Lettre de l'Administrateur Air France-KLM
François Robardet Représentant des salariés actionnaires PS et PNC |
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N°579, 26 décembre 2016 Si vous ne voyez pas correctement cette page, suivez ce lien La Revue de Presse du lundi... > Air France-KLM : 2 nouvelles liaisons vers Porto et Marrakech (source CercleFinance) 21 décembre - Dès le 26 mars prochain, les clients d'Air France pourront s'envoler à destination de Marrakech (Maroc) et de Porto (Portugal) grâce à 3 nouveaux vols hebdomadaires opérés au départ de Paris-Charles de Gaulle en Airbus A320 (...). Elle proposera cet été jusqu'à 38 vols hebdomadaires vers 2 destinations au Portugal et jusqu'à 48 vols hebdomadaires vers 3 destinations au Maroc. Le groupe Air France-KLM dans son ensemble proposera, lui, jusqu'à 247 vols hebdomadaires vers 5 destinations au Portugal - Faro, Funchal, Lisbonne, Madère et donc Porto - et jusqu'à 125 vols hebdomadaires vers 6 destinations au Maroc (Agadir, Casablanca, Essaouira, Marrakech, Oujda et Rabat) (...). Mon commentaire : Porto et Marrakech sont traditionnellement des destinations loisirs pour les européens. Mais de nombreux séniors français s'installent au soleil, sans couper les ponts avec leur famille. Le nombre d'actifs français, très mobiles, attirés par un immobilier portuguais bon marché et des conditions de vie agréables s'accroit. Ces lignes AF avaient été transférées en 2007 vers Transavia à Orly. Cette offre au départ de Roissy, avec des classes avant profitables, séduira-t-elle une clientèle plus exigeante ? > Air-France KLM cède des actions sur Amadeus pour 201 millions (source reuters) 23 décembre - Air France-KLM a annoncé vendredi la cession d'actions Amadeus (...). L'opération s'inscrit dans le cadre du débouclement et de la résiliation d'une partie des opérations de couverture qui portaient sur 9.900.000 actions d'Amadeus. Le produit net de la transaction s'élève à 201 millions d'euros. Cette cession s'inscrit dans la politique de gestion active du bilan de l'entreprise. Avec cette opération, Air-France KLM poursuit son désendettement. Mon commentaire : Imaginons qu'Air France ait été suffisamment profitable pour ne pas avoir eu besoin de vendre au fil du temps ses actions Amadeus. Les 23% dont elle était propriétaire il y a une dizaine d'années vaudraient aujourd'hui près de 4,5 milliards ! A l'issue de la dernière vente, il lui restera environ 1% du capital, soit 4 950 000 actions. > Transavia : une grève des pilotes incompréhensible (source le parisien) 22 décembre - Attention, accrochez vos ceintures ! En pleine période de Noël, un collectif de pilotes de Transavia, la compagnie low-cost d'Air France (AF), a déposé un préavis de grève. Le mouvement doit commencer vendredi [23 décembre] et se terminer lundi [26] à minuit (...). (...) pour la journée de vendredi, l'ensemble des vols devraient être assurés, malgré 24 % de grévistes, soit vingt pilotes. Mais quid des trois autres jours de grève ? Les pilotes exigent des revalorisations de salaire alors que des négociations avec la direction sur le sujet sont pourtant prévues... début janvier. « Je suis abasourdi, ce préavis n'a aucun sens, reconnaît ce pilote de Transavia non gréviste. Si ce mouvement se confirme, je ne sais pas comment on pourra le justifier auprès de nos passagers. » Pour tenter de comprendre, il faut remonter à décembre 2014, après la grève de quinze jours des pilotes d'Air France. Le SNPL, syndicat majoritaire de la compagnie française qui s'oppose au développement de Transavia, signe alors un accord qui autorise le détachement de pilotes d'Air France chez Transavia, avec retour possible au bout de trois ans et moyennant finances. Problème : la direction ne trouve pas suffisamment de volontaires. Elle recrute alors de nouveaux pilotes — sous contrat Air France — qui sont directement employés par Transavia. Ces nouveaux venus, 29 personnes, s'estiment aujourd'hui les dindons de la farce. « On leur a fait comprendre que, s'ils n'acceptaient pas, ils ne voleraient jamais pour Air France, assure Emmanuel Mistrali, membre du bureau SNPL Air France. Ce qui est faux, ces détachements devaient se faire sur la base du volontariat. Des pilotes qui rêvaient de voler pour Air France ont quitté des compagnies où ils étaient bien mieux payés que chez Transavia où les salaires sont bas. » Un an plus tard, Air France relance les embauches de pilotes. Eux ne doivent pas passer par la case Transavia. « Ceux partis dans la low-cost ont donc le sentiment d'avoir été lésés et demandent depuis plus d'un an les mêmes salaires que ce qu'ils auraient touché chez Air France. » Sauf qu'entre-temps le SNPL Transavia a dénoncé l'accord de détachement signé en 2014, notamment parce qu'il créait des inégalités de salaires entre les historiques de Transavia (95 pilotes) et les transfuges d'Air France (162). « Dès janvier, les négociations sur les rémunérations vont commencer, rassure une source proche du dossier. De quoi contenter les deux populations de pilotes. » Syndicat indigné Pas étonnant alors que cette grève appelée par un collectif de pilotes ne soit pas soutenue par le SNPL Transavia, seul syndicat de la low-cost. Il s'en est même indigné dans un courrier que nous nous sommes procuré : « Nous ne pouvons vous soutenir dans une démarche visant à déclencher un mouvement dur pour les vacances de Noël qui, au-delà de l'image déplorable que cela aurait pour notre compagnie, nous apparaît totalement inappropriée dans l'immédiat ». Enfin, le SNPL Transavia s'étonne que ce préavis ait été envoyé par un délégué SNPL Air France, détaché dans la low-cost. Ce conflit serait-il piloté par le SNPL Air France, soucieux de garder la main sur sa petite sœur ? « Non, dément son porte-parole. Nous ne faisons qu'apporter notre aide. » Mon commentaire : Qui comprendra dans le grand public : une grève de pilotes (encore une) pendant les vacances (périodes à risque pour nos voyageurs) non soutenue par les propres syndicats de Transavia ? Les personnes qui saisissent la totalité des enjeux de ce conflit doivent se compter sur les doigts d'une main. Cet article n'en dit pas tout. On retiendra que le conflit prend racine dans des disparités liés aux contrats des pilotes (les historiques de Transavia, les détachés volontaires d'AF qui conservent leur ancienneté et les nouveaux embauchés par AF pour les besoins de Transavia) et à leurs rémunérations qui en découlent. En simplifiant, certains pilotes de Transavia espèrent une rémunération égale aux pilotes d'AF. Heureusement, l'impact de la grève a été limité, sauf en termes d'image. > Roissy à 20 minutes de Paris fin 2023 (source le telegramme) 20 décembre - (...) Le Parlement a définitivement donné son accord mardi à la liaison ferroviaire Charles-de-Gaulle Express devant mettre Roissy à 20 minutes de Paris fin 2023, le Sénat ayant voté dans le même terme le compromis adopté la veille par l'Assemblée. Présenté comme un atout notamment pour la candidature aux Jeux olympiques de 2024, avec un train toutes les 15 minutes de 5 h 00 à minuit, cette liaison est au centre d'un projet d'ordonnance confiant à une filiale commune SNCF-Aéroports de Paris le soin de réaliser ce chantier (...) > IAG passe à l'offensive sur les vols long-courriers à bas coûts (source Reuters) 23 décembre - IAG, maison mère de British Airways, a annoncé vendredi qu'elle proposerait à partir de juin 2017 des vols long-courriers à bas coûts à partir de Barcelone vers les Etats-Unis, une réponse à la concurrence accrue sur les liaisons aériennes transatlantiques. La compagnie "low cost" Norwegian Air Shuttle ASA, entre autres, propose depuis cet été des vols entre l'Europe et l'Amérique du Nord moitié moins chers que ses rivales. IAG a déclaré que ces vols seraient accessibles à partir de l'aéroport de Barcelone El Prat, le hub de sa filiale espagnole Vueling, ajoutant qu'elle ne savait pas encore si elle créerait une nouvelle compagnie aérienne ou si elle utiliserait les ressources dont elle dispose déjà. IAG possède également les compagnies espagnole Iberia et irlandaise Aer Lingus. "Barcelone est devenu un hub aérien important, et nous pensons qu'il existe une demande pour des vols long-courriers à bas coûts à partir d'El Prat," note IAG (...). Les destinations à l'étude sont Los Angeles, San Francisco, Buenos Aires, Santiago, La Havane et Tokyo (...). Cette opération pourrait amener IAG en concurrence frontale avec Norwegian qui devrait lancer des vols à bas coûts Barcelone-Los Angeles et Barcelone-San Franciso l'été prochain.(...). Les compagnies traditionnelles comme British Airways, American Airlines et Delta Airlines sont confrontées à de nouvelles concurrentes comme Norwegian, WestJet et Wow Air, ce qui les incite à développer leur propre offre low-cost. Plus tôt dans l'année Eurowings, filiale à bas coûts de Lufthansa, s'est lancée dans des vols au départ de Cologne vers Cuba, la Thaïlande et la République dominicaine. Eurowings a déclaré cette semaine envisager de proposer ce type de vol à partir de Munich. De son côté, Air France a annoncé en novembre le lancement d'une filiale moins coûteuse à exploiter et dédiée aux vols long-courriers. IAG pourrait utiliser des avions d'Aer Lingus pour lancer son projet. La compagnie irlandaise est l'opérateur le moins cher de son portefeuille de marques. (...) Mon commentaire : L'agressivité de Norwegian sur les tarifs, oblige les compagnies généralistes à repenser les dessertes long-courriers. Elles cherchent à protéger le trafic de leurs villes secondaires pouvant être capté par des compagnies à bas cout. C'est le cas, par exemple, du développement d'Eurowings à Cologne pour le groupe Lufthansa. > Eurowings installe une base à Munich (source air et cosmos) 22 décembre - Eurowings ne ralentit pas sa cadence de développement. Parallèlement à son réseau long courrier, la filiale low cost de Lufthansa continue à quadriller l'Europe. Elle a ainsi ouvert un base à Munich, d'où elle va lancer un total de 32 nouvelles dessertes en 2017. Pour cela, elle va baser sur la plateforme bavaroise, quatre appareils de la famille A320, ce que Eurowings n'a jamais fait avec un si grand nombre d'avions. Au total, la compagnie low cost allemande assurera 89 vols hebdomadaires aller-retour au départ de Munich, avec un objectif de trafic de 400 000 passagers dès l'été 2017. Parmi les 32 nouvelles destinations, on trouvera des villes de vacances mais aussi des destinations urbaines comme Paris Charles de Gaulle (six vols par semaine), Londres Stansted, Amsterdam ou Genève. Eurowings compte pour l'instant une flotte de 93 appareils. Elle a annoncé la semaine dernière qu'elle allait louer pour six ans 33 appareils supplémentaires à Airberlin. Par ailleurs, le groupe Lufthansa a finalisé il y a quelques jours l'absorption de Brussels Airlines, dont la flotte de 51 appareils devraient aussi rejoindre Eurowings. Mon commentaire : La concurrence devient féroce à Munich. Lufthansa ne peut pas prendre le risque de se faire déloger de son deuxième hub allemand par les low cost. Un environnement concurrentiel qui ne facilitera pas le développement de la base Transavia à Munich. > Lufthansa reçoit son premier Airbus A350 (source air info) 20 décembre - (...) Lufthansa et Airbus ont signé le 19 décembre le transfert de titre de l’A350-900 D-AIXA (MSN 74). « Maintenant c’est officiel, l’A350 fait partie de notre flotte » , a annoncé lundi la compagnie allemande (...). L’A350-900 sera configuré tri-classe avec 293 sièges au total, dont 48 en Affaires, 21 en Premium Économie et 224 en Économie. La mise en service commercial interviendra le 10 février sur la ligne Munich-Delhi (...). Lufthansa a commandé 25 A350-900. Les dix premiers exemplaires seront stationnés à Munich. La base d’affectation des quinze autres reste à l’étude. Ces appareils sont destinés en premier lieu à remplacer les Airbus A340-600. Lufthansa devient le dixième opérateur de l’A350-900 dans le monde après Qatar Airways, Vietnam Airlines, Finnair, LATAM Airlines, Singapore Airlines, Cathay Pacific, Ethiopian Airlines, Thai Airways et China Airlines. > Air Berlin : Etihad réfléchit à ses investissements en Europe (source zonebourse) 20 décembre - Etihad Airways réfléchit à sa stratégie d'investissements dans les compagnies aériennes européennes et cherche une porte de sortie dans le cadre d'une réorganisation qui pourrait conduire au départ de son directeur général James Hogan, ont déclaré (...) des sources au sein de l'entreprise et du secteur. La compagnie des Emirats arabes unis a pris des participations dans Air Berlin, Alitalia ou encore Air Serbia dans le but de développer son réseau en Europe mais Air Berlin et Alitalia ne cessent d'accumuler les pertes. Etihad a annoncé (...) des suppressions de postes. Le possible départ de James Hogan, qui pourrait intervenir dans les trois prochains mois, et la restructuration d'Etihad ont été rapportés (...) par Handelsblatt. Le quotidien allemand cite plusieurs sources selon lesquelles la compagnie émiratie souhaite commencer à réduire ses investissements en Europe en janvier (...). Mon commentaire : Après avoir investi sans compter dans des compagnies en grande difficultés (Air Berlin, Alitalia), l’émirat d’Abu Dhabi, actionnaire de Etihad, n’obtient pas les gains escomptés. Alitalia perd toujours beaucoup d’argent (près de 500.000 euros par jour) ; Air Berlin réduit sa flotte sous sa marque de 127 à 75 avions et va accueillir son 4ème PDG depuis 2011. Etihad souffre par ailleurs de la concurrence avec Qatar Airways et Emirates, deux compagnies dont la stratégie est plus claire. > Alitalia partage plus avec China Southern Airlines (source air journal) 19 décembre - (...) Alitalia a ajouté cinq nouvelles destinations en Chine à son réseau, via l’extension de son accord de partage de codes avec China Southern Airlines. (...) au-delà de son vol entre la base de Rome-Fiumicino et l’aéroport de Pékin, ses passagers peuvent désormais voler sous code AZ vers les villes de Chengdu, Chongqing, Guangzhou, Shenyang et Xi ‘an. Ces lignes intérieures sont opérées par la compagnie chinoise, sa partenaire dans l’alliance SkyTeam. Aux termes de l’accord de partage de codes détaillé en aout dernier, Alitalia peut déjà vendre sous code AZ les vols de la compagnie chinoise entre Rome et Wuhan, et au-delà vers Pékin, Shanghai, Guangzhou, Chengdu, Shenyang et Wenzhou. En échange, China Southern Airlines commercialise sous code CZ les vols opérés par Alitalia entre Rome et Pékin (depuis juillet), et au-delà de la capitale italienne vers 19 destinations dont Athènes, Bologne, Bruxelles, Copenhague, Florence, Turin et Santiago du Chili. Outre ce partenariat remontant à 2007, elle rappelle qu’elle a signé des accords similaires en Grande Chine avec trois autres membres de SkyTeam (China Eastern Airlines et Xiamen Air en Chine, China Airlines à Taïwan) ; Cet hiver, Alitalia propose quatre rotations hebdomadaires entre Rome et Pékin, et avec son actionnaire Etihad Airways des vols vers Pékin, Shanghai et Chengdu via Abou Dhabi. Mon commentaire : Les compagnies majors cherchent à étendre leur réseau de bout de ligne, grâce aux partenaires locaux. Alitalia et China Southern sont toutes deux membres de Skyteam, contrairement à Ethihad, principal actionnaire d'Alitalia. > Alitalia veut des "changements radicaux", mais réfléchit sur l'emploi (source AFP) 22 décembre - La compagnie aérienne italienne Alitalia a indiqué jeudi que son nouveau plan industriel comporterait "des changements radicaux", tout en précisant réfléchir encore à l'ampleur des suppressions d'emplois, alors que des informations de presse ont évoqué une fourchette entre 700 et 2.000 postes. L'assemblée des actionnaires a voté un financement à court terme de la compagnie, afin de pouvoir donner 60 jours à la direction pour entamer des négociations avec les partenaires, les fournisseurs et les syndicats afin qu'ils "s'engagent à des mesures de forte réduction des coûts", a souligné Alitalia (...). Sauvée de la faillite en janvier 2015 par la compagnie émiratie Etihad, qui a elle-même annoncé lundi avoir engagé un processus de réduction de ses effectifs, la compagnie italienne est encore dans le rouge. "Les deux prochains mois vont être cruciaux pour Alitalia", a estimé (...) le directeur général d'Alitalia, Cramer Ball. "Il est d'une importance vitale que les salariés et les principaux actionnaires de la compagnie, de même que les partenaires, les fournisseurs et les syndicats, acceptent et s'approprient les changements radicaux dont nous avons besoin pour obtenir les importants financements de nos actionnaires, qui seront essentiels à notre avenir". "Il faut que tout le monde avance dans la même direction", a-t-il insisté. Son plan s'appuiera sur les investissements de ces deux dernières années tout en faisant face au défi des "turbulences croissantes" du secteur, a ajouté Alitalia en évoquant plusieurs pistes : développement du réseau long-courrier, réduction des coûts, ré-examen des accords commerciaux, approfondissement des partenariats existants, réduction de personnel. (...) M. Ball a expliqué vouloir travailler avec les syndicats pour "conclure un nouvel accord collectif sur l'emploi". Dans un communiqué, le syndicat USB a estimé que les effectifs d'Alitalia avaient déjà été divisés par deux pour s'établir à un peu plus de 10.000 salariés confrontés de plus à "des conditions de travail toujours plus pesantes" et a appelé l'Etat à nationaliser la compagnie pour "redéfinir un vrai plan industriel et pour faire respecter les lois, les règles et les intérêts du pays" (...). Alitalia, dont Etihad a pris 49% du capital, avait réduit ses pertes en 2015 à quelque 200 millions, mais selon le journal économique Il Sole 24 Ore, elles pourraient remonter à 400 millions d'euros en 2016 et 500 millions d'euros l'an prochain. Alitalia a transporté en 2015 quelque 22,1 millions de passagers pour un chiffre d'affaires de 3,3 milliards d'euros. Mon commentaire : De plan de restructuration en plan de restructuration, Alitalia voit ses effectifs et son activité fondre. Il semble qu'Alitalia a de nouveau besoin d'une recapitalisation. Si elle l'obtient, c'est que son plan de redressement sera crédible. Une nécessité d'autant plus impérieuse que son principal actionnaire, Etihad, a moins d'aisance financière. Fin de la revue de presse > Mon commentaire sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM
est à 5,41 euros
en clôture lundi 26 décembre. La moyenne des objectifs de cours
(le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM
est à 5,37 euros.
Le baril de pétrole Brent (mer
du nord) est à 55$.
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| François Robardet Administrateur Air France-KLM représentant
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Magne Cette revue de presse traite de sujets liés à l'actionnariat
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