N°618, 25 septembre 2017
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La Revue de Presse du lundi...
> Air France dévoile enfin Joon
(source Le Figaro) 25 septembre - (...) Joon décolle! Après des mois de gestation, la nouvelle
compagnie du groupe Air France, une variété hybride, ni tout à fait low
cost ni vraiment classique, affiche sa couleur, ses tarifs, ses
services. Et les tenues décalées de ses hôtesses et stewards.
Lundi, ses dirigeants donnent le coup d'envoi, avec l'ouverture des
ventes, des vols moyen-courriers programmés à partir du premier
décembre. En revanche, il faudra attendre l'hiver pour la vente des
billets des vols long-courriers prévus à l'été 2018.
Les A320 de
Joon desserviront dès le 1er décembre Barcelone (51 vols par semaine),
Berlin (37 vols), Lisbonne (28 vols) et
Porto (3 vols) à partir de 39
euros l'aller simple. À ce prix-là, un repas, un bagage à main mais pas
de bagage en soute. Deux tarifs seront proposés en classe éco selon que
le billet est flexible ou non avec bagage en soute ou non. Sur
moyen-courrier, Joon comptera une classe affaires avec une cabine
dédiée. «Joon est un modèle de compagnie entre compagnie
classique et low cost, souligne Franck Terner, le directeur général
d'Air France. Elle dispose d'une classe affaires sur moyen-courrier et
sur long-courrier. Les clients business auront accès à Sky priority, au
salon... Et un service de boissons ou de restauration est offert dans
toutes les classes». Le Brésil et les Seychelles à l'été 2018
À l'été 2018, les A340 - progressivement remplacés par des A350 -
assureront deux nouvelles liaisons: Fortaleza (2 fois par semaine)
au
Brésil et Mahé aux Seychelles (3 fois par semaine). Les premiers prix en
classe éco: 249 euros pour un aller simple vers Fortaleza - où la
compagnie Brésilienne GOL a installé un hub pour desservir d'autres
villes dans le pays - et 299 euros pour Mahé. Trois autres destinations
seront transférées d'Air France à Joon. Sur long-courrier, Joon comptera
trois classes: affaires, premium et éco. La nouvelle compagnie a
une double vocation : reconquérir des lignes déficitaires en abaissant
les coûts d'exploitation - de 15 à 20% par rapport à Air France -
et
servir de laboratoire d'innovations. Dans les appareils, les clients
pourront se connecter avec leurs propres tablettes sur le portail de
divertissement (séries, documentaires, vidéos...). Ils pourront
commander un repas bio, gourmand, s'ils le souhaitent (et découvrir le
jus de baobab !). Des nouveaux services testés sur Joon avant
d'arriver chez Air France Par ailleurs, Joon a noué une série de
partenariats. Avec TravelCar, les clients peuvent déposer leur voiture
en arrivant à CDG. Celle-ci peut alors être louée pendant leur absence
et rapportée avant leur retour ce qui leur assure des revenus. Avec
Airbnb experience, ils peuvent découvrir un lieu, une activité, une
excursion. À Paris, des visites thématiques de la Capitale avec Le BHV
Marais. Il sera aussi possible d'offrir des billets sur Joon
avec
Waynabox, une box cadeau comprenant une destination surprise et un
logement. Tous ces partenariats rapporteront des revenus annexes à la
compagnie. «Joon s'inscrit dans la stratégie du plan Trust
Together, rappelle Franck Terner, le directeur général d'Air France.
Mais ce n'est qu'un élément du plan qui vise à améliorer nos résultats
économiques pour financer notre croissance». Pour assurer le
démarrage de la compagnie, 140 hôtesses et stewards ont été recrutés
tout spécialement. À terme, Joon en emploiera 1000 pour voler sur ses 28
avions. En revanche, ce sont les pilotes d'Air France volontaires, qui
seront «mis à disposition» de la filiale.
> Air France-KLM : le bras droit du PDG quitte le groupe
(source La Tribune) 21 septembre - Arrivé chez Air France-KLM il y a
un peu plus d'un an pour suivre Jean-Marc Janaillac, Jérôme Nanty quitte
le groupe. Il rejoint Carrefour pour en être le DRH..
Énorme
surprise. Jérôme Nanty, secrétaire général d'Air France-KLM, directeur
général adjoint en charge du secrétariat général et de la transformation
d'Air France et d'une manière générale bras droit du PDG Jean-Marc
Janaillac, va quitter le groupe aérien, selon des sources internes.
Il
devrait rejoindre Carrefour au poste de directeur des ressources
humaines monde. Jérôme Nanty avait rejoint Air France-KLM en
juillet 2016 en provenance de Transdev. Il avait ainsi suivi Jean-Marc
Janaillac, arrivé lui aussi de Transdev pour diriger Air France-KLM.
Fidèle lieutenant du PDG, Jérôme Nanty va donc rejoindre Alexandre
Bompard, le nouveau PDG du deuxième groupe de distribution mondial.
Négociations avec les pilotes Jérôme Nanty a été en première
ligne dans les négociations avec les pilotes et le personnel navigant
commercial qui se sont soldées cet été par la signature de deux accords
d'entreprise. Celui avec les pilotes a notamment permis la création de
Joon, une nouvelle compagnie à coûts inférieurs à ceux d'Air France. Ces
accords ont permis de ramener le calme dans une entreprise secouée par
les tensions sociales depuis près de 3 ans. Néanmoins, les mesures
d'amélioration de l'efficacité économique d'Air France étant limitées,
ces accords ne mettent pas la compagnie à l'abri en cas remontée du prix
du baril. Jérôme Nanty part également au moment où le groupe
vient de signer un accord stratégique d'envergure avec Delta,
Virgin Atlantic et China Eastern, lequel va s'accompagner d'une entrée
d'Air France-KLM dans le capital de Virgin et de Delta et China Eastern
dans celui d'Air France-KLM.
> Ryanair confronté à une fronde inédite de ses pilotes
(source L'Express) 22 septembre - Rien ne va plus chez Ryanair. Après
l'annonce de l'annulation de plus de 2000 de ses vols d'ici à la fin du
mois d'octobre due, selon la compagnie, à des erreurs dans le planning
des vacances de ses pilotes, sa direction est aspirée dans un bras de
fer avec son personnel. Pour éviter davantage
d'annulations, la direction de l'entreprise irlandaise a proposé des
primes conséquentes aux pilotes qui accepteraient de renoncer à leurs
jours de repos: 12 000 euros pour les commandants de bord, 6 000 pour
les copilotes. Une proposition refusée par la majorité de son personnel
qui demande des changements radicaux dans leurs conditions de travail.
((...)D'après la compagnie à bas coût
Norwegian, 140 pilotes ont quitté son concurrent pour la rejoindre. Le
même nombre aurait également rejoint d'autres maisons basées dans le
Golfe ou en Asie. De plus, les compagnies traditionnelles comme Air
France, Lufthansa ou British Airways recrutent à nouveau cette année, en
raison de la forte reprise du secteur du transport aérien. Ce qui
encourage les départs au sein d'une compagnie pas réputée pour sa
politique salariale. Au total, selon le Irish Times, 700 pilotes sur
4200 auraient quitté le navire en une année. Une hémorragie.
Du
côté de Ryanair, on reconnait des départs, mais aucune pénurie.
Contactée, la compagnie renvoie à ses annonces. Elle s'apprêterait à
engager 600 pilotes dans les prochains mois, dont 125 "dans les deux
prochaines semaines". Aucun problème d'effectif donc, ni même
d'attractivité. "S'il n'y a aucune pénurie, alors pourquoi nous
propose-t-on 12 000 euros en échange de 10 jours de congés ?",
s'interroge un pilote belge basé à Charleroi. "Ce n'est pas le genre de
O'Leary (PDG de Ryanair) de faire des cadeaux à ses pilotes sans aucune
raison. S'il le fait c'est que c'est nécessaire pour assurer la survie
de ses intérêts", poursuit-il. (...)Dans un courrier signé par 17 bases européennes
adressé à la direction, que L'Express a pu consulter, les pilotes
demandent à Ryanair des contrats nationaux, c'est-à-dire correspondant
au pays de la base à laquelle ils appartiennent. Aujourd'hui, qu'ils
soient basés à Charleroi en Belgique, ou à Malaga en Espagne, les
pilotes dépendent de la loi irlandaise, sa fiscalité et ses normes.
"Ce changement serait un début de révolution pour nous, détaille un
actuel pilote de Ryanair, basé sur une île espagnole, contacté par
L'Express. Par exemple, cela pourrait provoquer la fin du statut de
pilote auto-entrepreneur, très courant dans l'entreprise, mais interdit
dans plusieurs pays d'Europe." D'après une étude réalisée pour le
journal néerlandais NRC Handelsblad, la majorité des pilotes serait
rémunérée au vol comme prestataire de service via des micro-sociétés
basées en Irlande. Ce que confirme le pilote: "on est comme des
chauffeurs Uber du ciel." Une politique sociale à revoir
De ce statut, découle de nombreux problèmes, selon eux. "Nous sommes
payés au vol, alors pour gagner convenablement sa vie, on doit voler, et
pour être sûr de voler, on ne peut rien refuser, reprend ce commandant
de bord. Même quand on est censé être "off" (en repos), on peut nous
appeler à 4 heures du matin pour un vol trois heures plus tard. Bien
sûr, ça pose des problèmes de sécurité entre la pression, la fatigue et
pour certain le surendettement (à cause du coût de la formation pour
intégrer la compagnie, autour de 35 000 euros). Si on était considéré
comme des humains, la direction nous ménagerait. Mais pour eux, nous ne
sommes que des outils de production." (...)
> Lufthansa récupérera l'essentiel d'Air Berlin en faillite, avec easyJet
(source Challenges) 21 septembre - Lufthansa récupérera la
plus grosse part de sa concurrente en faillite Air Berlin et easyJet est
toujours en course pour quelques actifs, a-t-on appris jeudi
auprès de deux sources au fait de la procédure de liquidation. Les
créanciers d'Air Berlin se sont réunis jeudi pour examiner les offres
pour la deuxième compagnie aérienne allemande et se sont entendus sur la
répartition de ses actifs, ont dit les sources. Air Berlin, qui
emploie plus de 8.000 personnes et exploite 144 avions pour la plupart
en location, a déposé le bilan le 15 août après la décision de son
principal actionnaire, Etihad Airways, de cesser son soutien financier.
Des négociations exclusives auront lieu avec Lufthansa jusqu'au
12 octobre, ont ajouté les sources. Cela pourrait signifier que
le conseil de surveillance d'Air Berlin ne prendra pas de décision
finale le 25 septembre comme cela était attendu. Le président du
directoire de Lufthansa, Carsten Spohr, a dit vouloir reprendre les 38
avions court-courriers d'Air Berlin que Lufthansa loue déjà, avec leurs
équipages, et s'est dit aussi intéressé par 20 à 40 autres
court-courriers. D'autres actifs iront à easyJet et possiblement à
Condor , ont précisé les sources. Examen le 25 septembre
Dans un communiqué, Air Berlin a annoncé que son conseil de
surveillance examinerait les offres le 25 septembre et ferait à cette
occasion un point sur la situation. Les actifs d'Air Berlin, y
compris ses créneaux d'atterrissage dans les aéroports allemands ou sa
filiale autrichienne Niki, ont suscité l'intérêt d'autres compagnies et
investisseurs, parmi lesquels l'ancien champion du monde de Formule 1
Niki Lauda et l'entrepreneur en aviation Hans Rudolf Wöhrl. Les
offres de ces investisseurs n'ont pas été retenues, a dit une des
sources. Air Berlin a indiqué que la date butoir pour sa filiale
de maintenance, qui emploie 850 personnes, avait été prolongée jusqu'au
6 octobre. Aucun commentaire n'a pu être obtenu jeudi soir
auprès de Lufthansa, easyjet et Condor.
> Alitalia : le délai pour présenter une offre rallongé jusqu'au 16 octobre
(source AFP) 22 septembre - Le délai pour présenter une offre de
reprise totale ou partielle de la compagnie italienne en difficulté
Alitalia a été repoussé au 16 octobre, ont annoncé jeudi les
administrateurs de la compagnie. Le délai initial avait été fixé au 2
octobre. Une éventuelle phase de négociation et/ou
d'amélioration des offres contraignantes reste prévue ensuite jusqu'au 5
novembre. Alitalia, qui compte 12.500 salariés, a été placée
sous tutelle le 2 mai sur décision du ministère des Transports, après
une demande en ce sens des actionnaires à la suite du rejet par les
salariés d'un plan de restructuration. Alitalia doit être vendue
en bloc ou en deux lots séparés, "l'aviation" et les activités de
"handling" (services à terre). La compagnie aérienne à bas coûts
irlandaise Ryanair a annoncé le 31 août qu'elle allait soumettre une
offre pour reprendre 90 des quelque 120 avions, "avec leurs pilotes,
leur personnel de bord, leurs routes, etc.". Ryanair entend garder la
marque Alitalia, qu'elle souhaite développer sur le long-courrier. Mais
la compagnie à bas coûts, en pleine tourmente après une vague soudaine
d'annulations de vols, avait reporté sine die une conférence de presse
qui était prévue mardi à Rome. D'après la presse italienne,
pour
l'aviation seraient aussi en course Easyjet et Lufthansa, de même que
les fonds Eliott, Usa Cerberus Capital Management et Greybull Capital.
> Les commandes d'avions portées par les compagnies low-cost à long terme (Boeing)
(source AFP) 22 septembre - Les monocouloirs représenteront
la majorité des commandes d'avion dans les 20 prochaines années dans le
monde, en raison des besoins des compagnies à bas coûts, notamment sur
les marchés émergents comme en Asie du Sud-Est, a indiqué
Boeing vendredi. Près des trois quarts des 41.030
nouveaux avions commerciaux qui devaient être livrés au cours de cette
période pour un montant total de 6.100 milliards de dollars (5.100
milliards d'euros) seront des monocouloirs, selon l'avionneur
américain.(...) L'Asie du Sud-Est est l'une des régions du monde
où la croissance des voyages à bas coûts est l'une des plus rapides au
monde, à la faveur des classes moyennes en plein développement dans ce
pays. En conséquence,
Boeing a revu à la hausse ses prévisions de livraisons de nouveaux
avions dans cette région pour les 20 prochaines années à 4.210 unités,
soit 460 de plus que dans les projections effectuées l'an passé.(...)
La croissance du nombre de passagers dépasse les 10% dans plupart
des pays de la région, à commencer par la Malaisie, le Vietnam, la
Thaïlande et l'Indonésie, selon la même source. Au cours des deux prochaines
décennies, 39% des nouveaux avions seront destinés à l'Asie, suivie par
l'Amérique du Nord et l'Europe, a-t-il encore dit. Les
compagnies à bas coûts préfèrent les monocouloirs, tels les
Boeing 737 MAX et Airbus A320, qui représenteront 77%
des parts de marché en Asie du Sud-Est, selon la même source.
> Airbus inaugure son centre de complétion A330 en Chine et livre son 1er appareil à Tianjin Airlines
(source Journal de l'aviation) 20 septembre - Le centre de complétion
A330 d'Airbus à Tianjin est désormais officiellement opérationnel. Le
nouveau C&DC (Completion and delivery centre) de l'avionneur a en effet
été inauguré le 20 septembre. Pour célébrer cette nouvelle implantation
en Chine, un premier A330 a été livré depuis le centre à Tianjin
Airlines. Le C&DC se situe sur le même site que la ligne
d'assemblage final de la famille A320. Celle-ci, inaugurée en 2008 et
qui livre désormais quatre monocouloirs chaque mois, était la première
ligne d'assemblage de l'avionneur hors d'Europe. De même, le C&DC est le
premier centre de finition et de livraison de gros-porteurs d'Airbus en
dehors du Vieux continent. Ce qui fait dire à Fabrice Brégier, directeur
général délégué d'Airbus et président d'Airbus Commercial Aircraft : «
L'inauguration de notre C&DC A330 de Tianjin, ainsi que la première de
toute une série de livraisons, marque une nouvelle étape dans le
processus d'expansion internationale d'Airbus et met en lumière notre
forte coopération avec nos partenaires chinois. » Le centre de
complétion sera chargé de toutes les activités de finalisation des A330,
à savoir l'aménagement cabine, la peinture, certains essais en vol, le
vol de réception et celui de livraison. Il dispose d'un atelier
peinture, d'un hangar de pesage et d'un hangar principal, couvrant 16
800 m² et pouvant accueillir trois A330. L'A330 livré à Tianjin
Airlines a été équipé à Toulouse par des employés chinois et européens
de l'avionneur. Cent cinquante employés chinois ont déjà été formés au
siège d'Airbus et travailleront dans le C&DC. A terme, il doit employer
250 personnes et livrer deux A330 par mois (ceci à partir du début de
l'année 2019).L'objectif pour Airbus est également de favoriser de la
création de partenariats avec les équipementiers chinois.
L'avionneur entend également conforter sa position dans le pays, qui
abrite 202 A330 opérés par neuf compagnies aériennes. Mais dans le même
temps, il profitera de cette nouvelle assise pour tenter de pousser son
A380, pour lequel il évalue les besoins chinois à une soixantaine
d'appareils.
Fin de la revue de presse
> Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 13,05 euros en
clôture lundi 25 septembre, en baisse de 3,4%
depuis lundi
18 septembre.
La moyenne des objectifs de cours (le consensus) des
analystes pour l'action AF-KLM est à 15,08 euros.
Je calcule cette moyenne sur la base des objectifs de cours
publiés depuis mai dernier par 11 analystes .
Le baril de pétrole Brent (mer du nord) monte encore de 2 euros à 57$.
Les
prix profitent d’une baisse de la production des pays de l’Opep ainsi
que des autres producteurs, ont expliqué les analystes. Par ailleurs,
les cours ont également été soutenus par une baisse record des réserves
américaines d’essence la semaine dernière. Alors que le Texas et la
Floride ont été touchés par des tempêtes dévastatrices, les
investisseurs s’attendent désormais à une forte hausse de la demande de
ces Etats pour compenser cette baisse des réserves.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
A bientôt.
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| François Robardet
Administrateur Air France-KLM représentant les
salariés actionnaires PS et PNC
Lettre rédigée avec la collaboration de Christian
Magne
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