N°659, 9 juillet 2018
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La Revue de Presse du lundi ...
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Air France-KLM : trafic en hausse et future PDG en vue
(source Le Revenu) 9 juillet - Les compagnies Air France et KLM, leur
low-cost Transavia et la compagnie de liaisons intérieures française
Hop! ont transporté 9,3 millions de passagers avec un coefficient
d'occupation en hausse de 3,5% par rapport au même mois en 2017 et une
recette unitaire hors change également en augmentation, selon la même
source. L'activité
long-courrier a augmenté de 3,2% (...).
Sur le court et le moyen-courrier, le nombre de passagers transportés a
augmenté de 2,7%. Transavia a transporté 1,6
million de passagers (+8,1%). Air France et Hop!
ont transporté 4,753 millions de passagers (+3%, 1,5% en SKO) et la
Néerlandaise KLM 2,99 millions (+2,7%, 2,2% en SKO). Le trafic cargo du groupe a augmenté de 3,2%
en TKT (tonne kilomètre transportée) avec une «recette unitaire hors
change en nette hausse par rapport à l'an dernier», selon le communiqué.
Par ailleurs, selon une information du Figaro, la PDG de la RATP,
Catherine Guillouard, serait pressentie pour prendre les commandes d'Air
France-KLM. Elle remplacerait Anne-Marie Couderc qui assure l'intérim
depuis la démission de Jean-Marc Janaillac. Toujours selon le
journal, la décision pourrait être prise cette semaine. (...)
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AFI KLM E&M finalise un chantier d'habillage moteur sur un LEAP-1B
(source Boursier com) 4 juillet - AFI KLM E&M vient de finaliser un
chantier d'habillage moteur sur un LEAP-1B pour le compte d'une
compagnie du Groupe TUI, dans ses installations d'Amsterdam-Schiphol.
AFI KLM E&M démontre ainsi sa capacité à prendre en charge des
interventions légères sur le moteur nouvelle génération de CFMI et à
répondre aux premiers besoins des compagnies opératrices.
Les
opérations d'habillage consistent à monter sur un moteur brut l'ensemble
de ses composants et équipements. TUI Group (...) a fait appel à
l'expertise d'AFI KLM E&M pour la réalisation d'un chantier d'habillage
sur un LEAP-1B de rechange. Avec cette première intervention majeure
pour le compte d'une compagnie cliente, le MRO consolide son expérience
et ses connaissances sur le LEAP, et valorise à nouveau son savoir-faire
dans le domaine du support sous l'aile/sur site, a fortiori sur un
moteur de nouvelle génération. (...) Anne Brachet, Directrice générale
adjointe Air France KLM Engineering et Maintenance, commente :
Le Groupe
va désormais poursuivre sa montée en puissance sur le support du LEAP,
en finalisant ses capacités sous l'aile/sur site et atelier, en
répondant dès que cela sera nécessaire aux requêtes de ses clients et à
terme en prenant en charge des interventions plus lourdes en Quick Turn.
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AccorHotels se prépare pour mettre la main sur Air France-KLM
(source Agefi-Dow Jones) 4 juillet - (...) Jusqu'à ce jour,
l'Etat n'a pas exprimé son opposition à une transaction avec Accor.
L'Agence des participations de l'Etat travaille même sur le dossier
depuis plusieurs semaines. Accor avance également de son côté afin
d'être prêt, selon une source proche, à signer avec l'Etat dès que le
nouveau président d'Air France-KLM aura été choisi, probablement dans le
courant du mois de juillet. La question de la nationalité des
actionnaires d'Air France-KLM, dont la majorité du capital doit être
détenue par des intérêts communautaires sous peine de perdre ses
licences, n'est pas problématique, assure une source proche. "Il existe
plusieurs solutions", assure-t-elle. Les 14% de l'Etat pourraient être
achetés par une holding dans laquelle Accor ferait entrer des
partenaires communautaires afin de compenser le poids de ses
actionnaires chinois ou moyen-orientaux (Qatar Investment Authority). Un
système juridique ressemblant à celui des fonds, avec un "general
partner" qui gérerait la participation et des "limited partners" qui se
contenteraient d'apporter l'argent, est également étudié.
Face
aux interrogations sur l'intérêt d'acheter 14% du capital, alors qu'un
accord de partage des données des voyageurs suffirait, Accor rétorque
qu'il discute avec Air France depuis des années de ces sujets mais que
rien n'a jamais réellement abouti. "L'entrée au capital permettait
d'aligner les intérêts et d'accélérer les synergies", appuie cette
source, confirmant la réelle motivation du groupe hôtelier.
Alors que son cours de Bourse a chuté de 10% depuis la révélation du
projet début juin, Accor souhaite maintenant aller vite.
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La France n'est pas la championne d'Europe des taxes spécifiques au transport aérien
(source La Tribune) 9 juillet - Selon l'association Airlines for
Europe, les taxes spécifiques au transport aérien européen se
sont élevées à 3,6 milliards d'euros au Royaume-Uni en 2017, contre 1,1
milliard en Allemagne et 600 millions en France et en Italie.
En revanche, ces chiffres ne tiennent pas compte du coût du
financement de la sûreté et du poids des charges sociales qui
pénalisent les compagnies françaises. Selon une étude de
PricewaterhouseCoopers, la suppression des taxes spécifiques permettrait
d'augmenter le trafic vers la France et de faire progresser de 1,6
milliard d'euros le PIB de la France d'ici à 2020. En plein
pendant les Assises du transport aérien, le document casse certaines
idées reçues. Contrairement à l'idée largement répandue en France, y
compris parmi les professionnels du transport aérien, les taxes
spécifiques au transport aérien en France ne sont pas les plus élevées
d'Europe. (...) Difficile toutefois de tirer
les conclusions sur les écarts de compétitivité entre les différents
pays et entre les compagnies originaires de chaque pays, notamment entre les trois poids
lourds du secteur en Europe, Air France, Lufthansa ou British Airways.
Car il faut tenir compte également du financement de la sûreté,
des redevances aéroportuaires, et du niveau de charges sociales.
Si les redevances aéroportuaires sont plus élevées à
Londres et à Francfort qu'à Paris, le financement de la sûreté
en particulier n'est absolument pas le même d'un pays à l'autre. En
France, il pèse pour plus de 1 milliard d'euros et repose entièrement
sur les compagnies et les passagers via la taxe d'aéroport quand, en
Allemagne par exemple, il est en partie pris en charge par les Länder.
Le document d'Airlines for Europe n'évoque pas non plus le poids des
charges sociales, largement défavorables aux compagnies basées en
France. Selon Air France, l'écart sur ce point par rapport à Lufthansa
serait de 400 millions d'euros en faveur de la compagnie allemande.
Reste à voir si la prise en compte de tous ces paramètres
explique à elle seule la différence de performance opérationnelle qui
sépare Air France de Lufthansa et de British Airways. Vu l'ampleur
de cet écart (1 milliard d'euros en 2017 avec la compagnie allemande, et
1,3 milliard avec British Airways), une partie ne peut
s'expliquer que par des coûts intrinsèques à la compagnie française
supérieurs. La suppression des taxes serait
bénéfique à l'Etat Airlines for Europe plaide pour la
suppression des taxes spécifiques qui pèsent sur le transport aérien
français. Pour justifier sa demande, l'association explique qu'une telle
mesure serait bénéfique à la France. Se basant sur une étude de
PricewaterhouseCoopers, cette suppression des taxes spécifiques
permettrait d'assurer 5 millions de vols supplémentaires en France d'ici
à 2020, et d'accueillir 3,8 millions de touristes supplémentaires,
lesquels feraient augmenter les dépenses touristiques de 1,1 milliard
d'euros. Associés à une hausse de la TVA, de tels revenus permettraient
à l'Etat d'augmenter son PIB de 1,6 milliard d'euros par an d'ici à
2020.
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Bientôt une troisième fréquence pour Emirates à Amsterdam ?
(source Déplacements Pros) 4 juillet - Selon la ministre néerlandaise
de l'Infrastructure, des Travaux publics et de la Gestion de l'eau, Cora
van Nieuwenhuizen, "Rien ne s'opposerait à un troisième vol d'Emirates
vers Dubaï au départ de Schiphol. Il n'y a concrètement aucune raison de
refuser cette ouverture de ligne". La compagnie du Golfe
exploite aujourd'hui deux Airbus A380 et envisage d'ajouter un Boeing
777 à partir de la saison d'hiver entre Amsterdam et Dubaï. Pour la
Ministre van Nieuwenhuizen, "l'accord aérien entre les Pays-Bas et les
Émirats arabes unis n'impose aucune restriction sur le nombre de
fréquences ou le type d'aéronef utilisé". L'accord stipule
toutefois que le dumping des prix ne doit pas causer un préjudice
déraisonnable à KLM. Selon la Ministre, en 2015 comme en 2017,
le
ministère a réalisé une enquête sur le poids commercial des compagnies
du Golfe (Emirats, Etihad et Qatar Airways) face à KLM.
L'enquête a démontré qu'il "n'y avait pas de concurrence déloyale". La
Ministre a précisé que "l'affirmation selon laquelle ces entreprises
recevaient des subventions injustes de l'État ne pouvait être
confirmée". KLM n'a pas souhaité s'exprimer pour l'instant sur
le sujet. Selon des sources internes, la compagnie franco-néerlandaise
pourrait déposer une requête afin d'obtenir la suspension de cette
ligne. Pour les spécialistes européens, "elle aurait peu de chance
d'aboutir".
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L'UE enquête sur Ryanair et l'aéroport de Montpellier
(source Le Figaro avec Reuters) 4 juillet - La Commission européenne
a annoncé mercredi l'ouverture d'une enquête approfondie sur les mesures
dont bénéficie la compagnie irlandaise à bas coûts Ryanair à l'aéroport
de Montpellier. L'exécutif européen veut déterminer si Ryanair
bénéficie d'une aide publique contraire aux principes de concurrence.
"Nous allons examiner si des autorités régionales et locales
françaises ont accordé un avantage économique indu à Ryanair par rapport
à ses concurrents, ce qui serait susceptible de nuire à d'autres
compagnies aériennes européennes et d'avoir des retombées sur d'autres
régions européennes", a dit la commissaire européenne à la Concurrence,
Margrethe Vestager, citée dans un communiqué. La Commission
européenne compte notamment se pencher sur différents contrats passés
par l'association de promotion des flux touristiques et économiques
(APFTE) avec Ryanair, en vertu desquels la compagnie irlandaise a reçu
des paiements importants en échange de la promotion de Montpellier et de
ses environs en tant que destination touristique sur son site internet.
L'APFTE est une association indépendante, sans lien avec
l'exploitant de l'aéroport, financée presque intégralement par des
entités publiques régionales et locales, souligne la Commission.
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Trafic du groupe IAG : +8,9% en juin
(source Air Journal) 5 juillet - Le groupe IAG rassemblant les
compagnies aériennes British Airways, Iberia, Aer Lingus, Vueling et
Level a accueilli le mois dernier 10,264 millions de passagers, un
trafic en hausse de 8,9% par rapport à juin 2017. International Airlines Group précise dans ses statistiques mensuelles
que le trafic en RPK (revenu passager kilomètre) a augmenté en juin de
9,1%, sur des capacités en SKO (siège kilomètre offert) ne progressant
que de 5,4% ; le coefficient d’occupation global des avions de ses
filiales gagne 3,1 points de pourcentage à 87,1%. (...) Parmi les développements stratégiques du mois
dernier, le groupe IAG rappelle le lancement le 28 juin de sa nouvelle
filiale autrichienne low-cost, LEVEL, avec des vols au départ de Vienne
débutant le 17 juillet 2018. Le 25 juin, le Parlement britannique a
approuvé l’expansion de l’aéroport de Londres-Heathrow ; IAG a
publié une déclaration réitérant que cette expansion « devrait être
entreprise d’une manière rentable et que l’Autorité de l’aviation civile
(CAA), en tant qu’organisme de réglementation, doit protéger les
consommateurs en maintenant à leur niveau actuel les redevances
aéroportuaires ». (...)
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easyJet : Des annulations de vols sextuplées en juin
(source CercleFinance com) 5 juillet - Au mois de juin, easyJet a
transporté 7,9 millions de passagers (hors aéroport de Berlin Tegel),
chiffre en hausse de 2,3% sur un an. Le coefficient d'occupation a
augmenté de 0,5 point de pourcentage, à 95,4%. La compagnie
aérienne britannique à bas coûts a également fait état de 1.263
annulations de vols le mois dernier (soit environ 2,7% de la capacité
prévue), contre seulement 213 en juin 2017. 'Environ 900 de ces
annulations sont dues aux mouvements de grève français et italiens, et
150 autres aux restrictions de trafic des autorités de l'aviation civile
en raison de conditions climatiques défavorables', commente easyJet.
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Pas de long-courrier à Berlin pour Lufthansa
(source Air Journal) 4 juillet - Le groupe aérien Lufthansa n’a pu que
constater que le développement d’un réseau long-courrier à l’aéroport de
Berlin-Tegel n’est pas rentable. La capitale allemande n’accueillera
donc aucune liaison intercontinentale. Interdite de vol
vers Berlin jusqu’en 1990, la compagnie nationale allemande a essayé « à
plusieurs reprises d’offrir des vols long-courriers » depuis l’aéroport
Tegel, mais que cela n’est « actuellement pas rentable ». Y offrant des
vols en provenance de Francfort et Munich, Lufthansa explique dans un
communiqué que Berlin n’attire « pas assez de voyageurs d’affaires » ;
ces passagers choisissent souvent des classes de réservation plus
chères, ce qui les rend indispensables pour exploiter économiquement des
vols long-courriers. Berlin n’accueille en outre aucun siège social des
sociétés du Dax-30, et seulement quelques sociétés industrielles, ce qui
en fait un marché du voyage d’affaires « trop petit ». Autre conclusion
des études de marché de Lufthansa sur Berlin, Tegel ne peut jouer la
« fonction de hub » de ses deux bases traditionnelles. Les vols
long-courriers doivent être opérés à pleine capacité pour être
rentables, et être alimentés par les compagnies aériennes ; un rôle
rempli par Francfort et Munich, mais que ne peut atteindre pour
l’instant Berlin. En partie pour des raisons historiques, souligne
Lufthansa qui n’a pas été autorisé à voler vers la ville divisée avant
que l’Allemagne ne soit réunie en 1990. (...) Mais une
autre raison de ce refus de lancer des lignes long-courrier à Berlin
tient aussi à des raisons locales : comme les autres compagnies
aériennes, Lufthansa se dit « confrontée à des goulets d’étranglement
significatifs en matière de capacité à Tegel ». Pendant des années, le
personnel des aéroports et des compagnies aériennes a fait « un travail
extraordinaire » pour gérer la congestion aux guichets d’enregistrement,
aux portes d’embarquement et aux systèmes de transport de bagages ; il
est « maintenant essentiel d’effectuer rapidement les travaux de
conversion approuvés et de terminer le nouvel aéroport Brandebourg d’ici
à octobre 2020 » – soit avec onze ans de retard sur le calendrier
initial. (...)
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Boeing prend les commandes des avions commerciaux d'Embraer
(source Air Journal) 5 juillet - Le rapprochement entre Boeing et Embraer se concrétise. (...) Deux coentreprises devraient donc voir le jour (...). Si tout se déroule comme prévu,
la transaction sera clôturée
fin 2019, soit entre douze et dix-mois après l'exécution des accords
définitifs. Boeing détiendra 80% de la coentreprise créée pour
le portefeuille des avions commerciaux - dont le programme E2 - et des
services associés. Les 20% restants reviennent à Embraer. (...) Le communiqué indique que
Boeing et la coentreprise proposeront ainsi un portefeuille complet
d'appareils de 70 à 450 places, ce qui en exclut l'entité Aviation
d'affaires. L'accord non contraignant conclu estime la valeur
totale de l'unité Avions commerciaux d'Embraer à 4,75 milliards de
dollars. Boeing s'attend à ce que l'opération commence à générer des
bénéfices à partir de 2020 et à ce que 150 millions de dollars de
synergies puissent être réalisés chaque année trois ans après sa mise en
place. (...)
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Les aéroports de Paris passent à la reconnaissance faciale
(source Le Figaro avec AFP) 6 juillet - Des sas équipés d'un système
de reconnaissance faciale sont désormais déployés dans les aéroports
parisiens afin de rendre "plus fluides" les contrôles aux frontières, a
annoncé vendredi la ministre française des Transports Elisabeth Borne. (...)
"Le gouvernement s'est mobilisé
pour avoir cette année un passage beaucoup plus fluide", a assuré la
ministre, rappelant que 300 policiers supplémentaires avaient été
affectés aux aéroports de Roissy et d'Orly, au nord et au sud de la
capitale. "On s'est donné l'objectif de pas dépasser 30 minutes
d'attente pour les passagers de l'Union européenne et pas plus de 45
minutes pour les passagers hors Union européenne. Ce sont des objectifs
qui sont tenus", a-t-elle ajouté. Ces nouveaux sas,
dans lesquels le visage du passager est scanné afin d'être comparé à la
photo de son passeport, permettent un contrôle plus rapide que les
précédents "Parafe" à contrôle digital : 10 à 15 secondes, contre 30 à
45 pour le contrôle des empreintes. Autre avantage : 45% des
passagers des aéroports parisiens sont éligibles à ce système de
reconnaissance faciale - les ressortissants majeurs des pays de l'Union
européenne, de Norvège, de Suisse ou encore du Liechtenstein -, alors
que seuls 10% peuvent emprunter les sas de reconnaissance digitale.
Quinze sas sont désormais opérationnels à Orly et 21 à Roissy. "Nous en
aurons au total 95 à la fin de l'année, après une deuxième phase de
déploiement qui débutera en septembre", a indiqué à l'AFP Edward
Arkwright, directeur général exécutif, en charge du développement, de
l'ingénierie, et de la transformation de Groupe Aéroport de Paris (ADP).
Fin de la revue de presse
> Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 7,342 euros en clôture
lundi 9
juillet. Elle gagne 6,33% en une semaine suite à l'annonce des
bons résultats de juin.
La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM se situe à 10,22 euros.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord) est à stable à 78$.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
A bientôt.
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François Robardet
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Lettre rédigée avec la collaboration de Christian
Magne Cette revue de presse traite de sujets
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