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| Lettre de l'Administrateur Air France-KLM | |
| Christian Magne Représentant des salariés actionnaires PS et PNC |
N°346, lundi 9 juillet 2012 La Revue de Presse du lundi... > Air France : Plan signé au sol, blocages chez les navigants PARIS, (source Reuters) 6 juillet - Air France est assurée d'obtenir ce vendredi la signature de son plan de restructuration par suffisamment des syndicats du personnel au sol, qui représentent la grande majorité des effectifs, mais des blocages subsistent du côté des personnels navigants qui négocient encore. La compagnie Air France, largement responsable des pertes du groupe franco-néerlandais formé avec la compagnie KLM, prépare un plan de restructuration censé permettre au groupe d'économiser deux milliards d'euros en deux ans et demi afin de réduire sa dette d'autant. La CFDT, FO et la CFE-CGC ont confirmé leur intention de signer l'accord pour le personnel au sol qui représente la grande majorité des 49.300 salariés sous contrat français. A eux trois, ces syndicats représentent plus de 30% des voix, le seuil minimum requis pour que l'accord soit validé. Chez les personnels navigants commerciaux, deux des principaux syndicats, l'UNAC et le SNPNC, font état de "blocages" à quelques heures de la fin des négociations. "Le compte n'y est pas", a déclaré Didier Foussat, secrétaire général du syndicat SNPNC, faisant état de points de désaccord avec la direction sur l'organisation du travail des équipages. "Si ces blocages ne sont pas levés, on va vers un 'non' ". Chez les pilotes, les négociations devraient encore se prolonger dans les prochains jours, la position du Syndicat national des pilotes de ligne (SNPL), majoritaire, sera déterminante (...). La CFDT et CFE-CGC ont accepté de signer l'accord après avoir vu leurs deux principales revendications satisfaites. La direction s'est engagée à ne pas procéder à des licenciements secs jusqu'à la fin 2014 et à récompenser les salariés pour leurs efforts une fois la situation de la compagnie rétablie, soulignent-ils. Le syndicat FO a également décidé de signer l'accord approuvé par ses adhérents et les salariés lors d'un référendum qu'il a organisé (...). La CGT (...) a prévenu la semaine dernière qu'elle ne signerait pas, tandis que l'UNSA a réservé sa réponse. Mais à eux deux, ils ne totalisent pas le seuil de plus de 50% des voix qui bloquerait la signature de l'accord. Mon commentaire : L'accord pour le personnel au sol éloigne le spectre de la mise en œuvre d'un "plan B", et ses risques associés en termes de départs contraints. Les partenaires sociaux vont pouvoir discuter d'un Plan de Départs Volontaires (PDV) fin juillet. Du côté des pilotes d'Air France, l'instance dirigeante du SNPL, syndicat majoritaire, a validé le projet d'accord les concernant et le soumet à ses adhérents, ce processus étant plus long chez les navigants que pour les personnels au sol. Ce serait une surprise si les adhérents de ce syndicat exprimaient un choix différent de celui de l'équipe syndicale. La situation est plus délicate pour les PNC d'Air France : sans nouvel accord, celui en vigueur arriverait à échéance en mars prochain. Avec les risques associés à cette situation : l'entreprise pourrait décider alors, de façon unilatérale, de nouvelles conditions plus pénalisantes pour les équipages commerciaux, compte tenu du retard pris dans l'application des mesures du plan Transform. Rappelons que l'objectif de gagner 20% d'efficacité économique s'applique à toute l'entreprise et ses diverses populations. Les filiales d'Air France, ainsi que KLM, entreprennent des efforts comparables. Nos fournisseurs et sous-traitants sont également mis à contribution. > Le BEA publie le rapport final sur le vol AF447 (source aeroweb) 6 juillet - Il a fallu trois ans aux enquêteurs du BEA pour produire ce rapport final de plus de 200 pages détaillant la suite d'événements menant à l'accident, les causes, les explications et 25 recommandations pour ne pas qu'un tel incident se reproduise. Plus de trois ans après la perte en mer de l'Airbus A330-200 d'Air France lors du vol AF447, le Bureau d'Enquêtes et d'Analyses (BEA) publie le rapport final sur l'accident qui s'était déroulé au large des côtes brésiliennes. Le BEA a conclu que l'accident résultait d'une succession d'événements et pas d'un problème unique. L'agence en compte six : •l'incohérence entre les vitesses mesurées sûrement due à l’obstruction des sondes Pitot par des cristaux de glace comme cela avait été évoqué dès le début de l'enquête ; •les actions inappropriées sur les commandes déstabilisant la trajectoire. Les pilotes ont été totalement surpris par la panne en croisière. A cause des vitesses indiquées erronées, les pilotes ont cabré l'appareil. Le BEA précise que l'équipage "n'a jamais compris qu'il était confronté à une perte des trois sources anémométriques" ; •ensuite, l'équipage n'a pas suivi les procédures adaptées à la perte des vitesses. L'équipage a perdu tout "contrôle cognitif de la situation" ; •le pilote en fonction n'a corrigé que tardivement et de façon insuffisante la trajectoire dont l'avion s'était écarté ; •lorsque l'avion était en situation de décrochage, l'équipage n'a pas compris que l'A330 décrochait malgré l'alarme de décrochage ; •l'équipage n'a pas pu établir de diagnostic de la situation et n'a donc pas pris de décision pour récupérer le décrochage. Faire piquer l'avion aurait suffi à le remettre dans son domaine de vol, mais avec une incidence de 40°, "l’équipage était dans un état de perte quasi complète de la gestion de la situation. " A partir de ce constat, le BEA en tire un certain nombre d'explications : •l'absence d'entraînement au pilotage manuel à haute altitude ; •l'incompréhension de la situation et une mauvaise gestion de la surprise, engendrant une charge émotionnelle importante •l'absence d'indication claire dans le poste de pilotage de l’incohérence des vitesses identifiée par les calculateurs •l'alarme ne décrochage n'a pas été prise en compte par l'équipage •un manque dans les procédures liées aux anomalies de vitesse, prenant en compte le givrage possible des sondes Pitot Le BEA se propose d'émettre vingt-cinq nouvelles recommandations portant sur cinq grands axes : la formation des équipages, l'ergonomie de l'avion, le processus de retour d'expérience, la surveillance de la compagnie et le déclenchement des secours. Au niveau du contrôle aérien, le BEA demande à ce que "les États concernés accélèrent la mise en œuvre opérationnelle de systèmes de contrôle aérien et de communication permettant une liaison permanente et fiable entre le sol et l’avion dans l’ensemble des zones où la HF reste le seul lien de communication entre un avion et le sol." Le Bureau d'Enquêtes et d'Analyse précise aussi que la formation des pilotes "n'attire pas suffisamment l'attention des équipages sur l'identification du type de reconfiguration et sur la nécessité de surveiller la trajectoire et les paramètres primaires". Plus généralement, le BEA recommande que la "qualification de type et les programmes d’entraînement prennent bien en compte les spécificités des aéronefs auxquels ils sont dédiés." D'autres recommandations sont émises concernant la connaissance des systèmes et de leurs caractéristiques en cas de situation dégradée ou inhabituelle, l'assimilation de notions de base théoriques sur les performances et la mécanique en vol, le développement de la gestion des ressources de l'équipages et l'amélioration de la représentativité des simulateurs de vol quant à la reproduction de scénarios réalistes. Finalement, le BEA divise les causes de l'accident entre toutes les parties, que ce soit les pilotes, Air France, Airbus ou l'AESA. Mais finalement, à la lecture du rapport, on se dit que les pilotes ont pris les mauvaises décisions associées à des procédures inadaptées dans un environnement de pilotage inadapté lui aussi. Ni Air France ni Airbus ne semblent pourtant être mis en cause, même si le BEA demande à ce que l'ergonomie de l'A330 soit revue sur certains points mineurs. Ce sera ensuite à la justice de déterminer les responsabilités de l'accident qui avait coûté la vie à deux-cent vingt-huit personnes. Mon commentaire : Ce rapport a mis davantage l'accent que les précédents sur les questions d'ergonomie et d'interface homme/machine. Des progrès sont nécessaires dans ces domaines, depuis l'introduction, entre autres, de l'informatique à bord des appareils et des modes de pilotage associés. Les pilotes ne peuvent prendre les bonnes décisions s'ils n'ont pas une bonne représentation de la situation. C'est maintenant à l'enquête de justice d'établir les responsabilités. Lien vers le rapport final du BEA sur l'accident du Rio/Paris http://www.bea.aero/fr/enquetes/vol.af.447/rapport.final.fr.php Lien vers les pages du site Air France corporate consacrées à l'accident http://corporate.airfrance.com/fr/presse/af-447-rio-paris-cdg/ > Air France-KLM : hausse du trafic de 4,6% en juin (source airjournal) 7 juillet - Le groupe Air France-KLM a révélé une nette progression de son trafic passager le mois dernier, +4,6% par rapport à juin 2012, l’activité cargo déclinant de 2,8%. Les 6,9 millions de voyageurs ayant emprunté les avions des compagnies aériennes française et néerlandaise en juin 2012 ont bénéficié d’une augmentation de capacité de 1,9%, le coefficient d’occupation grimpant de 2,2 points à 84,2%. Dans le détail par région, on constate que l’Asie – Pacifique « très dynamique » continue à profiter mathématiquement des conséquences du tsunami au Japon l’année dernière, avec une croissance de 10,3% (capacités en hausse de 7,1%, coefficient d’occupation à 87,1%). Les Amériques progressent de 5,6% (coefficient d’occupation 90,3%). Le groupe de l’alliance SkyTeam explique la situation en Europe, qui « n’affiche que » +3,8% avec une augmentation des capacités de 5,6% par le lancement des bases de provinces en France. Le coefficient d’occupation est du coup en baisse de 1,3 point à 77%. Le trafic en Afrique et au Moyen Orient est en hausse de 2,8% (coefficient d’occupation 80,8%) En revanche, le réseau Océan Indien et Caraïbes enregistre une forte baisse, -9,2%, les capacités ayant elles chuté de 11,5% ; logiquement le coefficient d’occupation est en hausse de 1,3 points à 77,0%. Air France-KLM note d’autre part que la baisse du trafic cargo, -2,8% pour des capacités en recul de 1,4%, est plus limitée que durant les mois précédents. Mon commentaire : En juin, notre performance de trafic est plutôt bonne (+4,6%), après deux mois avril/mai assez moyens, mais il faut relativiser en comparant avec nos proches concurrents : +8,9% en trafic pour IAG (BA+IB) et +9,7% en passagers pour easyJet. Par ailleurs, ces résultats d'activité ne préjugent pas des résultats économiques, lesquels seront publiés le 30 juillet. Ce mois de juin aura enregistré une baisse du prix du pétrole. Mais l'euro dérape face aux autres monnaies. C'est pénalisant pour nos dépenses, car nous payons une partie de nos achats, pétrole et avions, en dollars, mais c'est avantageux pour vendre des billets plus facilement dans les pays hors de la zone euro. Il faudra encore quelques temps pour vérifier si cette baisse de l'euro apporte une contribution positive à nos résultats financiers. En juin, l'activité cargo reste très en deçà de nos espoirs.
> Air France et Etihad
préparent une coentreprise
(source lefigaro) 2 juillet - Air France-KLM et la compagnie
d'Abu Dhabi devraient donner naissance à l'automne à une coentreprise
qui comprendra Air Berlin et Alitalia ultérieurement (...). Air France-KLM et Etihad Airways, la compagnie aérienne des Émirats arabes unis, planchent sur la création d'une entreprise conjointe qui comprendrait Air Berlin, deuxième compagnie allemande et filiale d'Etihad, mais aussi Alitalia, détenue à 25% par Air France. Jusque-là, les deux entreprises avaient confirmé qu'elles réfléchissaient à un accord de «partage de code» tout en niant une alliance capitalistique. Selon nos informations, l'accord ira beaucoup plus loin qu'un simple partenariat commercial. «Un accord a minima entre Paris et Abu Dhabi - la base d'Etihad - n'aurait pas grand intérêt,, confie un membre de la direction d'Air France-KLM. Il faut aboutir à une solution astucieuse pour que ce partenariat ne soit pas à sens unique.» Les deux sociétés sont de taille différente. Etihad compte 66 destinations desservies dans 44 pays alors qu'Air France-KLM en a 244 dans 105 pays. En revanche, la compagnie des Émirats arabes unis détient 30% d'Air Berlin. Elle va donc pouvoir «rabattre» des passagers vers Roissy et chipol, l'aéroport d'Amsterdam. Lancement à l'automne Les deux entreprises et leurs deux partenaires souhaitent bâtir un «couloir aérien» entre l'Europe et le Moyen-Orient de manière à offrir aux passagers des correspondances vers ou en provenance d'Asie, à la manière de l'«alliance transatlantique» construite par Air France-KLM, Delta Airlines et Alitalia pour rentabiliser leurs liaisons entre l'Europe et les États-Unis. Concrètement, les dirigeants d'Air France-KLM et d'Etihad réfléchissent aux contenus de cette société. Ils sont en train de définir les routes dont elle s'occupera, le nombre d'appareils concernés, les prix pratiqués, la politique marketing et les conditions de partage de profit au sein même de la coentreprise qui pourrait émerger à l'automne (...). Face à la puissance de feu d'Emirates qui déploie une flotte toujours plus importante (20 A 380 et 70 en commande) et capte une partie de leur clientèle, les grandes compagnies européennes passent donc à l'offensive. Air France- KLM n'est pas la seule. Dans les couloirs de la dernière assemblée générale de l'Association internationale des transporteurs aériens (IATA) à Pékin, British Airways et Qatar Airways discutaient également les modalités d'une prochaine alliance (...). Mon commentaire : Ce projet d’accord AFKL/Etihad n’implique aucune prise de participation d’une compagnie dans l’autre. Il s'agit d'aboutir à une co-entreprise comparable à celle mise en œuvre sur l'Atlantique entre Air France-KLM, Delta et Alitalia. Etihad détenant 30% d'Air Berlin, deuxième compagnie allemande, l'accord pourrait l'inclure, ce qui présenterait des avantages indéniables. J'ai néanmoins alerté notre conseil d'administration sur le fait qu'un partenariat Air France-KLM/Etihad, pendant que Qatar Airways discute avec British Airways, pourrait conduire Lufthansa à vouloir se rapprocher d'Emirates afin de ne pas perdre de position sur cette région du monde. Jusqu'ici, la compagnie dubaïote conserve une politique de développement sans partenariat, mais rien ne permet d'assurer que ça ne changera pas. > Air France renforce Riyad mais arrête Djeddah (source airjournal) 9 juillet - A partir du 3 septembre, Air France supprimera ses trois vols hebdomadaires à destination de Djeddah. En contrepartie, elle passera de trois à cinq vols par semaine entre Paris et Riyad (...). Mais la compagnie nationale française continuera à proposer des vols directs pour Djeddah via un accord de code share avec sa partenaire de SkyTeam, Saudia, ainsi que des vols avec escale via Middle East Airlines. Des accords sont aussi valables pour les vols pour Riyad. > IAG : progression du trafic en juin, les JO vont peser sur la classe affaires (source AFP) 4 juillet - Le groupe aérien International Airlines Group (IAG), maison mère de British Airways et Iberia, a fait état mercredi d'une nette hausse du trafic en juin (NDLR +8,9%) mais a indiqué s'attendre à moins de passagers en classe affaires durant les jeux Olympiques dde Londres. > Les collectivités passent aux commandes d'Air Austral (source lesechos) 9 juillet - La recapitalisation de la compagnie aérienne, qui a perdu 86 millions d'euros l'année dernière, a été votée vendredi malgré l'opposition des petits actionnaires (...). L'assemblée générale d'Air Austral, réunie vendredi, a approuvé la recapitalisation de la compagnie, qui implique la marginalisation des petits actionnaires actuels (...). Le capital existant va donc apurer une partie des pertes de l'entreprise, alors que la souscription d'actions vise à lever jusqu'à 70 millions d'euros pour donner à la compagnie réunionnaise l'assise financière qui lui manque (...). La proposition a été votée à une large majorité, mais les détenteurs de 12,5 % des actions se sont prononcés contre (...). A ce jour, en effet, seule la Sematra a annoncé son intention de contribuer à la recapitalisation d'Air Austral. « Longue convalescence » La société d'économie mixte regroupe le Conseil régional et le Conseil général de la Réunion, épaulés principalement par la Caisse des Dépôts. Elle détenait (...) 46,5 % des actions et s'apprête à injecter 63,5 millions d'euros dans l'augmentation de capital. Si aucun autre investisseur ne se déclare, les collectivités contrôleront près de 99 % de l'entreprise. L'implication de la Caisse des Dépôts aux côtés des collectivités semble éviter un contrôle a priori des autorités européennes : la montée au capital est une décision d' « investisseur avisé » ayant des garanties de voir la compagnie renouer avec l'équilibre, et non une aide publique, argumente la Sematra (...). « Air Austral entre dans une phase de convalescence, qui va être longue », commente Marie-Joseph Malé, président du directoire. Ce dernier a présenté en mai un « business plan » prévoyant un retour à l'équilibre en 2014. > IAG va aider le chinois Comac à développer le moyen-courrier C919 (source AFP) 9 juillet - Le groupe aérien International Airlines Group (IAG), maison mère de British Airways et Iberia, a annoncé lundi qu'il allait coopérer avec le constructeur chinois Comac pour l'aider à développer son futur moyen-courrier C919. Fin de la Revue de Presse
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sur l'épargne salariale et l'actionnariat salarié en appelant Air France
au
numéro vert 0 800 04 2000
(gratuit à partir d'un fixe en France)
> Mon commentaire sur
l'évolution du cours de l'action Air France-KLM Clôture de l'action Air France-KLM à 4,060 €, le vendredi 6
juillet. Le ralentissement de la croissance mondiale affecte les actions
des entreprises cycliques, telle la nôtre. Les actions des compagnies
aériennes ont enregistré des baisses importantes, tout particulièrement
l'action AF-KL. Dans la période actuelle, notre compagnie est jugée
plus fragile que ses co Le cours actuel, est anormalement bas, conduisant à une valorisation
de la compagnie équivalente au prix de quelques uns de ses avions.
Pourtant, ce cours aberrant pourrait rester assez bas tant que
l'économie restera atone et que les résultats d'Air France-KLM ne
s'amélioreront pas. La moyenne des objectifs de cours (consensus) des principaux
analystes pour l'action AFKL est à 5,12 €.
Les déséquilibres budgétaires de nombreux états font peser une menace
sur la reprise et sur le cours des actions. Le baril Brent
(mer du nord) est à 95 $. Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions
Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction
d'administrateur du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez aussi me poser, par retour, toute question relative au
groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
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