N°623, 30 octobre 2017
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La Revue de Presse du lundi...
> Remboursement anticipé des obligations convertibles ou échangeables en
actions nouvelles et/ou existantes
(OCEANE)
(source Air France-KLM Finances) 16 octobre - Air France-KLM
informe aujourd’hui les porteurs des obligations convertibles ou
échangeables en actions nouvelles et/ou existantes à échéance 15 février
2023 (ISIN FR0011453463, les “ OCEANEs ”) de sa décision d’exercer le 15
novembre 2017 son droit de remboursement anticipé de la totalité des
OCEANEs restant en circulation (...).
A ce jour, 53 383 705
OCEANEs restent en circulation sur un nombre total de 53 398 058 OCEANEs
initialement émises. A défaut de l’exercice par les porteurs d’OCEANEs
du droit à l’attribution d’actions qui leur est attaché dans les
conditions décrites ci- après, les OCEANEs seront remboursées en
numéraire le 15 novembre 2017 au pair, soit 10,30€, majoré des intérêts
courus depuis la dernière date de paiement des intérêts et jusqu’à la
date effective du remboursement anticipé, soit un montant total de
10,45638€ par OCEANE.
Les porteurs d’ OCEANEs ont la
faculté, à tout moment jusqu’au (...) 6 novembre 2017, d’exercer leur
droit à l’attribution d’actions Air France-KLM nouvelles et/ou
existantes à raison de 1 action Air France-KLM par OCEANE
(...).
Les demandes d’exercice du droit à l’attribution
d’actions (les « Demandes d’Exercice ») devront être transmises par les
porteurs d’OCEANEs à BNP Paribas Securities Services, en sa qualité
d’agent centralisateur, au plus tard le 6 novembre 2017 à 17h 00 (heure
de Paris)
> KLM dit adieu à ses Fokker
(source Air journal) 30 octobre - La compagnie aérienne KLM
Royal Dutch Airline a célébré ce weekend le départ du Fokker 70, après
97 ans de bons et loyaux services des avions néerlandais. Leur
disparition de la flotte de Cityhopper marque la fin d’une « ère unique
et remarquable » dans l’histoire de l’aviation des Pays-Bas ; un
monument leur est dédié. Les six derniers vols
commerciaux exploités par les Fokker 70 de KLM sont partis samedi 28
octobre 2017, le dernier vol décollant de Londres-Heathrow ; ce n’était
pas une coïncidence puisque la compagnie nationale y avait envoyé ses
deux premiers Fokker II le 30 septembre 1920, pour ses premiers vols
passager. Ainsi, le vol final en provenance de Londres a
« bouclé la boucle » avec son atterrissage à l’aéroport d’Amsterdam
Schiphol à 20h30, revêtu de la livrée d’adieu spéciale : un portrait
classique d’Anthony Fokker. Ce vol « a reçu un accueil chaleureux à
Schiphol », avec passage sous les canons à eau des pompiers et « un tour
de la victoire autour de la plate-forme », raconte KLM dans un
communiqué. Le personnel de KLM Cityhopper s’est réuni « lors d’un
événement festif le même soir, organisé pour les remercier pour leur
dévouement, leur professionnalisme et leurs réalisations ».
Dimanche 29 octobre au matin, un monument spécial KLM-Fokker a été
dévoilé à Schiphol-Oost, en présence du PDG Pieter Elbers, de l’ancien
directeur de KLM Cityhopper Boet Kreiken, et du vice-président de
Fokker, Frans van der Pol. « Aujourd’hui marque la fin d’une époque. Après 97 ans, le partenariat entre KLM et Fokker touche à sa fin.
Nous avons été pionniers ensemble et écrit l’histoire de l’aviation
internationale », a déclaré Pieter Elbers. « KLM Cityhopper se
projette désormais dans l’avenir avec une flotte entièrement composée
d’avions Embraer E175+ et E190, offrant plus de sièges aux passagers
ainsi qu’un plus grand confort, des vitesses plus élevées et une
meilleure économie », a ajouté le dirigeant. La plaque sur le
monument se lit comme suit : « Ce monument a été érigé en l’honneur de
tous les employés de KLM, Fokker et KLM Cityhopper qui ont travaillé
avec ces superbes avions hollandais de 1920 à 2017, les faisant voler à
travers le monde et écrivant l’histoire de l’aviation ».
Le Fokker 70 est un avion frappant et unique, avec son profil
d’aile caractéristique et sa queue en forme de T typique. Ces avions
continueront à opérer ailleurs, car KLM a vendu ses derniers Fokkers à
des compagnies aériennes en Asie, en Afrique et en Amérique du Sud. (...)
> Lufthansa confirme son objectif annuel après son 3ème trimestre
(source Zone bourse) 25 octobre - Lufthansa a confirmé mercredi son
objectif de résultat annuel, même si la compagnie aérienne allemande
a
fait état d'une hausse de 32% de son bénéfice au troisième trimestre, et
prédit une hausse de son revenu unitaire au trimestre suivant.
Alors qu'une âpre concurrence dans le secteur aérien a contraint Air
Berlin et Monarch à la faillite cet été, les grandes compagnies
européennes ont bénéficié d'une robuste demande et d'une tendance à la
hausse des prix des billets. Cependant, malgré la publication de
résultats record sur neuf mois, Lufthansa a maintenu son objectif d'un
bénéfice annuel supérieur au solde de 1,75 milliard d'euros de 2016. (...)
Elle a ajouté que le revenu unitaire (...) devrait augmenter légèrement au
quatrième trimestre après une hausse de 4,5% au troisième trimestre.
Elle anticipait auparavant une baisse de son revenu unitaire au second
semestre. (...) Au troisième trimestre, le bénéfice
d'exploitation ajusté a été de 1,518 milliard d'euros (...) tandis que le chiffre d'affaires s'est
élevé à 9,81 milliards d'euros. Le
président du directoire Carsten Spohr a déclaré que ces résultats "nous
donnent les capacités d'investissement et de croissance dont nous avons
besoin pour jouer un rôle actif dans la consolidation du marché aérien
européen et pour continuer à investir dans l'avenir de notre compagnie". (...)
> IAG: bénéfice en hausse de 7,5% au 3ème trimestre
(source Le Figaro) 27 octobre - Le groupe aérien IAG, maison mère de
British Airways et Iberia, a fait état vendredi d'une hausse de 7,5% de
son bénéfice après impôt au troisième trimestre, soutenue par une bonne
performance sur les marchés espagnol et latino-américain. (...) "Toutes
nos compagnies se sont bien portées", a assuré le
directeur général du groupe, Willie Walsh. (...)
Il
s'est félicité d'une hausse de 2,2% du revenu par passager à taux de
change constant, un indicateur important du secteur, grâce "à des
améliorations sur les marchés espagnol et latino-américain". Ensemble,
les quatre compagnies de ce groupe britannico-espagnol ont transporté
31,259 millions de passagers lors de ce trimestre, soit 1,3% de plus sur
un an. Le chiffre d'affaires d'IAG a augmenté en conséquence de 2%, à
6,617 milliards d'euros, tandis que son bénéfice d'exploitation (après
exceptionnels) grimpait de 9% à 1,261 milliard d'euros. Avant
exceptionnels, cet indicateur pourrait atteindre 3 milliards d'euros sur
l'ensemble de l'année, selon le groupe. Pour l'ensemble des premiers
neuf mois de l'exercice en cours, le bénéfice après impôt d'IAG est
monté de 5,6% à 1,567 milliard d'euros. Le groupe a estimé que la panne
informatique géante qui avait frappé British Airways lors d'un week-end
prolongé de la fin mai au Royaume-Uni lui avait coûté 65 millions
d'euros pour indemniser les passagers. (...) IAG a en revanche bénéficié dans le
même temps d'une baisse de 8,4% de ses coûts en kérosène, du fait d'une
baisse des cours mondiaux du pétrole et de l'arrivée dans sa flotte de
nouveaux avions moins gourmands en carburant.
> EasyJet est la première low-cost de France
(source Déplacements Pro) 29 octobre - Les transporteurs à bas coût
ont représenté 32% du trafic aérien français en 2016, soit une hausse de
2% par rapport à 2015 et 6% par rapport à 2013. Leur part de marché
atteint 50% sur le réseau Europe. Cela représente le double de celles
observées sur le moyen-courrier hors Europe (24%) et le domestique
(22%). La part de marché sur le segment long-courrier international est
toujours de 6%. Easyjet monte sur la première marche du podium des low-cost du ciel
français. Avec plus de 20 millions de passagers de ou vers la France, la
compagnie britannique représente 42% de l'activité à bas coût du pays.
Vient ensuite Ryanair. Toutefois, l'Irlandaise montre, pour la 1ère
fois, des signes d'essoufflements dans le ciel français. Son nombre de
voyageurs sur le marché France a chuté de 4% entre 2015 et 2016. Le
groupe Transavia s'offre la 3ème place du classement avec près 5,5
millions de passagers en 2016 et une part de marché de 11%. La low-cost
d'Air France-KLM présente également la deuxième plus forte croissance en
2016 avec +30%. Ce titre revenant à Volotea avec un trafic +31% en 2016
(part de marché 3%). (...) Le marché long-courrier est dominé par
XL Airways (très présente notamment sur la desserte outre-mer et celles
des États-Unis) et par Norwegian (États-Unis). Pour la DGAC "ce secteur
est appelé à connaître une forte croissance dans les années à venir".
> EasyJet a gagné sa base de Berlin
(source Déplacements Pro) 29 octobre - EasyJet a finalement trouvé un
accord avec les mandataires d'Air Berlin, qui vient de fermer ses portes
définitivement. La low cost va reprendre les 25 Airbus A320 qu'elle
lorgnait mais aussi les slots qui vont avec.
C'est un chèque
d'environ 40 millions d'euros que va devoir faire la compagnie easyJet,
pour les 25 A320 d'Air Berlin et les créneaux d'aéroport correspondants
à Berlin Tegel. La compagnie achète ainsi de fait une très belle base
allemande et annonce d'ailleurs dans la foulée par communiqué une
campagne de recrutement pour 1 000 navigants de la compagnie aérienne,
pilotes et hôtesses. Le programme de la compagnie à Berlin est
cet hiver encore limité mais il va progressivement monter en puissance
dans les mois à venir pour être totalement opérationnel pour la
prochaine saison estivale qui débutera fin mars 2018. Devenant ainsi le
premier concurrent d'Eurowings en Allemagne.
> ADP est boosté par le low-cost et l'international
(source Déplacements pros) 26 octobre - Sur les 9 premiers mois de
l'année, le groupe Aéroports de Paris a enregistré un chiffre d'affaires
de 2 254 millions d'euros sans intégrer les résultats de TAV Airports
dont il détient 46,12%. Cela représente une hausse de 2,6%. La
croissance a été portée par ses activités aéronautiques. Paris
Aéroport a vu son trafic grimper de +4,7% entre janvier et septembre
pour atteindre 77,3 millions de passagers grâce au dynamisme des
compagnies à bas coûts (+9,6%) et du trafic international (+6,4%).
Le trafic global du groupe présente pour sa part une hausse +6,6% à
172,6 millions de passagers. L'activité des Commerces et
services des plates-formes (boutiques, restaurants, parcs, prestations
industrielles et recettes locatives) affiche une progression de +1,6%.
Augustin de Romanet, PDG du Groupe ADP, souligne que "Les résultats commerciaux, et notamment le
chiffre d'affaires des boutiques, bénéficient du retour des passagers
les plus contributeurs. Le CA/PAX, bien que porté par le dynamisme du
Luxe, reste pénalisé par la baisse des ventes de tabac liée à la mise en
place du paquet neutre au 1er janvier 2017, ainsi que par l'euro fort,
qui réduit le pouvoir d'achat des passagers internationaux".
Face à ces bons résultats, l'entreprise table sur une croissance du
trafic comprise entre +3,5 et +4,0% pour 2017 et confirme ses
"prévisions 2017 d'EBITDA et de dividende".
> Quel marché pour l'A330neo d'Airbus ?
(source Le Journal de l'Aviation) 24 octobre - L'A330neo a
animé l'actualité de la semaine passée en réalisant son premier vol.
Ce premier vol réussi marque le début d'un programme de certification
chargé, qui doit emmener le futur long-courrier d'Airbus jusqu'à
l'entrée en service au deuxième semestre 2018. (...) Pour
l'instant, l'A330neo connaît un démarrage relativement tranquille.
L'appareil a engendré 212 commandes fermes de la part de 12 clients
depuis son lancement à Farnborough en juillet 2014. A titre de
comparaison - même si le segment est différent - le Boeing 777X cumule à
326 ventes fermes depuis l'annonce du programme au salon de Dubaï, en
novembre 2013. Alors l'A330neo peut-il connaître un destin
comparable à celui de l'A330, passé du « Mal aimé » à « L'idole » ces
dernières années ? Longtemps dans l'ombre de l'A340, le bimoteur l'a
largement dépassé et s'approche des 1 500 commandes nettes. Il dépasse
ainsi les Boeing 777 (hors 777X) et 787, alors que le 747 n'est plus
qu'à quelques encablures. L'A330 pourrait bientôt devenir l'appareil
long-courrier le plus vendu de l'histoire. (...) C'est sans doute la politique
d'innovation incrémentale d'Airbus qui a favorisé le développement
commercial de l'appareil. Le constructeur européen n'a eu de cesse
d'améliorer les performances de l'A330 tout au long de sa carrière.
Sa
masse maximale au décollage est passée de 212 t lors de son entrée en
service chez Air Inter en 1994, à 230 t en 1998, 233 t en 2003, 235 t en
2012 et enfin 242 t en 2015. Cela s'est largement ressenti sur
l'autonomie de l'A330-300, qui s'est accrue sensiblement.
De 4 000 NM (7
400 km) en 1994, elle atteint désormais 6 350 NM (11 750 km).
Ce qui lui
permet d'effectuer de vols réellement long-courriers sans renier sur sa
charge utile, passagers ou fret. Sans parler de l'A330-200.
L'A330neo s'inscrit dans cette logique. Sa masse maximale au décollage
va avoisiner les 242 t (et 251 t mi-2020). Si ce chiffre comprend le
poids accru des moteurs Trent 7000 par rapport aux Trent 700 et
l'allongement de la voilure, l'avion remotorisé va gagner en performance
par rapport à son prédécesseur. Avec 287 passagers sur 6 550 NM (12 130
km), l'A330-900 vient jouer dans la cour de 787-9. Et pour concurrencer
le Dreamliner, Airbus compte bien mettre en avant des coûts
opérationnels sensiblement équivalents - et même inférieurs de 2 % à en
croire John Leahy, le directeur des ventes de l'avionneur européen et
des coûts d'intégration réduits grâce à la communalité avec les A330
d'ancienne génération. A lui seul, le marché de remplacement des
A330-200/300 suffirait d'ailleurs à faire de l'A330neo une réussite.
Airbus n'en demande pas tant. Il prévoit une cadence de six
appareils produits par mois, là où l'A330 culminait un temps à dix. Les
deux générations d'appareils devraient d'ailleurs se côtoyer quelques
années sur la chaîne d'assemblage. Si on y ajoute les A350 et les A380,
Airbus va pouvoir disputer la place de leader mondial dans les
livraisons d'appareils long-courriers à Boeing, jusque-là indétrônable.
> Les voyageurs davantage contrôlés pour aller aux États-Unis
(source Le Figaro) 26 octobre - A partir de ce jeudi 26 octobre, 180
compagnies aériennes doivent répondre aux nouvelles exigences des
autorités américaines si elles veulent éviter l'interdiction des
ordinateurs portables en cabine. En plus de l'ESTA, ce
formulaire d'autorisation d'entrée aux États-Unis, de la déclaration de
douane à remplir généralement durant le vol, et des différents contrôles
ou autres fouilles à l'aéroport, les milliers de voyageurs qui se
rendent chaque jour par avion aux États-Unis doivent désormais, depuis
ce jeudi 26 octobre, remplir un nouveau questionnaire avant d'embarquer.
Ils peuvent aussi être soumis à une fouille plus poussée. En
tout, 180 compagnies aériennes et 280 aéroports dans 105 pays sont
concernés. En France, plusieurs compagnies aériennes contactées par Le
Figaro ont confirmé qu'à partir de jeudi, elles appliquaient
progressivement ces nouvelles règles, à la demande des autorités
américaines qui avaient exigé, fin juin, de renforcer la sécurité sur
les vols à destination du pays par des contrôles «plus complets» sur les
passagers et des «vérifications accrues» sur leurs appareils
électroniques. Mais les détails de ces nouvelles mesures restent flous.
Ainsi, au départ de l'aéroport d'Orly, où Air France assure un vol
direct quotidien vers New-York, la compagnie va distribuer dès ce jeudi
aux passagers qui se rendent aux États-Unis un questionnaire, qui
devient obligatoire pour embarquer. Dès le jeudi 2 novembre, ce
formulaire sera distribué sur «100% des vols, pour 100% des passagers, y
compris ceux qui sont en transit ou en escale» précise Air France, qui,
a priori, ne compte pas demander à ses clients d'arriver plus tôt.
«Au-delà du questionnaire, on nous demande aussi des mesures de sûreté
supplémentaires autour de l'avion, cabine et soute, avant le départ»,
ajoute-t-on.
(...) En contrepartie de ces contrôles renforcés, Washington a levé
l'interdiction des appareils électroniques à bord des avions en
provenance de dix aéroports du Proche-Orient et d'Afrique du Nord. Une
mesure redoutée par les compagnies aériennes, et bon nombre de
voyageurs. L'administration américaine a toutefois fait savoir qu'elle
pourrait réimposer ces interdictions, au cas par cas, si les compagnies
aériennes et les aéroports n'améliorent pas leur sécurité.
La Presse Boursière...
> Le pétrole porté à l'ouverture à New York par l'espoir d'une baisse de l'offre
(source Prixdubaril com) 30 octobre - "Le pétrole profite de
l'impulsion apportée par le passage vendredi du seuil des 60 dollars
pour le Brent alors que l'Organisation des pays exportateurs de
pétrole (OPEP) multiplie les signaux en faveur d'une extension
de l'accord de limitation de production", a estimé Matt Smith de
ClipperData. Le cartel a conclu fin 2016 un accord avec
d'autres producteurs, parmi lesquels la Russie, pour contenir leurs
extractions afin de limiter l'offre de brut sur le marché mondial et
ainsi tenter de redresser les prix. Une prolongation de cet
accord sera au menu d'une réunion à Vienne fin novembre. "Les
dirigeants saoudiens ne cessent de répéter qu'ils sont en faveur de
l'extension, et les Russes semblent aussi d'accord", a souligné
M. Smith. "Les investisseurs sont en tout cas en majorité positionnés en
faveur d'une augmentation des cours." (...) L'évolution de
l'offre accapare l'attention des marchés actuellement, a observé Stephen
Brennock, analyste chez PVM.
"Les baisses de production de l'OPEP, les tensions géopolitiques
au Proche orient et la pause dans les opérations de forage aux
États-Unis ont dominé les gros titres ces derniers temps",
autant d'éléments de nature à faire grimper les cours de l'or
noir, a poursuivi l'analyste.
Fin de la revue de presse
> Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 13,425 euros en
clôture lundi 30 octobre, en hausse de 1,6% depuis lundi 23 octobre.
La moyenne des objectifs de cours (le consensus) des
analystes pour l'action AF-KLM est de 15,20 euros.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord) est à 60,2$.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
A bientôt.
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| François Robardet
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