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| Lettre de l'Administrateur Air France-KLM

| Christian Magne

Représentant des salariés actionnaires PS et PNC

navigaction.com

N°431, lundi 24 février 2014

La Revue de Presse du lundi...

> Juniac : "Fin 2014, Air France-KLM aura achevé son redressement, la priorité sera le développement"

(source la tribune) 21 février - Deux ans après le lancement du plan Transform, le groupe a dégagé en 2013 un bénéfice d'exploitation de 130 millions d'euros contre une perte de 336 millions en 2012. Après le redressement qu'il estime achevé fin 2014, le PDG du groupe, Alexandre de Juniac, explique dans une interview à La Tribune que le développement sera l'axe central de sa stratégie après 2014.

La Tribune : Même si le résultat net a été négatif pour des raisons techniques en 2013, Air France-KLM a dégagé un bénéfice d'exploitation de 130 millions d'euros. Le groupe va-t-il mieux ?

Alexandre de Juniac : nous sommes sur la bonne voie, mais le chemin à parcourir reste encore long. Notre plan de restructuration Transform 2015, qui vise à améliorer notre efficacité économique de 20% et à faire baisser de deux milliards d'euros notre dette en 2015 par rapport à 2012, se déroule exactement comme prévu. Pour 2014, nous restons prudents en matière de prévision d'activité. Pour autant, nous devrions moins souffrir qu'en 2012 et 2013 de la conjoncture économique qui s'améliore dans les pays développés et a cessé de se dégrader dans la zone euro.

- Fin 2014, Air France-KLM aura-t-il achevé son redressement ou de nouvelles de mesures seront-elles nécessaires ?

Oui, fin 2014, le redressement sera achevé, même si le déploiement d'un certain nombre de mesures décidées en 2013 et 2014 s'étalera encore sur 2015. Ce sera le cas par exemple pour une partie des départs de personnels d'Air France qui participeront à notre dernier plan de départs volontaires (2.800 personnes), lancé à l'automne 2013.

- Quelle sera l'étape d'après ?

Le développement ! Entre 2012 et 2015, notre priorité numéro 1 était de restaurer la compétitivité du groupe et d'améliorer sa performance financière, tout en préparant la montée en gamme des deux compagnies. Après 2014, une fois notre situation financière rétablie, nous pourrons nous concentrer pleinement sur le développement du groupe. Ce sera l'axe central de notre stratégie, même s'il faudra continuer de se remettre en question et de faire des efforts soutenus de productivité, comme pour toute entreprise engagée dans une compétition mondiale.

- Comment va se traduire ce développement ?

Par plusieurs choses. Notamment par le maintien de nos efforts pour nous hisser sur le podium mondial en termes de qualité. Nous investissons près de 700 millions d'euros pour améliorer notre qualité de services : 200 millions pour KLM, 500 millions pour Air France, dont 200 millions pour la seule classe Business affaires long-courrier. Entre juin 2014 et l'été 2016, le cœur de la flotte long-courrier d'Air France (44 Boeing 777) va être équipé de nouveaux sièges dans toutes les cabines. Les A380 vont être également reconfigurés. A l'été prochain, KLM aura déjà équipé ses 22 Boeing 747 de sa nouvelle World Business Class et, en septembre ce sera au tour de ses Boeing 777-200 et 300. Enfin, les 100 B787 et A350 qui entreront dans notre flotte à partir de 2016 disposeront d'un produit encore meilleur, qui sera commun aux deux compagnies.

- Quels seront les autres axes de développement ?

Sur le long-courrier, nous allons augmenter la taille de notre réseau. Le réseau long-courrier d'Air France combiné à celui de KLM offre à nos clients un choix inégalé de 114 destinations au départ de l'Europe. Nous allons poursuivre son développement, soit par le biais d'ouvertures de lignes (avec l'ouverture de Brasilia, Tokyo Haneda, Jakarta et Stavanger, ouverts cet été par Air France ou, pour KLM, Santiago du Chili lancé en complément des vols Air France et le renforcement de Fukuoka au Japon) soit par des partenariats avec d'autres compagnies (Rangoon sera par exemple offert prochainement grâce à un accord de partenariat avec Bangkok Airways). Pour les prochaines années, Air France-KLM devrait augmenter ses capacités en sièges kilomètres offerts de 3 à 5% par an en moyenne sur son réseau long-courrier, avec des croissances plus importantes dans les pays émergents, en particulier en Asie. Côté partenariats, nous comptons notamment renforcer nos coopérations existantes, que ce soit avec la compagnie d'Abu Dhabi Etihad Airways, en Chine avec nos partenaires China Southern et China Eastern, en Afrique avec Kenya Airways et Air Côte d'Ivoire. En Amérique latine nous venons de signer un partenariat stratégique avec la compagnie brésilienne Gol.

- Et sur le court et moyen-courrier ?

Sur cette partie du réseau fortement concurrencée par les compagnies low-cost, Transavia, notre filiale à bas coûts, sera l'axe prioritaire du développement du groupe. D'abord sur les vols point-à-point pour une clientèle loisirs, mais aussi, de manière progressive, sur le segment des voyageurs d'affaires, dans la mesure où Transavia ne sera pas une low-cost bas de gamme. Pour que Transavia.com devienne une grande low-cost paneuropéenne de référence, comme nous en avons l'ambition, sa flotte devrait dépasser les 100 avions d'ici 7 à 8 ans, contre une cinquantaine aujourd'hui. Ce développement est non seulement nécessaire si Air France-KLM ne veut pas être contraint, un jour, d'abandonner le point-à-point européen, il doit être rapide pour que Transavia figure parmi les acteurs clés. Pour autant, Air France gardera une présence forte sur le court et moyen-courrier, à la fois pour alimenter le hub de Roissy, mais aussi pour exploiter les grandes lignes radiales. Hop ! sera la compagnie de référence sur les trajets inter-régions en France et en Europe.

- Etihad doit trancher prochainement sur un investissement ou pas dans le capital d'Alitalia, en difficulté financière ? Si Etihad se lance, quelles seraient les conséquences pour Air France-KLM, à la fois actionnaire à hauteur de 7% et partenaire commercial de la compagnie italienne ?

Je ne sais pas ce qu'il ressortira de ces discussions. Pour autant, si Etihad décidait d'entrer au capital d'Alitalia, je ne pense pas que mouvement serait inamical à l'égard d'Air France-KLM. Etihad connaît les synergies dont bénéficie Alitalia de sa coopération avec Air France-KLM, entre la France, les Pays-Bas et l'Italie et au travers de notamment sa présence dans notre coentreprise transatlantique avec Delta. Si Etihad investit dans Alitalia, nous regarderons s'il y a un intérêt pour nous d'augmenter notre participation dans le capital d'Alitalia. Nos conditions n'ont pas bougé. Alitalia doit se restructurer tant sur le plan industriel que financier. Sa situation doit être réglée rapidement, au moment où l'offensive des low-cost à Rome complique le dossier.

- Comment voyez-vous l'évolution du transport aérien ?

Le transport aérien est un sujet de souveraineté et j'imagine mal les pays lever les obstacles règlementaires qui empêchent des investisseurs mondiaux de prendre le contrôle des compagnies de leur pays. Aussi, au cours des prochaines années, je pense que le secteur va se structurer autour de 10 à 12 compagnies aériennes intercontinentales avec deux ou trois grandes low-cost par continent. Ces grands transporteurs intercontinentaux seront soit des « single compagnies » comme certaines compagnies du Golfe, soit des compagnies disposant de partenariats puissants, essentiellement commerciaux, avec des transporteurs situés dans d'autres zones géographiques. Pour Air France-KLM, l'objectif est d'être le pivot de l'une de ces grandes structures. Et donc de figurer parmi cette douzaine de compagnies. Pour rappel, notre coentreprise avec Delta sur l'axe transatlantique pèse près de 12 milliards de dollars de chiffre d'affaires annuel. Nous pouvons espérer la même chose au cours des prochaines années avec nos partenaires chinois.

- A quoi ressemblera donc Air France-KLM dans cinq ans selon vous ?

Air France-KLM sera dans le top 3 en termes de produit et de qualité de services. Ce sera la compagnie de référence dans ce domaine. En termes de taille, le groupe fera partie des géants mondiaux, avec une bonne maîtrise du marché européen, notre marché intérieur, grâce au développement de Transavia et de HOP! et à la restructuration réussie du court et moyen courrier d'Air France.

- Pourquoi la montée en gamme est-elle stratégique ?

C'est un choix rationnel compte tenu de nos coûts et eu égard à la notoriété de la marque Air France qui véhicule des valeurs de luxe, d'excellence et de haute qualité. Face aux compagnies du Golfe ou d'Asie, les compagnies européennes ne peuvent pas rivaliser sur les coûts. Il faut que nous proposions un produit et un service à haute valeur ajoutée pour justifier ces prix. En outre, je suis convaincu que ces valeurs de luxe et d'art du voyage à la française plaisent beaucoup à la classe moyenne supérieure des pays émergents, qui constitueront une part croissante de nos clients. Par ailleurs, je pense qu'en sortie de crise, il y a un certain nombre de restrictions imposées dans les politiques voyages des entreprises qui vont être levées. C'est ce que les low-cost ont anticipé en proposant plus de services, plus d'options et en essayant de se développer sur les aéroports principaux. Les dirigeants de certaines compagnies à bas coûts ont senti qu'ils étaient allés trop loin.

- Pour se donner des marges de manœuvre, Air France-KLM devra-t-il un jour procéder à une augmentation de capital, non pas pour des raisons de cash, mais pour renforcer son bilan comptable ?

Notre cash-flow libre est nettement positif, notre efficacité opérationnelle s'améliore et notre dette diminue. Nos ratios de crédit s'améliorent très fortement. Une augmentation de capital n'est pas justifiée, ni pour le cash, ni pour le bilan, ni pour financer le plan Transform 2015. Elle n'aurait de sens que pour accompagner une accélération de notre développement, mais ce n'est pas la priorité du jour.

Mon commentaire : Ce tour d'horizon devrait éclairer ceux qui craignent une faiblesse de la stratégie de l'entreprise.

> Air France-KLM renoue avec un bénéfice d'exploitation

(source reuters) 20 février - Air France-KLM a annoncé jeudi avoir renoué en 2013 avec un bénéfice d'exploitation, profitant de l'embellie économique et récoltant les fruits de son plan de restructuration qui devrait lui permettre de se remettre en ordre de marche en 2015 après plusieurs années de crise.

Le numéro deux européen en termes de chiffre d'affaires derrière Lufthansa a confirmé viser un excédent brut d'exploitation (Ebitda) d'environ 2,5 milliards d'euros en 2014 sauf choc économique imprévu, puis une nouvelle hausse en 2015, et une dette ramenée à 4,5 milliards à la fin de l'année prochaine.

Air France-KLM a dégagé en 2013 son premier bénéfice d'exploitation depuis trois ans, à 130 millions d'euros (consensus Thomson Reuters I/B/E/S 88 millions). 

Pour y parvenir, le groupe a réduit de 2,3% ses frais de personnel - son premier poste de dépenses - à la suite du plan "Transform 2015" lancé début 2012 avec 7.900 suppressions des postes chez Air France en deux phases.

Le groupe a également réduit de 5,2% sa facture de kérosène, son deuxième poste de dépenses, qui a encore représenté près de 6,9 milliards d'euros en 2013.

"Nous sortons du rouge. Le plan Transform se déroule exactement comme prévu", a déclaré à des journalistes le PDG Alexandre de Juniac, rappelant que le groupe avait réduit ses coûts de plus de 700 millions d'euros en deux ans.

"Nous nous mettons en ordre de bataille pour revenir au meilleur niveau de la compétition mondiale.

" Le moyen-courrier, principal point noir du groupe, a réduit sa perte d'exploitation, passée de 800 millions d'euros en 2012 à 650 millions en 2013 et compte la ramener à environ 300 millions en 2015.

Le groupe compte également sur la montée en puissance de sa compagnie à bas coûts Transavia, qui devrait compter 26 avions à l'été 2016 contre huit à l'été 2012.

Dans le fret, à nouveau déficitaire en 2013, le groupe prévoit de diviser ses capacités quasiment par trois en 2015 comparé à l'exercice 2008-2009, au début de la crise et d'étendre au fret sa coopération avec Etihad, la compagnie d'Abou Dhabi. De nouvelles mesures ne sont pas exclues si le marché ne se redresse pas, a précisé Alexandre de Juniac.

Alexandre de Juniac a toutefois précisé qu'il n'[est] pas question d'une entrée d'Etihad au capital d'Air France et qu'Air France-KLM ne discut[e] pas avec Etihad de son éventuelle prise de participation dans la compagnie aérienne en difficultés Alitalia.

Le groupe a réalisé un chiffre d'affaires de 25,52 milliards d'euros, en hausse de 0,4%, soit +2,3% hors changes, en deçà du consensus, tandis que son Ebitda progresse à 1,855 milliard contre 1,797 milliard anticipé par les analystes.

Air France-KLM a toutefois creusé sa perte nette part du groupe à 1,827 milliard, sous le coup de la dépréciation d'actifs d'impôts différés portant sur des pertes fiscales relatives à des exercices antérieurs.

Pierre-François Riolacci, le nouveau directeur financier d'Air France-KLM venu de Veolia Environnement, a démenti les rumeurs récentes d'augmentation de capital, une opération qui serait selon lui inutile au regard de la trésorerie nette de 4,2 milliards d'euros du groupe fin 2013 (...).

Mon commentaire : Air France a suffisamment réduit ses pertes pour que l'ensemble Air France+KLM revienne légèrement "dans le vert". Air France, seule, reste encore déficitaire. Mais l'ensemble des mesures Transform ne produisent pas encore leur plein effet, notamment celles décidées en octobre. Le résultat net d'Air France-KLM s'aggrave lourdement, du fait d'éléments exceptionnels, heureusement non reconductibles. La trésorerie a retrouvé un bon niveau de robustesse. Le pic de remboursement de dette en 2014 sera supporté sans difficulté majeure. Nos efforts doivent être poursuivis, car nous avons dû sacrifier, pendant les années difficiles, les investissements. Si nous voulons les reprendre pour garantir l'avenir, il faudra accroitre nos marges.

> Air France va desservir Hong Kong en Airbus A380

(source CercleFinance.com) 24 février - Pendant la saison été 2014, Air France desservira Hong Kong grâce à un vol quotidien effectué de nuit, à l'aller comme au retour, favorisant ainsi le repos de ses clients avant leur arrivée à destination.

Du 27 mai au 8 juin 2014, ce vol sera effectué en Airbus A380 (quatre fréquences par semaine) et en Boeing 777-300 (trois fréquences par semaine).

Du 9 juin au 25 octobre 2014, cette fréquence quotidienne sera exclusivement exploitée par le plus gros porteur de la compagnie. Desservie depuis plus de 75 ans par Air France, Hong Kong sera ainsi la seconde destination chinoise proposée en A380 après Shanghai.

> Air France bientôt en code share avec Transavia ?

(source quotidien du tourisme) 20 février - Air France étudie la possibilité de mettre en place un accord de partage de code avec Transavia. Soit sur certaines routes, soit de façon plus globale. D’autres formes de rapprochement sont sur le point d’être mis en œuvre, en particulier vis-à-vis du programme Flying Blue. Un partage de code entre Air France et Transavia est possible, pour ne pas dire probable. En tout cas, non seulement la direction de la compagnie tricolore ne se l’interdit pas, mais elle étudie très sérieusement la question.

Il faut dire que cela ferait sens. Après tout Air France vole en partage de code avec de nombreuses compagnies et Transavia Hollande travaille déjà de cette façon sur certaines routes avec KLM. On voit mal pourquoi la compagnie française ne ferait pas de même avec sa filiale. D’autant que cette dernière, initialement à vocation loisir, est appelée à se développer fortement (en passant de 16 à 26 appareils entre l’été 2014 et l’été 2016) et à aller chercher à terme de la clientèle affaires. Ce, alors même qu’Air France réduit son offre sur le segment point à point moyen courrier (avec une capacité en baisse de 16% entre 2013 et 2014 ou encore de 27% entre 2012 et 2015).

En attendant de voir ce que donneront les études qui vont être menées sur le sujet (notamment cet été, entre Paris et Tel Aviv, sur les vols Transavia au départ d’Orly et sur les vols Air France au départ de CDG), on sait d’ores et déjà que sans aller jusqu’à élargir son programme de fidélisation Flying Blue aux passagers de Transavia, cette dernière va s’en rapprocher significativement.

En effet, à compter du mois de mars, il sera possible, pour les membres de Flying Blue, tout comme le fait déjà Emirates avec son propre FFP avec Easyjet, de convertir leurs miles en billets Transavia.

> Les Google Glass pour accélérer l'embarquement en avion

(source bilan.ch) 18 février - Nouvelle expérimentation des Google Glass : la compagnie aérienne Virgin Atlantic va tester les lunettes connectées pour accélérer l'enregistrement de ses passagers.

Les expérimentations de Google Glass se succèdent ces temps-ci (...). Dernière annonce en date : celle de la compagnie aérienne Virgin Atlantic qui va confier des exemplaires de Google Glass, mais aussi de Smartwatch2 de Sony à ses équipages de Heathrow pendant six semaines. L'objectif annoncé : offrir des services personnalisés aux passagers et accélérer leur enregistrement. Pourtant, l'une des fonctions qui fait le plus le buzz sur le web depuis des mois ne sera pas utilisée : la reconnaissance faciale, dont le potentiel est reconnu mais qui suscite quelques réticences auprès du grand public, sera laissée de côté pour le moment.

Quels seront alors les usages expérimentés ? Pour l'enregistrement, Virgin Atlantic reste très vague, se contentant de dire que son personnel pourra «débuter le processus plus rapidement». Deux autres usages sont d'ores et déjà annoncés: fournir des informations actualisées (météo, trafic routier) sur la destination aux passagers, et bénéficier d'une aide à la traduction pour échanger avec eux. Mais d'autres usages seront testés pendant ces six semaines. Virgin Atlantic préfère les garder secrets pour le moment en attendant de voir si leur efficacité est prouvée.

Un accord a d'ailleurs été signé en ce sens entre Virgin Atlantic et la société SITA, qui développe des applications en lien avec l'univers de l'aéronautique, afin de mettre au point des applis pour les Google Glass et la Smartwatch2. La mise à disposition d'informations sur les préférences des passagers (pour les menus, pour la place dans l'avion) ou leur dossier de réservation. Et si la reconnaissance faciale n'est pas encore utilisée, rien n'interdit de penser qu'un jour elle sera activée et que chaque passager se verra appelé par son nom comme une star reconnue par tout un chacun...

En attendant, les stars et les très riches seront les seuls à tester ce service. Car l'expérimentation de Virgin Atlantic va s'effectuer uniquement pour les passagers voyageant en Upper Class Wing, une catégorie située au-dessus de la première classe et offre déjà à ceux qui en bénéficient des services hors normes comme un spa ou un bar privatif. Mais nul doute que si l'expérience s'avère concluante, d'autres classes seront très vite concernées. Et sans doute d'autres compagnies aériennes. 

La presse boursière

> Air France-KLM : Oddo passe à l'achat

(source CercleFinance.com) 24 février - Oddo relève sa recommandation à l'achat sur Air France-KLM et fixe l'objectif de cours à 12 euros.

Selon le bureau d'études, la disparition du risque d'augmentation de capital à court terme lève le dernier obstacle à un fort re-rating du titre sur les prochains mois. 'Air France-KLM va en effet connaitre une accélération de la progression de ses résultats portée par les bénéfices de Transform et une légère embellie de l'environnement (+719 millions d'euros d'EBITDA entre 2013 et 2014), un fort désendettement et dispose d'un engagement du management pour poursuivre les efforts d'amélioration de productivité et de rotation des actifs', estime l'analyste.

Il considère que ces éléments favorables ne justifient plus une décote de 9% du VE/EBITDAR 2014 et de 18% du PE 2014 par rapport aux pairs.

Fin de la Revue de Presse

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> Mon commentaire sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM

Clôture de l'action Air France-KLM à 9,549 € le lundi 24 février. La publication des résultats annuels, bien accueillis jeudi dernier, a boosté le cours.

La moyenne des objectifs de cours (le consensus) monte à 8,93 € après le relèvement d'objectifs de cours de plusieurs analystes, suite à la publication des résultats 2013. Les dernières réévaluations vont de 8,50 à 12 €.

Le baril de pétrole Brent (mer du nord) est à 109 $.

Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.

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| Christian Magne

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