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| Lettre de l'Administrateur Air France-KLM

| Christian Magne

Représentant des salariés actionnaires PS et PNC

navigaction.com

N°447, lundi 16 juin 2014

La Revue de Presse du lundi...

> Air France-KLM poursuit la gestion active de sa dette

(source CercleFinance.com) 12 juin - Après avoir réalisé la semaine dernière une émission obligataire d'un montant de 600 millions d'euros à sept ans, Air France-KLM annonce les résultats définitifs de l'offre de rachat lancée par HSBC le 2 juin 2014 portant sur les obligations venant à échéance en octobre 2016. Des obligations pour un montant nominal de 94 millions d'euros, représentant 13,4% des obligations en circulation, ont été apportées à cette offre de rachat et acceptées. Le nominal de cette obligation sera donc réduit à 606 millions d'euros.

Le groupe prévoit en outre de réaliser des remboursements anticipés de dettes bancaires pour un montant d'environ 200 millions d'euros.

Ces opérations permettent à Air France-KLM d'allonger la maturité moyenne de sa dette tout en profitant de conditions de marché favorables.

Mon commentaire : La dette d'Air France-KLM est importante à plus de 5 milliards d'euros. Elle a baissé mais reste bien plus élevée que celle de nos proches concurrents IAG et Lufthansa. Nos résultats actuels ne nous permettent pas encore de réduire cette dette significativement. Dans cette situation difficile, il importe de lisser les échéances de remboursement pour ménager la trésorerie et saisir toutes les opportunités pour que le cout de la dette soit le plus réduit possible C'est l'enjeu des derrières opérations mentionnées dans cet article.

> «Sans concurrence équitable, l'aéronautique européenne va au désastre» (Jean-Cyril Spinetta)

(source la tribune) 16 juin - Interrogé dans le cadre du Paris Air Forum, Jean-Cyril Spinetta, Président d'Honneur d'Air France - KLM, appelle l'Union européenne à se doter de règles fortes pour garantir que la concurrence soit équitable entre les compagnies aériennes.

Jean-Cyril Spinetta est le premier à vanter les mérites de la libéralisation du secteur aéronautique. Grâce à cette politique, les compagnies aériennes européennes sont devenues des géants mondiaux du secteur. Mais la libéralisation n'est pas sans risques : sans l'intervention d'un régulateur, les compagnies aériennes font face à des conditions de concurrence inéquitables.

L'ancien PDG d'Air France - KLM cite notamment les compagnies du Golfe. Si "leurs performances opérationnelles sont remarquables", elles profitent aussi de l'absence de règles de concurrence. Ainsi, alors que certaines compagnies du Golfe jouissent pleinement du soutien de leurs États, l'Union européenne contrôle les aides étatiques fournies par les États membres à leurs compagnies nationales.

Pour Jean-Cyril Spinetta, la Commission européenne doit prendre exemple sur les États-Unis, qui se sont dotés d'un corps de règles pour garantir un level playing field - des conditions de concurrence équitables pour tous les acteurs. C'est selon lui le seul moyen d'éviter un "désastre" du point de vue de l'emploi et de la création de richesses.

> Etihad prête à investir jusqu'à 1,25 milliard dans Alitalia

(source zonebourse) 11 juin - Etihad est prête à investir jusqu'à 1,25 milliard d'euros dans Alitalia dans les quatre années à venir dans le cadre d'un éventuel rapprochement entre les deux compagnies aériennes, a annoncé mercredi le ministre italien des Infrastructures et des Transports Maurizio Lupi. Sur ce montant, 560 millions proviendront d'une augmentation de capital tandis le reste prendra la forme d'un investissement en appareils, en équipements et en formations, a-t-il dit à la presse.

Alitalia, qui a reçu l'an passé une aide de 500 millions d'euros pilotée par l'Etat, risque d'être à court de trésorerie d'ici août à moins de se trouver un associé opulent. Une source syndicale a précisé que Maurizio Lupi avait déclaré mercredi à des représentants des syndicats qu'il espérait qu'un accord avec Etihad soit bouclé d'ici au 15 juillet. Maurizio Lupi a expliqué que les deux parties avaient évoqué, lors de la réunion avec les syndicats, la piste du licenciement de 2.251 salariés d'Alitalia, une conditions posée par Etihad pour réaliser son investissement.

L'administrateur délégué Gabriele Del Torchio avait dit lundi qu'il avait bon espoir qu'un accord soit conclu dans les semaines qui viennent.

> Alitalia accepte la main tendue d'Etihad Airways

(source Boursier.com) 14 juin - Le Conseil d'administration de la compagnie aérienne Alitalia a finalement accepté la main tendue d'Etihad Airways en se prononçant, vendredi en soirée, en faveur de l'offre d'investissement de la compagnie nationale aérienne des Émirats Arabes Unis. "Le projet d'Etihad a été approuvé et le conseil nous a confié, à moi et au président, la mission d'étudier et de boucler rapidement un projet d'accord définitif", a déclaré Gabriele del Torchio, l'administrateur délégué d'Alitalia. Les obstacles à ce rapprochement, notamment la condition d'un licenciement de plus de 2.000 personnes de la compagnie aérienne italienne, ne semblent pourtant pas aplanis.

Décollage des négociations ?

Cette décision du Conseil d'administration d'Alitalia constitue une avancée (...) la compagnie aérienne italienne en difficulté pourrait accepter la conclusion un accord définitif. La compagnie d'Abou Dhabi obtiendrait ainsi le feu vert pour investir jusqu'à 1,25 milliard d'euros dans les 4 prochaines années dans Alitalia. Sur ce montant, 500 millions d'euros pourraient être apportés par voie d'augmentation de capital. Cette nouvelle levée de fonds ferait suite à déjà un renflouement de 500 ME d'Alitalia, il y a un an.

233 ME de charges de dépréciations

Le Conseil d'administration de la compagnie aérienne vient d'entériner les comptes de l'exercice 2013, sans en préciser les détails de bilan. Il indique simplement que la compagnie italienne a passé 233 ME de charges et dépréciations "pour préparer la future stratégie". Hors dépréciations, les pertes s'élèvent à 290 ME. Parallèlement, Alitalia discute aussi avec les banques de la restructuration d'environ 700 millions d'euros de dette, un point qui freine encore l'accord avec la compagnie d'Abou Dhabi. Gabriele del Torchio a néanmoins précisé qu'elles avancent "dans le bon sens" et de conclure : "Il ne s'agit pas de petites sommes. Nous continuons de travailler".

Une bouée de sauvetage contre 2.200 licenciements

Ce soutien d'Etihad Airways constitue en quelque sorte la bouée de sauvetage de la dernière chance puisque à défaut de partenariat, Alitalia pourrait être en défaut de trésorerie dès août prochain. Jusqu'à présent, les discussions ont également achoppé sur le volet social, Etihad Airways demandant en contrepartie de ses investissements le licenciement de 2.251 salariés d'Alitalia. Le Conseil d'administration d'Alitalia n'a pas précisé les avancées sur ce plan. Les négociations pourraient donc encore se prolonger... Dans la semaine, Maurizio Lupi, le Ministre italien des Infrastructures et des Transports, avait indiqué espérer un accord d'ici le 15 juillet.

Mon commentaire : Alitalia vit sous perfusion depuis des années. Elle a entrepris à plusieurs reprises des adaptations sévères et socialement douloureuses qui se sont révélées trop tardives ou insuffisantes. L'équation est difficile : comment survivre quand on est une compagnie européenne de taille moyenne, alors que le trafic long-courrier est devenu la chasse gardée des grosses compagnies et des émergentes hors d'Europe, et que le moyen-courrier est capté par les compagnies low cost ? Alitalia ne peut être que "vassalisée" par une entreprise ou un actionnaire disposant d'un gros carnet de chèque.

La compagnie italienne reste un partenaire d'Air France-KLM au travers de nombreux accords. Il est souhaitable que les intérêts de notre groupe soient préservés, et pourquoi pas accrus, par ce projet Etihad/Alitalia.

> EasyJet, compagnie n°1 à Nice, devant Air France

(source airjournal) 11 juin - A l’annonce de l’arrivée d’un troisième Airbus sur sa base de Nice, François Bachetta, Directeur Général easyJet France, a révélé que la low cost se plaçait désormais première compagnie aérienne à Nice en nombre de passagers transportés, d’une petite longueur devant Air France donc.

EasyJet positionne désormais un troisième Airbus sur sa base de Nice, un A319, qui pourrait à terme se transformer en Airbus A320. Cette annonce, presque anecdotique, reflète surtout la montée en puissance d’easyJet en France, et plus particulièrement sur l’aéroport Nice Côte d’Azur. Deuxième compagnie aérienne en France en termes de passagers transportés derrière Air France et devant Ryanair, elle est devenue depuis début 2014 la première compagnie sur la plateforme niçoise (28 destinations), a affirmé François Bacchetta, devant Air France, la compagnie française basant quant à elle six avions sur cette plateforme. Avec 3,058 millions de passagers transportés en 2013, la low cost orange y accapare désormais 27 % de parts de marché.

Depuis son premier vol en juin 1996 depuis Londres-Luton et son premier Airbus basé à Nice en 2012, la low cost a transporté au total 30 millions de passagers, tout continuant d’y développer son réseau : vers Hambourg depuis le 20 mars, Marrakech le 1er avril, Lisbonne le 10 avril et Palerme en Sicile à partir de juillet prochain. Elle a transporté 30 millions de passagers.

Mon commentaire : Air France a contesté cette "première place" d'easyJet à Nice. Il reste que la progression de la compagnie britannique est importante, à Nice comme ailleurs, et que nous devons y faire face.

> Les nuages s’accumulent au dessus de Lufthansa

(source les échos) 11 juin - La compagnie allemande revoit les objectifs financiers ambitieux fixés par la direction sortante. Elle souffre de surcapacités illustrant les difficultés du transport aérien européen.

Pas de répit pour le nouveau patron de Lufthansa. Carsten Spohr doit endosser un changement net de trajectoire de la première compagnie aérienne allemande à peine 45 jours après en avoir pris les commandes. Le conseil de surveillance réuni dans la matinée ce mercredi a dû battre en brèche les objectifs de rentabilité sur 2014 et 2015, tels que définis par l’ex-patron Christoph Franz. En Bourse, le titre perdait jusqu’à plus de 15 %, à quelque 17 euros.

En cause, les récentes grèves menées chez les pilotes, mais surtout une évolution plus faible que prévu des recettes tant côté voyageurs que fret. Par conséquent, le résultat opérationnel devrait atteindre 1 milliard d’euros cette année, contre une fourchette de 1,3 à 1,5 milliard prévue initialement. Pour 2015, point final du programme pluriannuel d’économies « Score » censé améliorer de 1,5 milliard d’euros le résultat, Lufthansa table désormais sur un Ebit de 2 milliards d’euros, au lieu de 2,65 milliards. Cela s’entend hors détérioration plus grave des recettes et inclut les effets d’un plan de mesures que Carsten Spohr présentera en juillet.

Pression sur les prix

Son prédécesseur aura quitté la compagnie en laissant des objectifs très élevés mais sans supporter le risque de ne pas les atteindre, fait remarquer l’analyste Jürgen Pieper, de Metzler Bank. Surtout que les difficultés rencontrées sont structurelles, a expliqué Simone Menne, directrice financière de la compagnie. Les trafics européen et vers l’Amérique du Nord souffrent de surcapacités, causant une pression sur les prix. La clientèle d’affaires en profite pour obtenir de meilleurs tarifs, face à la grande variété d’offres sur le marché. Des premières décisions ont été annoncées ce mercredi. Lufthansa veut réduire le plan des vols pour le prochain hiver. Et les commandes de nouveaux appareils vont être réexaminées à la loupe, sans exclure d’en reporter ou annuler certaines.

Côté charges, la compagnie a ressenti un impact respectif de 60 millions d’euros du fait des provisions sur des créances libellées en Bolivar, la devise du Venezuela, et de la grève des pilotes en mars. Ici, les négociations progressent mais les pilotes peuvent déclencher de nouveaux arrêts de travail à tout moment.

Mon commentaire : Le "profit warning" de Lufthansa (avertissement sur résultats inférieurs aux prévisions) est sévère. Il mentionne des éléments exceptionnels, tel la situation au Venezuela (qui concerne également Air France-KLM) et les grèves de pilotes (...), mais également des éléments de conjoncture : concurrence des compagnies du golfe et des compagnies MC low cost, et surcapacités sur l'Amérique du Nord. Tous ces sujets de préoccupations sont partagés par notre groupe. Jusqu'à maintenant, Lufthansa semblait en souffrir moins que nous et sa relative solidité impressionnait. Le recadrage annoncé est sévère mais la marge de la compagnie allemande, même amoindrie, reste enviable. A noter que la surprise provoquée par ce "profit warning" a entrainé une chute en trois jours de -19% de l'actio de Lufthansa, mais aussi, par "contagion", de -13% de notre action et de -7% sur celle d'IAG.

> Lufthansa veut créer une nouvelle compagnie à bas coût

(source AFP) 15 juin - Le groupe aérien allemand Lufthansa envisage de créer une nouvelle compagnie à bas coût au sein de sa filiale Eurowings, selon l'hebdomadaire Der Spiegel.

Basée à Düsseldorf (ouest), Eurowings dessert déjà des villes en Europe et en Allemagne, sur des trajets moins fréquentés. Le patron de Lufthansa Carsten Spohr prévoit de renforcer sa flotte, avec des Airbus A320, afin d'accroître ses destinations en Europe depuis l'Allemagne, écrit le magazine sans citer de source. En outre, cette nouvelle compagnie pourrait opérer à moyen terme entre des villes comme Londres et Rome, se plaçant en concurrence direct avec Easyjet et Ryanair.

Depuis janvier 2013, Lufthansa, qui souffre de la concurrence des compagnies à bas coût, opère déjà une partie de ses vols en Allemagne et en Europe sous la bannière de sa filiale Germanwings, avec pour objectif de regagner la clientèle perdue en proposant des prix bon marché sans être low cost.

Le projet de M. Spohr, qui a pris les rênes de la première compagnie européenne le 1er mai, constituerait "un pas radical supplémentaire", selon le Spiegel, puisque les tarifs pratiqués seraient encore inférieurs. En outre, le dirigeant souhaiterait aussi offrir à l'avenir des tarifs meilleur marché sur ses vols vers l'Asie. "Toutes les options sont à l'étude pour assurer notre avenir", s'est contenté de déclarer une porte-parole du groupe, interrogée par l'hebdomadaire.

L'action de Lufthansa avait dégringolé la semaine dernière après la révision à la baisse de ses prévisions de résultat opérationnel pour 2014 et 2015, en raison notamment de la faible évolution des revenus dans la division passagers. Le groupe, outre la concurrence des low cost, est confronté à celle des compagnies du Golfe ou encore de Turkish Airlines, y compris de plus en plus sur les liaisons transatlantiques qui lui fournissent l'essentiel de ses marges.

Mon commentaire : Si on devait comparer Lufthansa et AF-KLM, on pourrait dire que Germanwings est le "Transavia" de Lufthansa, tandis qu'Eurowings est son "Hop!". Ainsi, étudier l'attribution d'A320 à Eurowings correspondrait, chez nous, à équiper Hop! avec des A320. On constate que les principales compagnies historiques européennes "se cherchent" quant au devenir de leur réseau MC, fortement malmené par les low cost.

> Wizz Air renonce à son introduction en Bourse

LONDRES, 16 juin (source Reuters) - La compagnie aérienne d'Europe centrale Wizz Air a annoncé lundi qu'elle renonçait à son projet d'introduction à la Bourse de Londres en raison de la volatilité du marché dans son secteur. Wizz Air avait annoncé le mois dernier un projet d'IPO par le placement d'actions nouvelles à hauteur de 200 millions d'euros .

"Les perspectives pour les affaires de Wizz Air demeurent extrêmement positives et ne seront pas affectées par la décision de ne pas avoir recours à une IPO", assure la compagnie dans un communiqué.

Lufthansa a fait plonger en Bourse tout le transport aérien européen en faisant savoir la semaine dernière qu'elle n'atteindrait pas ses objectifs de résultats 2014 et 2015 en raison de l'intensification de la concurrence sur ses principales liaisons et de l'impact des grèves de pilotes qui ont récemment perturbé ses activités.

Les actions de deux des principaux concurrents de Wizz Air, Ryanair et easyJet, ont ainsi chuté respectivement de 9% et 7% la semaine dernière.

Créée en 2004 en Hongrie, Wizz Air est la première compagnie "low cost" d'Europe centrale et orientale avec 38% du marché. Contrairement à la plupart des compagnies nationales traditionnelles de la région, elle réalise des bénéfices.

La presse boursière

> Jefferies revoit son opinion sur Air France-KLM

(source Tradingsat.com) 12 juin - L'avertissement lancé mercredi par Lufthansa a fait couler beaucoup d'encre. Surpris par l'ampleur de ce "profit warning", Jefferies abaisse sa recommandation sur la compagnie aérienne allemande de "Achat" à "Conserver" et passe de "Conserver" à "Sous-performance" sur Air France-KLM, estimant que le groupe franco-néerlandais sera également affecté par les difficultés de Lufthansa, dont les revenus ne progressent pas autant qu'escompté. L'objectif de cours sur Air France-KLM reste inchangé à 10 euros.

Mon commentaire : Les inquiétudes de Lufthansa (surcapacité sur l'Amérique du nord, concurrence des compagnies du Golfe et des low cost) concernant aussi Air France-KLM, des analystes, tel ici Jefferies, pourraient revoir leur opinion sur Air France-KLM.

Fin de la Revue de Presse

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> Mon commentaire sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM

Clôture de l'action Air France-KLM à 10,20 € le lundi 16 juin.

La moyenne des objectifs de cours (le consensus ) des analystes est à 10,21 €.

Pendant les premiers mois de 2014, les marchés actions ont progressé aux USA et en Europe, face à une certaine dégradation de la situation économique de pays émergents. Des capitaux investis dans ces pays sont revenus vers l'Europe, perçue comme "en sortie de crise". Cela a été un élément favorable pour la hausse de l'action AF-KLM qui a frôlé deux fois les 12 euros. Mais des incertitudes demeurent, dont la situation en Ukraine et en Irak.

Le baril de pétrole Brent (mer du nord), stabilisé depuis plusieurs mois dans un fourchette de 105 à 110$, monte brusquement à 114 $, suite au conflit en Irak.

Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.

Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur du groupe Air France-KLM.

Vous pouvez me poser, par retour, toute question relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...

A bientôt.

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| Christian Magne

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