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| Lettre de l'Administrateur Air France-KLM | |
| Christian Magne Représentant des salariés actionnaires PS et PNC |
N°434, lundi 17 mars 2014 La Revue de Presse du lundi... > Air France-KLM met la main sur Barfield (source CercleFinance.com) 17 mars - Air France Industries KLM Engineering & Maintenance (AFI KLM E&M) et Sabena Technics sont parvenus à un accord selon lequel (...) Air France-KLM ferait l'acquisition de 100% du capital de Barfield, le spécialiste américain du support équipements, filiale de Sabena Technics. Barfied propose des services allant de la réparation à la solution à l'heure de vol incluant le support des pièces de rechange, la conception d'équipements de test, et la distribution de pièces détachées. L'entreprise emploie 230 collaborateurs sur trois sites aux États-Unis (Miami, Phoenix, Louisville). 'Cette acquisition vient compléter et renforcer notre présence sur le premier marché aéronautique au monde - une région stratégique en raison de son dynamisme et de son potentiel de croissance' a déclaré Franck Terner, directeur général adjoint Air France-KLM Engineering & Maintenance. La transaction devrait être finalisée au cours du premier semestre 2014, sous réserve de son approbation par les autorités compétentes. (...) AFI KLM E&M est déjà présent sur le marché américain avec sa filiale Aero Maintenance Group (AMG). > Transavia vole sur Madrid au départ d'Orly Sud (source quotidien du tourisme) 17 mars - L'ouverture de la ligne Paris Madrid par Transavia complète l'offre de la compagnie low cost d'Air France-KLM vers l'Espagne. Pour Hervé Kozar, DGA commercial de Transavia France, "l'Espagne est pour nous une destination stratégique de développement en Europe. L'ouverture de la ligne vers Madrid répond à la demande de notre clientèle désireuse d'un vol direct au départ de l'aéroport Orly Sud à prix très compétitifs. " Ouvert à la vente dès aujourd'hui, Madrid est la 6e destination espagnole de la compagnie au départ de France après Barcelone et Malaga qui sont les nouveautés en 2014 sans oublier Ibiza, Palma de Majorque et Séville. Cet été, Transavia opèrera ainsi 69 lignes au départ de 5 aéroports français (Paris-Orly Sud, Nantes, Lyon, Lille et Strasbourg). A partir du 4 juillet prochain, la compagnie low-cost desservira quotidiennement Madrid au départ de Paris-Orly Sud. Le vol aller simple Paris-Orly Sud / Madrid est affiché à partir de 40 euros TTC. Les passagers peuvent d’ores et déjà réserver leur billet. > L'aéroport de Roissy fête ses 40 ans (source VOnews) 12 mars - Le 13 mars 1974 à 6 heures du matin s'est posé sur l'unique piste de l'aéroport Paris-Charles de Gaulle, un Boeing 747 de la compagnie TWA en provenance de New-York. Les premières compagnies à s'installer se nommaient Pan Am, UTA, JAL, Air Canada ou encore Air Afrique. "C'est un grand moment pour Aéroports de Paris, l'aéroport Paris-Charles de Gaulle et l'ensemble des salariés qui y travaillent au quotidien. En 40 ans, nous avons accueilli plus de passagers que l'Inde ne comptait d'habitants en 2012 ou près de 20 fois la population française. Cet outil industriel est une chance et une richesse pour notre pays. Nous devons le faire évoluer vers toujours plus de qualité de service, dans un monde où la compétitivité s'est accrue entre les grands aéroports, et où Paris-Charles de Gaulle doit rester la référence européenne", déclare Augustin de Romanet, Président-directeur général d'Aéroports de Paris. Selon une étude réalisée par le BIPE en 2012, l'impact économique de l'aéroport Paris-Charles de Gaulle s'élevait en 2010 à 21,2 milliards d'euros de valeur ajoutée chaque année. L'aéroport Paris-Charles de Gaulle a également produit en 2010, 4,1% du PIB de l'Ile-de-France ou encore 1,2% du PIB français. Ces chiffres sont à rapprocher du bénéfice social généré par l'aéroport. Ainsi, en 2010, l'aéroport Paris-Charles de Gaulle représentait 247 893 emplois (directs, indirects et induits), soit 6,1% de l'emploi salarié en Ile-de-France ou encore 1,5% de l'emploi en France. En effet, dès lors que le trafic croit d'un million de passagers, 1 400 emplois directs (ou 4 100 emplois totaux) sont créés. Mon commentaire : Pan Am et TWA, compagnies mastodontes américaines, qui furent parmi les premières à s'installer à CDG ont disparu, comme plusieurs autres compagnies citées dans cet article. C'est dire si le monde du transport aérien est en perpétuel mouvement. Et ce n'est pas fini. > Delta se préparerait à passer une importante commande de long-courriers (source journal de l'aviation) 17 mars - Selon les informations d’Aviation Week, Delta Air Lines se prépare à publier un appel d’offres d’ici la fin du mois pour des appareils long-courrier. La compagnie pourrait prendre une décision avant la fin de l’année. Le journal américain indique que ces appareils seraient destinés à remplacer les seize Boeing 747-400 actuellement en service, ainsi qu’une bonne partie de ses 58 Boeing 767-300ER. Delta serait intéressée par le 787 – pour lequel elle détient déjà une commande de dix-huit 787-8 –, l’A350, l’A330 actuel voire un A330neo. Richard Anderson, le CEO de la compagnie, a déclaré (...) « j’espère qu’ils vont offrir un A330neo. Il y a un besoin énorme pour un long-courrier plus petit. Nous avons vraiment besoin qu’Airbus avance et remotorise » l’A330. En revanche, le 777X ne devrait pas faire partie de l’appel d’offres : « nous ne voulons pas d’avion expérimental. Cela ne nous intéresse pas. » > Lufthansa reprend le dividende, la restructuration paie FRANCFORT, (source Reuters) 13 mars - Lufthansa, la première compagnie aérienne allemande, s'est déclarée jeudi confiante dans sa capacité à atteindre les objectifs fixés par son plan de restructuration, après un bénéfice supérieur aux attentes au quatrième trimestre et la reprise du dividende au titre de l'exercice 2013. Lufthansa s'est fixé pour objectif d'augmenter d'ici 2015 son bénéfice opérationnel de 1,5 milliard d'euros par rapport à celui de 2011, dans le cadre de son plan de restructuration, qui prévoit des mesures telles que le développement de sa compagnie à bas coût Germanwings et l'introduction d'une classe économique "Premium" sur les vols long-courrier de Lufthansa. L'essentiel des mesures de restructuration touche les activités passagers de ses compagnies, qui sont confrontées à une vive concurrence des compagnies à bas coûts et de concurrents en plein essor tels qu'Emirates et Turkish Airlines. La réalisation des objectifs du plan, engagé en 2012, a été freinée par le ralentissement en Europe et le coût du carburant. Le groupe a annoncé jeudi que les compagnies Lufthansa et Germanwings avaient augmenté à elles deux leurs résultats d'exploitation de 240 millions d'euros, à 265 millions en 2013 grâce à cette restructuration. "Tous les segments d'activité sont rentables", a déclaré la directrice financière, Simone Menne (...). Lufthansa a annoncé un objectif de bénéfice opérationnel en hausse, à un niveau situé entre 1,3 milliard et 1,5 milliard en 2014 (...). Le groupe a dégagé sur les trois derniers mois de 2013 un bénéfice d'exploitation meilleur que prévu de 36 millions d'euros pour un chiffre d'affaires de 7,26 milliards. Il propose de distribuer un dividende de 0,45 euro par action au titre de 2013. Le dividende avait été suspendu en 2012 (...). Lufthansa va par ailleurs changer la méthode de valorisation de ses avions pour allonger la période d'amortissement à 20 ans au lieu de 12, s'alignant ainsi sur les pratiques de British Airways et Air France-KLM. Ce changement comptable devrait augmenter artificiellement ses bénéfices, a précisé Simone Menne. Cet impact sur le bénéfice opérationnel devrait être de 350 millions d'euros en 2015, ce qui amène le groupe à relever d'autant son objectif pour cette année-là, à 2,65 milliards. Mon commentaire : Les difficultés évoquées par Lufthansa sont comparables à celles avancées par Air France-KLM : cout du carburant, concurrence des low cost, des compagnies du golfe ou de Turkish Airlines. Mais la capacité du groupe allemand à les affronter reste supérieure à la nôtre. > Face à la concurrence, Lufthansa poursuit la rénovation de son offre (source AFP) 12 mars - (...) le géant européen du transport aérien (...) Lufthansa, mise sur une rénovation de son offre économique pour contrer la concurrence et soigner ses marges financières. Le groupe (...) a annoncé la semaine dernière l'introduction progressive d'une nouvelle classe économique "premium" sur les vols long-courriers de sa marque Lufthansa, sa principale compagnie en terme de trafic et de revenus. Une décision reportée à plusieurs reprises et qui a donné lieu à d'interminables débats au sein du groupe, inquiet d'un phénomène de cannibalisme vis-à-vis des autres classes proposées à bord de ses avions. Mais avec l'introduction récente d'une nouvelle classe affaires "full flat", qui permet de déplier le siège à l'horizontal, Lufthansa a creusé l'écart entre son offre grand public et celle haut de gamme, dégageant ainsi l'horizon pour une classe intermédiaire. La classe économique "plus", qui permettra de bénéficier de 50% d'espace en plus par rapport à la classique et de prestations supplémentaires à bord, "sera un produit très rentable", a promis Jens Bischof, directeur commercial de la compagnie. Un aller-retour vers l'Amérique du Nord ou l'Asie devrait couter en moyenne 600 euros de plus par passager. Lufthansa s'aligne ainsi sur la stratégie déjà choisie par une quarantaine d'autres compagnies aériennes, dont Air-France KLM et British Airways, qui escomptent profiter de généreuses marges sur ce type de services pour des coûts supplémentaires limités. Conjuguée à d'autres initiatives, telle que la mise à disposition d'une connexion internet rapide sur les vols long-courriers pour l'envoi de SMS ou emails, cette décision marque en outre un pas de plus dans la modernisation promise par le groupe allemand pour conquérir de nouveaux clients. Lufthansa se trouve "dans une situation difficile, avec des marges faibles et des objectifs pour 2015 qui suscitent de fortes attentes", explique Jürgen Pieper, analyste spécialisé de la banque Metzler. Malmené à la fois par la concurrence des compagnie low-cost et de celles du Golfe, le groupe (...) est engagé dans son plus vaste plan de restructuration depuis deux décennies, le tout dans un contexte de grèves à répétition au sein de la branche et de nouvelles règlementations plus contraignantes. Ce programme baptisé SCORE et court jusque 2015, passe notamment par la suppression de 3.500 postes. Il se traduit également par un renouvèlement de la flotte au profit d'appareils plus grands et moins gourmands en kérosène (...). Pour autant, le groupe aérien n'est pas encore sorti d'affaires et son nouveau patron Carsten Spohr, le chef de la division passagers qui succèdera à Christoph Franz le 1er mai, prendra les commandes en zone de turbulences. "En Europe, la nouvelle version de Germanwings (filiale de Lufthansa, ndlr) n'est pas compétitive en termes de coûts avec les autres compagnies low-cost et risque de voir ses parts de marché s'éroder à moyen terme", estiment les analystes de Barclays. D'autant que le britannique easyJet ne fait pas mystère de ses ambitions sur le marché allemand et se voit en mesure de tailler des croupières à Lufthansa dès cette année. Quant au marché du long-courrier, la compagnie "Turkish Airlines relie désormais douze villes allemandes et, si Lufthansa ne parvient pas à trouver un partenaire, elle pourrait représenter une plus forte menace pour les activités à l'est de Lufthansa que n'importe quelle compagnie du Golfe", ajoutent-ils. > Easyjet lance une agence de voyages en France (quotidien du tourisme) 11 mars - Easyjet et Hotelopia (TUI Travel PLC) s'associent pour créer EasyJet Holidays, une agence de voyages en ligne qui sera déclinée dans 6 pays dont la France. Pour la France, la nouvelle agence dispose déjà de l'agrément d'Atout France. Les 5 autres sites Internet verront le jour en Allemagne, en Espagne, en Italie, en Suisse et aux Pays-Bas. (...), la compagnie explique qu'Easyjet Holidays a pour ambition d'offrir "des prix compétitifs, des vacances flexibles disponibles sur le réseau étendu d’Easyjet, y compris dans le cadre de city breaks, de vacances au ski ou à la plage (...). Dans le cadre du partenariat, les clients d’easyJet Holidays n’accèderont pas seulement à une sélection d’hôtels triés sur le volet, ils bénéficieront également de promotions sur mesure et d’offres exclusives". Ce nouveau partenariat va conduire au recrutement de 100 collaborateurs, pour des postes administratifs, de vente et au sein de centre d’appels, basés dans les nouveaux bureaux de Palma de Majorque. > Saluant une nouvelle ère de paix sociale, Iberia compte renouer avec la croissance MADRID (source AFP) 14 mars - La compagnie aérienne espagnole Iberia, unie à British Airways au sein du groupe IAG, a noué vendredi un accord pour améliorer la compétitivité, notamment en baissant les salaires, avec le personnel au sol, la dernière catégorie de salariés qu'elle souhaitait convaincre. Avec cet accord, nous scellons la paix sociale avec tous les collectifs (d'employés, ndlr) de la compagnie, a affirmé Luis Gallego, président exécutif d'Iberia, lors d'une conférence de presse conjointe avec les syndicats. Cet accord, qui s'ajoute à ceux déjà atteints avec les pilotes et le personnel navigant de cabine, marque une étape historique pour l'entreprise, a-t-il poursuivi, se félicitant de la fin d'années de conflits. Cela nous permettra d'établir les fondations pour qu'Iberia avance sur le chemin de la croissance rentable et durable, a-t-il dit. Les syndicats CCOO et UGT, majoritaires chez le personnel au sol dont ils représentent 71% de l'effectif, ont accepté un accord de principe sur la nouvelle convention collective, qui prévoit une baisse immédiate des salaires de 7% puis un gel des rémunérations jusqu'à 2015. Après cette date, les hausses de salaires seront sujettes à la rentabilité de l'entreprise, a précisé Iberia dans un communiqué. L'accord de principe doit encore être validé par chacun des syndicats. L'effort que nous faisons, nous les travailleurs, est un effort très important, non seulement en matière de salaire mais aussi de productivité, pour garantir l'avenir de la compagnie, a déclaré Francisco Rodriguez, secrétaire fédéral du secteur aérien chez UGT. L'accord garantit l'emploi de plus de 20.000 employés, a-t-il ajouté. Alors que British Airways est dans le vert, Iberia, qui a fusionné avec elle en janvier 2011, dit avoir essuyé plus de 850 millions d'euros de pertes entre 2008 et 2012. En 2013, elle a toutefois ramené sa perte opérationnelle à 166 millions d'euros contre 351 millions en 2012. Pour cela elle a dû se restructurer: syndicats et direction avaient ainsi annoncé le 13 mars 2013 un accord prévoyant notamment la suppression de 3.100 emplois. Mais la direction continuait de négocier avec les syndicats, pour améliorer la productivité de l'entreprise, et avait prévenu que du résultat des négociations dépendrait la confirmation ou non de l'option sur huit avions A330 qu'a posée le groupe. Le 13 février, Iberia avait finalement annoncé avoir noué un accord avec le syndicat de pilotes Sepla, ce dernier acceptant des réductions de salaires de 14%. Le 25 février, les syndicats du personnel navigant avaient accepté de maintenir une baisse identique de salaire, déjà acceptée en avril, mais cette fois accompagnée d'une augmentation des heures de vol pour une nette amélioration de la productivité, expliquait Iberia. L'accord noué vendredi avec le personnel au sol est un accord équilibré entre tous les collectifs, a affirmé José Antonio Huraiz, secrétaire général du secteur aérien chez CCOO, lors de la conférence de presse. Les deux syndicats UGT et CCOO ont profité de cette comparution commune avec la direction du groupe pour demander que la flotte soit rénovée, en allusion à l'option d'achat de huit Airbus. Pour pouvoir investir dans la flotte, nous avons besoin d'avoir une compagnie qui gagne assez d'argent, a répondu Luis Gallego. > L'Iata réduit sa prévision de bénéfice mondial 2014 à $ 18,7 milliards GENEVE, (source Reuters) 12 mars - La crise en Ukraine et les difficultés économiques de pays latino-américains tels que le Brésil et l'Argentine amènent le secteur du transport aérien à réduire d'un milliard de dollars sa prévision de bénéfice global pour 2014, a annoncé mercredi l'Association internationale du transport aérien (Iata). L'organisation genevoise anticipe à présent un bénéfice de 18,7 milliards de dollars (13,5 milliards d'euros) cette année contre 19,7 milliards anticipés en décembre, après 12,9 milliards en 2013. Le renchérissement des prix pétroliers, en réaction à la crise ukrainienne, devrait se traduire par un surcoût de trois milliards de dollars en partie compensé par une révision à la hausse de deux milliards de dollars du revenu du fret (...). Fin de la Revue de Presse
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numéro vert 0 800 04 2000
(gratuit à partir d'un fixe en France)
> Mon commentaire sur l'évolution du cours de
l'action Air France-KLM Clôture de l'action Air France-KLM à 10,17 € le lundi 17 mars. La moyenne des objectifs de cours (le consensus) est à 9,32 € après le relèvement d'objectifs de cours de plusieurs analystes liés aux résultats 2013. Les dernières réévaluations vont de 8,50 à 12 €. Depuis le début de l'année, les marchés actions progressent aux USA et en Europe, face à une certaine dégradation de la situation économique de pays émergents. Des capitaux investis dans ces pays reviennent vers l'Europe, perçue comme "en sortie de crise". C'est un élément favorable pour la hausse de l'action AF-KLM. Le baril de pétrole Brent (mer du nord) est à 106 $. Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM. Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur du groupe Air France-KLM.
A bientôt. D'autres infos sur mon site web navigaction.com
Les nouveaux lecteurs pourront la recevoir directement en m'envoyant un
message à
chmagne@navigaction.com
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Christian Magne
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