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| Lettre de l'Administrateur Air France-KLM

| Christian Magne

Représentant des salariés actionnaires PS et PNC

navigaction.com

N°452, lundi 21 juillet 2014

La Revue de Presse du lundi...

> Le salon de la Première d’Air France sacré meilleur du monde

(source challenges) 16 juillet - Pour la première fois, la compagnie nationale arrive en tête d’une des catégories du très sérieux classement Skytrax qui s’appuie sur le vote de millions de voyageurs.

Chez Air France on exulte. L’effort consenti par la compagnie pour hisser sa Première et sa "business class" parmi les plus luxueuses du monde commence à porter ses fruits. Le salon dédié aux seuls passagers qui sont ensuite amenés en limousine jusqu’à la passerelle de leur avion vient de décrocher le titre très envié de meilleur lounge first du monde, selon le palmarès 2014 de Skytrax, de loin le plus sérieux du genre (il s'appuie sur le vote de près de 13 millions de voyageurs issus d'une centaine de pays).

Air France ravit ainsi un titre détenu l'an passé par son rival européen, Lufthansa relégué à la deuxième place. Et peut se targuer d’être sur ce point très en avance sur Etihad Airways (4e), qui, en juin, a annoncé de lourds investissements dans sa cabine first. Mieux, le catering (les prestations de restauration dans le jargon du transport aérien) offert dans ce même salon obtient également un score qui le place lui aussi au premier rang mondial. Le fait d'avoir confié la restauration et le service à la table au chef Alain Ducasse y est sans doute pour beaucoup.

"Nous avons investi 8,8 millions d'euros pour créer ce salon en 2009" souligne Bruno Matheu, le directeur général délégué en charge de l'activité passage long-courrier. A cela s'ajoute les frais de personnel et de catering. La centaine de passagers qui, en moyenne, sont accueillis dans ce luxueux salon de 1.000 m2 bénéficie ainsi d'une prestation qu'Air France évalue à plusieurs centaines d'euros par personne. Car à la dizaine de personnes pilotées par Alain Ducasse s'ajoutent 130 salariés d'Air France. Plus d'une personne donc par passager. "Il s'agit d'un investissement très élevé lié à l'accompagnement individualisé de chaque passager" précise Bruno Matheu.

Absent du top 10 pour son service à bord

En revanche, pour le service à bord de ses avions, Air France a apparemment encore des efforts à faire. Elle n’apparaît pas dans le top 10 des meilleures compagnies au monde (toutes classes confondues), dominée par Cathay Pacific (1er), Qatar Airways (2e), Singapore Airlines (3e), Emirates (4e) et Turkish Airlines (5e).

Air France ne figure pas non plus parmi les dix meilleures cabines Première ou business du monde où les champions du monde sont respectivement Singapore Airlines et Qatar Airways. Seule consolation, la compagnie se hisse cette année au 8e rang mondial pour son offre "premium", la classe intermédiaire entre "economy" et "business".

Mais il est vrai que les passagers ayant répondu aux questionnaires de Skytrax n'avaient pas pu encore tester les nouveaux aménagements de ses cabines avec de nouveaux sièges dans lesquels la compagnie a investi 500 millions d'euros. Air France peut donc espérer intégrer le top 10 des meilleures Première et Business l'an prochain. "Ce pourrait être un élément de reconnaissance mais ce n'est pas un objectif que nous nous sommes fixés" conclut Bruno Matheu.

> Air France-KLM : Collaboration renforcée avec Garuda

(source CercleFinance.com) 17 juillet - Air France et Garuda Indonesia ont signé un accord de partage de codes la semaine dernière, a fait savoir aujourd'hui la compagnie française. Ledit accord permet à ses clients une fois arrivés à Singapour ou à Kuala Lumpur de pouvoir également continuer leur voyage, avec des possibilités d'horaires étendues, vers Jakarta et Denpasar (Bali).

Il leur offre également la possibilité de s'envoler vers l'aéroport international de Surabaya-Juanda (province de Java oriental) depuis Singapour.

A leur arrivée à l'aéroport d'Amsterdam-Schiphol (Pays-Bas), les clients de Garuda Indonesia ont quant à eux accès à deux destinations françaises, Paris et Nantes (Loire-Atlantique).

Garuda Indonesia est membre de SkyTeam depuis le 5 mars dernier. La compagnie nationale indonésienne, qui dispose d'une flotte d'environ 130 avions et dessert 64 destinations dans 12 pays, est la deuxième d'Asie du Sud-Est à avoir rejoint l'alliance.

Son adhésion a fait de Jakarta une nouvelle porte d'entrée et de sortie dans la Région. La compagnie apporte également 40 nouvelles destinations au réseau mondial de SkyTeam desservies exclusivement par l'alliance.

Pour rappel, Air France a inauguré la semaine dernière une nouvelle liaison entre Paris-Charles de Gaulle et Jakarta, à raison de sept vols hebdomadaires via Singapour.

> Air France-KLM : EasyJet défie KLM en ouvrant une base à Amsterdam

(source la tribune) 17 juillet - Mauvaise nouvelle pour Air France-KLM. EasyJet a annoncé jeudi qu'elle allait ouvrir en 2015 une base à l'aéroport d'Amsterdam Schiphol, le hub de KLM. La base disposera de trois avions moyen-courriers Airbus A320 a indiqué EasyJet, qui dessert déjà Schiphol depuis 1996. Amsterdam Schiphol est l'une des deux grandes plateformes de correspondance d'Air France-KLM avec Roissy-Charles de Gaulle en France, où Easyjet a déjà installé une base d'exploitation.

"Nous avons bâti là-bas une solide position de numéro deux, que nous voulons désormais consolider et faire croître", avec toujours plus de voyageurs d'affaires, a déclaré Carolyn McCall, la patronne d'EasyJet. Focalisée sur les grands aéroports et la clientèle affaires, la compagnie à bas coûts chasse sur les terres des compagnies classiques.

> Air France-KLM : ce que propose l'ancien PDG pour contrer Emirates, Etihad, Qatar Airways

(source la tribune) 17 juillet - Lors du Paris Air Forum (...) Jean-Cyril Spinetta s'est lâché comme peut être il ne l'avait jamais fait en public. A l'occasion du débat sur "la libéralisation est-elle le remède du transport aérien ou le poison", dans lequel il débattait avec le directeur de la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), Patrick Gandil, l'ancien PDG d'Air France-KLM, aujourd'hui président d'honneur du groupe aérien français, a sorti l'artillerie lourde pour non seulement dénoncer les conséquences sur le transport aérien européen de la concurrence des compagnies du Golfe qu'il juge déloyale mais aussi pour proposer à Bruxelles une méthode visant à mettre en place des "règles de concurrence équitables".

Entre l'Europe et les pays du Golfe, "les conditions de cette concurrence n'ont pas encore été définies (....). Il y a eu une véritable hémorragie au détriment des compagnies européennes dans des conditions d'opacité que je déplore", a-t-il déclaré.

Pour lui, dans la mesure où la libéralisation des marchés devrait se développer à l'avenir et entrainer le déploiement des transporteurs sur tous les continents, la question fondamentale est de savoir si les compagnies européennes auront "la force financière pour devenir des acteurs économiques présents sur tous les marchés mondiaux".

"C'est un enjeu majeur et aujourd'hui je répondrai de manière dubitative à cette question (...). car les compagnies du Golfe ont déjà gagné la partie. 23 ou 24 des pays de l'Union européenne ont déjà signé des accords de ciel ouvert (permettant des services illimités entre ces pays et leur pays d'origine, ndlr) et un certain nombre d'entre eux ont concédé des droits de 5ème liberté (possibilité pour les compagnies non-européennes d'effectuer des vols entre l'Europe et des pays tiers autres que le pays d'origine de ces transporteurs, ndlr)". Aujourd'hui, seules la France et l'Allemagne continuent de résister.

Pour Jean-Cyril Spinetta, il existe encore un moyen de retourner la situation.

"En liaison avec leur gouvernement, les compagnies européennes doivent définir un mandat à la Commission européenne pour négocier au nom de l'ensemble des pays de l'Union un accord de ciel ouvert avec les États du Golfe".

Ce mandat doit, selon lui, porter sur trois points qui permettraient d'obtenir des conditions de concurrence équitables : "la gouvernance, la réciprocité, et la transparence financière".

Concernant la gouvernance, Jean-Cyril Spinetta la qualifie d'"inacceptable dans ces pays où la même personne préside à la fois la compagnie, l'aéroport, le régulateur, le duty free, la banque et j'en passe et des meilleures".

A propos de la réciprocité, il demande que tout ce que peuvent faire ces compagnies en Europe puisse être autorisé aux compagnies européennes dans les pays du Golfe. "Si elles peuvent investir dans les compagnies européennes, ces dernières doivent pouvoir le faire dans les compagnies du Golfe".

Une attaque qui vise la compagnie d'Abu Dhabi Etihad Airways laquelle multiplie les prises de participation capitalistique minoritaires dans des compagnies aux quatre coins du globe, notamment en Europe (Air Berlin, Alitalia demain). Sur ce point, Alexandre de Juniac, le PDG d'Air France-KLM, qui intervenait également au Paris Air Forum sur le thème "les grandes compagnies européennes peuvent-elles rester des leaders mondiaux ?", a demandé à l'Europe de faire appliquer les règles d'investissement dans les compagnies européennes pour les opérateurs originaires de pays tiers. Autrement dit que ces derniers n'aient pas le contrôle effectif des compagnies européennes comme la réglementation européenne l'exige puisqu'ils ne peuvent disposer de plus de 49% du capital.

Enfin sur la transparence financière, "le plus important" selon Jean-Cyril Spinetta, les "compagnies dont les dirigeants jurent la main sur le cœur qu'ils ne reçoivent pas de subventions doivent le démontrer. S'ils sont sérieux, ils peuvent le faire aisément".

En pratique, même s'il ne l'a pas dit en ces termes, Jean-Cyril Spinetta demande aux compagnies du Golfe d'ouvrir leurs comptes, comme il l'avait déjà dit il y a une dizaine d'années.

Au final, a continué le président d'honneur d'Air France-KLM, si la Commission obtient ce mandat et l'exerce, "les discussions entre chaque pays et ces compagnies doivent s'interrompre. Si la négociation réussit, un ciel ouvert doit être instauré. Si elle échoue, les accords bilatéraux doivent être dénoncés et les fréquences des compagnies du Golfe gelées".

Pour Patrick Gandil, "la question doit être vue de manière nuancée". « Il y a une vraie question sur l'univers des pays du Golfe, mais ils ne sont pas les seuls (...) Il y a une question d'ordre économique -de concurrence équitable- et une question d'ordre diplomatique (...). C'est selon ces questions qu'il faut regarder le sujet et non avec un esprit qui raisonne en termes de bien et de mal. Je ne suis pas sûr que ce que font les compagnies du Golfe soit forcément critiquable. Il y a un choix de leur pays pour un certain développement. La question est : que faisons-nous par rapport à cela", a-t-il déclaré.

"Si on laisse le système évoluer comme il évolue, la connectivité directe n'existera plus entre les villes européennes et le monde asiatique. Elle se fera par le Golfe". Pour lui, une absence de vols directs entre les villes européennes et asiatiques aura « des conséquences non seulement économiques mais aussi diplomatiques. Il a cité l'exemple de l'Inde où les vols directs entre la France se limitent à seulement deux lignes.

Dubai plus connecté au monde que Paris, Londres et Francfort réunies

Intervenant également au Paris Air Forum sur le thème "la sous-capacité aéroportuaire est-elle un mal européen ?", Olivier Jankovec, secrétaire général de l'ACI Europe, (l'association des aéroports européens) a fait part de son inquiétude à l'égard du manque d'investissement pour augmenter la capacité en Europe en rappelant qu'"en 2004, le niveau de connectivité intercontinentale des trois premiers hubs européens (Londres, Paris, Francfort) était trois fois supérieur à celui des trois plus gros hubs du Golfe (Dubai, Abu Dhabi, Doha) mais que dix ans plus tard, le niveau de connectivité intercontinentale de ces derniers était le double de celui des aéroports européens". "Le niveau de connectivité de Dubai est même équivalent à celui de Paris, Londres, Francfort réunies", a-t-il précisé.

L'arme des droits de trafic

(...) Patrick Gandil a rappelé que la France disposait d'un outil : les droits de trafic, "qui ont été créés pour respecter des équilibres de marché sur certaines liaisons directes, non pas pour fermer ce marché mais pour l'ouvrir de manière équilibrée afin de ne pas laisser notre marché disparaître en supprimant la connectivité directe au profit des marchés tiers". "Nous avons la possibilité de dire non, de réguler le marché, d'accepter la relation de point-à-point qui correspond à la relation entre pays, et être plus malthusien sur les droits de 5ème liberté", a-t-il dit.

Intervenant également au Paris Air Forum, l'ancien directeur de la DGAC, Claude Abraham, qui s'était distingué l'an dernier en dirigeant l'équipe qui avait rendu au premier ministre un rapport intitulé "Les compagnies européennes sont-elles mortelles?" a appelé les autorités françaises à être "vigilantes dans l'attribution des droits de trafic". Concernant les propositions de Jean-Cyril Spinetta de donner mandat à la Commission, Patrick Gandil s'est déclaré favorable sur le principe mais a rappelé les difficultés de l'exécution d'une telle démarche. "Il faut à la fois être certain que les négociateurs sont convaincus et vont le faire, sinon c'est extrêmement dangereux et il faut être capable de fixer en commun au niveau européen un mandat impératif à Bruxelles. Ce ne sont pas des petits codicilles", a-t-il dit.

"Les compagnies françaises nous font un mauvais procès" dit Emirates

Ce débat n'a pas laissé indifférent Thierry de Bailleul, le directeur général France d'Emirates. Ce dernier a déploré une "diabolisation qui ne sert à rien car elle renvoie à certaines faiblesses de notre pays (...), à une certaine faiblesse des compagnies françaises qui nous font un mauvais procès". Il a pris l'exemple de l'ouverture de la ligne Dubai-Lyon pour justifier l'apport économique d'Emirates pour Lyon et sa région. Il a également mis en avant le poids des Émirats arabes unis dans la balance commerciale française. Concernant les accusations de subventions, il a rappelé qu'Emirates publiait des comptes certifiés par un organisme international, "qui démontrent que nous ne recevons pas de subventions. Au contraire nous payons des impôts sur nos bénéfices".

L'intervention de Thierry de Bailleul a visiblement agacé Jean-Cyril Spinetta. Ce dernier l'a sommé de dire sur le champ s'il était pour une concurrence équitable ou pas et que si ce que disent les dirigeants des compagnies du Golfe est vrai (qu'elles ne reçoivent pas d'aides d'état, ndlr), il était de leur intérêt de retenir sa proposition et d'ouvrir immédiatement des négociations.

> François Bacchetta, directeur général d'easyJet France

(source les echos) 17 juillet - Interview :

L'activité de la compagnie :

« En 2014, nous avons ouvert 24 nouvelles lignes dans toutes les régions de France. C'est une palette de destinations à la fois de loisirs et d'affaires. Nous souhaitons également faire venir les touristes de l'étranger avec une ligne qui n'existait pas avant : Nice-Hambourg. Pour cette période estivale, le nombre de passagers va rester assez stable, avec quelques mouvements de croissance sur des destinations qui marchent bien en France, comme Figari, en Corse. »

Une clientèle d'affaires :

« Le nerf de la guerre se situe dans le voyage d'affaires car c'est le segment de notre clientèle qui s'est le plus développé cette année. Un quart de notre clientèle sont des hommes d'affaires. Je pense que c'est dû au renforcement de la fréquence des vols. Par exemple, Paris-Milan avec huit vols par jour. Nous essayons de nous démarquer, notamment via notre offre de billet tout compris, comprenant le repas, un bagage en soute et un embarquement prioritaire. Nous sommes aussi distribués par les agences de voyages d'affaires alors que ce n'est pas dans notre ADN. »

La concurrence :

« Nous ne nous sentons pas menacés par d'autres compagnies qui tentent de proposer une offre low cost. Le vol long-courrier reste incompatible avec un modèle low cost comme le nôtre. On conserve un avantage compétitif en matière de coût. Nous continuons de renforcer notre productivité et notre qualité de service pour conserver une longueur d'avance. »

Mon commentaire : La France reste l'un des pays d'Europe où les compagnies low cost sont peu implantées, en particulier sur les vols domestiques. Elles peuvent encore progresser, au détriment des compagnies historiques. EasyJet devient une compagnie en mesure de satisfaire aux exigences de la clientèle Affaires, qui est le centre de notre activité. Air France doit renforcer sa compétitivité dans ce secteur.

Fin de la Revue de Presse

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> Mon commentaire sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM

L'action Air France-KLM est à 8,268 € le lundi 21 juillet.

La moyenne des objectifs de cours (le consensus ) des analystes est à 9,47 €.

Pendant les premiers mois de 2014, les marchés actions ont progressé aux USA et en Europe, face à une certaine dégradation de la situation économique de pays émergents. Des capitaux investis dans ces pays sont revenus vers l'Europe, perçue comme "en sortie de crise". Une situation qui a favorisé l'action AF-KLM car elle a frôlé deux fois les 12 euros. Mais des incertitudes demeurent, dont la situation en Ukraine et en Irak.

Le baril de pétrole Brent (mer du nord), stabilisé depuis plusieurs mois dans un fourchette de 105 à 110$, après une pointe à 115 $ suite au conflit en Irak, est revenu à 108 $.

Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.

Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur du groupe Air France-KLM.

Vous pouvez me poser, par retour, toute question relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...

A bientôt.

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| Christian Magne

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