur le marché chinois, ce qui pose des problèmes politiques.

La Chine veut également améliorer la protection sociale de sa population, mais sans aller jusqu'au modèle européen, a-t-il ajouté. "Ils me disent (...) qu'il coûte trop cher".

 

Fin de la Revue de Presse

 

> Air France-KLM : UBS réduit son objectif de cours

 

(source cerclefinance.com) 11 août UBS réaffirme sa position 'neutre' sur Air France-KLM et réduit son objectif de cours de 9,4 à 7,95 euros dans le sillage de ses multiples de valorisation, étant donnée l'incertitude des perspectives pour le transporteur aérien.

Soulignant que le titre a chuté de près de moitié depuis le début de l'année, UBS considère qu'une partie de la sous-performance de l'action par rapport à ses pairs provient d'une performance opérationnelle plus pauvre, avec une moindre capacité de réductions de coûts.

'Toutefois, nous pensons qu'une partie de cette sous-performance est liée à des facteurs externes au groupe, comme le tsunami japonais et les troubles dans le monde arabe', nuance le courtier.

Se déclarant significativement en dessous des consensus pour 2011 et 2012, UBS ne modifie pas ses propres estimations pour Air France-KLM, mais considère que la probabilité de changements des consensus demeure orientée à la baisse.

 

| Vous pouvez obtenir l'information la plus large possible sur l'épargne salariale et l'actionnariat salarié en appelant Air France au numéro vert  0 800 04 2000

(gratuit à partir d'un fixe en France)

 

> Mon commentaire sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM

 

Clôture de l'action Air France-KLM à 7,194 € le vendredi 12 aout. Les marchés restent en baisse ce lundi 8 août.

Plusieurs analystes ont réduit leur objectif de cours AFKL à la suite de la publication de nos résultats trimestriels et perspectives. La moyenne des objectifs de cours (consensus) des principaux analystes pour l'action AFKL descend à 11,37 €.

Le règlement de la question grecque, de la dette américaine ou italienne pèse encore sur le cours des actions.

Les déséquilibres budgétaires de nombreux états (Grèce, Portugal, Espagne, Irlande, Italie puis Royaume-Uni, Etats-Unis voire France) font peser une menace sur la solidité de la reprise et sur le cours des actions, dont la nôtre.

La vigilance reste de mise tant que les informations économiques mondiales ne s'améliorent pas significativement. Le baril Brent (mer du nord) baisse à 107 $. Le prix élevé du pétrole demeure une source d'inquiétude. Si les quotas de production restent inchangés, le prix devrait monter car la demande mondiale augmente. Une part de ce prix provient d'achats spéculatifs anticipant la hausse.

Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.

Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur du groupe Air France-KLM

Vous pouvez aussi me poser, par retour, toute question relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...

A bientôt.

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| Christian Magne

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