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| Lettre de l'Administrateur Air France-KLM

| Christian Magne

Représentant des salariés actionnaires PS et PNC

navigaction.com

N°474, lundi 22 décembre 2014

La Revue de Presse du lundi...

> Pour Air France-KLM, 2014 ressemble à une année pour rien

(source les echos) 22 décembre - Air France-KLM termine l'année 2014… dans la même situation que fin 2013. En dépit des réductions de coûts, des emplois supprimés et des efforts de relance commerciale, l'avertissement sur résultats lancé jeudi dernier - le troisième en six mois - a ramené le groupe là où il en était au début de l'an dernier. Après avoir chuté de plus de 8 % vendredi, le cours de Bourse est presque retombé à son niveau de décembre 2013. L'excédent brut d'exploitation 2014, qui devrait finalement se situer entre 1,5 et 1,6 milliard d'euros - soit 200 millions de moins que la prévision d'octobre - sera même inférieur à celui de 2013 (1,85 milliard d'euros). A l'issue du plan de restructuration Transform 2015, le redressement du groupe n'est donc toujours pas achevé, malgré près de 10.000 suppressions de poste en cinq ans. Le nouveau plan Perform 2020, qui devait être celui du retour à la croissance, débutera donc par un nouveau tour de vis.

Pour l'heure, le directeur financier, Pierre-François Riolacci, a seulement évoqué des coupes dans les investissements, avec le report d'une partie des livraisons de Boeing 777, ainsi que de possibles cessions d'actifs. On en saura plus lors de la présentation des résultats annuels, en février. Mais, concernant les réductions de coûts, il faudra probablement attendre début mars que le processus de consultation des salariés engagé dans le cadre du plan Perform soit achevé.

Objectifs 2020 inchangés

Tout n'est pas sombre pour autant pour Air France-KLM. Les objectifs du plan Perform 2020 (forte progression de la rentabilité et nette réduction de la dette d'ici à 2017) ne sont pas remis en cause. Une large part de l'échec de 2014 est en effet imputable à des événements particuliers, au premier rang desquels la grève des pilotes. Son impact sur le résultat d'exploitation, initialement estimé à 330 millions d'euros, a été revu à la hausse de 20 millions d'euros. De nouvelles règles fiscales aux Pays-Bas sur le régime de retraites de KLM ont également eu un impact de 60 millions d'euros sur l'Ebitda. Mais il s'agit d'un impact purement comptable. Même chose concernant la dépréciation d'environ 100 millions d'euros des couvertures pétrolières, liée à la baisse du prix du pétrole. Cette baisse aura un impact très bénéfique à long terme.

Le seul facteur vraiment préoccupant est la dégradation de la recette unitaire (...). Cette baisse de 2,9 % sur neuf mois avait eu lieu avant la grève des pilotes. Elle serait due à une offre supérieure à la demande sur les lignes transatlantiques et asiatiques, qui a engendré une guerre des prix, ainsi qu'à la baisse du trafic sur l'Afrique liée à Ebola. C'est pour s'adapter à cette guerre des prix potentiellement durable qu'Air France et KLM vont devoir l'an prochain accentuer la baisse de leurs coûts au-delà de l'objectif initial de 1,1 % par an.

Mon commentaire : Pendant qu'Air France-KLM se débat dans ses difficultés, IAG lance une offre d'achat sur l'irlandaise Aer Lingus et le groupe Lufthansa investit simultanément dans le développement du low cost moyen et long-courrier.

> Air France attaquée par l’AMF

(source boursorama) 19 décembre - Le gendarme de la Bourse a requis une sanction de 1,5 million d’euros contre le groupe aérien Air France-KLM dans un dossier relatif à la communication financière du groupe pendant son exercice 2010-2011.

Une amende de 50.000 euros pour les mêmes faits a par ailleurs été requise contre Pierre-Henri Gourgeon, patron du groupe à cette période, à l’occasion d’une séance de la commission des sanctions de l’Autorité des marchés financiers (AMF) vendredi. 2010 et 2011 ont été des années éprouvantes pour le secteur aérien entre les perturbations liées au volcan islandais en avril 2010, les intempéries en décembre, les troubles géopolitiques dans le monde arabe et en Afrique, la catastrophe au Japon et la flambée des prix du pétrole.

Après un début d’exercice difficile en 2010, le groupe aérien a fini sur un redressement spectaculaire en 2011 après avoir toutefois préalablement dû revoir ses objectifs à la baisse. Les griefs du gendarme boursier portent ainsi notamment sur la présentation des objectifs de résultats de l’entreprise, sur la communication publique tardive d’une information privilégiée, selon laquelle l’objectif ne serait pas atteint (...).

Mon commentaire : Une entreprise cotée, est tenue de respecter des règles précises en termes de communication financière. Les évènements de l'exercice comptable 2010/11 avaient conduit nos dirigeants à publier plusieurs avertissements sur les résultats prévus. Vu du conseil d'administration, il ne m'avait pas semblé, à cette époque, que ces publications enfreignaient les règles en vigueur. Mais, vu de l'AMF l'une était en retard de quelques semaines, le communiqué du 10 février 2011 faisant état d'informations qu'elle estime connues en interne dès la mi-janvier.

La décision de la commission des sanctions de l'AMF sera connue dans les prochaines semaines.

> Quand Air France-KLM a étudié le rachat d'Easyjet

(source la tribune) 16 décembre - Fin 2008-début 2009, alors que l'action d'Easyjet avait chuté et que le principal actionnaire de la compagnie britannique, Stelios Haji-Ioannou, était en conflit avec la direction, Air France-KLM a étudié le rachat des 38% que Stelios détenait, avant de renoncer de peur d'embraser son corps social.

Alors qu'Air France-KLM se démène pour tenter de rattraper son retard dans le transport aérien low-cost en Europe, le groupe a-t-il manqué, dans le passé, une occasion en or d'être aujourd'hui un leader du low-cost européen? Car, selon des sources concordantes, la direction du groupe a secrètement étudié, il y a quelques années, la possibilité de prendre le contrôle d'Easyjet, l'un des deux poids lourds du low-cost européen avec Ryanair, pour, in fine, ne pas donner suite, faute de consensus en interne sur le sujet.

Stelios refuse d'approuver les comptes d'Easyjet

C'était fin 2008-début 2009, après que le cours de Bourse d'Easyjet ait chuté de 55% en 2008, suscitant l'ire de Stelios Haji-Ioannou, le fondateur de la compagnie low-cost britannique, actionnaire à hauteur de 26,9% du capital et même à 38% avec la participation d'autres membres de sa famille. En désaccord sur la stratégie suivie de la compagnie et l'absence de dividende aux actionnaires, Stelios Haji-Ioannou était entré en guerre ouverte avec Andrew Harrison, le directeur général d'Easyjet à l'époque. Le 18 novembre 2008, lors de la publication des comptes annuels 2007-2008, clos six semaines plus tôt, fin septembre, «Stelios» annonçait qu'il ne les approuvait pas.

Fenêtre de tir

Pour Air France-KLM, il y avait une fenêtre de tir. Contrairement à aujourd'hui, le groupe français était, à l'époque, beaucoup plus costaud que sa rivale low-cost. Sa valeur d'entreprise dépassait les 10 milliards d'euros quand celle d'Easyjet atteignait à peine 1,5 milliard.

«Le schéma que nous avons étudié consistait à prendre contact avec Stelios pour lui racheter les 38%», expliquent plusieurs sources proches du dossier. «L'idée était de mettre sur la table près de 850 millions d'euros pour acquérir ces 38% (un montant supérieur à la valeur de la participation de la famille Haji-Ioannou), la moitié en cash, la moitié en actions Air France-KLM, correspondant à 5% du capital du groupe français», précise-t-on à La Tribune.

La banque Lazard a même travaillé sur le sujet, notamment sur les questions de réglementation boursière au Royaume-Uni. Air France-KLM estimait que ces 38% étaient suffisants pour pouvoir influencer la stratégie d'Easyjet sans lancer d'OPA sur le reste du capital.

«L'objectif était d'en prendre le contrôle, pour faire d'Easyjet une low-cost européenne, comme l'a fait Iberia (puis IAG) avec Vueling», explique un connaisseur du dossier.

Séminaire stratégique

En fait, cette idée était apparue dès avril 2008, à l'occasion d'un séminaire stratégique où furent exposés les résultats des travaux, lancés un an auparavant (au moment du lancement de Transavia France), lors d'un séminaire de même nature qui s'était tenu à Calvi, sur les différents scénarios à mettre en œuvre face aux low-cost. Lancer une compagnie à bas coûts européenne avait été écarté. Cette stratégie avait été jugée trop tardive et coûteuse pour espérer combler le retard pris par rapport à Ryanair et Easyjet. Acheter une low-cost, en revanche, était considéré comme envisageable si une opportunité se présentait. Ce fut Easyjet.

Le dossier tranché aux Pays-Bas

Pour mémoire, au cours du dernier trimestre 2008, Air France-KLM est en compétition avec Lufthansa (au moins officiellement) pour être le partenaire stratégique et l'actionnaire de référence d'Alitalia. Début janvier 2009, Air France-KLM signe un accord pour prendre 25% de la compagnie italienne pour 323 millions d'euros. Ce qui fut finalisé en mars 2009.

Mais «l'opération Easyjet» n'est pas allée très loin. Elle est restée un sujet du Joint Executive Committee (JEC), l'organe stratégique du groupe qui regroupe le top management d'Air France-KLM. Stelios Haji-Ioannou n'a jamais été contacté, et le dossier n'est, a fortiori, pas remonté jusqu'au conseil d'administration. "Le dossier a été tranché lors d'une réunion aux Pays-Bas", se souvient un acteur du dossier

Les Hollandais et Pierre-Henri Gourgeon opposés

Car le dossier a très vite divisé le top management, en particulier les Hollandais, qui ont fait bloc.

«Dès le début, ce sujet a suscité une réaction négative de quasiment tout le monde, en particulier des Hollandais, sauf de Bruno Matheu (directeur général adjoint d'Air France en charge du marketing et du réseau à l'époque, depuis peu Chief operating officer d'Etihad Airways en charge des participations capitalistiques, ndlr)», explique un proche de Jean-Cyril Spinetta, le PDG d'Air France-KLM à l'époque, qui avait annoncé en septembre 2008 qu'il laisserait le 1er janvier 2009 les manettes opérationnelles à son numéro 2 Pierre-Henri Gourgeon, pour conserver la présidence du conseil d'administration.

Selon toutes les sources interrogées, Jean-Cyril Spinetta était lui aussi favorable. Piero Ceschia, en charge des acquisitions, également.

Pas suffisant pour faire pencher la balance. Car les Hollandais, Leo Van Wijk, vice-président du conseil d'Air France-KLM et Peter Hartman, directeur général de KLM en tête, mais aussi Pierre-Henri Gourgeon, étaient contres. L'avis de ces deux derniers était considérable dans la mesure où ils auraient été en charge de l'exécution de ce projet s'il avait été lancé.

La crainte des remous sociaux

Plusieurs raisons ont été mises en avant pour expliquer ce refus.

«Les remèdes qu'auraient demandé les autorités de la concurrence risquaient d'être lourds pour Air France-KLM. En outre, il y avait la problématique du réseau français d'Easyjet avec celui d'Air France», explique un proche de Pierre-Henri Gourgeon.

La crainte de remous sociaux au sein d'Air France-KLM et d'Air France en particulier a été la principale cause du rejet immédiat du projet, selon plusieurs acteurs clés du dossier. Les Hollandais de KLM ont joué un rôle clé dans cette décision.

«Ils formaient un bloc, ils étaient tous opposés», se souvient un acteur du dossier.

Avec le recul, plusieurs observateurs français donnent trois explications à l'attitude des Hollandais. Outre la crainte sociale que pointe notamment le DRH de KLM à l'époque, Wim Kooijman, les Hollandais ont toujours redouté un élargissement du groupe qui leur aurait fait perdre le poids qu'ils détenaient dans la gouvernance du groupe, supérieur largement supérieur à leur taille (KLM pèse pour un tiers du chiffre d'affaires d'Air France-KLM).

«Ils ont été réticents à toutes les opérations capitalistiques», expliquent plusieurs sources au sein d'Air France. Les Hollandais ont en effet toujours été réticents à l'idée de racheter Alitalia et se sont également opposés à se rapprocher, après l'abandon du dossier Easyjet, d'Air Berlin.

«C'est vrai qu'ils ne voulaient pas perdre leur influence, mais ils n'étaient pas aussi disposés à tenter des mouvements stratégiques, en rupture. Comme s'ils avaient épuisé leur capacité d'audace dans le rapprochement avec Air France en 2004 », fait valoir une source française.

Une occasion manquée ?

Six ans plus tard, la majorité des sources interrogées estiment qu'il s'agit d'une énorme occasion manquée. «C'est sûr qu'aujourd'hui ça serait bien de manger dans la même gamelle qu'Easyjet. Mais qu'est-ce que cela nous aurait coûté ? Quelle aurait été la réaction sociale ?», explique un cadre. "Avec la grève des pilotes de septembre de cette année sur le dossier Transavia, on n'ose imaginer comment le corps social d'Air France aurait pu, il y a six ans, accepter un tel mouvement stratégique", ajoute-t-il.

«Nous avons renoncé à approfondir le scénario Easyjet sur des éléments généraux, sur des considérations sociales qui n'auraient pas dû nous retenir. C'est une mauvaise chose».

Pour se consoler, rien ne dit que Stelios aurait accepté de vendre ses parts s'il avait été contacté. Pas sûr qu'il ait donné suite au vu de son attachement à la compagnie qu'l a fondée en 1995.

Mon commentaire : La stratégie de "croissance externe", par acquisition ou fusion, est un art difficile. Air France, puis Air France-KLM ont étudié ou lancé plusieurs projets d'acquisition, ou de prises de participation de compagnies, low cost ou non. Dans le cas du low cost européen, je regrette que notre groupe n'ait pas réussi à devenir un acteur de premier plan.

> EasyJet peut desservir Tel Aviv

(source journal de l'aviation) 17 décembre - La DGAC a accordé à easyJet les droits lui permettant de desservir Tel Aviv au départ de Paris CDG le 16 décembre. La low-cost britannique va donc pouvoir relier les deux villes à raison de trois fréquences par semaine à partir du 30 mars 2015.

EasyJet attendait ces droits depuis l’ouverture du ciel entre Israël et l’Europe mais la primeur avait été réservée à Transavia, qui propose une liaison au départ d’Orly depuis avril 2014.

Présente à Tel Aviv depuis 2009, easyJet compte bien consolider sa place de deuxième compagnie aérienne en Israël. Elle dessert l’aéroport Ben Gourion depuis sept aéroports européens.

> Easyjet France : grève des hôtesses et stewards les 25 et 26 décembre

(source quotidien du tourisme) 21 décembre - Les deux syndicats d'hôtesses et stewards de la compagnie Easyjet en France (...) SNPNC-FO (...) et Unac réclament une meilleure gestion des plannings, une plus grande participation aux bénéfices et la mise en place d'un contrat de prévoyance. Aucun vol n'étant programmé le jour de Noël, le mouvement social devrait "affecter moins de la moitié des vols" le 26 décembre, a-t-on appris auprès de la compagnie.

"Dès lundi, on va préemptivement annuler un certain nombre de vols pour pouvoir transférer les passagers, qu'ils puissent se réorganiser", a précisé (...) François Bacchetta, directeur général d'easyJet pour la France. La compagnie a lancé un appel aux volontaires pour assurer la rotation des vols ce jour-là. Les syndicats dénoncent des plannings qui "peuvent subir jusqu'à quasiment une vingtaine de changements" au cours du mois, "ce qui rend la vie de famille complètement impossible" (...). Easyjet emploie quelque 600 stewards et hôtesses sur le millier de salariés qu'elle compte en France.

La presse boursière

> Air France-KLM : Société Générale toujours à 'conserver'

(CercleFinance.com) 22 décembre - Société Générale maintient sa recommandation 'conserver' sur Air France-KLM après un 'profit warning' qui a pris le marché par surprise. Son objectif de cours ressort à 7,8 euros contre 6,7 euros précédemment.

S'il abaisse nettement ses estimations pour l'exercice 2014 (SG n'attend plus qu'un Ebitda de 1,58 milliard d'euros contre 1,71 milliard précédemment), le bureau d'études modifie peu ses prévisions pour 2015 et 2016.

Son estimation d'Ebitda pour 2015 passe ainsi de 2,46 à 2,14 milliards et celle pour 2016 de 2,80 à 2,64 milliards.

SG évoque malgré tout un 'degré d'incertitude' très élevé sur ses prévisions compte tenu

(1) du discours très prudent du management,

(2) de la volatilité du prix du pétrole et

(3) des incertitudes quant à la capacité du management à conserver 'l'avantage carburant'.

Fin de la Revue de Presse

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> Mon commentaire sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM

L'action Air France-KLM est à 7,421 € en clôture lundi 22 décembre.

La moyenne des objectifs de cours (le consensus) des analystes est à 7,54 €.

Des incertitudes géopolitiques demeurent, dont la situation en Ukraine et en Irak. La situation liée au risque Ebola est aussi préoccupante. Enfin, les résultats trimestriels mitigés des entreprises et une économie mondiale atone font redouter à quelques observateurs une fin d'année difficile pour les marchés actions.

Le baril de pétrole Brent (mer du nord) poursuit sa baisse à 60 $, un niveau sensiblement plus bas que les prévisions d'AF-KLM pour 2014. Cette baisse soulage les comptes d'Air France-KLM, si des effets de change sur les monnaies, les baisses de tarifs attendues par les passagers, ou les particularités de contrats de couverture n'en réduisent pas les pleins effets.

Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.

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Vous pouvez me poser, par retour, toute question relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...

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| Christian Magne

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