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| Lettre de l'Administrateur Air France-KLM

| Christian Magne

Représentant des salariés actionnaires PS et PNC

navigaction.com

N°482, lundi 16 février 2015

La Revue de Presse du lundi...

> Air France détaille son nouveau plan de départs

(source quotidien du tourisme) 13 février - Vendredi, en comité central d'entreprise, le nouveau plan de départs volontaires (PDV) prévu pour le mois de juin a été détaillé par Air France. Le personnel au sol des escales de provinces est particulièrement concerné. Avec ce nouveau plan de départs, la compagnie a décidé de s'attaquer aux sureffectifs au sol notamment dans les bases de province. En tout, ce sont 496 postes qui sont concernés, dont 319 équivalents temps plein (ETP) dans les escales régionales.

Sur les huit plateformes régionales visées, c'est à Marseille que le plus grand nombre de postes vont être supprimés (111 ETP). Viennent ensuite Toulouse (77 ETP), Nice (37), Lyon (28), Strasbourg (27), Bastia et Ajaccio (24), puis Nantes (20). Toujours en province, il faut ajouter 16 postes supprimés au sein de la Direction générale industrielle (DGI, en charge de la maintenance de la flotte) et 13 à Toulouse au niveau des fonctions supports. Le reste des suppressions de postes concerne la région parisienne, avec 148 ETP, dont 62 à Orly au sein de la Direction générale industrielle. Les élus rendront un avis consultatif fin avril, soit un mois et demi après le résultat des élections professionnelles chez Air France. La récolte des candidatures débutera le 1er juin et sera close au 25 septembre. Les premiers départs seront possibles le 30 juin et les derniers, le 31 décembre. Annoncé en janvier, le plan de départs volontaires prévoit également de supprimer environ 300 postes parmi les hôtesses de l'air et les stewards. Les pilotes étant pour leur part épargnés.

Mon commentaire : La notion de "sureffectif", utilisée dans cet article, a besoin d'être précisée. Y aurait-il dans l'entreprise, ici ou là, des salariés qui ne travaillent pas ? Non, évidemment.

Le groupe Air France, confronté à des pertes liées à une compétitivité trop faible, peut réagir de plusieurs façons. Il pourrait baisser l'ensemble de ses couts de production et retrouverait ainsi sa compétitivité. Nul besoin alors de supprimer des effectifs, on pourrait même embaucher, comme le font d'autres compagnies. - Mais, qui est prêt à augmenter son temps de travail, ses heures de vol, pour une même rémunération ? Qui est prêt à accepter une baisse de salaire ?

Autre solution, supprimer des lignes fortement déficitaires. C'est l'option retenue par la direction et c'est la fermeture de ces lignes qui génère ce qu'on appelle dans cet article, "des sureffectifs".

Des pilotes AF vont voler chez Transavia. Ce mouvement absorbera t-il la totalité du sureffectif PNT ? A l'entreprise de le préciser, car s'ils sont nécessaires, nul besoin de parler de "pilotes épargnés".

La notion de sureffectif est par ailleurs contestable quand il s'agit juste de transférer des emplois à la "sous-traitance". J'ai encore entendu récemment des syndicalistes, PNC ou PNT, contester leurs "surcouts", en indiquant que dans telle ou telle autre compagnie, telle activité de "support" ou d'"assistance" est sous-traitée. Ce que l'on pourrait traduire ainsi : "ne touchez pas à MON emploi, à MON métier, si vous pouvez faire des économies ailleurs...". C'est toute la difficulté d'une approche "corporatiste" de nos problèmes. Chacun est tout prêt à les identifier "chez les autres". Or, une approche sans parti pris ou "biais syndical" conduit à reconnaitre (comme le démontrent de nombreuses analyses incontestables) que tous nos métiers doivent progresser en compétitivité.

Redisons encore et encore que les salariés, quels que soit leur métier, résisteront à fournir des efforts supplémentaires si les pouvoirs publics ne suppriment pas les taxes indues qu'ils font peser sur le transport aérien.

> Transavia commande 20 B737

PARIS, (source Reuters) 12 février - Air France-KLM a annoncé jeudi une commande de 20 avions Boeing supplémentaires pour sa compagnie low cost Transavia (...). Les flottes de Transavia France et Transavia Pays-Bas sont composées exclusivement de Boeing B737. Transavia a commandé 20 B737-800, répartis en 17 commandes fermes et trois options, précise Air France-KLM (...).

"Cette commande s'intègre dans Perform 2020 et confirme notre ambition sur le secteur low cost au départ de nos marchés domestiques", déclare Alexandre de Juniac, PDG d'Air France-KLM (...). Perform 2020 est le nouveau plan stratégique d'AF-KLM, qui s'appuie notamment sur le développement en Europe de Transavia. "Ces appareils viendront soutenir la croissance rapide de Transavia France et le développement de Transavia Nederland", ajoute AF-KLM, qui rappelle que le groupe s'est donné pour ambition de devenir la première compagnie low cost française et de consolider sa position de premier plan aux Pays-Bas. Les livraisons de ces appareils débuteront en janvier 2016 et s'échelonneront jusqu'en 2018.

> Comment Air France va financer 20 Boeing pour Transavia ?

(source le point) 13 février - Le groupe Air France-KLM vient de passer une commande importante de vingt Boeing 737-800 (17 fermes et 3 options) pour sa filiale low-cost Transavia, elle-même composée d'une entité France et d'une autre en Hollande. La transaction au tarif catalogue est estimée à 1,6 milliard de dollars, sans les options. Mais le groupe franco-hollandais a vraisemblablement signé pour 30 % de moins.

Lors de la commande, le versement d'arrhes est symbolique, car 85 % du prix de l'avion est réglé à la sortie d'usine. Les avions seront livrés rapidement entre janvier 2016 et fin 2018. Ils viendront soutenir la croissance rapide de Transavia France et le développement de Transavia Nederland, indique le groupe. Notons que les low-costs européennes concurrentes de Transavia ont commandé entre 135 (easyJet), 220 (Vueling via le groupe IAG) et 300 avions (Ryanair). Cette commande est donc très modeste par rapport à la concurrence. Reste que ce contrat pose plusieurs questions.

Pourquoi ces Boeing sont-ils achetés et non loués ?

Jusqu'alors, Transavia louait ses Boeing 737, comme le font généralement les transporteurs de petite taille qui trouvent ainsi plus rapidement des avions disponibles. En passant commande d'un faible nombre d'avions, les délais de livraison peuvent être longs. Selon le groupe, l'acquisition est "une évolution nécessaire et logique". La commande a vraisemblablement été signée il y a quelques mois, car elle figurait dans le portefeuille de Boeing comme celle d'un "client non identifié". Cet anonymat a permis de ne pas envenimer le conflit avec les pilotes de ligne d'Air France en septembre qui demandaient de voler avec des A320 pour le compte de Transavia aux conditions de la maison-mère.

Comment ces avions vont-ils être financés ?

Cette commande entre en contradiction avec les récentes déclarations des dirigeants du groupe qui avaient lancé en décembre dernier un troisième avertissement sur résultats prévoyant une réduction des investissements. On connaîtra plus exactement les résultats et les économies à réaliser jeudi prochain lors de la publication des comptes annuels. Car d'ores et déjà, les 700 millions d'euros d'investissement, budgétés entre 2015 et 2017 selon la dernière communication financière, ne couvrent pas ces acquisitions de 20 Boeing, même à prix bradés.

Des solutions purement financières existent comme le leaseback qui prévoit, le jour même de la livraison de l'avion, de le revendre à un loueur. En signant une commande, la compagnie aérienne a ainsi pu bénéficier d'un bon prix auprès de l'avionneur. Elle récupère immédiatement la trésorerie (qu'elle n'avait pas) et peut ensuite exploiter l'avion en réglant des loyers mensuels alimentés par le montant des billets d'avion des passagers. À moins qu'il soit fait appel à la trésorerie de KLM plus joufflue que celle d'Air France, plombée notamment par la grève des pilotes et la baisse de la recette unitaire, combinaison du prix des billets et du remplissage des avions, tous deux en baisse.

Pourquoi Transavia se fournit chez Boeing et non pas chez Airbus ?

À cela, des raisons objectives et d'autres, plus subjectives. Transavia Nederland puis Transavia France ont toujours volé sur Boeing 737. Il était donc logique de poursuivre avec le même avion, même si, dans l'histoire des low-costs, easyJet a basculé du Boeing 737 à l'Airbus A320 en 2002. On peut penser que le groupe Air France-KLM ne veut pas être lié à un seul fournisseur. D'où une flotte d'A320 à Air France et des B737 à KLM et Transavia (...).

Le choix de l'avion comporte un volet social. Si Transavia s'équipe d'A320, la low-cost pourra difficilement éviter les coûts de production prohibitifs d'Air France en escale, maintenance, exploitation, etc. Avec un autre type d'avion, il est plus facile de faire appel à des sous-traitants qui travaillent au prix du marché.

En attendant 2016 et le premier avion commandé, comment va évoluer la flotte de Transavia ?

L'accord syndical signé à la fin de l'année dernière avec les pilotes prévoit que sept Boeing 737 s'ajoutent cette année aux quatorze en service à Transavia France. Les appareils qui seront loués opèreront au départ de plusieurs aéroports français à l'exception du hub de Roissy-CDG, y compris sur des destinations déjà desservies par Air France. Vient d'être annoncée l'ouverture d'une desserte quotidienne Orly-Amsterdam en juin. Tout un symbole.

Mon commentaire : Cette commande était prévue depuis plusieurs mois. L'essentiel de la valeur d'une commande ne sort pas des caisses au moment de sa signature. Ce sont bien les futures rentrées d'argent qui devront financer ces avions. En fonction du niveau de santé financière et de quelques autres paramètres, les avions peuvent être acquis en pleine propriété ou faire l'objet de revente suivie de location de ce même appareil (soulignons au passage que Ryanair va jusqu'à pratiquer la revente pure. Elle revend, dès réception, avec profit des avions à l'unité qu'elle a négociés "au prix de gros" )

Rappelons que Transavia est une marque créée par KLM depuis plusieurs décennies. D'abord fondée sur un modèle charter, vendant auprès des voyagistes, Transavia Pays-Bas a fait évoluer son modèle vers la vente directe au passager dans les années 2000. C'est ce modèle mi-charter mi-low cost, qui a été appliqué à la filiale française. Mais la pression exercée par les compagnies low cost contraint Air France, comme KLM, à utiliser Transavia en "pare-feu" sur les marchés nationaux français et néerlandais. C'est vital pour que nos compagnies Air France et KLM ne soient pas sorties progressivement de leurs propres marchés.

Il reste un chalenge à affronter : Nos compagnies qui ont déjà du mal à résister aux low cost historiques, easyJet et Ryanair, pourront-elles tenir longtemps alors que IAG (British A+Iberia) développe du low cost sur l'ensemble de l'Europe par sa filiale Vueling, et que Lufthansa va le faire par ses filiales Germanwings et Eurowings ? Certains de nos pilotes ou PNC qui redoutent un effet "délocalisation" d'emploi, par l'éventuelle création d'une entité "Transavia Europe", pourront constater que ces emplois "hors de France" seront bel et bien créés, mais par Vueling, Eurowings, easyJet, Ryanair et les autres. A commencer par Munich sur laquelle Ryanair se précipite, profitant de nos atermoiements.

Qui peut sérieusement prétendre que créer des emplois de navigants basés en Allemagne constitue une "délocalisation", alors que ces mêmes emplois ne peuvent pas être pourvus par des emplois français basés en France ? Ne pas vouloir s'étendre sur le reste de l'Europe aura pour conséquence de rendre bien plus difficile le combat en France et aux Pays-Bas. Et si le "french bashing" va bon train aux Pays-Bas, c'est, entre autres, parce que ce "blocage" contre Transavia Europe condamne tout autant Air France, à terme, que KLM. Si certains salariés français ne l'ont pas encore compris ou se refusent à l'admettre, nombre d'investisseurs l'ont compris et se détournent d'Air France-KLM pour se réorienter vers Lufthansa ou IAG.

> Voyage d’affaires, Transavia va relier Air France à KLM

(source déplacements pros) 13 février - Voilà une ligne qui devrait intéresser les voyageurs d’affaires, le Orly/Amsterdam de Transavia sera lancé le 1er juin prochain à raison de 6 vols hebdomadaires. Sa finalité est évidente : relier Air France à KLM pour optimiser les taux de remplissage et proposer des alternatives sur certaines destinations non desservies par la compagnie française.

Mon commentaire : Notre groupe décide de compléter sa desserte Amsterdam/Paris par des vols low cost; pour contenir easyJet  présent à CDG, à Orly et qui vient de décider de renforcer sa présence à  Amsterdam en y basant plusieurs appareils.

> AFI KLM E&M élu MRO de l'année pour la deuxième année consécutive

(source wn.com) 20 janvier 2015 - Comme en 2014, AFI KLM E&M s'est vu remettre le trophée " MRO de l'Année " (MRO of the Year), lors de la cérémonie des Airline Economics Aviation 100 Awards, organisée à Dublin le 19 janvier 2015.

Pour la deuxième année consécutive, l'obtention de cette récompense, qui intervient à l'issue d'un vote de professionnels du secteur aéronautique, souligne l'engagement d'AFI KLM E&M à maintenir des performances et des niveaux de qualité optimaux sur le long terme, et à les améliorer de manière continue (...).

A travers la remise de ce prix, les professionnels du marché MRO reconnaissent la haute valeur des prestations d'entretien et de maintenance aéronautique délivrées par AFI KLM E&M, ainsi que la qualité de son service client. Le Groupe investit massivement et continuellement dans l'amélioration de ses infrastructures et dans le développement de son réseau pour pouvoir supporter ses clients dans le monde entier, en cohérence avec leurs attentes et avec réactivité (...).

Franck Terner, directeur général adjoint AIR FRANCE KLM Engineering et Maintenance, a déclaré : " c'est un véritable honneur et une fierté pour nous d'être distingués deux années de suite. Cette distinction met en valeur notre volonté d'inscrire nos actions de développement et d'amélioration de nos produits et services sur la durée, au service de la performance de tous nos clients. Elle nous encourage à maintenir ce haut niveau de qualité et à renouveler la dynamique de transformation et d'optimisation dans tous nos métiers, en vue de servir toujours mieux nos clients ! "

> Aéroports de Paris : nouveau préavis de grève pour le 19 février

(source quotidien du tourisme) 16 février - Nouvelle grève à prévoir dans les aéroports parisiens. L'intersyndicale CGT, FO, CFE-CGC et UNSA des personnels d’Aéroports de Paris (ADP) a déposé un préavis pour le jeudi 19 février de 12 h à 16 h 47. Ce mouvement fait suite à celui du jeudi 12 et vendredi 13 février, qui a mobilisé un taux record de grévistes, environ 30%.

Certains vols ont été affectés et la DGAC avait demandé aux compagnies de réduire leur programme de 20% à l'aéroport de Paris-Charles de Gaulle, vendredi 13 février 2015. Les syndicats ont choisi de reconduire leur mouvement le jour de la présentation des comptes annuels par la direction d'ADP, qui s'annoncent excellents. Les prévisions tablent sur un résultat net de 400 millions d'euros. Ils veulent donc profiter de l'occasion pour remettre au président Augustin de Romanet une pétition de 3000 signatures et espèrent rouvrir les négociations salariales. Ils réclament des hausses de salaires, refusées par la direction.

> Corsair vendue à Air Caraïbes, c'est pratiquement fait !

(source tourmag) 16 février - C'est (...) hier soir que (...) Corsair et Air Caraïbes ont diffusé un communiqué commun. (...) Corsair devrait être "rachetée" par Air Caraïbes dans les prochaines semaines.

"Depuis le Comité d’Entreprise de Corsair du 28 janvier 2015, au cours duquel il avait été annoncé que le groupe TUI confirmait être en discussion au sujet d’une offre potentielle d’achat de sa compagnie aérienne française, les négociations ont progressé. Un Comité d’Entreprise extraordinaire est convoqué le 19 février 2015 pour ouvrir une information.

Ceci en vue de la consultation de ce même Comité sur le projet de rachat de la compagnie Corsair International par le Groupe DUBREUIL. Le Groupe DUBREUIL viendra présenter son projet au Comité d’Entreprise extraordinaire de Corsair International du 19 février 2015.

Une conférence de presse se tiendra le vendredi 20 février à 9h30, en présence de Jean-Paul Dubreuil, Président du Conseil de Surveillance du Groupe DUBREUIL et d’Air Caraïbes, de Marc Rochet, Président du Directoire d’Air Caraïbes et de Pascal de Izaguirre, Président de TUI France et Président - Directeur Général de Corsair International".

Mon commentaire : Décidément, les compagnies aériennes françaises ont bien du mal à trouver leur équilibre financier. Et si Air Caraïbes s'en sort un peu mieux que d'autres, c'est qu'elle évite la compétition avec des compagnies qui n'ont pas à supporter le poids des taxes et charges françaises. Les compagnies françaises n'ont pas d'avenir si l'Etat ne réduit pas les surcharges qu'il impose à son transport aérien.

A noter : Sur les dix premiers mois de l'année 2014, Corsair détenait 22% de parts de marché sur le trafic entre la Métropole et les Antilles derrière Air France (43%, quasiment stable), Air Caraïbes (30%, + 2 points) et devant XL Airways (5%, -2,5 points).

Fin de la Revue de Presse

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> Mon commentaire sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM

L'action Air France-KLM descend à 7,409 € en clôture lundi 16 février.

La moyenne des objectifs de cours (le consensus) des analystes est à 7,90 €.

Le baril de pétrole Brent (mer du nord) remonte à 62 $. Ce prix qui reste assez bas soulage les comptes d'Air France-KLM, mais des effets de change sur les monnaies, les baisses de tarifs attendues par les passagers, ou les particularités de contrats de couverture en réduisent les pleins effets.

Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.

Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur du groupe Air France-KLM.

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| Christian Magne

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