N°627, 27 novembre 2017
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La Revue de Presse du lundi...
> Air France va mieux mais sa filiale Hop! reste à la traîne
(source Les Échos) 21 novembre - Retour de la croissance, recettes en
hausse, alliances renforcées et climat social apaisé : en cette fin
d'année 2017, les principaux voyants sont au vert chez Air France. Alors
que le groupe Air France-KLM s'achemine vers des bénéfices record,
l'année devrait se terminer en beauté avec les premiers vols de la
nouvelle compagnie à coûts réduits Joon le 1er décembre et l'annonce
d'une nouvelle coentreprise en Inde avec la compagnie Jet Airways.
Restent toutefois au moins deux ombres au
tableau. La première est le taux de satisfaction des clients d'Air
France - le « net promoter score » (NPS) - qui reste inférieur à celui
des principaux concurrents, comme l'a lui-même reconnu Franck Terner, le
patron d'Air France, lors d'une rencontre ce mardi avec l'association de
la presse aéronautique (AJPAE). « Aujourd'hui, notre NPS se situe entre
27 et 30, contre de 15 à 16 il y a un an, mais nos meilleurs
compétiteurs sont à 40, a-t-il expliqué. Notre objectif est d'atteindre
un score de 60 à 70 quand tout va bien. Mais nous restons pénalisés par
les problèmes de fluidité dans les aéroports. Cet été, nous avons battu
un record avec jusqu'à 1 h 40 d'attente aux postes frontières à Roissy.
Nous attendons encore que les effectifs [de la police des frontières,
NDLR] soient au niveau requis à Roissy, que les sas PARAFE [système de
passage automatisé rapide aux frontières extérieures, NDLR] fonctionnent
normalement et que la reconnaissance faciale, qui aidera à fluidifier,
soit opérationnelle. » Le deuxième point noir est la situation chez Hop! , la filiale
régionale d'Air France, en proie à des difficultés de fonctionnement
suite à la fusion de Brit'Air, Régional et Airlinair et au départ de
nombreux pilotes pour Air France. Entre les retards et les vols annulés,
les réclamations des clients ont bondi de 200 % en 2017. Hop! est aussi
la seule branche d'activité du groupe Air France dont la recette
unitaire est en baisse (de 4,5 % à la fin septembre). « Les problèmes
industriels se régleront sur la durée, prévient Franck Terner. Nous
devons réduire le nombre de types d'avions, mais cela nécessite des
moyens financiers importants et un accord avec les pilotes.
Nous devons
aussi régler le problème, que nous avons créé nous-mêmes,
des départs de
pilotes de Hop! chez Air France. Un accord [d'étalement des départs,
NDLR] est sur la table, mais il doit encore être signé. » En l'état
actuel des choses, de 100 à 140 pilotes de Hop! devraient partir
chez Air France d'ici à 2019 (dont 47 d'ici à mars 2018), sur un
effectif d'environ 850 pilotes. Les décisions sur l'avenir de la flotte de Hop! - types d'avions conservés et nombre de coques - devraient être annoncées
dans le courant du premier trimestre 2018. D'ici là, Franck Terner
espère un accord sur l'étalement des départs, ainsi que sur les
nouvelles règles d'utilisation des pilotes de Hop!. « Sans quoi, nous
appliquerons nos propositions unilatéralement », prévient-il. En
revanche, le débat sur le périmètre de la marque Hop! Air France est
tranché. « Pour tous les vols domestiques, la seule marque est Hop! Air
France », déclare Franck Terner. La filiale low cost Transavia ne
s'étendra donc pas aux liaisons intérieures.
> Pieter Bootsma, Air France KLM : "NDC est une formidable opportunité pour nos clients"
(source Déplacements Pros) 21 novembre - (...) L’ouverture d’un
nouveau canal de distribution directe, en particulier par Air
France/KLM, suscite interrogations, incertitudes voire angoisse de la
part de certains acteurs du voyage d’affaires. (...) Nous avons demandé à Pieter Bootsma, EVP Marketing, Revenue
Management & Network chez Air France-KLM, et à Emmanuelle Gailland, VP
Distribution de la compagnie française de détailler NDC et sa mise en
place chez Air France. (...) Pouvez-vous résumer la vision stratégique que vous avez de la
NDC pour
le voyage d’affaires et les voyageurs ?
(...) C’est tout simplement
une magnifique opportunité d’entrer en contact
direct avec les voyageurs pour leur présenter l’ensemble de notre offre.
Aujourd’hui, ils achètent essentiellement un prix. Cela va plus loin
s’ils connaissent le produit mais si ce n’est pas le cas, la connexion
ne leur fournit pas le détail. Demain, la solution NDC leur permettra de
voir les choses dans le détail, du fauteuil au catering, en business
comme en éco. On va pouvoir enfin parler d’autre chose que du prix.
Par ailleurs et si le client a déjà voyagé avec nous et que nous savons
qu’il apprécie tel ou tel siège, tel ou tel plateau repas, nous pourrons
directement lui proposer ce qu’il apprécie et améliorer son expérience
de vol. On vous soupçonne de vouloir
sélectionner votre offre - et donc votre prix - selon les canaux de
distribution ?
Pieter Bootsma : C’est absolument faux,
la solution
NDC est justement là pour proposer l’intégralité de notre contenu, et
même beaucoup plus dans le détail que nous ne pouvons le faire
aujourd’hui sur les GDS. C’est vraiment du « full content » que nous
proposons via NDC. J'entends dire que lorsque nous évoquons le mot
personnalisation beaucoup pensent « tarif à la tête du client ». C'est
absolument faux. (...) Ce n’est pas nous qui avons choisi la
date du 1er avril, elle correspond à l’échéance de nos contrats avec les
GDS. A compter du 1er avril, nous aurons donc 2 modes de distribution,
un mode NDC et via les GDS, avec paiement de frais de transaction (NDLR
: 11€/tronçon). (...) Aujourd'hui, il est clair que l'attractivité de
NDC se fera à la fois sur les tarifs et sur les services qui sont
associés. (...) Les GDS sont des outils que nous utilisons et qui sont
nécessaires à la distribution globale. (...) Il ne faut d’ailleurs pas
interpréter NDC comme une solution de réduction des coûts, c’est autre
chose. C’est un contact direct avec le voyageur, la présentation d’une
offre complète et détaillée et comme je vous le disais, une opportunité
de valoriser nos produits. Au demeurant, je pense aussi que
c’est une modernisation de la distribution, avec une simplification et
une plus grande transparence pour tout le monde.
Les comparateurs et agrégateurs pourront-ils
toujours jouer leur rôle ?
Emmanuelle Gailland : L’API NDC comprendra
la totalité du produit alors qu’aujourd’hui, les comparateurs ne
comparent que le prix. C'est une confusion qui est souvent faite lorsque
l'on évoque NDC. Les agrégateurs quant à eux vont récupérer la totalité
de notre contenu via l’API et faire le nécessaire pour présenter nos
produits. Aujourd’hui, les SBT (Sales Booking Tools) récupèrent via les GDS, demain ils
récupèreront via l’API et ce sera à eux de faire le nécessaire pour
présenter l’offre comme leurs clients le leur demandent pour répondre à
leur politique voyages. Je ne crois pas qu'il y ait de grands
changements à ce niveau. (...)
> Redevances : la FNAM s'élève contre la proposition d'ADP
(source Air & Cosmos) 24 novembre - Pour la seconde fois,
la
Commission Consultative Economique rassemblant l'ensemble des compagnies
aériennes françaises et étrangères vient de rejeter majoritairement la
proposition tarifaire du Groupe ADP sur les redevances aéroportuaires
concernant les aéroports de Roissy-CDG et Orly pour l'année 2018.
Le groupe ADP proposait une hausse de redevances de 2,125%, soit plus de
deux fois le taux d'inflation. Les opérateurs soulignent que cette
hausse entraîne mécaniquement une hausse de près de 6% du chiffre
d'affaires du groupe ADP. « La hausse du trafic et les
résultats du groupe d'ADP en 2017 auraient dû entraîner une baisse des
redevances de -1,6% au minimum », considèrent la CSTA (Chambre Syndicale
du Transport Aérien) et de la CSAE (Chambre syndicale de l'assistance de
escale), membres de la FNAM (Fédération nationale de l'aviation
marchande) qui représente 95% du transport aérien français.
« Les redevances du groupe ADP, dont le niveau est élevé pour une
qualité de service rendu à peine dans la moyenne européenne, poursuit
inéluctablement une augmentation de ses tarifs. Cela contribue à réduire
le nombre des passagers en correspondance au profit d'autres aéroports
européens et à nuire à l'attractivité de Paris, porte d'entrée de la
France », regrettent la CSTA et la CSAE. « Aujourd'hui, les
charges aéronautiques sont constituées de plus de 20 taxes, redevances
et prélèvements spécifiques au transport aérien. L'accumulation de ces
charges, qui pèsent sur les transporteurs nationaux et leurs clients,
entraîne une perte de compétitivité du pavillon français ».
> Level, la filiale low-cost long-courrier d'IAG à Orly cet été ?
(source La Tribune) 23 novembre - Six mois après son lancement au
départ de Barcelone, Level, la compagnie à bas coûts long-courrier du
groupe IAG - lequel est également composé de British Airways, Iberia,
Aer Lingus et Vueling - prépare son arrivée à Paris l'été prochain.
Ce n'est pas une surprise. En juin dernier, lors du premier vol de
Level, Willie Walsh, le directeur général d’IAG, avait en effet cité
Paris comme l'une des priorités pour le développement de Level, dont la
vocation est d'être une compagnie paneuropéenne. (...) Selon deux sources concordantes,
Level
devrait débarquer à Orly et utiliser une partie des créneaux horaires de
décollages et d'atterrissages d'OpenSkies, une filiale française de
British Airways, qui assure trois vols par jours entre Paris et New
York. Selon les mêmes sources, l'idée d’IAG serait même d'utiliser le
certificat de transport aérien français d'OpenSkies. Plusieurs noms de
destinations circulent pour le démarrage des opérations. Notamment
Pointe-à-Pitre et le Canada. Pour le groupe IAG, Level est une
réponse au développement très rapide de la low-cost long-courrier
Norwegian sur les routes transatlantiques au départ de plusieurs villes
européennes, dont Barcelone et Paris. La stratégie d'IAG diffère donc de
celle d'Air France-KLM, qui reste toujours très sceptique à l'égard du
low-cost long-courrier. Le groupe français s'apprête en effet à lancer
Joon début décembre, une filiale d'Air France, qui, comme l'a rappelé
mardi Franck Terner, le directeur général d'Air France, n'est pas une
low-cost, même si ses coûts seront inférieurs à ceux d'Air France.
Level opère des A330-300 et comptait en juin dernier en exploiter 5 en
2018. Willie Walsh table à terme sur une flotte de 30 appareils
long-courriers.
> Aérien : série noire pour les compagnies low cost historiques
(source Le Monde Économie) 22 novembre - Les compagnies à bas coûts
historiques auraient-elles mangé leur pain blanc ? Depuis la rentrée,
elles vivent une véritable série noire. La première, Ryanair, championne
européenne des compagnies low cost, a été obligée d’annuler des milliers
de vols, plusieurs centaines de ses pilotes étant partis vers des cieux
plus cléments. C’est désormais au tour d’easyJet, l’autre star
des compagnies low cost, d’entrer dans une zone de turbulences. Elle
a
annoncé, mardi 21 novembre, à l’occasion de la publication de
ses
résultats annuels, une chute brutale de son bénéfice net. Un recul de 30
%, à taux de change constant. Un contrecoup du Brexit. D’octobre 2016 à
septembre 2017, easyJet a dégagé « seulement »
343 millions d’euros.
Les dirigeants de la compagnie britannique s’emploient à
relativiser ce repli d’ampleur.(...) Elle a souffert d’un
« effet de ciseaux », détaille Stéphane Albernhe, président du cabinet
de conseil Archery Strategy Consulting (ACS). Elle a dû régler le prix
de son kérosène, un tiers de ses coûts, avec une livre qui a perdu 15 %
face au dollar. « Globalement, cela a impacté son coût d’exploitation »,
pointe M. Albernhe. (...) Les fondamentaux de la
compagnie semblent solides. Lors de son dernier exercice, easyJet a
transporté un nombre record de passagers : 80,2 millions en un an soit
une hausse de 9,7 %. Dans le même temps, elle a amélioré son taux de
remplissage qui culmine à 92,6 % contre 91,6 % un an plus tôt. (...) Si quelques petits rivaux auxquels s’ajoute Alitalia ont dû
récemment renoncer, la concurrence s’avive à l’encontre des low cost
historiques. Après avoir longtemps méprisé le segment du moyen-courrier
à bas coûts, les compagnies régulières européennes comme Air France-KLM,
British Airways et Lufthansa s’y jettent depuis quelques années à corps
perdu. Transavia, la filiale d’Air France, monte en puissance chaque
année. Après avoir racheté Vueling, IAG, maison mère de British Airways,
a lancé, au printemps, Level une nouvelle compagnie à bas coûts.
De son côté, Lufthansa pousse les feux de ses deux filiales, Germanwings
et Eurowings. De plus petits acteurs s’emploient à grignoter des parts
de marché. A l’instar de l’islandaise Wow Air, de la hongroise Wiz Air
ou de la scandinave Norwegian. Cette intensification de la
concurrence sonne la fin de « l’âge d’or » des low cost, signale M.
Albernhe. Il aura duré une quinzaine d’années pendant lesquelles, les
Ryanair et autres easyJet ont fait leur miel avec les « touristes
occasionnels », décrit le patron d’ACS. Des flots de passagers
constitués en majorité de retraités et d’étudiants « très sensibles au
prix des billets, mais sans trop de contraintes de temps ». En moins de
vingt ans, les compagnies à bas coûts ont conquis près de 47 % de part
de marché du ciel européen (mais seulement 30 % du ciel français).
Cette époque est révolue. Toutes les
grandes compagnies européennes sont aujourd’hui flanquées d’une
flottille de filiales à bas coûts. Surtout, détaille un cadre dirigeant
d’une grande compagnie, « elles ont copié leur politique tarifaire sur
celles des low cost ». EasyJet a senti le vent tourner. Sous la houlette
de Carolyn McCall, la compagnie britannique a entrepris une « montée en
gamme tout en gardant les mêmes coûts », renchérit le président du
cabinet de conseil. « Le positionnement basé sur le plus bas prix n’est
plus suffisant » pour attirer le chaland, reconnaît M. Bacchetta. Depuis quelques années,
easyJet drague la clientèle affaires, la
plus rémunératrice. Notamment en offrant un grand panel d’options aux
passagers. Mais surtout, elle accentue ses ouvertures de lignes et
augmente ses fréquences. Une démarche payante. La clientèle affaires
« représente 20 % des passagers d’easyJet et même 24 % en France », se
frotte les mains M. Bacchetta. Sa part s’accroît d’un point par an. Une
progression dopée « parce que la compagnie a fait très tôt le choix de
s’installer dans les aéroports principaux », explique le directeur
général. « Aujourd’hui, 60 % du CAC 40 travaille avec easyJet »,
se flatte-t-il. Tout le contraire de sa rivale Ryanair qui a préféré les
plates-formes secondaires peu prisées des hommes d’affaires. Un choix
qui a fait longtemps son succès : l’irlandaise est devenue la plus
profitable d’Europe avec une rentabilité moyenne d’environ 25 %, contre
5 % à 10 % pour les compagnies régulières. A en croire, le
patron d’ACS, l’avenir pourrait être radieux pour easyJet : « Elle a
tout compris. Elle est stratégiquement très bien orientée, mais cela ne
se verra pas tout de suite dans ses comptes. » EasyJet semble même
s’éloigner de ses racines low cost. Pour devenir une compagnie hybride
mi-low cost, mi-régulière. Elle a ainsi débuté un rapprochement avec
Norwegian pour offrir à ses passagers l’accès à des destinations
long-courrier. En revanche, M. Albernhe se dit « très inquiet pour
Ryanair », qui serait « allée trop loin dans le low cost ».
Son
positionnement de « Lidl du transport aérien » plairait de moins en
moins aux passagers.
> Comment Qatar Airways veut surmonter la crise du Golfe
(source Tourmag) 20 novembre - Arrivée récemment à la direction
France et Bénélux de la compagnie qatarienne, Morena Bronzetti l'affirme
: les projets de développement de Qatar Airways vont permettre de
surmonter les pertes engendrées par la crise diplomatique avec ses
voisins du Golfe, entamée il y a bientôt 6 mois. "C'est une
nouvelle réalité, c'est comme ça", résume Morena Bronzetti, à la tête
des bureaux France et Bénélux de Qatar Airways. Depuis le 5 juin
2017, la compagnie a suspendu tous ses vols vers l'Arabie Saoudite, les
Emirats-Arabes-Unis, le Bahreïn et l'Egypte, "frères ennemis" du Qatar
qui l'accusent de soutenir des groupes intégristes islamistes et d'être
trop proche de l'Iran. (...) "On a dû
réagir très vite. Ce que la compagnie a fait, c'est
d'abord d'utiliser les avions qu'on ne pouvait plus faire voler sur les
pays en questions pour augmenter les capacités à des points clefs là où
nous pouvions toujours opérer". (...) "Dans un second temps,
nous avons accéléré notre stratégie d'expansion du réseau, en ouvrant
plus vite de nouvelles destinations", résume la dirigeante. "Nous
n'avons pas le choix : il faut compenser ce qu'on a perdu sur le Golfe
par de nouveaux marchés". Le planning des prochaines ouvertures
de Qatar Airways, le prouve : sur 2017/2018, 26 ouvertures sont
programmées.
(...) Sur le marché
français, deux projets importants ont marqué les premiers mois de la
nouvelle dirigeante, qui travaille chez Qatar Airways depuis une
douzaine d'années. L'ouverture de Nice, d'abord, le 4 juillet
dernier, à raison de 5 vols hebdomadaires. "La ligne démarre très bien,
et nous sommes très satisfaits des débuts", explique Mme Bronzetti, sans
toutefois révéler de chiffres. Le déploiement ensuite de la
luxueuse nouvelle classe affaires, la Qsuite, sur Paris, le 23 septembre
dernier.(...) Et pour la suite ? Interrogée sur une ouverture
possible sur Lyon, la dirigeante reste évasive. "On regarde toujours, on
discute, bien sûr". Avant d'ajouter, en guise de conclusion : "notre
politique d'expansion s'intéresse bien sûr à la France, un marché
extrêmement important pour Qatar Airways, le second en Europe après le
Royaume-Uni. On ne va pas s'arrêter là".
Fin de la revue de presse
> Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 11,62 euros en
clôture lundi 27 novembre, en hausse de 1,6% depuis lundi 20 novembre.
La moyenne des objectifs de cours (le consensus) des
analystes pour l'action AF-KLM baisse légèrement à 15,11 euros.
Exane BNP Paribas abaisse son objectif à 13 euros au lieu de 15 euros
Le baril de pétrole Brent (mer du nord) passe de 63$ à 64$.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
A bientôt.
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| François Robardet
Administrateur Air France-KLM représentant les
salariés actionnaires PS et PNC
Lettre rédigée avec la collaboration de Christian
Magne
Cette revue de presse traite de sujets
liés à l'actionnariat d'Air France-KLM.
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