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| Lettre de l'Administrateur Air France-KLM

| Christian Magne

Représentant des salariés actionnaires PS et PNC

navigaction.com

N°350, lundi 6 août 2012

La Revue de Presse du lundi...

> Air France - La "méthode Juniac" est-elle la bonne ?

(source les echos) 2 août - Alexandre de Juniac est PDG d'Air France depuis novembre 2011, Air France va supprimer 5.122 postes d'ici fin 2014, des départs volontaires, pas de licenciements secs, des syndicalistes louent la franchise de Juniac, Hôtesses et stewards pourraient cependant faire grève.

Plus de 5.000 postes supprimés et pas un jour de grève, pas même une réprimande de l'État actionnaire : le PDG d'Air France Alexandre de Juniac serait-il en passe de réussir son pari d'appliquer un remède drastique aux maux de la compagnie nationale sans provoquer de chaos dans le ciel français ?

Présenté en janvier, le plan "Transform 2015" (...) pourrait être mis en œuvre à la rentrée, alors que PSA a provoqué un traumatisme national en annonçant 8.000 suppressions d'emplois et la fermeture de l'usine d'Aulnay-sous-Bois, une première en France depuis 20 ans.

Les secteurs en Europe du transport aérien et de l'automobile sont tous les deux sinistrés et les deux entreprises ont en commun d'avoir raté une marche stratégique : l'internationalisation des ventes pour PSA et le développement du moyen-courrier face aux compagnies "low cost" pour Air France.

La comparaison s'arrête cependant là et Alexandre de Juniac, (...) se garde bien de tout triomphalisme. Mais malgré l'opposition de la CGT, premier syndicat d'Air France, le plan de restructuration, qui prévoit 5.122 suppressions de postes d'ici fin 2014 (...) a été accepté le 10 juillet par le personnel au sol, qui représente la grande majorité des effectifs.

"Transparence totale, vitesse et rythmique : on s'en tient à ce qu'on a dit. On a tenu le calendrier au jour près", répond Alexandre de Juniac quand on l'interroge sur sa méthode. Certes, le chiffre de 5.000 suppressions de postes, qui a circulé pendant des mois dans la presse, était dans tous les esprits quand la direction l'a finalement confirmé fin juin, sans provoquer de choc particulier.

PSA s'est vu reprocher, lui, d'avoir tardé à officialiser sa restructuration et surtout d'avoir repoussé l'annonce de ses décisions après les élections présidentielle et législatives. "On a annoncé les sureffectifs et leurs modalités de traitement en même temps, en disant dès le départ qu'il n'y aurait pas de licenciement", observe Alexandre de Juniac.

CARTES SUR TABLE

Béatrice Lestic, secrétaire générale de la CFDT d'Air France, qui a signé le plan pour le personnel au sol, salue de son côté l'"honnêteté intellectuelle" d'Alexandre de Juniac. "C'était plutôt franc, il joue cartes sur table", dit-elle. "Il fait bouger les lignes. Il pose parfois des questions qui peuvent remettre en question des choses établies depuis la nuit des temps."

Les choses se sont cependant corsées avec les hôtesses et les stewards, dont deux des trois principaux syndicats ont refusé de signer l'accord fin juillet. Air France, qui a annoncé son intention d'appliquer au personnel navigant commercial un accord moins favorable à celui qui avait été négocié, pourrait ne pas faire l'économie d'une grève dans les semaines qui viennent.

L'UNAC, premier syndicat des hôtesses et stewards, le seul favorable au plan, attend une réponse à sa lettre envoyée fin juillet à la direction pour demander une renégociation des accords collectifs qui courent jusqu'au 31 mars 2013. "Si un syndicat devrait se lancer dans un conflit, ce serait nous", prévient Jean-Marc Quattrochi, secrétaire général de l'UNAC d'Air France. "On met longtemps à se mettre en conflit, il faut des questions éthiques profondes, mais une fois qu'on y est, on peut ne pas en sortir tant qu'on n'a pas réglé le problème."

L'UNSA-PNC, hostile à l'accord, a prévenu dans un tract de son intention d'entrer en grève "si nécessaire" et a invité ses adhérents à mettre de l'argent de côté. "La grève n'est pas un but en soi, mais s'il y a blocage, il y aura conflit", a résumé pour sa part Didier Foussat, secrétaire général du SNPNC d'Air France, dont les adhérents ont eux aussi rejeté massivement l'accord.

La principale inconnue pour Air France reste la réaction des pilotes. Le Syndicat national des pilotes de lignes (SNPL), largement majoritaire, organise un référendum jusqu'au 16 août. La direction d'Air France se targue de l'avis favorable à 61% rendu par le conseil syndical du SNPL début juillet.

"Ce n'est pas suffisant pour valider des accords de cette importance. Ce sont les pilotes qui ont la décision", tempère Jean-Louis Barber, président du SNPL d'Air France. Il salue la méthode de travail d'Alexandre de Juniac "à livre ouvert" sur la situation financière de la compagnie et les objectifs du plan grâce à deux audits indépendants. "La négociation a été respectueuse et le processus a été enrichissant de part et d'autre", résume-t-il. Tout n'a toutefois pas été fluide puisque la direction a commencé par tenter de dénoncer les accords collectifs en février, ce que le SNPL a refusé fermement, rappelle Jean-Louis Barber.

Exceptés des mouvements sans grand succès initiés par Sud Aérien et le Syndicat des pilotes d'Air France (SPAF, minoritaire), Air France a pour l'instant échappé à un blocage du ciel. La mobilisation a été plus forte lors d'une grève fin juillet dans la compagnie Régional, filiale d'Air France promise à une intégration dans un nouveau pôle aux côtés d'Airlinair et Brit Air.

L'ÉTAT SILENCIEUX

Les deux gouvernements qui se sont succédé depuis le lancement du plan en janvier n'ont pas fait de commentaire intempestif sur les suppressions d'emplois dans une société aussi emblématique qu'Air France-KLM, dont l'État français détient 15,8% du capital. On est loin des remontrances du ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg, qui a dit avoir "un vrai problème" avec la stratégie du constructeur automobile PSA, provoquant une polémique. "Il y a deux sortes de plans sociaux. Il y a les plans sociaux abusifs (...) Et puis il y a les plans sociaux inévitables pour sauver l'entreprise", a fait valoir le ministre. "Il faut faire le tri entre tout cela" (...).

Les analystes soulignent cependant que le plan d'Air France-KLM, s'il est indispensable, ne suffira peut-être pas à lui seul à redresser le groupe dans un secteur aérien sous la menace d'une nouvelle déflagration économique en Europe et sous le joug d'un baril de pétrole proche de 100 dollars.

La CGT, qui a refusé de signer les accords en dénonçant le "rouleau compresseur" de la direction, pointe les risques masqués d'un plan imposé dans l'urgence à marche forcée. "On ne veut pas se retrouver comme chez France Télécom où il y a un véritable malaise. Un personnel qui n'est plus motivé qu'est-ce qu'il produit comme richesse ?", souligne David Ricatte, secrétaire général de la CGT d'Air France.

> Le FSI pourrait entrer au capital du pôle régional d'Air France

PARIS, (source Reuters) 31 juillet - Le Fonds stratégique d'investissement (FSI) pourrait étudier une entrée au capital du futur pôle régional que compte créer Air France dans le cadre de sa restructuration, a-t-on appris mardi de source proche du dossier.

Le groupe aérien en grande difficulté présentera début septembre les contours d'un nouveau pôle réunissant les compagnies Régional, Airlinair et Brit Air. "Le FSI pourrait regarder si le dossier se confirme", a déclaré la source.

Ni le FSI, ni Air France-KLM n'ont souhaité faire de commentaire.

Mon commentaire : Le FSI est un organisme para-public que l'on peut assimiler à une sorte de "fonds souverain". Selon Wikipedia, les objectifs qui ont présidé à la création du FSI sont : soutenir le développement des PME prometteuses qui ont souvent des difficultés à accéder aux financements ; sécuriser le capital d’entreprises stratégiques ; intervenir pour développer ou aider temporairement des entreprises à fort potentiel ou des projets industriels novateurs et audacieux, puis s'en désengager à moyen terme.

> IAG va restructurer Iberia après des pertes au 1er semestre

(source Reuters) 3 août - IAG, l'entité née de la fusion entre British Airways et Iberia, a annoncé une restructuration de la compagnie espagnole après de piètres performances de cette dernière et un renchérissement du coût du carburant qui ont plongé les comptes du groupe dans le rouge sur le premier semestre de l'année.

La perte accusée sur le premier semestre a conduit la compagnie aérienne à tabler sur un résultat opérationnel légèrement négatif sur l'ensemble de 2012, ce qui fait plonger le titre IAG à la Bourse de Londres (...).

Willie Walsh, directeur général d'IAG, a déclaré que la réorganisation d'Iberia impliquerait des suppressions d'emplois. "Les problèmes d'Iberia sont graves, et l'environnement économique accentue le besoin d'un changement structurel permanent", a-t-il déclaré. "Le plan devrait être achevé d'ici la fin septembre et concernera tous les aspects du fonctionnement" de la branche espagnole.

IAG (...) a annoncé une perte opérationnelle de 253 millions d'euros sur les six mois à fin juin contre un bénéfice de 88 millions d'euros sur la même période de l'année précédente. Le groupe a précisé que British Airways avait, hors éléments exceptionnels, dégagé un bénéfice opérationnel de 13 millions sur le premier semestre, qui a vu Iberia être déficitaire de 263 millions.

HAUSSE DE 25% DES COUTS DU CARBURANT

"Jusqu'ici, nous anticipions un résultat opérationnel à l'équilibre pour cette année, et ce après l'impact des coûts de restructuration d'Iberia et le poids que fait peser à court terme sur le bénéfice l'acquisition de bmi", a déclaré Willie Walsh. "Toutefois, au vu des pesanteurs macro-économiques espagnoles, nous voyons désormais une modeste perte opérationnelle en 2012."

Le chiffre d'affaires d'IAG a toutefois progressé de 9,8% à 9,53 milliards. "Iberia a été frappée par des conditions économiques difficiles en Espagne, elle a un prix de base et des coûts de main-d'œuvre élevés, les redevances aéroportuaires espagnoles ont augmenté et elle est confrontée à la compétition des compagnies low-cost", selon Stephen Furlong, analyste chez Davy.

Les compagnies aériennes européennes sont confrontées à la fois à une baisse des dépenses de voyages liée à la crise de la dette de la zone et à une hausse du prix du kérosène, ce qui a amené bon nombre d'entre elles à fermer certaines routes jugées non-rentables.

IAG a dit que ses coûts du carburant avaient augmenté de 25% à un peu moins de trois milliards d'euros. Air France-KLM, qui a annoncé lundi une perte opérationnelle trimestrielle moins marquée que prévu, est en train de mettre en œuvre un plan destiné à économiser deux milliards d'euros d'ici fin 2014. Lufthansa, qui a cédé sa filiale déficitaire bmi à IAG, a annoncé en mai son intention de supprimer 3.500 postes.

> IAG prête à une sortie de l'Espagne de la zone Euro

 (source figaro.fr) 3 août - Le groupe International Airlines Group (IAG), qui réunit la compagnie aérienne britannique British Airways et l'espagnole Iberia, a reconnu se préparer à l'éventualité d'une sortie de l'Espagne de la zone euro.

"Vu notre présence dans ce pays, et notre exposition en zone euro de façon générale, nous avons réfléchi à la manière de réagir en cas de dislocation de la zone euro", a expliqué le directeur exécutif du groupe, Willie Walsh, (...).

Un groupe de travail "Sortie de l'espagne de la zone euro" a été mis en place il y a quelques temps avec l'aide de conseillers extérieurs. Ses travaux ont "très bien avancé", a précisé Willie Walsh. Résultat, le groupe IAG a réduit son exposition aux établissements financiers espagnols de 27% à 3% en six mois.

Il serait "surprenant" que les autres grandes compagnies qui opèrent en Europe n'aient pas des plans d'urgence similaires, a estimé Willie Walsh.

> Le bénéfice de Lufthansa porté par la restructuration d'Austrian

(source Thomson Reuters) 2 août - La compagnie aérienne Deutsche Lufthansa a présenté jeudi un résultat d'exploitation trimestriel supérieur aux attentes, soutenu par l'impact de la restructuration de sa filiale Austrian Airlines.

Le bénéfice d'exploitation au titre du deuxième trimestre, à fin juin, a bondi de plus de 25% à 361 millions d'euros, bien au-dessus des 261 millions d'euros du consensus Reuters (...). Lufthansa a précisé que la restructuration d'Austrian Airlines avait eu un effet exceptionnellement positif sur ses résultats, de l'ordre de 82 millions d'euros, en allégeant ses obligations futures, notamment en matière d'indemnités de départ et de pensions de retraite.

Ses solides résultats ont également été portés par son activité de maintenance d'avions, dont le bénéfice d'exploitation a plus que doublé à 82 millions d'euros, en partie grâce à l'affaiblissement de l'euro face aux autres devises (...).

Lufthansa avait essuyé une lourde perte au premier trimestre, imputée à l'envolée des prix du kérosène, et avait prévenu qu'il n'atteindrait son objectif de bénéfice que si l'on excluait les coûts de son nouveau plan de restructuration.

Afin d'augmenter son bénéfice d'au moins 1,5 milliard d'euros d'ici fin 2014, le transporteur allemand a cédé sa filiale britannique déficitaire BMI et injecté des fonds propres supplémentaires dans Austrian Airlines. Lufthansa a également annoncé en mai son intention de supprimer 3.500 postes, alors que les marges dans le secteur aérien pâtissent de la hausse des prix du carburant, de la conjoncture morose et d'une concurrence croissante.

Son concurrent franco-néerlandais Air France-KLM, deuxième compagnie aérienne européenne, est en train de mettre en oeuvre un plan destiné à économiser deux milliards d'euros d'ici fin 2014. Le groupe, en grande difficulté, a diminué de moitié sa perte d'exploitation au deuxième trimestre grâce à une hausse de ses recettes par passager et à des économies.

Même les compagnies à bas coûts peinent à dégager des bénéfices sur fond de crise en Europe. L'irlandais Ryanair a ainsi dévoilé lundi un bénéfice trimestriel en baisse de 29% et nettement inférieur aux attentes.

> Japan Airlines compte lever 8,5 milliards de dollars en Bourse

 TOKYO (source Reuters) 3 août - La compagne aérienne japonaise Japan Airlines a dit vendredi qu'elle comptait lever environ 8,5 milliards de dollars (sept milliards d'euros) lors de son introduction en Bourse attendue le mois prochain, soit près du double de la somme injectée en 2010 par l'État pour sauver le transporteur alors en faillite.

Le retour en Bourse de Japan Airlines sera la deuxième plus importante opération de mise sur le marché réalisée cette année derrière celle de Facebook (16 milliards de dollars). Les autorités de la Bourse de Tokyo ont donné leur feu vert vendredi pour un retour en Bourse du transporteur aérien le 19 septembre, moins de trois ans après que Japan Airlines s'est déclaré en faillite, lesté par une dette de 25 milliards de dollars (...).

Le groupe va offrir 75% de son capital aux investisseurs japonais et le reste aux étrangers. Loin de ses graves difficultés d'il y a trois ans, Japan Airlines affiche désormais des profits record. Le groupe a publié jeudi un résultat net plus que doublé à 26,9 milliards de yens pour la période d'avril à juin et un chiffre d'affaires en hausse de 12,5%.

Le redressement de Japan Airlines est passé par une importante restructuration, qui a vu la suppression de 16.000 emplois et une réforme en profondeur des régimes de retraite et de protection sociale du groupe (...).

Mon commentaire : Toutes les faillites ou quasi-faillites récentes de compagnies, dont celle de Japan Airlines, ont entrainé des conséquences dramatiques pour leurs salariés, d'où la nécessité de s'adapter constamment avant d'être contraint au pire.

La presse boursière

> Air France-KLM : HSBC relève sa cible à 6,5 euros

(source CercleFinance.com) 31 juillet - Tout en maintenant son conseil acheteur de 'surpondérer' le titre Air France-KLM, le bureau d'études HSBC a relevé son objectif de cours de 5 à 6,5 euros au lendemain de résultats semestriels vivement salués en Bourse.

(...) Certes, la compagnie aérienne a fait part (...) d'une perte nette semestrielle part du groupe de 1,26 milliard d'euros, à comparer avec 564 millions de déficit un an plus tôt. Mais elle a pour objectif de dégager un résultat d'exploitation au second semestre supérieur aux 195 millions d'euros réalisés au second semestre 2011.

Selon HSBC, si ces résultats ne sont “pas bons, ils sont cependant bien moins pires que nombre d'intervenants ne le craignaient”. Les analystes soulignent que les comptes du seul 2ème trimestre ont “confortablement dépassé le consensus”, ce qui les incite à réduire leur prévision de perte d'exploitation 2012 de 580 à 340 millions d'euros (...).

Fin de la Revue de Presse

Mon dernier bulletin d'administrateur est en cours de distribution dans le groupe Air France et téléchargeable au lien suivant :

Bulletin N°40 août 2012

| Vous pouvez obtenir l'information la plus large possible sur l'épargne salariale et l'actionnariat salarié en appelant Air France au numéro vert 0 800 04 2000 (gratuit à partir d'un fixe en France)

Mon commentaire sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM

Clôture de l'action Air France-KLM à 4,338 €, le vendredi 3 août. Le ralentissement de la croissance mondiale affecte les actions des entreprises cycliques, telle la nôtre. Les actions des compagnies aériennes ont enregistré des baisses importantes, tout particulièrement l'action AFKL. Dans la période actuelle, notre compagnie est jugée plus fragile que ses concurrentes Lufthansa group ou IAG (BA/IB).

Le cours actuel, est anormalement bas, conduisant à une valorisation de la compagnie équivalente au prix de quelques uns de ses avions. Pourtant, ce cours aberrant pourrait rester assez bas tant que l'économie restera atone et que les résultats d'Air France-KLM ne s'amélioreront pas.

Après la publication de notre résultat d'exploitation du 2ème trimestre, en amélioration, de nombreux analystes ont légèrement relevé leurs objectifs de cours pour le titre AFKL. Ainsi, la moyenne de leurs objectifs (le consensus)  remonte à 5,33 €.

Les déséquilibres budgétaires de nombreux états font peser une menace sur la reprise et sur le cours des actions. Le baril Brent (mer du nord) est remonté à 108 $.

Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.

Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur du groupe Air France-KLM.

Vous pouvez aussi me poser, par retour, toute question relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...

A bientôt.

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