Lettre de l'Administrateur Air France-KLM
Christian Magne Représentant des salariés actionnaires PS et PNC |
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N°548, 23 mai 2016 Si vous ne voyez pas correctement cette page, cliquez ici La Revue de Presse du lundi... > Air France-KLM : principales décisions de l'Assemblée Générale du 19 mai 2016 (source zonebourse) 20 mai - L'Assemblée Générale des actionnaires d'Air France-KLM s'est réunie jeudi 19 mai au Carrousel du Louvre à Paris. Au cours de cette Assemblée Générale Ordinaire, où plus de 11 000 actionnaires étaient présents ou représentés, les décisions suivantes ont notamment été prises : · Anne-Marie Couderc, Hans N.J. Smits et Alex R. Wynaendts ont été nommés administrateurs pour une durée de quatre ans. Ils remplacent Jean-François Dehecq, Cornelis van Lede et Leo van Wijk dont les mandats ont pris fin à l'issue de l'Assemblée générale. Anne-Marie Couderc et Alex Wynaendts sont administrateurs indépendants, · les mandats de Commissaires aux comptes titulaire et suppléant de Deloitte & Associés et BEAS ont été renouvelés pour une durée de 6 ans. Le Président du comité des nominations et de la gouvernance, Jean-Francois Dehecq, a rendu hommage au travail accompli par Alexandre de Juniac à la tête d'Air France et du groupe Air France-KLM au cours des cinq dernières années, qui ont notamment vu le retour du groupe à une situation bénéficiaire, la montée en gamme de l'offre et la reconquête des clients. Il lui a, au nom des actionnaires, souhaité un plein succès dans ses futures fonctions de directeur général de l'IATA. M. Jean-Marc Janaillac que le conseil d'administration a pressenti pour prendre les fonctions de Président-directeur général d'Air France-KLM, assistait à l'Assemblée. Il sera coopté fin juin par le Conseil d'administration et prendra ses fonctions le 4 juillet 2016. Mon commentaire : Je remercie les nombreux salariés qui m'avaient confié leurs pouvoirs pour cette assemblée générale. La saisie vidéo de l'AG est disponible sur le site "corporate" d'Air France-KLM. http://www.airfranceklm.com/fr/finance/actionnaires/assemblee-generale > EgyptAir : la fumée dans la soute sous le cockpit relance les interrogations (source le figaro) 22 mai - (...) Dimanche soir, quatre jours après le crash du vol MS 804 d'EgyptAir reliant Paris au Caire avec 66 personnes à bord, les recherches se concentraient sur la localisation des boîtes noires. Par ailleurs, les enquêteurs tentent toujours de comprendre pourquoi les transmissions entre l'appareil et le sol ont été brutalement interrompues du fait de la coupure totale de l'alimentation électrique. Avant ce silence, sept messages Acars ont été émis entre 0 h 26 GTM (2 h 26) et 0 h 29 GTM (2 h 29). L'un d'entre eux évoquait la présence de fumée dans la soute située sous le cockpit. C'est là qu'est la clé du crash. Pourquoi y a-t-il eu de la fumée à cet endroit et pourquoi les pilotes n'ont-ils pas pu gérer l'avion en mode manuel ? Aucune revendication terroriste L'organisation État islamique avait fait monter la pression samedi soir, en promettant la diffusion d'un message important. Le groupe allait-il revendiquer le crash du MS 804 ? En octobre dernier, l'EI avait confirmé avoir provoqué la chute de l'avion russe Metrojet dans le Sinaï seulement six heures après le drame. Mais le message de trente minutes du porte-parole de l'organisation, Abou Mohamed el-Adnani, n'a pas fait d'allusion au crash de l'avion égyptien. Pour l'instant, sans revendication, l'hypothèse de l'attentat s'éloigne. L'enquête à Roissy La gendarmerie saisie de l'enquête par le parquet de Paris a récupéré à Roissy toutes les vidéos en vue de vérifier s'il y a eu ou non un comportement suspect autour de l'avion. L'exploitation des films est en cours sans qu'à ce jour un élément inquiétant semble avoir émergé. De la fumée dans la soute électrique Selon l'un des messages Acars transmis, de la fumée a été détectée dans la soute renfermant tous les équipements électroniques de l'avion (elle contient câbles et ordinateurs), qui est située juste sous le cockpit. Un tel dégagement de fumée est une alarme absolue (...). L'alarme détectant de la fumée impose automatiquement le port de masques à oxygène pour les pilotes (...) Reste à comprendre ce qui a provoqué cette fumée : une cause accidentelle (comme un câble qui brûle) ou un objet volontairement placé dans la soute sous le cockpit ? (...). Sept messages Acars envoyés Les horaires indiqués ne correspondent pas forcément à l'ordre chronologique d'envoi des messages. Le plus important des Acars du MS 804 concerne celui parlant d'«avionics smoke» (...) D'autres messages concernent le Window Heat Computer, l'ordinateur qui gère le réchauffage des vitres. Deux explications possibles : soit cet ordinateur a été endommagé par un premier incendie, soit il a lui-même déclenché un sinistre à la suite de courts-circuits. Lorsqu'un important dégagement de fumée se produit dans le cockpit - notamment en cas de fumée électrique -, la visibilité peut être réduite à moins de 30 centimètres. La perte de contrôle de l'appareil est alors presque inévitable. Messages Acars ? Acars (aircraft communication addressing and reporting system), développé à la fin des années 1970, a remplacé le radio-opérateur des débuts de l'aéronautique en permettant un échange de communications codées entre un avion et une station au sol. Acars permet de transmettre aux pilotes des informations nécessaires au vol (par exemple, les conditions météo) et d'envoyer au sol des données sur l'état de l'avion, notamment pour prévoir les opérations de maintenance devant être réalisées après l'atterrissage. L'opérateur peut ainsi savoir ce qui se passe avant même que l'avion ne se pose. Ainsi, Air France avait su très vite que les sondes Pitot de l'Airbus du vol Rio-Paris, qui s'était abîmé dans l'Atlantique le 1er juin 2009 avec 228 personnes à bord, étaient défaillantes. Si le système à bord de l'avion n'émet pas de message pendant un temps donné, le système au sol peut aussi l'«interroger» et provoquer une réponse automatique (...). Mon commentaire : A chaque accident d'avion, spectaculaire et inexpliqué, les médias nous abreuvent d'hypothèses. Le scénario d'une action terroriste vient forcément à l'esprit. L'actualité, dans ce domaine, en France et en Egypte l'impose. Même sans revendication, cette piste restera à l'étude tant qu'une autre cause n'aura pas été validée. Un incendie touchant le cockpit est un des incidents les plus difficiles à maitriser par l'équipage. Il conduit parfois à la perte de l'appareil et ses occupants. L'un des derniers cas recensés est celui d'un 747 cargo d'UPS en 2010. > Ryanair : bénéfice annuel de 1,24 milliard d'euros (source air journal) 23 mai - La compagnie aérienne low cost Ryanair a vu son bénéfice après taxe progresser de 43% en 2015, pour atteindre 1,242 milliard d’euros. (...) ses revenus ont progressé de +16% à 6,536 milliards d’euros pendant l’année se terminant au 31 mars 2016, tandis que le trafic passager était en augmentation de 18% (106,4 millions de voyageurs) et le coefficient d’occupation s’établissait à 93% (+ 5 points). Il est précisé que le profit n’inclut pas les 317,5 millions d’euros récoltés dans la vente des actions d’Aer Lingus). Ryanair ajoute que la moyenne du prix du billet d’avion a reculé de 1% à 46 euros, tandis que les coûts unitaires baissaient de 6% (-2% hors carburant), « pendant cette deuxième année du programme d’amélioration Always Getting Better ». Pour le CEO Michael O’Leary, l’année 2015-2016 a « livré pendant les quatre trimestres une croissance significative du trafic et des profits, malgré un prix moyen du carburant à 90 dollars en raison de couvertures prises en 2014 ». Ryanair rappelle qu’elle est devenue « la première compagnie à dépasser les 100 millions de passagers internationaux en douze mois », qu’elle a signé durant cette période des accords avec les pilotes, hôtesses de l’air et stewards de ses 84 bases, qu’elle a lancé un nouveau site internet et une nouvelle application pour mobiles, et enfin qu’elle a reversé les 398 millions d’euros de la vente d’Aer Lingus à ses actionnaires – et lancé en novembre un rachat d’actions pour 800 millions d’euros. Pendant la dernière année financière, sa flotte s’est enrichie de 41 nouveaux Boeing 737-800, elle a ouvert sept nouvelles bases dans les aéroports de Belfast, Berlin, Corfou, Göteborg, Ibiza, Milan-Malpensa et Saint Jacques de Compostelle, inaugurant plus de cent liaisons. Et elle souligne que « malgré des coefficients d’occupation record, les grèves injustifiées du contrôle aérien français, l’incendie à Rome-Fiumicino ou l’attentat à l’aéroport de Bruxelles », elle a pu maintenir une moyenne de vols à l’heure supérieure à 90%. En 2016-2017, Ryanair compte prendre livraison de 52 Boeing 737-800 supplémentaires, pour atteindre une flotte totale de 380 avions (en comptant les sorties de flotte). Sept nouvelles bases sont déjà annoncées à Bucarest, Hambourg, Nuremberg, Prague, Sofia, Timisoara et Vilnius, qui ouvriront pendant la prochaine saison hivernale. Les réservations pour les mois d’été sont « supérieures de 2% à celles de l’année dernière », avec des prix plus bas. Le coefficient d’occupation devrait être stable à 93%, pour un trafic gagnant 9% à 116 millions de passagers. Misant sur une baisse des coûts unitaires de 1% hors carburant, Ryanair table pour l’année financière qui vient de démarrer sur un profit « en hausse modeste de 13% »... Si aucune grève ne vient perturber le trafic. Mon commentaire : Ryanair, avec un haut niveau de couvertures pétrolières (supérieur à celui d'AF-KLM) en 2015, a été pénalisée (relativement puisqu'elle engrange tout de même 1,242 milliards d'euros). Mais dans notre métier, le poids du prix du carburant est moindre sur l'activité moyen-courrier que sur le long-courrier. La compagnie irlandaise réceptionne un 737 par semaine... > Alitalia reprend de l'altitude grâce à Etihad (source le figaro) 18 mai - En faillite il y a deux ans, la compagnie italienne vise un retour aux bénéfices à la fin de 2017. Alitalia a tourné une page de son histoire, mercredi, lors de la présentation des résultats annuels. Après les nouvelles livrées des avions en juin 2015, hôtesses et stewards ont été rhabillés de pied en cap. Ettore Bilotta (...) a imaginé des tenues qui semblent sorties d'un film américain des années 1950. Petit calot et manteau rouge à bord, kaki au sol : «Style et élégance», a résumé James Hogan, vice-président d'Alitalia et PDG d'Etihad. La compagnie émirienne détient 49% d'Alitalia depuis janvier 2015, après avoir participé à son sauvetage, lui apportant 560 millions d'euros. Au total, 1,2 milliard d'euros ont été nécessaires pour recapitaliser Alitalia. Après quelques mois sous la houlette d'un management italien, c'est un fidèle de James Hogan, Cramer Ball, un Australien de 46 ans, qui a pris les commandes en décembre. Il est le premier «étranger» à la tête de la compagnie nationale. Son mot d'ordre : gagner. «Alitalia ne doit pas juste être une bonne compagnie mais la meilleure en Europe, affirme l'ancien patron d'Air Seychelles et de Jet Airways, deux des huit compagnies de la galaxie Etihad. Lufthansa et Air France-KLM vont pouvoir se faire du souci en voyant Alitalia arriver.» Pour l'instant, difficile de pavaner. Alitalia s'est séparé de plus de 2 500 salariés et a encore essuyé 200 millions d'euros de pertes en 2015 (contre 58 millions en 2014) pour un chiffre d'affaires de 1,31 milliard d'euros. L'objectif est d'arriver à l'équilibre fin 2017. «Pour Cramer Ball, c'est même d'être bénéficiaire», affirme James Hogan. Son secret ? C'est le soutien efficace de l'«écosystème» Etihad. Le groupe pousse Alitalia à investir dans la rénovation des cabines, l'achat de nouveaux appareils, les systèmes d'information et la formation de son personnel navigant à Abu Dhabi. Ainsi, 400 millions d'euros seront de nouveau investis en 2016. Alitalia bénéficie aussi de la force commerciale d'Etihad et des accords de partage de code avec le groupe émirien et les compagnies dont il est actionnaire. Depuis janvier 2015, Alitalia a partagé avec Etihad 450 000 passagers et 1,2 million avec les compagnies partenaires. Par ailleurs, la compagnie italienne augmentera sa desserte des États-Unis, de l'Amérique latine et de l'Asie. Malgré la fragilité financière d'Alitalia, James Hogan et Luca di Montezemolo, président non exécutif d'Alitalia, ont confirmé que les discussions se poursuivent pour acquérir 49% d'Air Malta, petite compagnie détenue par l'État de Malte. «Si l'opération est conclue, elle ne comporterait aucun risque et ne coûterait pas un euro à Alitalia», a rappelé Cramer Ball. Interrogé sur le maintien ou non de l'accord de joint-venture avec Air France-KLM en Europe, Cramer Ball indique qu'Alitalia doit désormais maîtriser son avenir. Mais, de leur côté, Etihad et Air France-KLM tentent, au contraire, d'approfondir leur partenariat commercial. Mon commentaire : Non, Alitalia n'a pas l'air de reprendre de l'altitude. Le niveau de contraction de son activité est impressionnant. En 2004, son chiffre d'affaires (total des ventes) était supérieur à 5 milliards, il est désormais de 1,3 milliard ! Empêtrée dans ses difficultés, Alitalia a enchainé les plans de contraction d'activité. Loin de lui permettre de rebondir, comme ce fut le cas pour British Airways, cela a signé sa quasi-disparition du ciel européen. Sauvée par Etihad,la compagnie italienne a encore besoin de son soutien financier. Les émirats continueront-ils ces investissements si leurs ressources provenant du pétrole deviennent plus faibles ? > Qatar Airways porte sa participation dans IAG à 15,01% (source thomson reuters) 17 mai - Qatar Airways a fait savoir mardi que sa participation dans International Consolidated Airlines Group (IAG) était désormais de 15,01% et n'a pas écarté de l'augmenter encore. Qatar Airways avait pris (...) une participation de 9,99% dans la maison-mère de British Airways et d'Iberia et avait annoncé le mois dernier que cette participation était passée à près de 12%. Le directeur général de la compagnie de l'émirat, Akbar Al Baker, a annoncé lors d'un évènement à Atlanta qu'il voulait renforcer les liens avec Londres, la base principale de British Airways. Qatar Airways se réjouit dans un communiqué de son investissement dans IAG, le qualifiant de réussite financière, commerciale et stratégique. Mon commentaire : Pendant que des compagnies d'états du Golfe acquièrent des participations dans des compagnies européennes (Qatar A. dans IAG, Etihad dans Alitalia, Air Berlin, etc) la réciproque n'est pas possible, car ces compagnies sont la propriété, à 100%, de leurs états respectifs. Même si ces états hors d'Europe ne peuvent pas légalement acquérir la majorité du capital de compagnies européennes, les états européens abandonnent petit à petit leur transport aérien à des capitaux hors d'Europe. Un actionnaire qui détient un bloc de 49% du capital, au côté d'autres actionnaires dispersés, détient le contrôle de fait. Les USA, plus prudents, interdisent toujours une prise de contrôle étrangère supérieure à 25% dans leurs compagnies aériennes. > Lufthansa contre le Brexit(source euronews) 19 mai - Un Brexit serait néfaste au transport aérien en Europe : c’est l’avertissement lancé ce jeudi par le PDG de Lufthansa, Carsten Spohr. Le patron de la compagnie allemande estime en effet qu’une sortie des Britanniques de l’Union européenne entamerait la croissance en Europe, ce qui se traduirait par une baisse de la demande pour le secteur aérien. Peu présente au Royaume-Uni, Lufthansa s’y maintiendra quoi qu’il arrive, mais précise espérer que le référendum du 23 juin débouchera sur le maintien de la Grande-Bretagne dans l’Union. > Delta réduit ses vols et reporte la livraison de ses A350 (source deplacements pros) 17 mai - Faisant face à une concurrence low-cost de plus en plus forte, Delta Air Lines revoit ses projets afin de stopper la baisse de ses revenus. Elle prévoit de supprimer des vols mais également de reporter la livraison de 4 A350 d'au moins un an. Delta Air Lines va supprimer plusieurs vols afin d'améliorer son rapport entre l'offre et la demande. L'objectif de cette mesure est de permettre à la compagnie américaine d'augmenter le prix de ses billets. En outre, elle précise dans un document boursier qu'elle fera progresser ses capacités de seulement 2% au second semestre, au lieu des 2,7% initialement prévus. Ainsi, l'offre va ainsi grimper d'environ 2,5% sur le réseau domestique lors du 4ème trimestre alors que la hausse était de 4% sur les 3 premiers trimestres de l'année. Le nombre de liaisons internationales devrait pour sa part stagner au cours de la 2ème moitié de 2016. Elle renonce ainsi à l'augmentation planifiée de 3 à 4% du nombre de vols transatlantiques. Le transporteur va en parallèle réduire ses programmes trans-pacifique et sud-américain. Delta Air Lines a également retardé d'au moins un an la livraison de 4 A350. Attendus en 2018, les appareils intègreront finalement sa flotte en 2019, voire 2020. Elle explique avoir pris cette décision pour "rendre cohérent le calendrier de livraison avec le rythme d'amélioration prévu du marché international".
Mon commentaire : Le fait que Delta
réduise son activité n'est pas bon signe,
alors même qu'elle est la compagnie la plus rentable du moment (près de
6 milliards de dollars de profit en 2015). Les
surcapacités sont bien là et contribuent à la baisse importante des
recettes unitaires, chacun étant conduit à baisser ses tarifs pour
tenter de remplir ses avions. Plusieurs autres compagnies annoncent des
reports de commande, voire des annulations.
Fin de la Revue de Presse
>
Mon commentaire sur l'évolution du cours de
l'action Air France-KLM L'action
Air France-KLM est à 7,353 euros
en clôture lundi 23 mai.
La moyenne des objectifs de cours
(le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM
descend à 8,93 euros.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord) est à 48 $.
L'OPEP et quelques pays producteurs ont échoué à fixer un quota de
production en avril 2016, ce qui maintient un prix bas du pétrole.
Ce prix limité soulage les comptes d'Air France-KLM.
Les gains
réalisés sur le cout du carburant sont plus importants en 2016
qu'en 2015.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions
Air France-KLM. Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me
communiquer toute information ou réflexion me permettant de mieux
conduire ma fonction d'administrateur du groupe Air France-KLM.
A bientôt.
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| Christian Magne Administrateur Air France-KLM représentant
les salariés actionnaires PS et PNC Suppléant François Robardet
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