photo François Robardet, Administrateur Air France-KLM Lettre de l'Administrateur Air France-KLM

François Robardet Représentant des salariés actionnaires PS et PNC

N°596, 24 avril 2017   Si vous ne voyez pas correctement cette page, suivez ce lien

> ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DES ACTIONNAIRES AIR FRANCE-KLM LE 16 MAI 2017

L'assemblée générale des actionnaires Air France-KLM se tiendra mardi 16 mai à 14h30 à l’Espace Grande Arche de la Défense.

Si vous êtes porteur de parts (FCPE Majoractions, Aéropélican et/ou Concorde chez Natixis), et que vous souhaitez me désigner mandataire et me confier vos pouvoirs,
rendez-vous sur le site de vote airfranceklm.voteassemblee et mentionnez ensuite mes nom, prénom et mon adresse François Robardet 31520, RAMONVILLE
Pour de plus détails, retrouvez mon Flash66.

J'approuverai les résolutions soumises aux actionnaires sauf la résolution n°8 : Elle traite du niveau de la rémunération du président Alexandre de Juniac au titre de l'année 2016, en raison de la précipitation de son départ.

La Revue de Presse du lundi...

> La direction d'Air France est attaquée en justice

(source L'Echo touristique) 20 avril - (...) C’est une première. L’Intersyndicale personnel navigant commercial (constituée du SNPNC et de l'Unsa) a assigné en référé la direction d’Air France devant le Tribunal de grande instance de Bobigny pour déloyauté dans la négociation.
 
Cette action en justice intervient juste après que la direction d'Air France a annoncé dans une note interne que, faute d'accord avec les syndicats, les conditions d'exercice, de carrière et de rémunération des 13 500 personnels navigants commerciaux (PNC) d'Air France vont être fixées par la direction. Les négociations autour d'un projet d'accord collectif pour 2017-2021 avaient échoué fin février, le texte ayant été accepté par un seul syndicat représentatif chez les hôtesses et stewards (l'Unac), et rejeté par les deux autres (SNPNC/FO et Unsa-PNC).
 
Pour l’Intersyndicale, « la Direction a constamment recherché deux objectifs dans sa négociation de l’accord collectif PNC : imposer aux PNC Air France un accord collectif dégradé négocié avec le seul syndicat Union des navigants de l'aviation civile (Unac), et créer une compagnie Boost avec comme unique but d’employer des PNC low cost et d’accaparer progressivement l’ensemble des réseaux moyen et long-courrier d’Air France ».
 
Boost ? « Un épouvantail »
 
Selon l’Intersyndicale personnel navigant commercial, après avoir annoncé le « projet Boost » début novembre, la direction n’a jamais négocié avec les syndicats PNC sur le sujet. Pour eux, Boost était simplement agité comme un « épouvantail ». Un moyen de dire « soit vous faites des efforts de plus de 40% dans le nouvel accord collectif, soit on met en place Boost avec la fin de tout développement interne à Air France ».
 
L’Intersyndicale évoque également « les incertitudes qui pèsent sur le projet quant à sa légalité ». En effet au début du mois, une consultation sur le Projet Boost a été demandée au Professeur Lyon-Caen, qui a relevé des risques de qualification de marchandage entre Air France et Boost s’agissant de la « main d’œuvre PNC ».
 
Pour le SNPNC et l’Unsa, la direction « n’a jamais négocié concrètement, soumettant à signature un accord « négocié » avec la seule organisation Unac le 3 mars 2017 ».
 
Colère de l'Unac
 
Pour Eric Chauvel, le vice-président de l’Unac, c’en est trop. Dans un communiqué paru mercredi 19 avril, il met au clair les choses : « A aucun moment, nous n’avons refusé de siéger devant la Direction, nous n’en avons pas peur. La négociation, nous aurions voulu la faire en coordination avec des syndicats qui siègent, cela n’a pas été le cas. Nous aurions pu nous parler, nous coordonner, malgré nos différents, obtenir plus ».
 
Avant de conclure : « Soit l’UNSA et le SNPNC deviennent enfin pragmatiques et adhèrent au projet d’accord périmétrique proposé, tant mieux pour nous PNC Air France. Soit ils restent dans leur blocage dogmatique et les PNC perdront les protections obtenues ! »
 
(...) L’Intersyndicale PNC, elle, demande aux juges qu’il soit fait injonction à Air France de reprendre au plus vite les négociations de manière concomitante et globale, à la fois sur l’accord collectif et sur Boost, et d’interdire toute démarche visant à la mise en œuvre du projet Boost tant que des négociations n’auront pu être menées de manière globale et loyale.

Mon commentaire : Les négociations portant sur les conditions de travail des PNC durent depuis un an. Le précédent accord arrivait à échéance en octobre 2016. Il avait été prolongé jusqu'à fin mars, avec l'accord de la DGAC. Deux syndicats souhaitent contraindre Air France à reprendre les négociations. Un juge dira le droit concernant cette requête.

> Air France : les salariés de Hop! vont grogner au ministère et s'interrogent sur leur place dans le projet Boost

(source Tourmag) 19 avril - Chez la filiale court et moyen-courrier du groupe AIr-France, 10 jours après une grève du personnel, les négociations des accords collectifs ont repris entre la direction et les syndicats. Ces derniers souhaitent faire entendre leurs inquiétudes sur l'avenir de leur compagnie (...)

« Les salariés de Hop! s'estiment injustement traités ».
 
Tels ont été les mots d'une délégation du comité d'entreprise de la compagnie régionale du groupe Air France, reçue jeudi 13 avril 2017 par Claude Morel, directeur de cabinet du secrétaire d'Etat aux Transports.
 
(...) Pas de business plan
 
Principale reproche des salariés : ne pas savoir où va leur entreprise.
 
« Depuis la fusion d'il y a un an, nous n'avons aucune définition claire du périmètre d'activité de Hop! et de ses sites. Il n'y a ni garantie pour l'avenir, ni même un business plan !, explique Valérie Scattolin, membre de l'UNSA. Nous voulons des réponses et des engagements clairs de la direction d'Air France ».
 
(...) Si une première délégation avait été reçue en décembre dernier par Jean-Marc Janaillac, président d'Air France-KLM, « pour l'alerter sur ce manque de visibilité sur l'avenir et réclamer plus de transparence et de communication sur la stratégie », les syndicats poussent aujourd'hui leurs revendications jusqu'au gouvernement.
 
« Le projet Boost commence à se structurer, et les salariés de Hop! n'ont toujours aucune idée à ce jour de la place qu'ils occuperont dans la nouvelle organisation des activités aériennes d'Air France », déplorent-ils. (...)
 
« Nous ne pouvons plus n'être que la variable d'ajustement d'Air France », précise un tract distribué pendant la grève du personnel des 7 et 8 avril 2017 et signé par la CGT, la CFDT et l'Unsa.
 
Filiale autonome, Hop! craint de voir ses activités de plus en plus étroitement liées à celles d'Air France, voir même d'être complètement intégrée à la compagnie nationale, alors qu'elle bénéficie toujours d'un modèle économique en propre.
 
« Nous contribuons depuis de nombreuses années à son expansion », explique Valérie Scattolin, revenant sur les problèmes d'exploitation liés au départ des pilotes Hop! vers Air France (53 pilotes en 2016/2017).
 
« Mais bientôt, cette fonte de la compagnie, au profit de sa maison mère, lui fait encourir le risque de passer sous une taille critique qui ne lui permettra plus d'avoir une activité rentable et de garantir l'emploi », estiment les syndicats.
 
Les syndicats demandent ainsi à la direction de clarifier la stratégie de développement de Hop!, dont découlera son plan pour l'avenir.
 
« Nous avons insisté sur le rôle majeur joué par Hop! dans le désenclavement et l'aménagement des territoires, et nous voulons garder notre indépendance au service de l'emploi en région », résume Valérie Scattolin.

Mon commentaire : Les salariés de HOP!, comme ceux de Transavia il y a quelques semaines, exposent leurs inquiétudes à propos du devenir de leur entreprise. Leur préoccupation est commune. Leur futur dépend-il de négociations entre les syndicats de pilotes et la direction d'Air France ? C’est déjà le cas pour Boost, au grand dam de la plupart des organisations syndicales. L'avenir du groupe Air France concerne toutes les entreprises et les salariés de l’ensemble des catégories professionnelles. Il pourrait faire l'objet de discussions avec des représentants de toutes les catégories et de toutes les entreprises. La loi le permet.

> United Airlines sanctionne son patron

(source La Croix avec AFP) 23 avril - Dans la tourmente après l’expulsion brutale d’un passager pour cause de surréservation, le directeur général de la compagnie aérienne ne deviendra pas PDG et voit son salaire indexé sur la satisfaction des clients.
 
United Airlines a annoncé vendredi 21 avril que l’actuel directeur général, Oscar Munoz, ne cumulerait pas ses fonctions avec celle de président du conseil d’administration.
 
(...) Le conseil d’administration estime qu’avoir une séparation des rôles de directeur général et de président est la structure la mieux appropriée pour le moment », a justifié la compagnie. Si cette décision n’est pas présentée comme une sanction, elle fait suite à un incident très mal géré par Oscar Munoz, provoquant une polémique qui avait fait plonger le cours de l’action en Bourse.
 
Passager brutalement expulsé
 
Pratique courante du monde aérien, la surréservation permet aux compagnies de vendre un nombre de places supérieur au nombre de siège. (...) Le 9 avril, les images de l’expulsion brutale d’un passager déjà embarqué sur un vol United avaient provoqué un tollé sur les réseaux sociaux. Le passager, David Dao, un médecin Américain d’origine vietnamienne de 69 ans, avait été sorti de force de l’appareil. Blessé, ce dernier a décidé de poursuivre en justice la compagnie.
 
Rémunération sous condition
 
La réponse du patron, qui avait qualifié le passager de « perturbateur et d’agressif » avant de faire amende honorable et de présenter ses excuses, avait été jugée pour le moins inappropriée. Oscar Munoz, qui avait reçu quelques semaines plus tôt le prix du meilleur communicant décerné par un magazine américain, était depuis sur la sellette pour sa mauvaise gestion de l’affaire.
 
La compagnie a ainsi annoncé que la future rémunération de son patron dépendra non seulement de ses performances financières mais également de la satisfaction des clients. En 2016, Oscar Munoz a touché 18,7 millions de dollars, trois fois plus qu’en 2015. Ces émoluments étaient constitués en grande partie de stock-options et d’un bonus de 6,8 millions de dollars.
 
Turbulence pour American Airlines
 
United Airlines n’est pas la seule compagnie actuellement dans les turbulences pour sa façon de traiter ses passagers. La compagnie American Airlines a annoncé samedi 22 avril l’ouverture d’une enquête, après qu’un steward a arraché brutalement une poussette des mains d’une passagère avec un bébé dans les bras avant de déclencher une altercation avec un autre passager. Là encore, la diffusion d’une vidéo de l’incident sur les réseaux sociaux a provoqué une vive émotion.
 
Visiblement échaudé par le précédent de United, American Airlines a aussitôt fait amende honorable. « Ce que nous voyons dans la vidéo ne reflète pas nos valeurs ou la manière dont nous prenons soin de nos clients », a aussitôt réagi un porte-parole de la compagnie. American Airlines a précisé que le steward a été suspendu le temps de l’enquête. Quant à la passagère malmenée, qui avait préféré prendre un autre vol, elle s’est vue offrir un siège en première classe.

Mon commentaire : Parce qu'il n'a pas eu la réaction appropriée, le Directeur Générale de United Airlines a terni la réputation de son entreprise. Son conseil d'administration l'a sanctionné, en lui refusant le poste de PDG et en revoyant son mode de rémunération. Celle-ci sera indexée, en partie, sur la satisfaction client. En 2016, Oscar Munoz avait touché près de 20 fois la rémunération du PDG d'Air France-KLM.

La bonne réputation est stratégique pour les entreprises. Air France dispose d'équipes spécialisées qui veillent au quotidien à l'image véhiculée sur les réseaux sociaux.

> Que valent les aéroports français ?

(source Que Choisir) 18 avril - Si les compagnies aériennes françaises se classent honorablement dans notre enquête satisfaction menée auprès des passagers de 8 pays, il n’en va pas de même pour les aéroports français. Malgré de réelles ambitions et de nets progrès, de nombreux critères (restauration, zones de confort…) continuent de décevoir.
 
Le transport aérien en France a une nouvelle fois prouvé son extraordinaire résilience en 2016. Malgré les attaques terroristes, le nombre de passagers sur les vols intérieurs et internationaux est resté en croissance de 3,1 % sur l'année, avec un total de 186,3 millions de passagers. Entre 2006 et 2016, la croissance des aéroports français s’établit à 25,4 %. Les deux plateformes parisiennes de Paris-Charles-de-Gaulle (Paris-CDG) et Paris-Orly représentent à elles seules 52,1 % de ce trafic, tiré par les visiteurs étrangers.
 
Première ou dernière image que de nombreux voyageurs ont de la France, les deux aéroports parisiens font face à un important impératif de qualité. Ils apparaissent pourtant en bas de notre tableau des aéroports de plus de 15 millions de passagers, à la 29e place (Paris-Orly) et 31e place (Paris-CDG) sur 32, avec respectivement des notes de 13,9 et 13,7/20. Les deux aéroports sont appréciés pour la qualité du téléaffichage (15,1/20), mais sont critiqués sur la qualité des bars et des restaurants (un mal qui touche l’ensemble des aéroports, comme le montre notre enquête) et sur les zones de repos ou d’attente, qui ne satisfont pas les passagers (nombre de sièges, présence de prises, etc.).
 
(...) Le classement de Skytrax place, comme le nôtre, l’aéroport de Singapour à la première place. En deuxième position, nos lecteurs ont placé Munich (16,2/20), seul aéroport européen classé « cinq étoiles » par Skytrax. Notre reportage sur place montre que cette seconde place n’est pas usurpée.
 
(...)  ils sont 7 (NDLR : aéroports français) à être présents dans notre classement des aéroports recevant entre 3 et 15 millions de passagers. Derrière l’aéroport de Porto, largement premier avec 16,5/20, celui de Toulouse-Blagnac pointe à la 9e classe (14,3/20), à quelques encablures de Nice-Côte d’Azur (12e), Nantes-Atlantique (13e), Lyon-Saint-Exupéry (15e) et Bordeaux-Mérignac (16e). Un classement dans un mouchoir de poche, autour des 14/20, qui progresse légèrement par rapport à notre précédente enquête de 2014. Ces quatre aéroports sont particulièrement bien notés sur le critère « sentiment de sécurité dans l’aéroport », mais trébuchent eux aussi sur la restauration et les zones de confort. L’aéroport Marseille-Provence, à la 21e place, est légèrement en retrait sur le critère des toilettes. Cela devrait s’améliorer, nous a indiqué l’aéroport : une expérimentation a été menée pour adapter la prestation de nettoyage des toilettes en fonction de la fréquentation constatée en temps réel. Elle donne satisfaction dans la zone concernée et va être généralisée. Saluons enfin la performance de l’aéroport de Beauvais-Tillé. Ses 4 millions de passagers, qui sont 99 % à emprunter des compagnies low cost, peuvent se réjouir : sa note est passée en 3 ans de 11,8 à 13,1/20. C’est la plus forte progression de notre classement, tous aéroports confondus.

Comment nous avons mené notre enquête
 
Notre enquête sur la satisfaction des passagers à l’égard des aéroports a été menée en collaboration avec sept autres organismes consuméristes étrangers (Belgique, Espagne, Portugal, Italie, Danemark, Brésil et Australie). Les questionnaires ont été diffusés en version numérique ou papier tout au long du dernier trimestre 2016. Au total, 11 273 avis de lecteurs ont pu être exploités. Les participants à notre enquête pouvaient juger jusqu’à trois aéroports fréquentés au cours des douze derniers mois. Pour chacun d’eux, ils devaient donner leur avis sur plusieurs critères (signalétique, bars et restaurants, accessibilité…) puis donner une note de satisfaction globale (qui n’est pas une moyenne de tous les items évalués). À l’arrivée, nous avons pu classer 56 aéroports de différents pays (dont 9 français).

Mon commentaire : Encore un classement qui souligne les insuffisances des aéroports parisiens, alors que nos aéroports de province s'en sortent mieux. Les lacunes de nos aéroports, sont notables dans la qualité de la restauration et dans les zones de repos. Qui n'a pas cherché une prise de courant pour recharger son téléphone portable ou sa tablette ?

> Lufthansa et United Airlines créent une co-entreprise

(source Le Figaro) 19 avril - Le groupe aérien allemand Lufthansa et son concurrent américain United Airlines ont annoncé mercredi la création d'une co-entreprise dans le transport de marchandises entre les Etats-Unis et l'Europe. Dans un communiqué, les deux partenaires promettent « plus de flexibilité et un gain de temps » avec cette coopération portant sur plus de 600 liaisons transatlantiques directes par semaine.
 
« Nos clients dans le fret apprécieront les nouvelles possibilités offertes par un transport plus rapide et plus simple entre les régions clé que sont les Etats-Unis et l'Europe », a assuré Jan Krems, président de United Cargo, filiale du groupe américain. Les réservations pour ces services doivent ouvrir dans le courant de l'année.
 
Avec 8,4 milliards de tonnes-kilomètres de fret enregistrés en 2016, soit deux fois plus que United Cargo (4,1 milliards), Lufthansa Cargo est l'un des poids lourds mondiaux du fret aérien. En janvier, il avait déjà annoncé que le chargement de marchandises de la compagnie Cathay Pacific Cargo se ferait désormais sous le même toit que sa propre activité de fret à Francfort afin de générer des synergies.
 
Mise à mal par une rude concurrence sur les prix et de lourds coûts de restructuration, la société allemande a prévenu en mars qu'un retour aux bénéfices n'était pas envisageable avant 2019. Les groupes United Airlines et Lufthansa disposent déjà, avec Air Canada, d’une co-entreprise dans le transport de passagers portant sur près de 10.000 vols quotidiens vers 570 destinations en Europe et en Amérique du Nord.

Fin de la revue de presse

> Mon commentaire sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM

L'action Air France-KLM est à 8,018 euros en clôture lundi 24 avril.

La moyenne des objectifs de cours (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM est à 6,02 euros.

Le baril de pétrole Brent (mer du nord) est à 52$.

Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.

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Vous pouvez me poser, par retour, toute question relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...

A bientôt.

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| François Robardet

Administrateur Air France-KLM représentant les salariés actionnaires PS et PNC

Lettre rédigée avec la collaboration de Christian Magne

Cette revue de presse traite de sujets liés à l'actionnariat d'Air France-KLM.

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