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| Lettre de l'Administrateur Air France-KLM

| Christian Magne

Représentant des salariés actionnaires PS et PNC

navigaction.com

N°361, lundi 22 octobre 2012

La Revue de Presse du lundi...

> Air France suggère à Air Berlin de rejoindre son alliance aérienne SkyTeam

(source leparisien) 22 octobre - Le patron d'Air France a suggéré à la compagnie aérienne allemande, Air Berlin, avec qui un accord de partage de codes vient d'être conclu, de se rapprocher de l'alliance aérienne Skyteam, dont elle est le leader, dans un entretien au Frankfurter Allgemeine Zeitung, lundi.

"Si l'on devait se rapprocher encore, Air Berlin aurait à choisir entre rester au sein de son alliance actuelle (OneWorld, dirigée par British Airways) ou changer pour venir au sein de SkyTeam d'Air France-KLM", a expliqué Alexandre de Juniac (...).

Air Berlin, deuxième compagnie aérienne allemande, était entrée au sein de OneWorld au printemps dernier, mais Etihad, la compagnie émiratie, qui est également son principal actionnaire, l'a poussé à se rapprocher d'Air France. "Avec Air Berlin, nous pourrons mieux combattre la concurrence des compagnies à bas coûts en Europe", a assuré M. de Juniac (...).

> L'avion de la Brit Air finit dans un champ

(source telegramme.com) 18 octobre - Un avion de la BritAir, assurant un vol régulier entre Paris-Orly etLorient, est sorti de piste mardi soir, à Lann-Bihoué. Aucun blessé n'est à déplorer (...).

Une dizaine de mètres de plus et le CRJ 700 blanc, qui assure le vol régulier entre Lorient et Paris, percutait le grillage de sécurité et achevait sa course sur la route, située en contrebas. Autant dire que l'accident (...) aurait pu être bien plus dramatique. Par chance, aucun des 53 passagers et des quatre membres d'équipage n'a été blessé (...).

Après l'atterrissage, le pilote n'est pas parvenu à freiner avant la fin de la piste. L'appareil a percuté les feux signalant la fin du tarmac. Il est tombé en contrebas et s'est embourbé dans un champ. Les services de sécurité et de sauvetage de la base d'aéronautique navale sont intervenus immédiatement pour sécuriser l'appareil. Les passagers ont été évacués par les ailes et transportés vers le terminal aéroportuaire. «Quand il a atterri, on a senti beaucoup de turbulences, témoigne une passagère (...) encore sous le choc. Quand le commandant a dit d'évacuer, il y a eu un petit vent de panique. Nous sommes sortis par les ailes. Puis nous sommes restés une heure dans le champ, à attendre. On ne voyait rien, des gens sont tombés».

Les mauvaises conditions météorologiques pourraient être à l'origine de l'accident. L'enquête a été confiée au Bureau d'enquête et d'analyse pour l'aviation civile et à à la brigade de gendarmerie du transport aérien. Les fameuses boîtes noires, qui seront analysées par le BEA, devraient permettre de connaître précisément les circonstances. «A priori, l'accident semble dû à la piste détrempée : l'avion serait parti en aquaplaning sur la piste au moment de l'atterrissage», évoquait, hier, le procureur adjoint de Lorient (...).

> La licence de Kingfisher suspendue

(source airjournal) 20 octobre - Alors que la compagnie indienne Kingfisher Airlines s’enlise dans la crise, la Direction générale de l’aviation civile indienne (DGCA) a décidé de retirer sa licence.

Les signaux d’une mort longtemps annoncée s’allument de tous côtés ces derniers jours pour Kingfisher Airlines, une compagnie indienne qui résiste depuis des mois à des dettes abyssales (de 1,5 à plus de 2 milliards d’euros selon les cabinets d’expertise). Alors que les pilotes ont décidé de prolonger jusqu’au 23 octobre prochain leur grève, clouant au sol la totalité des avions, c’est la DGCA qui vient de tirer un nouveau coup de semonce : elle a suspendu sa licence de vol jusqu’à nouvel ordre. « La décision a été prise (...) en pleine connaissance de la situation présente, la compagnie n’ayant pas de véritable plan pour reprendre ses opérations ou pour payer ses salariés » (sept mois d’impayés au total).

Rappelons aussi que le programme d’hiver 2012/2013 de Kingfisher avait préalablement été rejeté par la DGCA. La compagnie ne compterait plus qu’une dizaine d’avions aujourd’hui contre 66 un an plus tôt, passant de la seconde place en termes de passagers transportés à la sixième et dernière, avec un peu plus de 3 % de parts de marché, loin derrière IndiGo (27 %), Jet Airways, SpiceJet, Air India et GoAir.

Mon commentaire : L'Inde est un pays en pleine expansion où l'activité de transport aérien devrait être florissante. Pourtant, plusieurs compagnies y rencontrent de graves difficultés. Deux facteurs contribuent à cette situation : la compagnie historique, Air India, a tenté de résister à l'émergence des nouvelles compagnies locales par une guerre des prix suicidaire; enfin, les compagnies du golfe livrent, là aussi, une forte concurrence aux compagnies indiennes.

> L'IATA prévoit une "révolution" dans la distribution du transport aérien

(source tourmag) 16 octobre - Les compagnies ne veulent plus, ne peuvent plus sortir 7 milliards de dollars (5,4 milliards d'euros) par an en booking fees pour les GDS. Comme le souligne Tony Tyler, le directeur général de l'IATA, cette somme dépasse le montant total des bénéfices qu'engrangent ces mêmes compagnies.

Cela fait plus d'un an que l'IATA travaille sur une solution qui viendrait remplacer le fonctionnement actuel des GDS que les compagnies trouvent dépassé depuis l'avènement de l'Internet et surtout le déploiement des services additionnels (ancillaries). Aujourd'hui, 40% de la billetterie mondiale est vendue directement sur les sites internet des compagnies. Or, si les compagnies peuvent peaufiner les relations commerciales qu'elles entretiennent avec leurs clients directs, il n'en est pas de même pour les 60 % restant qui passent par le circuit GDS et agences. La faute aux GDS dont le modèle est basé sur la recherche du tarif le plus bas. Or, les compagnies qui innovent dans les produits veulent aujourd'hui une autre méthode de recherche basée sur le service.

Encore quelques étapes à passer

 "Un système basé sur les codes tarifaires F, J et Y et leurs dérivés ne peuvent décrire totalement les options proposées", affirme Tony Tyler. Et l'IATA travaille donc un nouveau système de distribution (NDC ou new distribution capability) basé sur des standarts XML en open source.

Le système devrait permettre de rapprocher le client final de la compagnie aérienne et ce, même à travers le service d'un agent de voyages.

"Quarante ans après la mise en place du système actuel, nous avons l'opportunité de faire la révolution dans la distribution du transport aérien", conclut le DG de l'IATA tout en soulignant que les "partenaires GDS" trouveront les moyens d'apporter de la valeur au nouveau modèle (...).

Mon commentaire : De nombreuses compagnies ont le sentiment d'être "rackettées" par les systèmes de réservations informatiques GDS (Amadeus, Galileo, Sabre...). Les marges de ces intermédiaires sont généralement confortables alors que celles des compagnies aériennes sont souvent minces ou négatives. L'objectif de Iata est de redresser cette situation au bénéfice des compagnies.

> Lufthansa : 30 avions pour Germanwings

(source businesstravel.fr) 16 octobre - La low-cost de Lufthansa qui opèrera sous le nom de Germanwings va profiter de 30 avions de la flotte de Lufthansa pour ses opérations au départ des principaux aéroports d’Allemagne et d’Europe (hormis Francfort et Munich réservés à Lufthansa).

Germanwings disposera ainsi d'un total de 90 avions pour débuter ses opérations sous sa nouvelle forme en janvier 2013. La compagnie low-cost prévoit de faire des profits d’ici 2015 grâce notamment à une renégociation des salaires. Afin d'optimiser les coûts, des négociations ont été effectuées avec le personnel : les hôtesses et stewards auront un salaire d’environ 40% inférieur à leurs collègues de Lufthansa et pour les pilotes le salaire sera réduit de 20%.

La réorganisation va concerner 800 hôtesses/stewards et 300 pilotes qui se verront proposer: soit un contrat GermanWings, soit la possibilité d’être basés à Francfort/Munich ou soit de partir du groupe.

> La Russie s’ouvrirait aux low cost étrangères

(source airjournal) 22 octobre - Le gouvernement russe étudie la possibilité d’ouvrir ses lignes intérieures aux compagnies aériennes low cost étrangères afin de développer la concurrence, Ryanair s’étant déjà déclarée intéressée.

L’annonce faite la semaine dernière par les autorités russes de la concurrence fait état de « discussions très actives » sur un plan permettant aux spécialistes étrangères du vol pas cher de lancer des vols sur le réseau domestique de Russie, mais aussi d’encourager financièrement la création de low cost dans le pays.

Il s’agirait de renforcer la concurrence dans le transport aérien et faire baisser le prix du billet d’avion, selon le dirigeant du service anti-monopole de l’état Igor Artemyev, qui cite comme autres pistes des mesures pour la fourniture du carburant et les taxes d’aéroport. Les deux seules tentatives low cost russes à ce jour, Avianova et SkyExpress, ont déjà disparu. Les aéroports du pays accueillent déjà des vols de Vueling, Air Arabia, airBaltic, Norwegian Air Shuttle, Pegasus Airlines, Germanwings ou Flydubai entre autres, mais aucun des deux géantes européennes, easyJet et Ryanair.

Cette dernière a été la plus prompte à réagir, son PDG Michael O’Leary annonçant avoir entamé des discussions préliminaires avec plusieurs aéroports de Russie – discussions qui n’en sont qu’à un stade exploratoire, la « compétition pour accueillir Ryanair étant féroce » selon un porte-parole qui annonce des entretiens similaires avec une cinquantaine d’aéroports. Quant à easyJet, elle cherche depuis août dernier à récupérer la route entre Londres – Gatwick et Moscou – Sheremetyevo, abandonnée par BMI mais également convoitée par British Airways et Virgin Atlantic.

> American Airlines : Résultats du 3ème trimestre meilleurs que prévu

(source Reuters) 17 octobre - La société mère d'American Airlines, AMR Corp a publié mercredi un bénéfice net hors éléments exceptionnels meilleur que prévu au troisième trimestre, à la faveur d'une baisse des coûts du carburant et d'une bonne performance à l'étranger.

AMR, qui s'est placée sous le régime des faillites ("Chapter 11") en novembre dernier et envisage une fusion avec son concurrent US Airways, a également évoqué les réductions de coûts pour expliquer cette bonne surprise.

Hors exceptionnels, la maison mère de la compagnie aérienne a réalisé au troisième trimestre un bénéfice de 110 millions de dollars (83,85 millions d'euros), (...) alors que le consensus Thomson Reuters I/B/E/S prévoyait cinq cents par action.

En revanche, AMR a vu sa perte nette trimestrielle se creuser - à 238 millions de dollars (...) contre 162 millions de dollars (...) un an auparavant - en raison de charges exceptionnelles de licenciement et de restructuration dans le cadre du régime des faillites.

La compagnie aérienne, qui a dû annuler et reporter des vols au cours de la deuxième quinzaine de septembre en raison d'un manque de pilotes et de problèmes d'entretien de matériel, a précisé que ces incidents n'avaient eu aucun impact sur ses résultats trimestriels (...)

American Airlines (...) a également annoncé son intention de réaliser 1.500 embauches de personnel navigant au cours de l'année à venir, évoquant le succès de son récent plan de départs volontaires.

> Turkish Airlines va commander 20 Boeing B777-300ER d'ici 2017

(source Reuters) 22 octobre - Turkish Airlines va acheter 15 Boeing BA.N B777-300ER d'ici 2017, avec une option pour en acquérir cinq de plus, a déclaré lundi la compagnie aérienne turque. Trois avions seront livrés en 2014, sept en 2015, cinq en 2016 et cinq en 2017, selon un communiqué de la compagnie transmis à la Bourse d'Istanbul.

Mon commentaire : Sans faire beaucoup parler d'elle, la compagnie Turkish Airlines étend sa flotte et son réseau d'une manière très proche de celle de compagnies du golfe, avec le même succès. Sa position géographique avantageuse, entre l'Europe, l'Afrique et l'Asie, lui permet de développer un hub efficace. Elle développe des produits de grande qualité.

> Privatisation partielle pour Royal Air Maroc ?

(source airjournal) 16 octobre - La compagnie aérienne Royal Air Maroc serait prête à vendre jusqu’à 44% de son capital à un transporteur du Moyen Orient, afin de financer l’expansion de sa flotte.

Selon le site Airwise du 15 octobre 2012 (...), la tournée du roi du Maroc en Jordanie, au Koweït, au Qatar, en Arabie Saoudite et aux Émirats Arabes Unis sera l’occasion pour la compagnie nationale « d’écouter les idées des transporteurs locaux sur ce partenariat ». La compagnie sélectionnée se verra proposer d’entrer dans le capital de la RAM éventuellement à hauteur de 44%. La source (...) justifie l’offre par le désir de « capitaliser sur la présence solide des compagnies du Golfe en Chine, Inde ou Amérique latine », des marchés visés par le Maroc pour tripler les revenus du tourisme d’ici 2020.

Le premier nom qui vient à l’esprit est évidemment Etihad Airways, déjà présente dans le capital d’Air Seychelles, Air Berlin, Aer Lingus et Virgin Australia, et qui se déclarait au début du mois prête à en faire de même avec d’autres compagnies à condition que « ce soit la bonne opportunité, le bon partenaire, le bon marché et le bon prix ». Elle partage en outre ses codes avec la RAM. Emirates Airlines a de son côté déclaré à plusieurs reprises ne pas être intéressée par des prises de participation, et on voit mal Kuwait Airways (en pleine restructuration) ou Royal Jordanian (se remettant doucement d’une année 2011 difficile) investir. Restent Saudia, qui vient de rejoindre l’alliance SkyTeam, et Qatar Airways qui vient de choisir Oneworld.

La vente de 44% du capital de Royal Air Maroc compenserait l’injection par l’état de 145 millions d’euros l’année dernière, qui avait été suivie par des coupes sombres dans le personnel (...).

> Servair assurera l'offre catering pour United au départ de Paris

(source tourmag) 16 octobre - Servair (...) vient de remporter l’appel d’offre catering de United, au départ de Paris, sur les 4 vols par jour de la compagnie (deux vers New-York, un vers Chicago et un vers Washington). La société renouvèle également son contrat de partenariat avec Gulfair, pour 3 ans, sur les neuf vols hebdomadaires de la compagnie du Bahreïn depuis Roissy.

La presse boursière

> Air France KLM : reprend son vol

(source challenges.fr) 17 octobre - En repassant la zone des 5 euros, l'action Air France KLM renoue enfin avec une tendance plus positive après une longue descente aux enfers... Ce regain de confiance est lié à la crédibilité du plan de relance visant à rétablir les fondamentaux du groupe aérien. Le nouveau patron Alexandre de Juniac est rapidement arrivé à la conclusion que la structure de coûts était inadaptée à l'évolution de l'environnement...

Le plan "Transform 2015" vise donc à restaurer la compétitivité avec une réduction des dépenses et de la voilure. Il s'agit également de raffermir le bilan avec une diminution de l'endettement. Des mesures d'économies touchent le personnel avec des départs volontaires et un réaménagement des conditions de travail. Par ailleurs, les investissements sont révisés en baisse alors que la croissance des capacités se veut limitée. Le gros point noir du groupe repose sur l'offre moyen-courrier qui s'avère lourdement déficitaire. La concurrence des compagnies low cost se fait ici cruellement sentir et un redimensionnement de la flotte est nécessaire...

L'introduction d'une offre moins chère devrait relancer la dynamique, mais cette stratégie prend du temps. De l'autre côté du spectre, le produit "business" va monter en gamme afin de répondre aux nouveaux standards en la matière. L'augmentation de la productivité attendue devrait permettre de renouer progressivement avec les profits... D'ici fin 2014, l'endettement du groupe devrait baisser de 2 Milliards d'Euros, ce qui se traduira par un assainissement de la situation financière. Les premiers effets du plan Transform 2015 sont attendus sur la seconde partie de l'exercice fiscal 2012. Dans ces conditions, le groupe prévoit de réaliser un résultat plus élevé que celui obtenu à l'issue de la même période de l'an dernier. En dépit des incertitudes de l'économie mondiale, Air France KLM commence ainsi à recueillir les fruits de ses efforts... La reprise du titre est logique à court terme, même s'il reste de nombreux obstacles à plus longue échéance...

Mon commentaire : L'action AF-KLM a clôturé à 6,023 euros ce lundi 22 octobre, soit un doublement de sa valeur en quelques semaines (3,01€ à la mi-juin). Mais ce cours reste bien inférieur aux cours habituels de notre action, entre 10 et 20€, la plupart du temps, sans oublier la "pointe" à 39€ en 2007.

Fin de la Revue de Presse

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Mon commentaire sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM

Clôture de l'action Air France-KLM à 6,023 le lundi 22 octobre. Le ralentissement de la croissance mondiale affecte les actions des entreprises cycliques, comme celles du transport aérien. Elles enregistrent des baisses importantes, tout particulièrement l'action AFKL. Dans la période actuelle, notre compagnie est jugée plus fragile que ses concurrentes directes, tel Lufthansa group ou IAG (BA/IB).

Le cours actuel, reste, malgré sa remontée des dernières semaines, anormalement bas, conduisant à une valorisation de la compagnie équivalente au prix de quelques uns de ses avions. Pourtant, ce cours aberrant pourrait rester assez bas tant que l'économie restera atone et que les résultats d'Air France-KLM ne s'amélioreront pas.

Après la publication de notre résultat d'exploitation du 2ème trimestre, en amélioration, de nombreux analystes ont légèrement relevé leurs objectifs de cours pour le titre AFKL. Ainsi, la moyenne de leurs objectifs (le consensus) est remontée à 5,68 €.

Les déséquilibres budgétaires de nombreux états font peser une menace sur l'économie et sur le cours des actions. Le baril Brent (mer du nord) est à 113 $.

Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.

Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur du groupe Air France-KLM.

Vous pouvez aussi me poser, par retour, toute question relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...

A bientôt.

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| Christian Magne

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