N°645, 2 avril 2018
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La Revue de Presse du lundi ...
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Air France : les syndicats annoncent deux jours de grève supplémentaires
(source Les Echos) 2 avril - Alors qu'Air France va connaître
ce mardi son quatrième jour de grève en dix semaines et
qu'une nouvelle journée de grève est prévue samedi 7 avril, les
dix syndicats à l'origine de mouvement ont
encore augmenté la pression, en déposant ce dimanche,
un nouveau préavis pour les 10 et 11 avril. Et cette fois
encore, les trois syndicats de pilotes apparaissent en pointe du
mouvement, laissant augurer de nouvelles fortes perturbations.
(...) Malgré trois réunions la semaine dernière avec la
direction, les trois syndicats de pilotes, au premier rang desquelles le
tout-puissant SNPL AF, ont rejeté la proposition de la direction de
négocier des hausses de salaires en contrepartie de nouvelles
concessions sur le périmètre de la compagnie et le développement de sa
filiale low-cost Transavia France. Selon nos informations, la
direction d'Air France justifierait ce donnant-donnant par la nécessité
de financer les revendications salariales des pilotes qui, en ajoutant
différentes mesures spécifiques, iraient bien au-delà des 6 % de hausse
générale réclamée par l'intersyndicale. L'objectif de la direction d'Air
France serait de monnayer ces hausses de salaires - qui dépasseraient
10 % en moyenne pour les pilotes - contre un nouvel accord avec le
SNPL AF permettant de poursuivre sa croissance au-delà du plafond actuel
fixé à 40 appareils et au départ de nouvelles bases de province.
Cette approche n'est pas sans rappeler le compromis intervenu
chez Lufthansa, où à l'issue d'une longue grève perlée, la direction
avait fini par accorder à ses pilotes près de 10 % d'augmentation, en
contrepartie d'un accord sur le développement de sa filiale low-cost
Eurowings. Mais sans rejeter la possibilité d'un tel accord,
les syndicats de pilotes d'Air France conditionnent l'ouverture de
négociations sur ces sujets à un accord préalable sur la revendication
principale de l'intersyndicale. A savoir une hausse de 6 % des salaires
de tous les salariés d'Air France.
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Frais GDS : Air France et Amadeus ont signé un accord
(source Déplacements Pros) 30 mars - On savait que les négociations allaient
bon train entre Amadeus et Air France pour trouver un accord autour des
frais GDS que le transporteur franco-néerlandais souhaitait facturer dès
ce 1er avril. C'est chose faite. (...) Si l’on
sait que le GDS a consenti quelques avantages tarifaires, il se dit
aussi qu’Amadeus a surtout voulu préserver l’avenir en rendant plus
pérenne la relation globale avec Air France. Le communiqué
officiel précise que "Cet accord permettra aux clients d’Amadeus ayant
un contrat avec Air France-KLM d’accéder, grâce à Amadeus, à un canal
privé permettant de recevoir du contenu sans la surcharge de
distribution additionnelle qu’Air France-KLM prélèvera à partir du 1er
avril 2018. Cet accord est aussi une transition vers l’intégration
par Amadeus de l’API d’Air France-KLM basée sur la New Distribution
Capability (« NDC »). Il définit le cadre d’une solution durable et à
long terme qui convient aux clients d’Amadeus pour une distribution
compatible avec la NDC". (...) Bon nombre d'accords signés cette semaine
avec les agences (les Entreprises du Voyage, le réseau Selectour /Havas
notamment) étaient conditionnés par cette entente entre le GDS et le
groupe Air France.
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Tunisair signe avec AFI KLM E&M pour ses moteurs CFM56
(source Air Journal) 30 mars - La compagnie aérienne Tunisair a signé
un nouveau contrat de support moteurs avec AFI KLM E&M, portant sur la
maintenance des moteurs CFM56-5A, -5B et -7B. La réparation de quatre
réacteurs -5A a déjà commencé en prévision du programme estival de la
compagnie tunisienne. (...) Le contrat porte sur les CFM56-5A, CFM56-5B et CFM56-7B
équipant les seize Airbus A320, quatre A319 et sept Boeing 737 de la
flotte basée à l’aéroport de Tunis-Carthage.
(...) Avec ce contrat, c’est un nouveau
chapitre qui s’ouvre dans la longue histoire des relations de confiance
établies entre Tunisair et Air France et, plus globalement, dans celle
des étroites coopérations franco-tunisiennes. Directeur commercial d’AFI
KLM E&M, Fabrice Defrance a commenté dans un communiqué : « nous sommes
très heureux de la confiance que nous accorde Tunisair. Le fait d’être
le seul MRO à intervenir en même temps sur ces trois types de moteurs
est une belle reconnaissance de notre expertise et de la compétitivité
de nos offres. (...) ».
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Schiphol privé de nouvelles connexions
(source De Telegraaf, traduit avec Deepl com) 30 mars - Les Pays-Bas
seront privés de nouvelles connexions avec d'autres centres économiques
dans le monde en raison de la limitation des vols à Schiphol.
(...) Schiphol, les syndicats et
l'organisation patronale VNO-NCW réclament une augmentation de la
capacité de l'aéroport. Ils sont " déconcertés " par le fait que
Schiphol va être saturé. La raison du cri de cœur
est le report de
l'ouverture de l'aéroport de Lelystad, qui prendrait des vols de
l'aéroport national. "Nous manquons déjà de destinations pour
les Pays-Bas ", déclare Pieter Elbers, directeur de KLM. "Ce n'est pas
seulement un verrou sur le développement du réseau KLM, mais la
joint-venture avec Delta et nos partenaires chinois et indiens ne peut
pas non plus être étendue". (...) "Nous devons donc
examiner très attentivement comment nous pouvons continuer à faciliter
la croissance de manière responsable maintenant que Lelystad a ralenti.
Si nous perdons la fonction de hub de Schiphol, ce sera pour de
bon. Nous ne devons pas mettre cela en danger", déclare Hans de Boer,
président de l'organisation des employeurs VNO-NCW. Grâce aux
"hubs", les Pays-Bas disposent d'un vaste réseau de destinations
intercontinentales. (...) "Nos pays voisins seront heureux d'accueillir les passagers
et le fret aérien néerlandais", déclare le secteur dans une pétition.
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La coentreprise Delta Air Lines – Korean Air approuvée
(source Air Journal) 30 mars - Les compagnies aériennes Delta Air Lines et Korean Air ont annoncé le lancement d’une « joint venture de
classe mondiale », qui offrira à leurs clients des avantages
supplémentaires dans l’un des réseaux de transport les plus complets du
marché transpacifique. La coentreprise annoncée en mars
2017 a été approuvée par les autorités de règlementation des États-Unis
et de la Corée du Sud, y compris le ministère des Transports des
États-Unis et le ministère coréen du Territoire, de l’Infrastructure et
des Transports, a précisé Delta dans un communiqué du 28 mars 2018.
(...) Ayant acquis depuis 2002 une immunité antitrust aux Etats-Unis, les deux
partenaires de l’alliance SkyTeam avaient signé un protocole d’accord en
juin 2016, puis un mois plus tard déposé officiellement les documents
auprès des autorités sur chaque rive du Pacifique. Alors que Delta Air Lines a développé de longue date des coentreprises transatlantiques,
avec Air France-KLM et Alitalia d’une part et avec Virgin Atlantic (dont
elle est actionnaire) d’autre part, elle ne disposait d’aucun accord de
ce type depuis la Côte Ouest – contrairement à ses rivales : American
Airlines et Japan Airlines chez Oneworld, United Airlines et ANA chez
Star Alliance. On note dans cette dernière alliance l’absence d’Asiana
Airlines, sud-coréenne elle aussi et qui pourrait être tentée par
l’aventure si Korean Air réussit son coup.
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Johan Lundgren (easyJet) : « La consolidation du ciel européen va se poursuivre »
(source Les Echos) 26 mars - Le nouveau patron suédois d'easyJet ne
va pas révolutionner la stratégie de la compagnie low-cost, mais veut
accélérer l'utilisation des outils numériques et poursuivre la
croissance organique et externe. Question : Vous avez succédé à Carolyn
McCall en décembre dernier. Quels sont vos projets et vos priorités pour
easyJet ?
(...) La priorité est donnée à la
qualité de notre réseau et à la nécessité d'être en position de force dans
les principaux aéroports. (...) Mais il y a un enjeu
stratégique sur lequel nous allons accentuer nos efforts : le numérique
et l'exploitation des données. (...) L'une des premières illustrations en est
l'accord annoncé mardi avec Airbus, qui va nous permettre de prédire et
de prévenir les problèmes techniques avant qu'ils ne surviennent, en
analysant en permanence les millions de données produites par nos
avions. Question : Quelles retombées attendez-vous de l'analyse des données
?
(...) En 2010, nous
avions en moyenne 10 problèmes techniques pour 1.000 vols. Aujourd'hui,
nous sommes à 3 vols pour 1.000. Notre objectif à travers cet accord
avec Airbus est d'atteindre le zéro problème technique. Nous voulons
éliminer totalement les retards liés aux problèmes techniques.(...) Mais
il y a bien d'autres applications possibles de l'analyse des données.
Nous testons actuellement un nouvel outil informatique qui permet
d'optimiser le programme de vols, en anticipant les retards
possibles. (...) Si nous parvenons à réduire
significativement les coûts liés aux retards et aux vols annulés, qui
ont considérablement augmenté ces dernières années, nous pourrions
réaliser d'énormes économies. Question : A un an de l'échéance, êtes-vous
prêts pour le Brexit et quel en sera le coût pour easyJet ?
Nous y
sommes mieux préparés que la plupart des compagnies. La création d'easyJet
Europe, avec un siège à Vienne et un certificat de transport aérien
autrichien, nous garantit de pouvoir poursuivre nos opérations sur le
continent européen, quoi qu'il arrive. D'ici à un an, la moitié de notre
flotte, soit quelque 150 appareils, sera ainsi passée sous pavillon
autrichien, tandis que l'autre moitié continuera à être exploitée par Easyjet UK, pour les vols au départ du Royaume-Uni. Le coût de cette
réorganisation est presque insignifiant : de l'ordre de 10 millions
d'euros pour la création d'Easyjet Europe. Mais je suis persuadé que le
Royaume-Uni et l'Union européenne parviendront à un accord sur le
transport aérien. Personne n'imagine que les liaisons aériennes entre le
Royaume-Uni et l'Europe continentale puissent être interrompues.
Question : Après la reprise d'une partie d'Air Berlin, envisagez-vous d'autres
acquisitions ?
(...) Nous nous sommes engagés depuis octobre
dans des
discussions avec les administrateurs d'Alitalia. (...) Je ne peux
pas en dire plus. Nous avons signé un engagement de confidentialité.
Mais il est clair que seule l'activité court et moyen-courrier nous
intéresse... (...)
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easyJet organise à Paris son système de correspondances alternatif à celui d'Air France
(source La Tribune) 30 mars - La compagnie à bas coûts britannique a
noué des partenariats à Orly et Roissy avec La Compagnie, Corsair et
Norwegian dans lequel le passager peut acheter un vol moyen-courrier
d'easyJet et un vol long-courrier d'une compagnie partenaire.
Pendant que la grève continue à Air France la concurrence bouge. (...) Le processus complet ne semble pourtant pas
encore finalisé. (...) L'organisation des correspondances dans les
aéroports reste encore floue. Dans tous les cas, il n'y aura pas à Paris
le service proposé à Gatwick où l'aéroport gère la correspondance et
s'occupe des passagers en cas de pépin. Ayant abandonné depuis des
années son activité d'assistant en escale, ADP ne peut pas assurer la
correspondance. Selon nos
informations, ADP planche sur (...) la mise en place d'une signalisation spécifique de "self connecting" qui pourrait s'appeler "Self Connect", accompagnée d'une
zone d'enregistrement pour les passagers et des bagages à l'arrivée du
premier vol, après le passage de la douane, afin de pouvoir prendre le
vol en correspondance parfois situé dans un autre terminal, sans passer
par la zone publique et sans avoir à porter les bagages. Le personnel
pour enregistrer et le transfert des bagages serait donc à la charge des
compagnies. (...) Ce système permet à
easyJet de
proposer des vols long-courriers sans en supporter les coûts. Ce
faisant, elle s'efforce de capter une partie du marché des vols en
correspondance aujourd'hui dans les mains des compagnies classiques
comme Air France ou Lufthansa. Pour éviter de la complexité, le système
ne fonctionne qu'avec des correspondances d'au moins 2h30.
(...) Si la clientèle mord, cette initiative peut avoir des impacts très
significatifs. Il pourrait en effet permettre à certains acteurs en
difficulté de se concentrer sur le long-courrier en coupant dans leur
réseau moyen-courrier. Pour autant, un tel mouvement risque de ne
concerner que des compagnies non alignées par rapport aux trois
alliances mondiales (Star Alliance, Skyteam, Oneworld). Vu la puissance
de ces dernières sur l'Atlantique Nord, ce mouvement a plus de chances
de leur causer du tort vers le Moyen-Orient et l'Asie où leur emprise
est moindre.
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Aigle Azur se transforme à la vitesse de l'éclair pour assurer sa survie
(source La Tribune) 30 mars - Nouveau PDG, nouvelle structure
actionnariale, lancement de vols long-courriers, élargissement du
réseau, multiplication des partenariats, nouveaux accords sociaux avec
le personnel navigant... Moribonde il y a encore quelques mois, la
compagnie aérienne française (1.400 salariés) fait sa mue à la vitesse
de l'éclair depuis l'arrivée l'été dernier à sa tête de Frantz Yvelin,
le fondateur de L'Avion en 2006 et de La Compagnie en 2014, pour se
redresser et assurer sa survie. Après un changement actionnarial à
l'automne avec la sortie du capital de l'actionnaire historique Weawing
(ex-Gofast) et l'arrivée d'un deuxième acteur de poids après le groupe
chinois HNA, celle de David Neeleman, fondateur notamment de Jetblue et
actionnaire et Pdg d'Azul et de TAP Portugal, Aigle Azur a fait
l'acquisition de deux A330-200 pour lancer une activité long-courrier au
départ d'Orly. (...) Si les actionnaires ont apporté « quelques millions d'euros »
avant la fin de l'année dernière, la compagnie peut compter sur le
déblocage fin 2017 d'une partie des fonds retenus depuis des années en
Algérie (...), et sur les
économies générées par les accords d'entreprises signés récemment avec
les syndicats de personnels navigants. Ceux-ci ont notamment permis
d'implanter la règlementation européenne sur les FTL (Flight Times
Limitations) pour l'utilisation des personnels, en s'affranchissant des
règles du Code l'aviation civile (CAC), et d'éviter ainsi des confusions
préjudiciables entre les deux règlementations et, donc de gagner en
productivité. (...) Dans le même temps, le
nombre d'hôtesses et stewards à bord des avions a été revu à la baisse.
Il passe de 5 à 4 sur les avions moyen-courriers et ne seront que 7 sur
les avions long-courriers pour des vols de plus de dix heures et demie
quand ils sont « plus de 10 chez Air France sur des avions similaires ».
Ces accords qui « procurent un avantage compétitif » n'auraient
pas pu voir le jour sans le rôle des syndicats et des personnels, a fait
valoir le Pdg d'Aigle Azur. (...) Aujourd'hui
« réinventée », Aigle Azur veut revenir dans le vert. Après une nouvelle
année de pertes l'an dernier, Frantz Yvelin vise pour 2018 une hausse de
chiffre d'affaires de 23%, à 320 millions d'euros, et un Ebidta positif,
puis un retour aux bénéfices en 2020. Même si la compagnie a reçu un
accompagnement de quelques millions d'euros en fin d'année, elle a
plutôt intérêt, vu les difficultés que rencontre le groupe HNA, à ne
compter que sur elle-même pour assurer sa survie.
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Un A321neo LR relie sans escale les Seychelles à Toulouse
(source Les Echos) 30 mars - Airbus n'a pas tardé à
répondre à Boeing. Une semaine après qu'un 787 Dreamliner de la
compagnie australienne Qantas a bouclé le premier vol direct entre
l'Europe et l’Australie, l'avionneur européen a fait savoir
qu'un A321neo LR (pour « Long Range », ou long rayon d'action) avait
relié sans escale les Seychelles à Toulouse. La
différence ? Si le premier exploit a été réalisé avec un avion
long-courrier, le second est signé par un moyen-courrier. (...) Il ne s'agissait pas d'un vol commercial
mais d'un vol d'essai. L'avion transportait onze techniciens, cinq
membres d'équipage et 165 mannequins (l'équivalent de 180 passagers),
comme pour un vol commercial régulier. De plus, Airbus a modifié
l'A321neoLR équipé de moteurs LEAP-1A de CFM International, en le dotant
d'un troisième réservoir. (...) L'A321neo LR (...) pourra
transporter de 200 à 240 passagers sur 7.400 km, soit « la plus longue
distance pour un monocouloir », promet l'avionneur. Il vient de prouver
ce vendredi qu'il pouvait même aller jusqu'à 8.300 kilomètres.
L'enjeu : rendre rentable ce qui ne l'était pas. « Aujourd'hui
pour des missions de 10 heures, on exploite des avions bicouloir
[long-courrier, NDLR]. L'A321LR va permettre de desservir des nouvelles
destinations [...], d'ouvrir des marchés qui n'existaient pas jusque-là.
Cela intéresse autant les compagnies low-cost que les compagnies
traditionnelles », a déclaré à l'AFP Joaquin Toro-Pietro,
responsable des études marketing et des relations clients chez Airbus.
(...) Exemples ? Des liaisons comme Lisbonne-Recife au Brésil,
Dubaï-Pékin, Kuala Lumpur-Tokyo ou encore Singapour-Sydney, jusqu'ici
chasse gardée des long-courriers.
La bataille des vols longue distance se jouera enfin sur le
terrain économique. Les moyen-courriers comme l'A321neoLR sont en effet
moins cher à l'achat que les bicouloirs, et donc plus faciles à
rentabiliser.
Fin de la revue de presse
> Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 9,01 euros en
clôture vendredi 30 mars (la bourse est fermée en ce lundi de pâques), en
hausse de 1% sur la semaine.
La moyenne des objectifs de cours (le consensus) des
analystes pour l'action AF-KLM se situe à 14,53 euros.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord) est stable à 70$, un
niveau qu'il n'a plus atteint depuis la crise de 2014, hormis en janvier dernier.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
A bientôt.
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François Robardet
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