N°633, 8 janvier 2018
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La Revue de Presse du lundi ...
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Menaces de grève le 11 janvier à Air France
(source Déplacements Pros) 5 janvier - L'ensemble des syndicats de
pilotes d'Air France a déposé jeudi un préavis de grève pour le 11
janvier. Le motif : "non-respect des prérogatives du commandant de bord
en matière de sécurité des vols". En filigrane se profile la possibilité
pour un commandant de bord de choisir la composition de son équipage.
L'affaire est plutôt simple sur le papier. Le mardi 2 janvier, un
commandant de bord s'aperçoit que le chef de cabine de son équipage est
remplacé par un steward. Il refuse de décoller dans ces conditions, et
la compagnie le remplace sur le vol. Dans le communiqué commun
publié sur leur site, les trois syndicats de pilotes d’Air France
– SNPL, Spaf et Alter – menacent leur direction d’appeler à la grève le
11 janvier s’ils n’obtiennent pas satisfaction. En remplaçant "contre
son gré" ce commandant de bord, la direction "a choisi, de manière
inédite, de piétiner cette règle fondamentale", qui confie "au
commandant de bord exécutant un vol, la responsabilité de la mission".
Elle "bafoue les dispositions du Code des transports et du Code de
l’aviation civile relatives aux prérogatives des commandants de bord",
estiment les syndicats. Les pilotes "ne sauraient accepter
d’exercer leur métier sous la pression d’un management qui fait passer
les questions de rentabilité loin devant la sécurité des passagers, des
membres d’équipage et des aéronefs", soulignent les syndicats. Ils
demandent aussi que soient modifiées des "dispositions litigieuses" du
manuel d’exploitation d’Air France qui pourraient donner lieu à des
"interprétations" concernant ces prérogatives. Si "aucune réponse
satisfaisante" n’est apportée, les trois syndicats "appelleront les
pilotes à cesser le travail" le 11 janvier. Dans un communiqué
publié ce vendredi 5 janvier, la compagnie Air France affirme qu'elle
"s’assure en permanence que la composition des équipages soit
réglementaire et conforme au manuel d’exploitation de la compagnie
approuvé par la DGAC". Elle souligne que les personnels "faisant
fonction" de chef de cabine "ont tous reçu une formation, approuvée par
l’Autorité, qui leur permet d’accomplir leur mission comme n’importe
quel chef de cabine nommé" et remarque que "Ce dispositif est totalement
conforme à la réglementation. Il est mis en œuvre dans des situations
d’aléas d’exploitation exceptionnels, telles que l’absence pour maladie,
afin d’éviter l’annulation d’un vol à chaud et les désagréments pour les
clients". La direction d’Air France se tient à la disposition
des syndicats de pilotes pour échanger et répondre aux questions sur
cette situation.
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British Airways se renforce à Gatwick
(source L’Aérien) 4 janvier - Si le groupe IAG exclut pour le moment
d’installer sa low-cost long-courrier LEVEL à l’aéroport de
Londres-Gatwick, une autre filiale du groupe, British Airways, s’y
développe. La compagnie aérienne britannique augmente de 15% le nombre
de ses vols l’été prochain grâce à l’acquisition des créneaux horaires
de Monarch Airlines qui a cessé ses opérations à l’automne.
(...) Le nombre de créneaux horaires
acquis auprès des administrateurs de Monarch Airlines, et le montant de
l’acquisition, n’ont pas été dévoilés par British Airways ou sa maison
mère International Airlines Group (IAG). La presse britannique a parlé
“d’au moins 50 millions de livres” (56,1 millions d’euros).
(...)
Selon Alex Cruz, le directeur général de British Airways, le nombre de passagers transportés à Gatwick par la
compagnie a augmenté de 40% en cinq ans, passant de 4,4 millions à 6,2
millions annuellement. “Nous avons également augmenté de plus de 50% le
nombre de routes que nous desservons. En 2012, nous volions vers 48
destinations différentes, alors que nous en desservons 74 aujourd’hui.
Cela souligne sans aucun doute notre engagement et notre volonté de
développer notre activité à Gatwick”, ajoute le dirigeant de British
Airways. (...)
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IAG a transporté davantage de passagers en 2017
(source AFP) 4 janvier - (...) Quelque 104,8
millions de passagers, soit 4,1% de plus sur un an, ont pris des vols de
l'une des quatre compagnies d'IAG - constitué de la britannique British
Airways, de l'irlandaise Aer Lingus et des espagnoles Iberia et Vueling.
Plus de la moitié (56,2 millions) de ces passagers ont emprunté des
vols intra-européens et près d'un quart (24,4 millions) des liaisons
domestiques au sein du Royaume-Uni, de l'Espagne, de l'Irlande et de
l'Italie. Les autres clients ont pris des vols en Amérique du
nord, destination vers laquelle British Airways et Aer Lingus sont
actives et, à un degré moindre, vers les Antilles et l'Amerique du sud,
où Iberia est présente. Aer Lingus, acquise par IAG en 2015,
a
connu de loin la hausse la plus importante de ses passagers-kilomètres
payants (+11,6%), un indicateur clé du secteur qui correspond au nombre
total de kilomètres parcourus par l'ensemble des passagers payants.
Iberia (+7,6%) et la compagnie à bas coût Vueling (+3,8%) ont enregistré
des hausses plus modérées de cet indicateur, British Airways, la plus
grosse des quatre, fermant la marche (+1,5%). (...)
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EasyJet a transporté 81,6 millions de passagers en 2017, un record
(source AFP) 5 janvier - La compagnie aérienne britannique à bas
coûts EasyJet a annoncé (...) avoir transporté 81,6 millions de
passagers en 2017, soit un nouveau record et une hausse de 9,6% par
rapport à l'année précédente. (...)
EasyJet a bénéficié d'un
taux de remplissage de ses avions en amélioration, à 93% fin décembre,
contre 91,5% un an plus tôt, selon un communiqué. Il a dans le même
temps augmenté ses capacités de 7,8%. La compagnie compte poursuivre sur sa
lancée en 2018 et prévoit de transporter environ 90 millions de
passagers, ce qui constituerait un nouveau record. Elle va
s'appuyer en particulier sur le rachat validé en décembre de certains
actifs de la compagnie insolvable Air Berlin, avec 25 Airbus A320 sur
l'aéroport berlinois de Tegel, ainsi que les liaisons court-courrier
correspondantes. EasyJet va par ailleurs augmenter sa capacité
de 7% en France, où elle est la deuxième compagnie derrière Air France,
avec 15 nouvelles destinations. (...)
EasyJet s'est également activée pour se préparer
au Brexit, prévu en mars 2019 (...). Basée à Luton dans le nord de Londres, EasyJet a
annoncé en juillet la création d'une nouvelle compagnie, EasyJet Europe,
qui sera installée à Vienne et permettra à l'entreprise britannique de
continuer de voler sans entrave dans l'Union européenne quelle que soit
l'issue des négociations entre Londres et Bruxelles.
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Ryanair : pas de hausse record en 2017
(source Déplacements Pro) 7 janvier - Ryanair a transporté 129
millions de clients en 2017. Cela représente une hausse de 10% par
rapport à l'année précédente. Sur le mois de décembre, la compagnie à
bas coût irlandaise a vu son trafic passagers grimper de 3% pour
atteindre 9,3 millions de personnes. Le taux de remplissage a progressé
pour sa part d'un point à 95%. Si ces performances sont tout à
fait honorables et supérieures à bien d'autres transporteurs, elles
semblent toutefois modestes par rapport aux chiffres de 2016. Cette
année-là, la compagnie affichait une croissance annuelle de +15% et de
+20% pour le mois de décembre. Ryanair – habituée des hausses records –
n'a pas renouvelé l'exploit en 2017 en raison principalement de
l’annulation de milliers de vols
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Ryanair : le titre en hausse après une demande de licence AOC
(source Cercle Finance) 3 janvier - Les conséquences aéronautiques du
vote du 'Brexit' demeurant floues, Ryanair préfère parer à toute
éventualité... (...) Un porte-parole de
la compagnie aérienne lowcost a en effet indiqué que cette dernière
cherche à obtenir une licence 'AOC' ('Air Operator's Certificate)
outre-Manche, dans l'hypothèse d'un Brexit 'dur', a rapporté Skynews.
Une demande a été déposée en ce sens le 21 décembre dernier
auprès de la CAA, l'autorité britannique de l'aviation civile, afin de
pouvoir pérenniser 3 liaisons aériennes après le 'Brexit', lequel doit
entrer en vigueur fin mars 2019. Ces lignes représentent moins de 2% des
revenus globaux de Ryanair.
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2017, année la plus sûre pour le transport aérien
(source Le Journal de l'Aviation) 2 janvier - L'année 2017 a été la
plus sûre pour le transport aérien mondial depuis 1946 et
l'établissement de statistiques sur les accidents d'avions, ont indiqué
deux agences spécialisées dans ce type de catastrophes dans leurs
rapports publiés lundi. Avec un total de dix accidents
impliquant des avions de transport de passagers, qui ont fait 44 morts,
2017 "est l'année la plus sûre de tous les temps tant par le nombre
d'accidents qu'en termes de victimes", indique l'ASN sur son site,
rappelant qu'en 2016 il y avait eu un total de 16 accidents pour 303
victimes. (...) Aviation Safety Network fait partie de la Flight
Safety Foundation (Fondation pour la sécurité du transport aérien), une
association à but non lucratif qui depuis 1947 œuvre à l'amélioration de
la sécurité du transport aérien. Les statistiques de l'ASN
publiées lundi ne concernent toutefois que les appareils commerciaux
civils de transport de passagers et de fret homologués pour transporter
au moins 14 passagers ou plus. L'accident du 7 juin dernier impliquant
un avion de transport militaire de l'armée birmane qui a fait 122 morts
n'est ainsi pas inclus dans ces statistiques. L'avion reste donc
le moyen de transport le plus sûr (...). Cinq
des accidents recensés concernaient des avions de transport de fret et
cinq des avions de transport de passagers. (...) Si l'ensemble des accidents
incluant les appareils militaires et les vols non commerciaux sont pris
en compte, le nombre de victimes grimpe à 230 avec un total de 24
accidents, (...) ce qui en fait toujours l'année
la plus sûre dans l'histoire de l'aviation, selon ASN. (...)
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L'Airbus A321neo ACF est fin prêt
(source Journal de l’Aviation) 5 janvier - Le monocouloir le plus
capacitaire de la famille A320neo d'Airbus évolue déjà. Moins de deux
ans après le vol inaugural de l'A321neo, le premier exemplaire d'une
nouvelle version de l'appareil baptisée ACF (Airbus Cabin Flex) vient
d'effectuer son roll-out à Hambourg Finkenwerder. (...) Les premiers essais en vol sont programmés pour le mois
prochain, avec une première livraison attendue mi-2018.
Cette
nouvelle configuration, aujourd'hui optionnelle mais qui deviendra
standard à partir de 2020, permet d'optimiser la cabine de l'A321neo
grâce à la modification et au déplacement des différentes portes
intermédiaires situées le long du fuselage. (...)
C'est grâce à la configuration ACF que
l'A321neo pourra
voir sa capacité maximale portée à 240 sièges, en respectant la
réglementation relative à la limitation du nombre de passagers par issue
de secours. L'A321neo ACF permettra ainsi d'afficher un gain en
consommation carburant de l'ordre de 6% par passager par rapport à une
configuration standard monoclasse de 220 sièges. En configuration très
dense, la capacité maximale de l'A321neo atteint aussi pour la première
fois celle du Boeing 757-200. La configuration ACF de l'A321neo
sera par ailleurs la base de l'A321LR, la future version à long rayon
d'action de l'appareil (4000 nautiques - 7400km) attendue à partir de
l'année prochaine. L'appareil qui vient de sortir d'usine aujourd'hui à
Hambourg arbore d'ailleurs une livrée spéciale vantant ses capacités
transatlantiques. La configuration Cabin Flex de l'A321neo vient
répondre à deux objectifs : d'une part à un besoin en confort accru pour
les passagers voyageant en classe à haute contribution - d'ailleurs
directement lié à l'augmentation du rayon d'action de l'appareil -
et
d'autre part à la tendance générale des compagnies aériennes à vouloir
densifier leur classe économique, par exemple pour les transporteurs
low-cost. (...)
Airbus a ainsi identifié différents aménagements types utilisant la
configuration ACF. Le premier est un aménagement spacieux de 165 sièges
avec une classe affaires équipée de flat bed à l'avant et d'une cabine
économique disposant de rangées plus espacées au centre (...), particulièrement tournée vers le long courrier (...). Le deuxième aménagement est plus classique avec
une cabine biclasse de 195 sièges. (...) Enfin (...) l'aménagement monoclasse à 240 sièges (...) qui nécessite des sièges de type slim seats espacés au pas de 28
pouces, est rendu possible par le réaménagement des cuisines à l'arrière
(galley space-flex) et par l'adoption de monuments réduits comme les
toilettes Smart-Lav. (...)
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Pourquoi la privatisation d'Aéroports de Paris est une fausse bonne idée
(source Challenges) 4 janvier - Le gouvernement envisage de
privatiser Aéroports de Paris (ADP) qui possède et exploite les
principaux aéroports de la région parisienne, dont Roissy Charles de
Gaulle (CDG), Orly et Le Bourget. L'Etat possède actuellement
50,6 % des parts d'ADP. La somme dégagée par cette vente (en
août sa participation était valorisée à 7,3 milliards d'euros)
servirait à abonder un nouveau fonds consacré à l'innovation. (...) Mais
cette opération de cession pourrait se révéler être une assez mauvaise
affaire pour l'Etat, Air France et mêmes pour les passagers. Analyse de
François Ecalle, spécialiste des finances publiques.
Challenges : Aéroports de Paris est-elle une entreprise rentable pour
l'Etat ?
François Ecalle : C'est une des entreprises publiques dont
la situation financière est la meilleure. En 2016, le chiffre
d'affaires du groupe ADP s'est élevé à 2,9 milliards d'euros, son
résultat net à 435 millions d'euros. (...) Les dividendes versés
en 2016 par ADP sur ses résultats de 2015 se sont élevés à 258 millions
d'euros, dont la moitié pour l'Etat. (...) Le résultat d'ADP et
donc ses dividendes pourraient beaucoup augmenter à l'avenir: ADP
envisage une augmentation significative de son trafic aérien (+1,7 à
2,2% à l'horizon de 2020). Surtout, les activités
immobilières et de location ou gestion de commerces et services ont un
fort potentiel de développement. Jusqu'à il y a une dizaine
d'années, ADP se préoccupait beaucoup plus de la qualité architecturale
des terminaux que de leur optimisation commerciale. Il prévoit
maintenant que le chiffre d'affaires des services et commerces passera
de 18 à 23€ par passager de 2016 à 2020. ADP dispose en outre de
360 hectares de réserves foncières dédiées à ses activités immobilières.
Vous affirmez que les intérêts financiers de l'Etat sont
contradictoires à ceux d'Air France et des passagers d'ADP. Pourquoi ? Pour que l'Etat puisse vendre
ADP à un très bon prix, il faut qu'il puisse faire espérer au futur
acquéreur privé des résultats en croissance. Or pour ça, il faudrait que
l'Etat dérégule les redevances aéroportuaires qu'il fixe aux compagnies
aériennes et aux passagers. Et si l'Etat acceptait de monter ces taxes,
la compagnie nationale Air France pourrait en souffrir. Quasiment tout
son trafic passe par les aéroports parisiens ! Finalement l'Etat
est dans une situation compliquée. Soit il continue à réguler
l'augmentation des redevances, et il risque de faire une mauvaise
opération et vendre à prix bas, soit il lâche du lest mais ce sont les
passagers et Air France qui risquent de souffrir.
Quels sont les scénarios envisageables pour la cession d'ADP ? En théorie, l'Etat
devrait commencer par fixer l'évolution des prix d'ADP, ainsi que des
objectifs de qualité de service sur une durée infinie, puis procéder à
un appel d'offres et retenir le candidat qui propose d'acheter ses
actions au meilleur prix. Comme l'hypothèse d'un cahier des charges sur
une durée infinie est absurde, il faudrait donc que ces aéroports
fassent l'objet d'une concession. Dans ces conditions, il est à craindre
que le futur exploitant des aéroports de Paris dégrade la qualité de
services sans être pénalisé ou profite des nouveaux besoins de l'Etat
pour obtenir un relèvement des prix (NDLR : à l'instar des sociétés
d'autoroute)
Pour limiter ces risques, la durée de la concession devrait être courte,
mais la construction d'installations aéroportuaires prend de nombreuses
années et le concessionnaire doit ensuite pouvoir les rentabiliser sur
une longue période, ce qui milite au contraire pour une concession de
longue durée. Finalement, il sera très difficile en pratique de définir
une procédure de privatisation et un cahier des charges du futur
exploitant des aéroports de Paris qui assurent à l'Etat une recette
suffisante sans pénaliser les clients de ces aéroports. Il
existe certes de grands aéroports privés en Europe, contrairement aux
Etats-Unis, mais il n'est pas certain que leur privatisation ait permis
aux Etats concernés de réaliser une bonne opération financière tout en
garantissant des prix bas et une qualité élevée à leurs clients.
La Presse Boursière...
Fin de la revue de presse
Spécial Election 2018 : je suis candidat
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Élection du représentant des salariés et anciens
salariés actionnaires PS/PNC d'Air France-KLM
Le processus électoral pour désigner les deux prochains représentants
des salariés et anciens salariés actionnaires d'Air France-KLM,
un pour les pilotes et un pour les personnels sol et PNC, a démarré
avec la réception du matériel de vote
vendredi 5 janvier.
Je suis candidat. Vous pourrez trouver ma profession de foi sur le site navigaction
Qui peut voter ? Les salariés (et anciens salariés) actionnaires
qui
détiennent en direct des actions Air France KLM issues des opérations
ORS ou ESA, gérées au nominatif par la Société Générale, ou des parts
dans un ou plusieurs Fonds Communs de Placement spécifiques au groupe
Air France (Concorde, Majoractions, Aeropelican). Chacun votera dans le
collège auquel il appartient (Pilote ou PS/PNC). Vous pourrez voter par Internet
à partir du
vendredi 12 janvier 2018 17h00.
L'adresse du site de vote en ligne est : electionsarsa2018.alphavote-avex.com
Si vous êtes
concerné et n'avez pas reçu de courrier comportant vos codes de vote,
vous pouvez contacter le support au 0800 10 12 30 (24h/24 et 7j/7) pour
demander qu’un réassort d'identifiants vous soit adressé.
J'espère avoir répondu à vos attentes en tant que représentant des
salariés et anciens salariés actionnaires et je compte à nouveau
sur votre soutien.
> Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 14,30 euros en
clôture
lundi 8 janvier, en progression de 5% depuis
son dernier cours de 2017 (13,58 euros).
La moyenne des objectifs de cours (le consensus) des
analystes pour l'action AF-KLM est à 14,91 euros, proche de
son cours actuel.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord) est à 68$.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
A bientôt.
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François Robardet
Administrateur Air France-KLM représentant les
salariés actionnaires PS et PNC
Lettre rédigée avec la collaboration de Christian
Magne
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