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| Lettre de l'Administrateur Air France-KLM

| Christian Magne

Représentant des salariés actionnaires PS et PNC

navigaction.com

N°435, lundi 24 mars 2014

La Revue de Presse du lundi...

> Air France-KLM a-t-il réduit l'écart avec Lufthansa et British Airways ?

(source latribune) 19 mars - Si Air France-KLM a renoué avec un bénéfice d'exploitation en 2013, ses deux rivaux ont réalisé des résultats financiers très solides. La Tribune a comparé l'évolution de performances opérationnelles des trois groupes depuis 2011.

(...) Avec la publication jeudi 13 mars des comptes 2013 de Lufthansa, les résultats des trois poids lourds européens du secteur (Lufthansa, IAG, l'entité qui coiffe British Airways et Iberia et Air France-KLM) sont désormais connus. Globalement, en tenant compte de plusieurs critères (profit opérationnel, génération de cash, free cash flow -génération de cash après investissements-, endettement…), la compagnie allemande continue d'afficher la situation financière la plus saine et la plus solide par rapport à IAG et Air France-KLM, même si, en termes de marge opérationnelle (difficile à comparer en raison des différentes politiques d'amortissement des avions), c'est IAG qui affiche la meilleure performance avec près de 5,7% de marge opérationnelle.

Hors éléments exceptionnels, le bénéfice opérationnel de Lufthansa a en effet bondi de 62,1% à 1,04 milliard d'euros pour un chiffre d'affaires de 30 milliards, devançant ainsi IAG (770 millions d'euros pour un chiffre d'affaires de 18,6 milliards d'euros) et Air France-KLM, qui est revenu dans le vert avec un bénéfice d'exploitation de 130 millions d'euros pour un chiffre d'affaires de 25,2 milliards. Au regard de son chiffre d'affaires largement inférieur, IAG dégage la marge opérationnelle la plus importante : 5,7% contre 3,3% pour Lufthansa, et 0,5% pour Air France-KLM.

En termes de génération de cash, Lufthansa fait la course en tête. Le groupe allemand a en effet dégagé un cash flow opérationnel de 3,3 milliards d'euros en 2013, quasiment deux fois plus qu'Air France-KLM (1,5 milliard) et près de trois fois plus que IAG (1,2 milliard). En incluant ses deux milliards d'investissement, la compagnie allemande a généré 1,3 milliard de free-cash flow, contre 538 millions pour Air France-KLM, lequel a fortement réduit ses investissements, à 1 milliard d'euros, contre plus de deux milliards en 2011.

Concernant l'endettement, Lufthansa n'affiche qu'une dette de 1,7 milliard (...) quand celle d'Air France-KLM s'élève à 5,4 milliards d'euros.

Cette situation a-t-elle évolué ces dernières années ? Air France-KLM a-t-il réduit ou pas l'écart avec Lufthansa et IAG ?

En 2011, avant le début du plan de restructuration Transform 2015 du groupe français, annoncé en janvier 2012, la différence de performance opérationnelle avec Lufthansa était de 1,173 milliard d'euros au profit du groupe allemand (820 millions de profits contre 353 millions de pertes pour Air France-KLM) et de 838 millions avec IAG, en faveur de ce dernier.

Un an plus tard, en 2012, année de négociation du plan Transform 2015 chez Air France-KLM entre la direction et les syndicats (-336 millions de pertes), l'écart entre le groupe français et ses concurrents s'est réduit. La différence opérationnelle avec Lufthansa (524 millions de bénéfices en 2012) était de 860 millions, et de 313 millions avec IAG (23 millions de pertes).

En 2013, en revanche, le groupe anglo-espagnol a appuyé fortement sur l'accélérateur et la différence de performance opérationnelle avec Air France-KLM s'est creusée à nouveau, à 838 millions d'euros. Même chose avec Lufthansa si l'on prend en compte son profit opérationnel hors éléments exceptionnels. La différence de performance opérationnelle grimpe à 910 millions d'euros. En conservant les éléments exceptionnels dans les résultats de Lufthansa, elle n'est plus que de 567 millions, légèrement supérieure à celle de l'année précédente.

Le tout avec des évolutions de chiffre d'affaires quasiment identiques pour les trois groupes (tous plus ou moins stables).

En résumé, si Air France-KLM a fait de sérieux efforts pour redresser la barre, ses deux rivaux ne sont pas restés non plus les bras croisés. Bien au contraire.

C'est le cas notamment de IAG, qui est passé d'une perte opérationnelle en 2012 à un profit opérationnel de 770 millions. Les accords signés avec les personnels d'Iberia pour diminuer la masse salariale et augmenter la productivité ne feront que renforcer la performance du groupe dans les années à venir.

Willie Walsh, le directeur général de IAG, a relevé son objectif de bénéfice opérationnel de 200 millions d'euros, à 1,8 milliard en 2015 (dont 1,3 milliard réalisé par British Airways). Lufthansa a, elle aussi, révisé à la hausse son objectif pour la même année, à 2,6 milliards d'euros (contre 2,5 milliards initialement). Soit des résultats jamais atteints aujourd'hui dans le transport aérien, à l'exception de la compagnie américaine Delta (3,4 milliards de dollars en 2013). De son côté, Air France-KLM vise des résultats significatifs à partir de 2015, mais ne donne pas de précisions chiffrées.

Pour beaucoup, en interne, le plan Transform 2015 sera insuffisant pour combler le retard face à ses rivaux comparables. En particulier pour Air France, toujours dans le rouge en 2013 (-176 millions) et qui vise un retour dans le vert en 2014.

Mon commentaire : Analyser de la situation économique d'une entreprise est une opération complexe. Les critères retenus peuvent conduire à des conclusions différentes. La preuve, les analystes financiers disposent des mêmes chiffres. Ils expriment souvent des points de vue différents. Mais pas en ce moment, car la plupart considère que notre groupe AF-KLM est en situation de "recovery" : une sorte de "sortie du tunnel". Pendant que nous cherchions à rebondir du fond de la piscine, nos proches concurrents ont eu le soucis de ne pas plonger. Lufthansa a lancé un plan assez proche du nôtre, en nature et intensité, alors que sa situation était bien moins fragile. Le groupe allemand conserve ainsi son avance, renforcée par sa profitable acquisition de Swiss. Quant au groupe IAG, British Airways, réactive, a mis sur pied un plan accompagnant la sortie de crise de 2009. Maintenant, elle engrange les bénéfices de sa fusion avec Iberia, même si celle-ci souffre de la situation économique espagnole. Le rachat de la low cost Vueling participe aussi aux bons résultats d'IAG. En résumé, le plan Transform nous permet d'éviter le pire, mais ne nous ramène pas à la situation avantageuse des années 2000 à 2008.

> Air France préfère General Electric à Rolls Royce

(source lemonde) 23 mars - Alexandre de Juniac, président d'Air France-KLM, a choisi le moteur GEnx, développé par l'américain General Electric, pour équiper les cinquante futurs Boeing 787 de la flotte du groupe franco-néerlandais.

M. de Juniac aura négocié pied-à-pied pendant trois ans, avant d'opter pour le moteur américain aux dépens du Trent 1000, développé par le britannique Rolls Royce (...).

Pour réduire au maximum la facture, le groupe a groupé sa commande et les nouveaux avions viendront renouveler alternativement les flottes d'Air France et de KLM.

Le premier 787 est attendu en 2016 chez KLM. Air France devra patienter jusqu'en 2018 avant de réceptionner le premier exemplaire des A350 commandés (...).

(...) si Air France-KLM a poussé si loin, dit-on, la concurrence entre les deux motoristes ce n'est pas seulement avec le souci d'alléger sa facture. La compagnie a aussi voulu coûte que coûte prendre en charge l'entretien des moteurs des A350 dont Rolls Royce est le fournisseur exclusif.

Au fil des années, la maintenance est devenue un enjeu économique d'importance. Notamment celle des moteurs. Ils sont payés deux fois par la compagnie aérienne. La première lors de l'achat de l'avion et la seconde tout au long de la durée d'utilisation de l'appareil. Une véritable mine d'or pour les motoristes.

Ces derniers considèrent d'un très mauvais ?oeil la volonté de certaines compagnies aériennes, comme Air France-KLM ou Lufthansa, de leur disputer les confortables revenus tirés des activités de maintenance.

Désormais, la maintenance pèse lourd dans les comptes d'Air France-KLM. C'est même l'activité la plus rentable du groupe.

En 2013, Air France-KLM E&M, la filiale spécialisée dans la maintenance, a dégagé un résultat d'exploitation bénéficiaire de 159 millions d'euros pour un chiffre d'affaires de 3,28 milliards d'euros.

Fort de ses bons résultats, M. de Juniac a fait de la maintenance une des priorités de « Transform », le plan de restructuration qui doit redresser les comptes de la compagnie aérienne d'ici à 2015.

Pour preuve, ces dernières années le groupe franco néerlandais a multiplié les acquisitions. Et par trois fois aux États-Unis où le marché de la maintenance, en croissance de 4 % par an, est évalué à 60 milliards de dollars.

Lundi 17 mars, Air France-KLM E&M a annoncé le rachat de Barfield, une filiale de Sabena Electronics dédiée à la réparation des équipements aéronautique.

Avec cette acquisition, Air France-KLM E&M prévoit de doubler sa part du marché américain de la maintenance qui passerait de 2 à 4 %.

Mon commentaire : D'un point de vue technique, le moteur de Rolls-Royce est un peu plus silencieux que celui de General Electric, indéniable atout à faire valoir auprès de nos riverains. Mais le réacteur de General Electric consomme moins que son concurrent. Dans un contexte de pétrole cher, cette caractéristique a été décisive.

> L’État français (actionnaire d’Air France) aide la "com" d’Easyjet

(source latribune) 19 mars - La directrice générale de la compagnie low-cost Carolyn McCall a été reçue mercredi en grande pompe au ministère des transports pour "officialiser" une grosse commande d'A320 passée à Airbus, signée il y de nombreux mois. Une manifestation dénoncée par le président de la Fédération nationale du transport aérien (Fnam), qui juge "choquant de célébrer la réussite d'une compagnie qui ne se bat pas avec les mêmes armes en termes de compétitivité alors que l'on nous refuse de nous mettre à niveau en termes de compétitivité".

Chez Easyjet, certains n'en croyaient pas leurs yeux. Il y a sept ans, les policiers débarquaient dans les bureaux de la compagnie en France dans son enquête pour travail dissimulé; une affaire qui appartient au passé, les 1.000 salariés de la compagnie en France étant soumis aux règles sociales françaises.

Ce mercredi, sa directrice générale, Carolyn McCall, était reçue en grande pompe au ministère des transports par un ministre de la République, Frédéric Cuvillier, dithyrambique sur le succès de cette compagnie à bas coûts.

"Cette opération est beaucoup une opération de lobbying et de communication d'Easyjet qui veut se développer dans l'Hexagone", explique un observateur. En effet, la cérémonie à l'hôtel de Roquelaure est, selon nos informations, une demande de la compagnie britannique.

"La France est notre deuxième marché après le Royaume-Uni, a expliqué Carolyn McCall. C'est une priorité stratégique et nous allons développer notre présence. En 2013, nous avons transporté 14 millions de passagers en France. En 2014, nous visons 15 millions de passagers".

Easyjet est aujourd'hui le deuxième opérateur en France. Frédéric Cuvillier n'a pas été avare en compliments. "C'est un honneur que vous nous faites de signer au ministère des Transports. Easyjet est une belle compagnie. J'ai plaisir d'entendre que votre développement en France sera amplifié", a déclaré le ministre en s'adressant à Carolyn McCall.

(...) il est étonnant (...) de voir l'Etat français, actionnaire d'Air France-KLM (et d'Airbus aussi), faire la part belle au principal concurrent d'Air France sur le réseau court courrier, alors que celle-ci est en toujours en pertes, en raison notamment de ses difficultés à lutter… contre les compagnies à bas coûts. (...) peut être y-avait-il moyen de fêter la réussite d'Airbus avec un client moins agressif vis-à-vis d'Air France, surtout pour une commande qui avait été signée il y a plusieurs mois.

(...) Frédéric Cuvillier parle en effet de "l'Etat qui conforte Airbus. C'est un bel événement pour la France". (...) au regard de la répartition des tâches entre la France et l'Allemagne, l'essentiel de cette commande sera construit à Hambourg. Certains évoquent même les deux tiers de la commande d'Easyjet pour le site allemand.

"Quand Air France passera une telle commande on fera la même chose", a par ailleurs indiqué Frédéric Cuvillier. Air France-KLM a pourtant signé l'an dernier au Salon du Bourget (au même moment qu'Easyjet) une commande ferme de 25 Airbus A350 (assemblés à Toulouse) assortie de 25 options, d'une valeur de 7,2 milliards de dollars et du double avec les options. Interrogé, Air France n'a pas fait de commentaires sur la cérémonie d'Easyjet.

En revanche, celle-ci n'a pas été du goût de la Fédération nationale de l'aviation marchande (Fnam), la principale association professionnelle du transport aérien français, dont est membre Air France. Son président Alain Battisti a décliné "personnellement", l'invitation du ministre.

"C'est choquant de célébrer la réussite d'une compagnie étrangère qui se bat avec des armes que nous n'avons pas en termes de compétitivité, alors qu'on refuse de nous mettre à niveau en termes de compétitivité", a déclaré à La Tribune, Alain Battisti, ajoutant "ne pas comprendre pourquoi une vente d'Airbus n'était pas célébrée au ministère de l'industrie".

Il faut préciser que le ministère des Transports est le ministère de tutelle d'Airbus.

Frédéric Cuvillier a expliqué de son côté qu'Easyjet "respectait le droit français, et qu'elle était soucieuse de la sécurité et de son image". "La concurrence existe, mais il ne faut pas la fausser", a-t-il fait valoir. Pour Alain Battisti, l'application des conditions de travail françaises par le personnel français d'Easyjet ne couvre pas toute son activité en France.

Cette polémique aurait pu être facilement évitée au regard de la pléthore de grosses commandes qu'enregistre Airbus. Celle que l'avionneur s'apprête à signer le 26 mars avec la Chine aurait été (est) une très bonne opportunité de mettre en avant le constructeur et la filière aéronautique française sans froisser certaines compagnies aériennes françaises.

Mon commentaire : Cette "pub" faite à easyJet par le ministre des transports ne manquera de choquer. Depuis des mois, les administrateurs salariés, puis la plupart des syndicats d'Air France tentent d'obtenir du gouvernement un allègement des charges qui pèsent sur les compagnies françaises : couts d'aéroports, de taxes diverses et redevances, etc. Il est surprenant, dans ce contexte, que notre ministre de tutelle juge opportun de "célébrer" notre principal concurrent sur le territoire français. Est-ce pour "soutenir" Airbus ? L'État a la mémoire courte. C'est Air France qui passa la première commande d'Airbus pour l'A300, premier avion de ce constructeur. C'est encore Air France qui commanda l'A310, puis fut compagnie de lancement de l'A320 livré en 1988. Airbus ne vendit que 2 avions en 1976, sa survie était en jeu et on était alors bien satisfait des commandes d'Air France à Airbus. Aujourd'hui, ce constructeur s'équipe pour fabriquer plus de 42 avions de la famille A320 PAR MOIS. Plus de 10 000 exemplaires sont déjà vendus !!! Ainsi, qui a le plus besoin d'être soutenu par les pouvoirs publics français ? easyJet dont les charges britanniques sont plus faibles qu'en France ? Airbus qui écrase le marché de ses succès, bien mérités par ailleurs ? ou Air France en butte à des compagnies du golfe au soutien étatique sans faille ?

> Etihad doit grimper au capital d'Air Berlin qui sera retiré de la Bourse

 FRANCFORT, (source AFP) 22 mars - La compagnie aérienne d'Abou Dhabi doit grimper à 49,9% du capital de la deuxième compagnie allemande Air Berlin, qui sera retirée de la cotation, écrit samedi l'hebdomadaire allemand Wirtschaftswoche, citant des sources au sein de l'entreprise. Actuellement, Etihad, entré au capital d'Air Berlin fin 2011, en détient 29%.

Selon Wirtschaftswoche, un groupe d'actionnaires allemands, parmi lesquels d'actuels et anciens responsables d'Air Berlin, vont eux porter leur part légèrement au-delà de 50% pour préserver le statut allemand de la compagnie. Faute de cette nationalité, la compagnie pourrait perdre ses droits de vols hors de l'Union européenne, ajoute l'hebdomadaire.

Les plus petits actionnaires, qui détiennent actuellement 38,5% de la compagnie, verraient leurs parts rachetées, toujours selon Wirtschaftswoche.

Mercredi soir, Air Berlin avait annoncé le report de ses conférences annuelles de presse et pour analystes prévues le lendemain, en raison de discussions stratégiques "avancées" susceptibles d'avoir des effets "substantiels" pour l'entreprise (...).

Mon commentaire : Etihad continue de faire son marché en Europe. En élevant sa participation au maximum légal en Europe, 49,9%, elle cherche à accroitre son influence sur la compagnie allemande récemment ralliée à oneworld, autour d'IAG. Mais Air Berlin évoque des discussions en cours avec Air France-KLM. Des rumeurs rapprochent l'intérêt d'Etihad pour Air Berlin à celui qu'elle a également pour Alitalia. Un rapprochement entre la berlinoise et l'italienne aurait-il du sens ? Qui de Skyteam ou de oneworld serait gagnant ? Enfin, souvenons-nous qu'Etihad n'a toujours pas exprimé d'intérêt à rallier une quelconque alliance.

La presse boursière

> Air France KLM : Goldman Sachs en soutien

(source boursier.com) 19 mars - La banque américaine a confirmé son conseil acheter sur le titre de la compagnie aérienne tout en rehaussant son cours cible à 11,7 euros. Les résultats 2013 ont montré les progrès accomplis par le groupe en termes de coûts et de dette, estime le broker.

Fin de la Revue de Presse

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> Mon commentaire sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM

Clôture de l'action Air France-KLM à 10,60 € le lundi 24 mars.

La moyenne des objectifs de cours (le consensus) est à 9,48 € après le relèvement d'objectifs de cours de plusieurs analystes liés aux résultats 2013. Les dernières réévaluations vont de 8,50 à 12 €.

Depuis le début de l'année, les marchés actions progressent aux USA et en Europe, face à une certaine dégradation de la situation économique de pays émergents. Des capitaux investis dans ces pays reviennent vers l'Europe, perçue comme "en sortie de crise". C'est un élément favorable pour la hausse de l'action AF-KLM.

Le baril de pétrole Brent (mer du nord) est à 107 $.

Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.

Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur du groupe Air France-KLM.

Vous pouvez me poser, par retour, toute question relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...

A bientôt.

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| Christian Magne

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