photo François Robardet, Administrateur Air France-KLM Lettre de l'Administrateur Air France-KLM

François Robardet Représentant des salariés actionnaires PS et PNC

N°577, 12 décembre 2016   Si vous ne voyez pas correctement cette page, suivez ce lien

La Revue de Presse du lundi...

> Air France renonce à étudier la filialisation de son pôle maintenance

(source Reuters) 12 décembre - Air France renonce à lancer une étude sur une éventuelle filialisation de son pole de maintenance, écrit son directeur général Franck Terner dans une lettre aux syndicats diffusée lundi par la CFDT.

Dans son plan "Trust Together", Air France-KLM avait annoncé envisager une filialisation de cette activité pour renforcer ses positions sur un marché en croissance, tout en en conservant le contrôle.

Cette perspective avait suscité des inquiétudes en interne chez Air France. "Il y a manifestement un malentendu sur les objectifs poursuivis et pour certains un sentiment d'exclusion qui va à l'inverse de l'esprit de Trust Together", écrit Franck Terner dans une lettre, dont une porte-parole d'Air France-KLM a confirmé l'authenticité.

"En accord avec Jean-Marc Janaillac (le PDG d'Air France-KLM), l'étude d'une éventuelle filialisation ne sera donc pas lancée", ajoute le nouveau directeur général d'Air France à l'intention de la CFDT, la CFE-CGC et l'Unsa, les trois principaux syndicats du personnel au sol de la compagnie (...).

Air France-KLM précise cependant qu'il n'a pas abandonné son objectif de développer son pôle de maintenance. "L'ambition d'Air France-KLM pour ses activités de maintenance demeure (...) et fera l'objet de réflexions initiées dès le début de l'année prochaine", précise le groupe (...).

Mon commentaire : En lançant une étude sur la filialisation de l’ensemble de la maintenance, AF-KLM souhaitait mettre cette activité en lumière et ainsi relever la valeur de tout le Groupe, dans le but d’obtenir des financements à de meilleures conditions.

 J'ai rencontré Jean-Marc Janaillac, lundi dernier avec Christian Magne. Nous lui avons expliqué combien cette idée provoquait d'inquiétude dans le groupe. Les salariés de la maintenance, seront autant soulagés par l'abandon du projet d'étude à Air France que chez KLM. En effet, la création d'une filiale, même appartenant 100% au groupe, leur aurait fait perdre leur appartenance au fonds de pension du personnel au sol de KLM et à leur convention collective.

Cependant, les besoins de financement du groupe demeurent.

> Air France-KLM : +7,4% en novembre

(source air info) 8 décembre - Le groupe franco-néerlandais a publié ce jeudi de bons résultats pour le mois de novembre 2016. Outre la croissance du nombre de passagers (+7,4%) et du trafic (+4,7% en PKT), il enregistre une hausse de 1,2 point du coefficient d’occupation des sièges, qui ressort à 83,8%, toutes activités confondues.

L’activité Passage réseaux, représentée par Air France, HOP! et KLM, a transporté 6,2 millions de passagers en novembre 2016, soit une hausse de 4,8% en comparaison du même mois de 2015. L’offre des trois compagnies est en augmentation de 1,9% (en SKO) pour une demande également en hausse (+3,7% en PKT) : le coefficient d’occupation progresse de 1,4 point de pourcentage et s’établit à 83,8%. Air France-KLM souligne « la hausse du trafic et du coefficient de remplissage sur l’ensemble du réseau à l’exception de l’Amérique du nord, avec une base de comparaison impactée par les attaques terroristes de Paris en novembre 2015 » . La recette unitaire au siège kilomètre offert (RSKO) est en baisse par rapport à novembre 2015.

À l’intérieur de l’activité Passage réseaux, Air France et HOP! ont transporté 3,8 millions de passagers, soit une augmentation de 3,1% par rapport à octobre 2015. Le coefficient d’occupation est en hausse de 1,8 point à 82,9%. Pour sa part, KLM a transporté 2,3 millions de passagers, en progression de 7,8% en un an. Le coefficient d’occupation augmente de 0,8 point, à 85,1%.

L’activité low-cost représentée par Transavia a transporté 0,7 million de passagers, soit une hausse de 36,4% en comparaison de novembre 2015. Le coefficient d’occupation s’établit à 83,6%, en baisse de 2,5 points : l’offre (+27,7%) progresse davantage que la demande (+24,0%). La « forte hausse de capacité » résulte « de l’ouverture de nouvelles destinations au départ d’Amsterdam et de France et au développement de la base de Munich » , explique Air France-KLM.

Pour l’activité cargo, le trafic (TKT) est en recul de 6,6% pour une capacité (TKO) en baisse de 4,4%. Le coefficient de remplissage perd 1,5 point à 63,7%. Dans ce contexte, la recette unitaire est en “nette baisse” comparée à novembre 2015.

Depuis le début de l’année, Air France-KLM a transporté 86,2 millions de passagers (+3,7%), dont 45,7 millions pour Air France et HOP! (-1,7%), 27,9 millions pour KLM (+6,3%) et 12,5 millions pour Transavia (+22,1%). Le coefficient d’occupation du groupe est stable (0,0 point) à 85,7%.

Mon commentaire : Les résultats de novembre sont bons. Il convient néanmoins de les relativiser car l'activité de novembre 2015 avait fortement pâti des attentats, et c'est avec ces chiffres qu'on compare les performances du mois dernier.

Depuis le début de l’année 2016, la progression est de 3,7% (en passagers transportés). Cette progression est portée par KLM, et surtout par Transavia (deux tiers des passagers supplémentaires), tandis qu’Air France baisse, conséquence de l’ajustement de la flotte.

Le plan Trust Together prend tout son sens pour rééquilibrer les deux principales filiales du Groupe Air France-KLM.

> Air France-KLM-Alitalia : fin de la coentreprise européenne en vue

(source la tribune) 7 décembre - Dénoncés au printemps 2015 par Alitalia, les accords de coentreprise avec Air France et KLM entre l'Italie et la France et les Pays-Bas ne seront pas reconduits. Des discussions seraient en cours pour définir un autre type de coopération pour pouvoir proposer des offres communes.

(...) Par ailleurs, Alitalia reste dans la coentreprise transatlantique avec Air France-KLM, Delta et Aeromexico. L'accord de cette "JV" transatlantique court en effet jusqu'en 2022. Pour autant, si les discussions pour mettre en place un nouveau type de coopération en Europe devaient échouer, se poserait inévitablement la question de l'avenir d'Alitalia dans cette "JV" transatlantique. Il serait en effet compliqué d'être à la fois concurrent en Europe et partenaire sur les vols transatlantiques.

Discussions avec Delta et Virgin

Par ailleurs, des discussions sont toujours en cours entre Delta et Air France-KLM pour faire évoluer cette "JV" transatlantique. En effet, parallèlement à cette "JV" transatlantique avec Air France-KLM, Aeromexico et Alitalia, Delta dispose également d'une « JV », avec Virgin Atlantic, entre le Royaume-Uni et l'Amérique du Nord. Des discussions durent déjà depuis quelques mois pour réunir les deux coentreprises.

> Air France : Bruxelles approuve le rachat de Servair par HNA Group

(source air info) 9 décembre - (...) la Commission précise que cette acquisition ne soulèverait pas de problème de concurrence en raison de son impact limité sur les marchés concernés.

Elle détaille : « Servair fournit des services au secteur de l’aviation et notamment des services de restauration en vol, de vente au détail à bord d’avions et, dans une moindre mesure, d’assistance en escale. HNA investit au niveau mondial dans les secteurs de l’aviation, des services financiers, du tourisme et de la logistique. Essentiellement centré sur la Chine et la région Asie-Pacifique, le groupe HNA exerce certaines activités dans l’espace économique européen, notamment des services d’assistance aéroportuaire, de restauration en vol, de vente au détail à bord d’avions et de transport aérien de passagers dans un nombre limité d’aéroports ».

Air France est rentrée en négociation exclusive avec HNA Group en mai 2016 pour lui céder 49,99% de sa filiale de restauration aérienne et lui transférer le contrôle opérationnel, sur la base d’une valeur d’entreprise de 475 millions d’euros. Air France expliquait alors qu’elle a recherché un acteur de premier plan pour devenir le partenaire industriel de Servair et lui donner les moyens de son développement. « Ceci permettra à Air France de bénéficier partout dans le monde de services de restauration aérienne du meilleur niveau », estimait Air France-KLM (...).

Mon commentaire : Dommage qu'Air France-KLM n'ait pas eu les moyens financiers de développer son secteur de restauration. Mais, Servair rejoignant le numéro deux, Gate Group, l'entité nouvelle devient numéro un mondial. La solidité financière de HNA, est, on l'espère, un gage de sécurité pour l'avenir des salariés.

> easyJet +2,9% en novembre 2016

(source pnc contact) 9 décembre - (...) Pour le mois de novembre 2016 la low-cost britannique a transporté 4 947 060 passagers contre environ 4.8 millions un an plus tôt. Cela représente une hausse de 2.9%.

Le coefficient de remplissage (...) est lui en baisse de 0.6 point pour atteindre 89.7%.

Sur 12 mois glissants c’est 73 720 857 passagers qui ont choisi easyJet soit une hausse de 5.9% par rapport aux 12 mois précédents. Le coefficient de remplissage est lui de 91.3% en recul de 0.5 point (...).

Mon commentaire : La croissance d’easyJet en novembre est en retrait par rapport à celle des majors européennes, au point que sa progression en nombre de passagers est inférieure à celle de Transavia. Mais les rares moments d'essoufflement d'easyJet ont toujours été de courte durée.

> Lufthansa : +5,9% en novembre, malgré 6 jours de grève

(source air info) 9 décembre - Le groupe Lufthansa a publié le 9 décembre ses résultats de trafic pour le mois dernier. L’offre des différentes compagnies, Austrian, Eurowings, Lufthansa et SWISS, est en hausse de 9,3% (en SKO) pour une demande en augmentation de 10,1% (en PKT).

Le coefficient d’occupation gagne ainsi 0,5 point à 75,8%. Austrian Airlines est celle qui enregistre la plus forte croissance du nombre de passagers, soit 10,9%. Pour SWISS, la hausse atteint 4,3%. La croissance de ces deux compagnies est liée notamment à la grève chez Lufthansa : durant celle-ci, Austrian et SWISS ont déployé des avions plus volumineux sur leurs vols en provenance et à destination d’Allemagne, explique le groupe.

En novembre, le syndicat de pilotes Vereinigung Cockpit (VC) a appelé ses membres à cesser le travail pendant six journées. Le mouvement a conduit Lufthansa à annuler environ 4.500 vols et affecté plus d’un demi-million de passagers.

Le groupe estime que ses comptes du quatrième trimestre 2016 seront impactés à hauteur d’environ 100 millions d’euros. Malgré la grève, la compagnie Lufthansa voit le nombre de ses passagers augmenter de 5,8% en un an. Il faut dire que le mois de comparaison, novembre 2015, était marqué par une autre grève : à l’appel du syndicat UFO, les hôtesses et stewards avaient cessé le travail pendant sept journées, entraînant également de nombreuses annulations de vols.

Eurowings, actuellement en phase de croissance, augmente son offre de 35,2% en novembre pour une demande en hausse de 33,3%. Mécaniquement, le coefficient d’occupation baisse de 1,1 point. La low-cost du groupe s’est particulièrement développée sur les liaisons long-courriers, où le nombre de passagers a plus que doublé.

Au total, sur les onze premiers mois de 2016, le groupe Lufthansa a transporté 101,8 millions de passagers (+1,6%), dont 58,0 millions pour Lufthansa (-0,2%), 16,6 millions pour SWISS (+2,1%), 10,5 millions pour Austrian Airlines (+4,5%) et 17,1 millions pour Eurowings (+8,7%).

Mon commentaire : Le contre-coup des attentats de novembre 2015 a touché moins sévèrement le groupe Lufthansa que le nôtre. Il est donc difficile d'interpréter ses performances, d'autant plus que des grèves ont eu lieu en novembre 2015 et 2016. Sa progression actuelle est due aux filiales. La compagnie mère reste au même niveau.

> Brussels Airlines sera définitivement racheté par Lufthansa

(source bx1) 9 décembre - La compagnie aérienne Lufthansa et Brussels Airlines scelleront le rachat définitif de l’entité belge SN Airholding (...) par le groupe allemand le 15 décembre prochain (...). Lufthansa déboursera finalement ce qui était prévu pour le rachat des 55% du holding aérien belge, à savoir 2,6 millions d’euros. Les Allemands avaient mis 65 millions d’euros sur la table en 2008.

(...) il est établi que le CEO Bernard Gustin restera aux commandes de l’entité belge et qu’Etienne Davignon en restera président.

(...) engagement a été pris de maintenir le nom « Brussels Airlines » pendant au moins deux années. Le nom est particulièrement porteur en Afrique et les Allemands ont la ferme intention d’ancrer Bruxelles comme hub africain en Europe à côté de Francfort (...).

Lufthansa n’a pris aucun engagement ferme en termes d’emploi. La Région wallonne et la Société régionale d’investissement de Wallonie doivent encore se prononcer sur l’accord.

Mon commentaire : Lufthansa a acheté 45% de Brussels Airlines pour 65 millions d’euros et a apporté 45 millions d'euros lorsque cette dernière a eu des besoins financiers. Avec les 2,6 millions d'euros de cette fin d'année, elle devient propriétaire à 100%. La consolidation du secteur aérien se poursuit.

> Les profits des compagnies aériennes vont repartir à la baisse en 2017

(source les echos) 9 décembre - Les dernières prévisions de l'Iata tablent sur une baisse des bénéfices cumulés des compagnies aériennes en 2017.

(...) Après cinq années de croissance ininterrompue, les profits du transport aérien devraient baisser en 2017, sous les effets conjugués de la remontée des cours du pétrole et de la baisse de la recette unitaire. C'est ce qui ressort des dernières prévisions de l'Association du transport aérien international (Iata) dévoilées ce jeudi à Genève.

Si l'année 2016 devrait se solder par un bénéfice net cumulé, de 35,6 milliards de dollars, comparable à celui de 2015, il sera néanmoins inférieur aux prévisions (39,4 milliards de dollars). Le chiffre, énorme en valeur absolue, ne représente toutefois qu'un modeste bénéfice de 7,54 dollars par passager, pour un prix moyen de billet de 363 euros.

Surtout, les profits du transport aérien devraient baisser en 2017, pour repasser sous la barre des 30 milliards de dollars. Le recul devrait être encore plus fort en Europe, où les bénéfices cumulés des compagnies traditionnelles pourraient chuter de 25 %, à 5,6 milliards, par rapport aux 7,5 milliards prévus pour cette année.

Remontée du prix du baril

« L'année 2017 s'annonce plus difficile, a indiqué Brian Pearce, le chef économiste de l'Iata. Le ralentissement a déjà commencé. Les voyants sont passés au rouge au troisième trimestre, quand les coûts unitaires ont commencé à baisser moins vite que la recette unitaire, avec l'atténuation de la baisse du prix du carburant. Pour 2017, nous nous attendons à une remontée du prix du pétrole aux environs de 55 dollars le baril [soit 10 dollars de plus qu'en 2016, NDLR], qui se traduirait par une augmentation de 25 milliards de dollars de la facture pétrolière des compagnies aériennes. »

A la fin de cette manne pétrolière s'ajoute l'accélération de la baisse des recettes, générée par la compétition croissante entre transporteurs et l'augmentation de l'offre supérieure à la demande sur certains segments de marché. Entre 1995 et 2015, le prix moyen d'un billet d'avion a baissé de 57 %, à 407 euros. Il est tombé à 363 euros en 2016 et Iata table sur 351 euros en 2017. Malgré ce ralentissement, les marges bénéficiaires du transport aérien (7,9 % en moyenne) resteront supérieures au coût du capital (6,9 %), souligne Alexandre de Juniac, le président de l'Iata. « Nous prévoyons un atterrissage en douceur en territoire profitable en 2017 », a-t-il indiqué. Si les cours du pétrole sont orientés à la hausse, les compagnies aériennes ont profité de la baisse des cours pour accumuler des couvertures pétrolières, qui devraient permettre d'amortir l'impact de la hausse des cours.

A ces mesures de précaution s'ajoutent les gains de productivité réalisés par la plupart des compagnies aériennes, qui ont permis de reculer le seuil de rentabilité des vols à 61 % de taux de remplissage en moyenne, pour un taux de remplissage effectif moyen de plus de 65 %. Outre une utilisation plus intensive de leurs moyens, les compagnies aériennes ont également augmenté leur rentabilité en mettant plus de sièges dans les avions, en allongeant la durée de vie des appareils et en développant considérablement des recettes annexes en tout genre, sur le modèle des low cost.

Si les compagnies américaines affichent une rentabilité record, avec un bénéfice de 22,40 dollars par passager, celui des compagnies européennes n'est que de 7,84 dollars. Seule consolation pour ces dernières, leurs concurrentes, les compagnies du Golfe, ont également souffert de la baisse des prix et figurent désormais en queue de peloton pour la rentabilité, avec un bénéfice moyen passé de 5,86 dollars par passager à 1,56 dollar prévu en 2017. De quoi peut-être calmer les ardeurs.

Mon commentaire : Certaines compagnies, à cause de couvertures anciennes, paient leur carburant au dessus du prix actuel du marché. Mais ces contrats se résorbent petit à petit. De ce fait et bien que le pétrole enregistre quelques hausses, les billets peuvent encore baisser. Un phénomène qui peut être amplifié par les surcapacités.

La stratégie des compagnies du Golfe semble atteindre ses limites. Il ne suffit pas de mettre des avions en ligne. Il faut aussi pouvoir les remplir avec une recette suffisante.

Fin de la revue de presse

> Mon commentaire sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM

L'action Air France-KLM descend à 5,065 euros en clôture lundi 12 décembre.

La moyenne des objectifs de cours (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM stagne à 5,34 euros.

A la suite de l'accord de l'Opep, le baril de pétrole Brent (mer du nord) est remonté à 54$.

Ce prix, restant limité, soulage les comptes d'Air France-KLM, mais les baisses de recette unitaire sont devenues, en 2016, supérieures aux gains réalisés sur le cout carburant.

Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.

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| François Robardet

Administrateur Air France-KLM représentant les salariés actionnaires PS et PNC

Lettre rédigée avec la collaboration de Christian Magne

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