photo François Robardet, Administrateur Air France-KLM Lettre de l'Administrateur Air France-KLM

François Robardet Représentant des salariés actionnaires PS et PNC

N°586, 13 février 2017   Si vous ne voyez pas correctement cette page, suivez ce lien

La Revue de Presse du lundi...

> Air France-KLM : nombre de passagers en hausse de 7,5%, l'Asie redémarre

(source AFP) 8 février - Le groupe Air France-KLM a annoncé mercredi une hausse de 7,5% du nombre de passagers transportés en janvier, sur un an, avec une progression marquée sur la zone Asie.
 
Sur l'ensemble de l'année 2016, le trafic d'Air France-KLM a enregistré une progression de 4%, avec plus de 93 millions de passagers transportés après une année marquée par les attentats à Paris en janvier et en novembre 2015 qui ont lourdement pesé sur la fréquentation de la destination Paris, selon un communiqué du groupe.
 
En janvier, les compagnies Air France, KLM, HOP! et Transavia ont transporté 6,9 millions de passagers mais leur recette unitaire au siège kilomètre offert (RSKO) hors change -et hors Transavia- est « en baisse par rapport à l'an dernier, mais dans une proportion moindre que les mois précédents ».
 
La compagnie low-cost du groupe, Transavia, a transporté 700.000 passagers, un trafic en hausse de 38,6%, en raison de la forte hausse de capacité et du trafic résultant de l'ouverture de nouvelles destinations, selon le groupe.
 
Sur le faisceau Asie, qui souffre depuis des mois des conséquences des attentats qui ont visé la France, le trafic est reparti à la hausse par rapport au mois de janvier 2015 avec 5,6% de passagers en plus.
 
Le trafic avec la région Caraïbes-Océan indien a progressé de 6,4% tandis que celui avec l'Amérique du Nord seulement de 0,8%.
 
Le nombre de passagers transportés par la compagnie néerlandaise KLM a enregistré une poussée de 8,6%, contre seulement 2,5% pour les compagnies françaises Air France et HOP!

Mon commentaire : Si le trafic est en hausse, la recette unitaire est toujours en baisse, mais moins qu'en 2016. Les mesures prises en 2015 au sein d'Air France (gel du nombre d'avions long-courrier) continuent de produire leurs effets, car la progression d'Air France est plus faible de 6,1 %, que celle de KLM.

> A Air France, les négociations avec les pilotes se terminent sans grand espoir

(source AFP) 9 février - Estimant avoir (...) fait « beaucoup de concessions », la direction d'Air France a soumis jeudi aux pilotes un projet d'accord sur la création d'une compagnie à coûts réduits, malgré l'accueil glacial des syndicats qui souhaitaient poursuivre les négociations.
 
Lancées début décembre, les discussions ont porté sur l'application du plan stratégique d'Air France-KLM, « Trust Together », dont la nouvelle compagnie (projet « Boost ») se veut la pierre angulaire.
 
Cette filiale à 100% du groupe Air France a pour objectif de contrer la concurrence des compagnies low-cost et du Golfe en reprenant, grâce à des coûts d'exploitation inférieurs, certaines lignes moyen et long-courrier d'Air France (...) non rentables.
 
(...), le groupe aérien veut recruter des hôtesses et stewards (PNC) payés aux « coûts du marché », soit 40% moins cher qu'à Air France.
 
La direction a fait « beaucoup de concessions » aux pilotes pour aboutir à un « compromis équilibré », a soutenu jeudi le directeur général d'Air France, Franck Terner, lors d'une conférence téléphonique.
 
Elle a (...) renoncé à détacher des pilotes d'Air France volontaires, travaillant aux conditions de Boost, ce qui devait générer 15% d'économies. Elle entend désormais demander « 1,5% de productivité à l'ensemble des pilotes d'Air France » pour un gain économique similaire.
 
La flotte de la compagnie sera limitée à 18 avions moyen-courrier et 10 avions long-courrier, « une mesure de protection demandée » par les syndicats pour limiter le « risque de transfert d'activité », a par ailleurs assuré M. Terner.
 
- « Projet pas abouti » -
 
Le dirigeant prévoit de lancer la compagnie dès l'automne 2017 sur moyen-courrier (avec des A320) et au cours de l'été 2018 sur long-courrier (avec des A340 puis des A350 en 2019).
 
Il faudra pour cela obtenir la signature des organisations syndicales représentatives (SNPL et Spaf), lesquelles ont toutes deux regretté la décision « unilatérale  » prise par la direction de clore les négociations.
 
« Au-delà même des divergences de fond, le projet de texte n'est pas abouti », a commenté jeudi (...) le président du Syndicat national des pilotes de ligne (SNPL) d'Air France, Philippe Evain.
 
Problème pour la direction : en vertu d'accords passés, le syndicat de pilotes majoritaire à Air France (65% des voix) a la possibilité de bloquer tout projet modifiant le périmètre d'activité de la compagnie. Autrement dit, sans sa signature « Boost » ne verra pas le jour.
 
L'entreprise a fixé jusqu'au 24 février la possibilité pour les syndicats de valider le projet d'accord, en précisant toutefois que le délai « pourra être prolongé » si les organisations de salariés décident de consulter le personnel.
 
Le SNPL décidera de lancer ou non un référendum lors de son Conseil (parlement interne) le 22 février, selon le porte-parole du syndicat, Emmanuel Mistrali.
 
Avant cela, il publiera les résultats de la consultation (...) : « Approuvez-vous l'externalisation d'une partie de l'activité et de la flotte long et moyen-courrier d'Air France dans une nouvelle structure », est-il demandé aux 3.700 pilotes d'Air France.
 
La question laisse (...) transparaitre la position du SNPL, opposé depuis le début de la négociation au principe d'une filiale.
 
« Nous avons pris l'engagement que celle-ci ne pourra pas être vendue », a tenté de rassurer Franck Terner, répondant à une crainte exprimée par le syndicat.
 
Pour convaincre les pilotes, le dirigeant a (...) promis des avancements de carrière plus rapides, des embauches (« environ 200 pilotes par an ») et la mise en place d'un « supplément d'intéressement (...) dès 2017 pour tous les collaborateurs d'Air France ».
 
Cette dernière proposition ne suffira pas à calmer la colère des syndicats d'hôtesses et stewards, persuadés que « Boost » permettra « un transfert de l'activité PNC sans limite » au détriment d'Air France.
 
Si ce « projet destructeur » venait à se concrétiser, la compagnie fera face à un « conflit massif », ont prévenu le SNPNC et l'Unsa-PNC.

Mon commentaire : De nombreux compromis ont été trouvés mercredi à l'issue des négociations entre direction et pilotes. Le principal désaccord des pilotes concerne la forme juridique du projet Boost. Ces derniers exigent que la nouvelle marque soit développée au sein d'Air France et non pas dans une filiale. En contrepartie, ils accepteraient que l'effort d'économie, initialement prévu pour être concentré sur les pilotes du projet Boost, soit mutualisé sur l'ensemble des pilotes d'Air France. Si leur contre-proposition était acceptée, elle conduirait à son équivalent chez les hôtesses et stewards d'Air France. L'intention d'économie de la direction sur les " PNC Boost " serait répartie sur l'ensemble des navigants commerciaux, ce qui leur apparaîtra certainement inacceptable.

> Le Top 10 des compagnies low-cost européennes

(source L'echoTouristique) 9 février - Le site d'avis voyageurs Flight Report publie son classement annuel des Low-cost d'Europe. Points forts, faiblesses, marge de progression… Revue de détail de ce palmarès établi à partir des notes des internautes sur des voyages réalisés en 2016
 
C'est une nouvelle qui devrait faire plaisir à Air France-KLM en ces temps de dialogue social tourmenté. Pour la deuxième année consécutive, sa filiale Transavia a été élue meilleure compagnie low-cost européenne (...).
 
Avec une note en 2016 en augmentation de 4% par rapport à 2015, Transavia "fait référence en matière de confort passager", relève Flight Report, saluant l'utilisation des Boeing 737, récents pour la plupart, et les choix gagnants au niveau de la cabine avec le "skyinterior" de Boeing ainsi que des sièges inclinables. De même, son équipage est très apprécié des passagers.
 
2- Flybe (...) La compagnie britannique, qui opère sur un marché régional, gagne deux places au classement, notamment grâce à l'utilisation d'avions de moins de 120 places, confortables en raison de la faible capacité de passagers
 
3- Air Berlin (...) Entrée fracassante d'Air Berlin dans ce classement des compagnies low-cost. Son atout principal, (...) la carte payante qu’elle propose à ses passagers.
 
4- Norwegian (...) La compagnie perd deux places, malgré le succès de son réseau Wifi gratuit sur les vols européens. A noter, les vols transatlantiques n'ont pas été pris en compte dans cette notation.
 
5- Volotea (...) Cinquième au classement mais première dans la catégorie "confort", Volotea améliore sa qualité de service avec l'utilisation de 5 Airbus A319, (...)

6- Air Baltic (...)
 
7- Easyjet (...) Easyjet pâtirait de son ancienneté "par rapport à certains acteurs plus jeunes qui proposent des formules plus originales".
 
8- Eurowings (...) La filiale du groupe Lufthansa (...)  est l'une des rares compagnies européennes à proposer plusieurs classes de voyages dans ses appareils.
 
9- Wow Air (...) Le modèle de la compagnie islandaise, qui allie à la fois low-cost et vol non-directs nécessitant de transiter à Reykjavik, "ne semble pas séduire les contributeurs", (...)
 
10- Vueling (...) une chute de près de 8% par rapport à l’année précédente. En cause ? Le confort spartiate qu'elle propose.

Mon commentaire : Transavia classée meilleure compagnie low-cost, voici un indéniable succès. Les passagers mettent en avant le confort de l'avion et surtout la qualité de l'accueil à bord. Mais on aimerait en savoir plus sur la pertinence de ces notations.

> Transavia : la donnée client pour nouveau carburant

(source NetMediaEurope) 6 février - La compagnie Transavia se dote d’une application permettant de consolider toutes les interactions avec ses clients. Objectif : se distinguer par le service sur le tr ès concurrentiel marché de l’aérien low-cost.
 
« On pense qu’on a une carte à jouer sur le segment low-cost grâce au service ». C’est ainsi que Hervé Kozar, le directeur général adjoint de Transavia en charge du commercial, définit la stratégie de la compagnie aérienne low-cost du groupe Air France-KLM. Un positionnement qui dépend beaucoup des systèmes d’information et de leur capacité à disposer d’une vision à 360° des interactions avec les clients. Une approche qui s’accommode mal des silos de données, particulièrement de la séparation entre syst èmes d’information opérationnels et CRM.
 
Pour disposer d’une vision harmonisée de toutes les transactions qu’enregistrent ces applications, Transavia a choisi la solution de Pegasystems, qui a devancé Salesforce notamment en raison de sa « capacité à intégrer d’emblée notre département IT afin d’aider à transformer ce service qui, habituellement, demandait des temps de développement importants pour livrer de nouvelles applications. »
 
Transformer les irrégularités en facteurs de fidélisation
 
La plate-forme (...)  baptisée TIP, ingère toutes les interactions, opérationnelles ou commerciales, afin d’améliorer l’expérience client : « Le voyage lui-même ne va pas tellement changer, mais l’expérience sera différente. Nous pensons que TIP va améliorer l’indice de satisfaction de nos clients ainsi que leur fidélité », dit Hervé Khozar. Exemple donné par le dirigeant : si un client a perdu son bagage, le personnel navigant sera prévenu de ce désagrément via les tablettes connectées mises à sa disposition afin d’offrir un service supplémentaire au passager malheureux, comme une boisson à bord. Ou encore en cas de retard ou de panne matérielle, TIP permettra de délivrer à toutes les parties prenantes (sous-traitants, personnels, mais aussi les passagers évidemment) la même information en temps réel. « C’est en soi une révolution » dit Hervé Kozar. Qui ajoute qu’une « irrégularité dans le service, si elle est bien gérée, peut devenir un facteur de fidélité. »
 
(...), TIP, qui intègre tout l’historique de chaque client de la compagnie low-cost, recouvre également une dimension marketing. « L’outil doit nous permettre d’être plus efficace dans nos actions marketing, anticipe le directeur général adjoint. Car, connaissant mieux les profils de nos clients, nous achèterons des publicités qui devraient avoir un taux de transformation élevé. »
 
Se raccrocher au WiFi à bord
 
Au-delà de ce premier projet, (...) Hervé Kozar s’intéresse aussi aux apports possibles de l’intelligence artificielle. Et en particulier aux robots conversationnels (bots). « Cette technologie a un intérêt pour répondre aux questions basiques des clients, qui occupent largement notre personnel, explique le dirigeant. Nous envisageons de confier ces interactions à des robots afin de dégager du temps pour nos employés, afin qu’ils le consacrent à des tâches à plus haute valeur ajoutée. Pas question d’aller vers le 100 % bots, ce qui serait contraire à notre volonté de mettre le service client au cœur de notre stratégie ». Par ailleurs, le projet TIP doit aussi se raccrocher avec l’arrivée du Wifi à bord des avions Transavia, cette connectivité étant un moyen, aux yeux du directeur général adjoint de la compagnie, de poursuivre les interactions avec les clients.

Mon commentaire : Transavia joue sur sa spécificité pour séduire ses clients. Elle propose des prix de billets aussi intéressants que les low cost, mais elle hérite de la culture de sa maison mère où efficacité et qualité à bord sont privilégiées. Les bons retours des clients sont un encouragement à persévérer dans cette voie.

> easyJet : un très bon mois de janvier

(source CercleFinance) 6 février - easyJet a fait état ce lundi d'une progression substantielle de 11% en rythme annuel de son trafic passagers au titre du mois clos.

La compagnie low cost a transporté 4.745.630 passagers sur la période et son coefficient de remplissage s'est dans le même temps établi à 86,2%, soit une hausse de 1,12 point par rapport à janvier 2016.

Sur 12 mois, le nombre de passagers transportés s'élève à 74.921.296, en croissance de 6,9%, tandis que le coefficient de remplissage est en retrait de 0,1 point à 91,5%.

Mon commentaire : Pas de retournement de tendance, c'est comme d'habitude. Sur la même période de janvier, Transavia progresse de 38,6%, tirant pleinement profit des nouveaux avions qu'elle exploite.

> Etihad s'attend à une nouvelle année difficile

(source Reuters) 8 février - Etihad Airways fait face à « une nouvelle année difficile », a déclaré mercredi le directeur général du groupe, James Hogan, ajoutant que le transporteur d'Abu Dhabi se "développerait de manière prudente et efficace" en 2017.
 
Les compagnies aériennes du Golfe souffrent du ralentissement de la croissance après des années d'expansion rapide. Etihad a annoncé il y a deux semaines mener un examen stratégique de l'entreprise et le départ de son directeur général au second semestre de l'année.

Cet examen pourrait déboucher sur des ajustements aux partenariats tissés par James Hogan qui ont permis à Etihad d'afficher une forte croissance.

« Nous restons optimistes et avons l'intime conviction que notre modèle commercial robuste réussira et, surtout, résistera à l'épreuve du temps », a dit James Hogan dans un communiqué adressé par courriel.
 
Deux des grandes compagnies aériennes dans lesquelles Etihad a investi, Air Berlin et Alitalia, perdent de l'argent, ce qui pèse sur le bénéfice d'Etihad, déjà affecté par un ralentissement de la croissance du marché au Moyen-Orient.

Etihad a transporté en 2016 18,5 millions de passagers, soit une hausse de 6% par rapport à l'année précédente, mais comparé à une croissance de 17% en 2015.

Le transporteur du Golfe connaît son taux de croissance annuel le plus faible depuis au moins sept ans, malgré un gain de plus 11 millions de passagers au cours de la période.

James Hogan estime que le modèle d'Etihad « de diversité dans les activités, de synergies rentables et de répartition mondiale du risque » a permis à la compagnie aérienne d'affronter « un environnement commercial très difficile ».

Les partenariats d'Etihad ont apporté en 2016 5,5 millions de passagers, en hausse de 9% par rapport à l'année précédente.

Mon commentaire : Depuis plusieurs années, la compagnie des Emirats Arabes Unis développe une politique de partenariats stratégiques, investissant dans de nombreuses compagnies (Air Berlin, Air Seychelles, Virgin Australia, Alitalia...). La baisse de la recette unitaire et le ralentissement de la croissance mettent en difficulté les compagnies les plus fragiles (Air Berlin et Alitalia). Les récents accords passés avec Lufthansa pourraient préfigurer un changement de stratégie.

La presse boursière

> AF-KLM pourrait surprendre positivement en 2017

(source Reuters) 8 février - Air France-KLM profite mercredi en Bourse d'un relèvement de recommandation par Société générale, passé de « vendre » à « conserver » sur la valeur en estimant que 2017 pourrait réserver une surprise positive alors que les attentes du marché sont au plus bas après une année 2016 difficile.
 
S'y ajoute l'annonce d'une forte progression de 3,9% du trafic total du groupe en janvier, soutenu par un net rebond du trafic passagers en Asie.
 
(...) L'exercice 2017 devrait bénéficier d'une base de comparaison favorable, note Société générale en rappelant l'impact sur le trafic aérien de la menace terroriste et des grèves, qui se combine au peu d'enthousiasme suscité par le plan stratégique « Trust Together » pour expliquer que la valeur se traite actuellement autour de ses plus bas de quatre ans.
 
Les prix du kérosène remontent et la nouvelle direction reste confrontée à une résistance syndicale massive à toute réforme « mais nous pensons que le groupe pourrait surperformer les attentes » cette année, écrivent les analystes de SocGen, qui relèvent leur objectif de cours de 4,7 à 5,2 euros.

Ils tablent sur une baisse « relativement modeste » de 10% du bénéfice opérationnel en 2017. En dépit du repli des profits, ajoutent-ils, la valeur se traite à un PE de 4,3 fois seulement les bénéfices estimés en 2017 et le groupe devrait générer « un modeste mais décent free cash flow de 100 millions d'euros ».

Fin de la revue de presse

> Mon commentaire sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM

L'action Air France-KLM est à 5,28 euros en clôture lundi 13 février.

La moyenne des objectifs de cours (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM est à 5,18 euros.

Le baril de pétrole Brent (mer du nord) est à 56$.

Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.

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A bientôt.

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| François Robardet

Administrateur Air France-KLM représentant les salariés actionnaires PS et PNC

Lettre rédigée avec la collaboration de Christian Magne

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