N°649, 30 avril 2018
Si vous ne voyez pas correctement cette page, suivez
ce lien
> ASSEMBLÉE GÉNÉRALE
DES ACTIONNAIRES AIR FRANCE-KLM LE 15 MAI 2018
L'assemblée générale des actionnaires Air France-KLM se tiendra
mardi 15 mai à 14h30 à l’Espace Grande Arche de la Défense.
Si vous êtes porteur de parts (FCPE Majoractions,
Aéropélican et/ou Concorde chez Natixis), et que vous souhaitez me désigner
mandataire et me confier vos pouvoirs,
il n'est pas trop tard. Rendez-vous sur le site de vote airfranceklm.voteassemblee
et mentionnez ensuite mes nom, prénom et mon adresse François Robardet
31320, PECHBUSQUE Pour de plus détails, retrouvez mon
Flash76.
J'approuverai les résolutions soumises aux actionnaires.
La Revue de Presse du lundi ...
>
Air France : la modernisation de la flotte menacée par la poursuite du conflit
(source Les Echos) 26 avril - La poursuite de la grève à l'initiative
des pilotes compromet la santé financière d'Air France mais aussi
sa
capacité à renouveler sa flotte.
Quel que soit le résultat du vote
des 46.711 salariés d'Air France, la grève semble devoir se poursuivre
chez Air France. Alors que débutait ce jeudi la consultation des
salariés, les syndicats de pilotes, suivis par d'autres syndicats de
personnels au sol et navigants commerciaux, ont déposé de deux
nouveaux préavis de grève de deux jours, du 3 au 4 mai - jour de clôture
du scrutin - et du 7 au 8 mai. Une façon pour les dix organisations
membres de l'intersyndicale (FO, CGT, SNPNC, UNSA, SNPL-AF, SPAF,
Alter, SUD, CFTC, SNGAF) de s'affranchir par avance du résultat du vote
des salariés qu'ils sont pourtant censés représenter. Selon toute probabilité,
une majorité de
salariés devraient pourtant approuver le projet d'accord de la
direction. En effet, la très grande majorité des salariés d'Air
France n'a pas participé à la grève, y compris chez les pilotes,
divisés sur la stratégie de leurs syndicats et dont le taux de grévistes
ne dépasse pas 35 %. (...)
Les passagers d'Air France ne sont toutefois pas les seuls à souhaiter
la fin de la grève, qui a déjà coûté 300 millions d'euros à la
compagnie. C'est également le cas d'Airbus, Boeing, Embraer et
Bombardier. Du bon vouloir des représentants des pilotes dépendent en
effet la poursuite de la modernisation de la flotte et les futures
commandes d'avion. La première victime de ce conflit est le Boeing 787.
Faute d'un accord avec le SNPL AF sur la prolongation du détachement de
20 commandants de bord instructeurs du secteur 777, la compagnie va
devoir clouer au sol, à partir du 1er mai, l'un de ses six 787 flambant
neuf, qui desservait Canton, avec des annulations de vols à la clef.
D'autres suivront si le conflit perdure. A plus long terme, la direction d'Air France devra
également trouver un accord avec le SNPL-AF pour fixer les conditions
d'exploitation des Airbus A350, qui arriveront dans la flotte d'Air
France à partir d'août 2019. Mais la décision la plus lourde de
conséquences, qui nécessite également un accord avec les pilotes,
concerne l'évolution de la flotte court et moyen-courrier. Le groupe
voudrait en effet pouvoir lancer un gros appel d'offres à l'été prochain
auprès des quatre avionneurs, en vue de passer commande début 2019, à la
fois pour développer la flotte de sa filiale Transavia et pour remplacer
40 Airbus A318 et A319 d'Air France en fin de vie, qui pourraient être
avantageusement remplacés par des Cseries du québécois Bombardier ou des
E195 E2 du brésilien Embraer. Or l'extension de la flotte de Transavia suppose l'accord du SNPL-AF pour
faire sauter le plafond de 40 appareils, qui sera atteint en 2020.
Quant
à la possibilité de commander des Cseries ou des Embraer, elle pose la
question de la pertinence de la « scope clause », qui réserve les
appareils de plus de 110 sièges aux seuls pilotes d'Air France - ce qui
est le cas des Cseries et des E195 E2 - alors même que les seuls pilotes
du groupe déjà formés au pilotage des Embraer et des Bombardier (même
s'il ne s'agit pas de CSeries) se trouvent dans la filiale régionale
Hop!. Autant dire que c'est bien l'avenir d'Air France à court et moyen
terme qui va se jouer dans les prochains jours.
>
Le conflit d'Air France suscite inquiétude et colère chez KLM
(source Les Echos) 29 avril - Aux Pays-Bas au moins autant qu'en
France, la situation chez Air France suscite de vives inquiétudes et des
jugements sévères chez les salariés de KLM, qui redoutent de voir leur
compagnie en faire les frais. Dans un pays où la négociation est la
règle et la grève l'exception, la tournure très conflictuelle des
relations sociales chez Air France reste largement incomprise. Mal
perçu, le référendum voulu par Jean-Marc Janaillac n'a pas non plus
convaincu, les médias néerlandais constatant que les syndicats d'Air
France ont déjà annoncé de nouvelles grèves, sans attendre le résultat
du vote. Jusqu'au directeur général
de KLM, Pieter Elbers, qui n'a pas hésité à faire part de ses
inquiétudes aux salariés néerlandais face à la situation de blocage du
côté français. « L'impact des grèves est désastreux sur la clientèle et
son appréciation sur la compagnie, mais aussi nos finances, notre
réputation ainsi que sur nos rapports en interne », écrit-il dans un
message qu'il leur a adressé en milieu de semaine dernière.
« Il est normal que des syndicats
cherchent à obtenir le meilleur résultat, mais aux Pays-Bas, on continue
toujours à négocier et on n'oublie jamais l'intérêt général de
l'entreprise », estime Robert Swankhuizen, le président du syndicat NVLT
des mécaniciens de KLM, qui ne cache pas non plus ses craintes pour
l'avenir d'Air France-KLM. « Nous sommes une seule et unique entreprise,
souligne-t-il. Si Air France tombe, KLM tombe aussi ». De son côté, le syndicat des pilotes
néerlandais VNV s'en prend à la méthode de Jean-Marc Janaillac.
« Pourquoi Jean-Marc Janaillac, président-directeur général du holding
Air France-KLM se met-il en avant pour prendre tous les coups et non pas
Franck Terner, qui est le patron d'Air France ? », s'interroge Joost van
Doesburg du VNV. (...) Sans surprise, la
facture de 300 millions d'euros des grèves d'Air France a du mal à
passer du côté néerlandais. « KLM est considérée comme une vache à
lait », s'indigne Jaap de Wit, économiste du secteur aéronautique, en
rappelant que la compagnie néerlandaise est plus rentable qu'Air France
depuis plusieurs années. Certains salariés de KLM, très remontés contre
leurs collègues français, n'hésitent pas à prôner le divorce. « Nous
aussi, nous allons faire grève, mais ça sera pour exiger une séparation
d'avec Air France », écrit l'un d'eux sur un réseau social. « Il y a un gros problème de
communication, déplore Robert Swankhuizen. Les gens bien informés savent
que les services d'Air France et KLM sont trop entremêlés pour qu'on
puisse les séparer. Mais beaucoup de gens pensent que si les
résultats de KLM sont bien meilleurs que ceux d'Air France, c'est parce
que leurs collègues français ne travaillent pas assez. Ils ne
connaissent pas le poids des taxes en France, l'impact du TGV, et les
efforts de productivité réalisés chez Air France. Au lieu de se montrer
du doigt, nous ferions mieux de réfléchir ensemble aux moyens de contrer
la menace de la concurrence déloyale des compagnies du Golfe, qui
pourrait être fatale aussi bien à Air France qu'à KLM ».
>
Face à Air France, le projet de réunir Corsair, Air Caraïbes, French Bee et XL échoue
(source La Tribune) 26 avril - Créer un second pôle aérien français
face à Air France en regroupant pas moins de 5 compagnies aériennes
tricolores : c'est le projet qu'a essayé, en vain, de monter ces
dernières semaines Lionel Guérin, une personnalité bien connue du
transport aérien français pour avoir été jusqu'à fin 2016 directeur
général délégué d'Air France (en charge de HOP Air France), dont il a
été par deux fois candidat malheureux à la présidence (en 2011 et 2016),
mais aussi ancien PDG de Transavia, d'Airlinair, ou encore de la
Fédération nationale de l'aviation marchande (Fnam). Selon plusieurs
sources concordantes, Lionel Guérin et Philippe Micouleau,
l'ancien PDG de HOP, ont contacté tous les actionnaires des compagnies
Corsair (TUI), Air Caraïbes et French Bee (Groupe Dubreuil), XL Airways
et sa filiale La Compagnie (...), pour les convaincre de se réunir et
d'investir dans ce projet. (...)
L'idée était de
créer une maison-mère avec 3 filiales, Air Caraïbes, French Bee et une
entité regroupant XL et Corsair, chacune avec son certificat de
transport aérien (...) en essayant d'aligner les conditions de
travail sur celles de French Bee. (...) Le
tout aurait permis de créer un groupe composé d'environ 20 à 25
gros-porteurs. Aucun actionnaire n'a été convaincu. Tous ont
rejeté ce projet qui comptait sur leur financement, mais manquait
d'investisseurs externes. « Nous n'avons jamais vu les fonds
d'investissements annoncés », explique-t-on au sein de plusieurs
compagnies approchées. Pas sûr qu'il y aura une deuxième chance. (...)
Si certains croient toujours à une consolidation du ciel
français par regroupements, d'autres estiment au contraire que ce
mouvement se fera par des disparitions d'entreprises. (...)
>
Lufthansa réduit sa perte nette au premier trimestre
(source Le Figaro) 26 avril - Le géant européen du transport aérien,
l'allemand Lufthansa, a annoncé jeudi avoir réduit sa perte nette sur un
an au premier trimestre, après l'absorption couteuse d'Air Berlin et
confirme ses objectifs de résultats annuels. Entre janvier et mars,
la
compagnie a enregistré un résultat négatif de 57 millions d'euros
contre -68 millions l'an passé.
"Nous restons clairement sur notre trajectoire et affichons un bon
résultat au premier trimestre", se félicite Ulrik Svensson, directeur
financier du groupe, cité dans un communiqué. "Des coûts exceptionnels
liés à la croissance d'Eurowings après la faillite d'Air Berlin ont en
grande partie effacé la hausse des revenus", affirme le groupe dans un
communiqué. Lufthansa avait mis la main en 2017 sur une partie
des activités de la compagnie berlinoise, dont les avions ont été
intégrés pour l'essentiel à la filiale à bas coûts de Lufthansa.
Eurowings devrait ainsi recenser environ 210 appareils en 2019, ce qui
en fera la deuxième compagnie du groupe, qui détient aussi Swiss,
Brussels et Austrian Airlines.
>
Le délai pour la vente d'Alitalia repoussé
(source Le Figaro) 26 avril - (...) "Nous
repoussons le délai pour la vente d'Alitalia à fin octobre et le délai
pour le remboursement du prêt relais au 15 décembre", a expliqué
le
ministre italien du Développement économique, Carlo Calenda (...). Trois
offres ou manifestations d'intérêt, dont une de l'allemande Lufthansa et
une autre de la compagnie britannique EasyJet, ont été remises pour une
éventuelle reprise de la compagnie en difficulté.
M. Calenda a souligné sur Radio Capital que les "interlocuteurs"
n'étaient "pas disponibles" à aller de l'avant dans leurs offres avant
que ne soit clarifiée la situation politique. Or, les consultations en
cours pour former un nouveau gouvernement après les élections du 4 mars
s'éternisent. (...) Alitalia, qui emploie
quelque 11.000 salariés, a accumulé les pertes ces dernières années face
à la concurrence des compagnies à bas coûts. Elle a été placée
sous tutelle en mai, après le rejet par les salariés d'un plan de
restructuration prévoyant 1.700 suppressions d'emplois et elle est
désormais dirigée par trois commissaires nommés par le gouvernement.
"Les commissaires travaillent bien, le prêt relais (de 900 millions
d'euros fourni par l'Etat) est quasi intact", a noté M. Calenda. "Mais
il est important de dire que la situation d'Alitalia reste fragile sur
le long terme".
>
Si loin, si proche
(source La Dépêche) 30 avril - Depuis 20 ans et l'incroyable
développement des compagnies aériennes low-cost comme EasyJet ou
Ryanair, les Français, tout comme leurs homologues européens, découvrent
le monde à moindre coût. (...) Les compagnies low-cost
ne se contentent plus de vols au cœur du Vieux continent ou vers les
rivages de l'autre côté de la Méditerranée. Elles visent
désormais les vols long-courriers, et notamment les vols
transatlantiques entre l'Europe et les États-Unis. Pour autant,
l'aventure ne peut-elle être qu'à des milliers de kilomètres de chez
soi ? (...) La réponse est bien évidemment non et, d'ailleurs, une étude
BVA commandée l'été dernier pour les Entreprises du
voyage, montrait que 72 % des 54 % de Français qui prenaient des
vacances d'été choisissaient… la France comme destination. 28 % disant
préférer partir à l'étranger, essentiellement chez nos voisins immédiats
(un pourcentage en baisse de 2,5 % en un an). Une autre tendance
était également observée par Richard Soubielle,
vice-président des Entreprises du voyage : «les séjours sont moins longs
mais plus nombreux». De fait, les Français privilégient les
courts séjours d'une à quatre nuits. Des weekends prolongés, des «city
breaks» que l'on prend dans les pays proches de la France notamment
l'Allemagne et le Royaume-Uni, ou dans les régions voisines.
(...)
>
EasyJet conquiert la clientèle affaires à Berlin
(source Voyages d'affaires) 27 avril - Si Eurowings semble avoir
quelque peu raté le coche à Berlin – notamment parce qu’elle n’a pu
obtenir les appareils et les fréquences de la défunte Nikki, filiale
autrichienne d’air Berlin –, sa concurrente EasyJet a profité de
l’opportunité pour s’imposer dans la capitale allemande. Le
transporteur offre cet été des vols vers 84 destinations en Europe à
partir des aéroports de Berlin Schönefeld, sa base historique, et de
Berlin Tegel, l’ancien fief d’Air Berlin. Depuis ce dernier aéroport,
plus pratique pour les passagers affaires car situé à seulement 8 km du
centre de la capitale, la compagnie à bas tarifs propose des lignes vers
54 villes dont six sur la France. (...) Alors qu’elle avait
transporté 3,5 millions de passagers en 2017 depuis et vers Berlin,
easyJet estime que le nombre total de passagers devrait dépasser les 5,6
millions en 2018, soit une croissance de son trafic de 60%. (...)
Easyjet introduit d’ailleurs cet été à
Tegel son nouveau programme « Worldwide by easyJet » qui permet d’offrir
des correspondances avec d’autres transporteurs dans le reste du monde.
Tegel est ainsi le troisième aéroport après Londres Gatwick et Milan
Malpensa à devenir un centre de correspondances pour la compagnie. (...)
La montée en puissance d’easyJet devrait avoir donc un
effet positif sur le trafic à Berlin. En mars, après plusieurs mois de
recul, le nombre de passagers sur les deux aéroports berlinois a enfin
retrouvé le chemin de la croissance. Le nombre total de passagers a
progressé de 4,9% en mars, soit 2,7 millions de voyageurs. Même Berlin
Tegel en a profité : le nombre de passagers s’est accru de 2,4% en mars.
Il chutait encore de 5,5% en février…
>
Aérien : les compagnies américaines toujours les
mieux valorisées, la Chine arrive en force
(source l'Echo Touristique) 27 avril - Selon le dernier rapport du cabinet d’audit
londonien Brand Finance, American Airlines est à nouveau la marque
aérienne la mieux valorisée au monde en 2018, et ce malgré sa baisse de 7%
à 9,1 milliards de dollars par rapport à l’année dernière. Delta arrive
en deuxième position, même si elle a connu des turbulences, en baisse de
6% (8,7 milliards de dollars), tandis qu’United se classe au troisième
rang, en baisse elle aussi de 2%, à 7 milliards de dollars.
(...) Avec le coût de carburant qui a fortement augmenté et un
certain nombre d’annulations de vol causées par des tempêtes, le trio
américain a vécu une année compliquée. (...) A l’inverse, les valeurs des marques aériennes
chinoises ont explosé. China Southern, China Eastern et Air China se
classent désormais toutes dans le top dix. China Southern (en hausse de
10% à 4,1 milliards de dollars) reste le leader chinois, devant China
Eastern (+ 21% à 3,8 milliards de dollars) et Air China (+ 19% à 3,4
milliards de dollars). Hautement symbolique de ce mouvement
vers l’est de l’activité aérienne mondiale, British Airways (en
baisse
de 6% à 3,5 milliards de dollars) a chuté à la 8e place, derrière
deux des marques chinoises et juste devant Air China. Elles sont les
« grandes gagnantes puisqu’elles ont pu développer leurs marques en
donnant notamment aux clients une plus grande confiance dans leur
fiabilité et leur sécurité » (...) .
En Europe, Lufthansa est entrée dans
le top 10 avec une augmentation de 29% de la valeur de la marque à 2,9
milliards de dollars. La compagnie allemande a profité de la contraction
de la capacité aérienne en Europe avec la faillite d’Air Berlin. Air
France gagne 5 places mais n’arrive qu’en
18e position, entre Ryanair (17) et easyJet. Il n’y a aucune autre compagnie française dans le top
50. Au Moyen-Orient, Emirates arrive en 4e position avec une
valeur de marque de 5,3 milliards de dollars, malgré une baisse de
valeur de 12%. À la 16e place, Qatar Airways est évaluée à 1,9 milliard
de dollars (en baisse de 11%), tandis qu’Etihad, à la 25e place, recule
de 11% pour atteindre 1,4 milliard de dollars. Les compagnies du
Golfe ont subi de plein fouet l’arrivée des vols directs qui minent leur
modèle « hub-and-spoke ». (...)
La Presse Boursière...
>
Air France : un bras de fer perdant-perdant
(source L'Opinion) 26 avril - Pendant le referendum de consultation
des salariés, la grève continue. Les pilotes y voient un moyen
d’accentuer la pression sur la direction. Mais parallèlement l’image de
la compagnie auprès des passagers se dégrade, les pertes financières
s’accumulent (220 millions) et les actionnaires voient le titre chuter
de 41% depuis le début de l’année, soit une perte de 100 millions pour
les salariés actionnaires.
Fin de la revue de presse
> Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 8,138 euros en
clôture lundi 30 avril, en
hausse de 1,2% sur la semaine.
La moyenne des objectifs de cours (le consensus) des
analystes pour l'action AF-KLM est pour la deuxième semaine
consécutive en baisse, elle passe de 13,71 à 13,05 euros.
Kepler Cheuvreux abaisse son objectif de cours à 12,6 euros contre 17,5
euros. Morgan Stanley abaisse son objectif de cours à 10,30 euros contre
13 euros. UBS a abaissé son objectif de cours à 12,50 euros contre 17
euros.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord) est en hausse de 7$
en trois semaines, à
75$, une hausse due aux tensions géopolitiques en Syrie, au
Moyen-Orient et au Yémen, ainsi qu'à la baisse des stocks mondiaux.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
A bientôt.
Pour retrouver les dernières revues de presse du lundi, c'est
ici
Si vous appréciez cette revue de presse, faites la
circuler.
Les nouveaux lecteurs pourront la recevoir en
me communiquant l'adresse
email de leur choix.
|
François Robardet
Administrateur Air France-KLM représentant les
salariés actionnaires PS et PNC
Lettre rédigée avec la collaboration de Christian
Magne Cette revue de presse traite de sujets
liés à l'actionnariat d'Air France-KLM. Si vous ne voulez plus
recevoir cette lettre/revue de presse, cliquez ici et précisez votre demande
: désabonnement.
Si vous préférez recevoir la revue de presse sur une autre adresse,
merci de me l'indiquer. Pour me joindre :
message pour François Robardet.
10650 personnes reçoivent cette revue de presse en direct
|