photo François Robardet, Administrateur Air France-KLM Lettre de l'Administrateur Air France-KLM

François Robardet Représentant des salariés actionnaires PS et PNC

N°663, 6 août 2018   Si vous ne voyez pas correctement cette page, suivez ce lien

La Revue de Presse du lundi ...

> Air France-KLM est parvenu à digérer la facture des grèves

(source Les Echos) 1er août - Le dynamisme de la demande associée à la hausse des prix a permis à Air France-KLM de renouer avec les bénéfices au deuxième trimestre. Le risque principal reste une reprise du conflit chez Air France en septembre.
 
Air France-KLM est vraiment assis sur un tas d'or. Malgré le coût des grèves, estimé à 335 millions d'euros, une image dégradée et l'absence de PDG, le groupe est parvenu à annoncer des résultats supérieurs aux attentes au deuxième trimestre, avec un chiffre stable et un résultat d'exploitation redevenu bénéficiaire. Une performance saluée par un bond du titre en Bourse, qui reste largement due à KLM, dont le résultat d'exploitation représente 98 % des bénéfices du groupe. Mais le groupe Air France a néanmoins agréablement surpris en parvenant à repasser dans le vert au deuxième trimestre, avec un modeste bénéfice de 13 millions, que personne n'aura prédit.
 
Une fois de plus, la demande de transport aérien a été plus forte que les turbulences, y compris chez Air France, dont le trafic a renoué avec la croissance, sitôt levé le dernier préavis de grève en juin. Au total, le trafic du groupe Air France-KLM a progressé de 2,8 % au premier semestre, à 48,45 millions de passagers, dont 24,5 millions pour Air France et Hop !. Toutefois, la donnée la plus surprenante - y compris pour les dirigeants d'Air France-KLM - est la progression de 1,7 % de la recette unitaire. (...) Le directeur financier d'Air France-KLM explique cette augmentation du prix moyen par la bonne tenue du trafic « premium ».
 
Contrairement aux craintes exprimées en début d'année, le dynamisme de la demande associé à l'augmentation de la recette unitaire, ont ainsi pu compenser la hausse des cours du pétrole. Sans l'impact des grèves, Air France-KLM aurait maintenu son résultat d'exploitation au niveau de l'an dernier (...).
 
Air France-KLM continue d'engranger les fruits des réductions de coûts et des efforts de productivité réalisés les années précédentes. Et à en croire ses prévisions, ces vents porteurs devraient continuer à souffler au second semestre. La hausse des prix du pétrole semble s'être stabilisée, et Air France-KLM reste protégé par ses couvertures pétrolières. Mais surtout, la hausse du trafic ne donne aucun signe d'essoufflement. Les niveaux des réservations du groupe pour les mois d'août à novembre sont supérieurs de 1 à 2 points à ceux de l'an dernier, laissant présager une nouvelle amélioration de la recette unitaire au troisième trimestre.
 
Par ailleurs, si Air France-KLM n'est pas la seule à profiter de la croissance du marché, certaines de ses concurrents subissent eux aussi des vents contraires. C'est le cas de Ryanair avec la multiplication des grèves, mais aussi des compagnies du Golfe, qui ont nettement réduit l'allure.
 
Tout irait donc pour le mieux pour Air France-KLM si les incertitudes concernant la situation chez Air France ne continuaient à hypothéquer l'avenir. Le risque principal est en effet la menace brandie par l'intersyndicale de relancer les grèves dès septembre. (...) Le futur patron d'Air France-KLM ne sera pas en place avant septembre et (...) aucune décision à ce sujet ne sera prise avant son arrivée (...).

Mon commentaire : Le Groupe Air France-KLM enregistre un résultat d'exploitation de 228 millions d'euros au premier semestre, en retrait de 325 millions d'euros par rapport à 2017.

Les analystes ont salué ce résultat, qui malgré le coût des grèves (335 millions d'euros depuis le début de l'année) témoigne que les efforts entrepris au sein du Groupe portent leurs fruits.

Les résultats de nos deux concurrents européens viennent néanmoins tempérer cet optimiste : Lufthansa annonce un résultat de 1 milliard d'euros et le Groupe IAG 1,4 milliards d'euros sur la même période. Exercice après exercice Air France-KLM ne parvient pas à réduire l’écart avec ses deux concurrents européens.

> Air France-KLM : pendant la vacance, les alliances continuent

(source Les Echos) 1er août - La vacance du pouvoir au sommet de l'organigramme d'Air France-KLM n'empêche apparemment pas les choix stratégiques de se faire. Malgré l'absence de PDG depuis plus de deux mois, le groupe a dévoilé ce mercredi un projet de coentreprise virtuelle avec la compagnie espagnole Air Europa, pour exploiter conjointement des vols « entre l'Europe et l'Amérique centrale et du Sud ».
 
(...)  Air Europa (...) est membre de l'alliance Skyteam depuis 2007 et a déjà des accords de partage de code avec Air France et KLM sur les vols entre Paris, Amsterdam et Madrid. Ce qui ne l'empêche pas de collaborer également avec Ryanair, qui commercialise les vols transatlantiques d'Air Europa sur son site.
 
La création d'une coentreprise sur l'Amérique latine, sur le modèle de celle créée avec Delta sur l'Amérique du Nord, constituerait néanmoins une sérieuse avancée. L'Amérique du Sud est en effet l'un des principaux marchés en croissance d'Air France-KLM, à la lutte avec Iberia et le groupe IAG. Outre Air Europa, Air France-KLM annonce également sa volonté d'étendre son accord avec la compagnie brésilienne Gol, qui pourrait donc rejoindre cette future « JV » sud-atlantique.
 
(...) La semaine dernière, Air France-KLM a annoncé le renforcement de son partenariat avec China Eastern, devenu l'un de ses principaux actionnaires, avec l'extension de leur coentreprise aux lignes vers Wuhan et Kunming, ainsi que la fusion des deux coentreprises avec China Southern et Xiamen Airlines.
 
Toujours en Asie, Air France-KLM s'achemine également vers la constitution d'une nouvelle coentreprise  avec la compagnie indienne Jet Airways. (...) Cette alliance devrait permettre au groupe de contrer l'offensive des compagnies du Golfe sur les liaisons entre l'Inde et l'Europe et les Etats-Unis. Dans le même esprit, Air France-KLM va également reprendre à compter de 2019 son accord de partage de code (code-share) avec l'Australien Qantas, via Singapour et Hong Kong.
 
La compagnie a également confirmé le dépôt, le 20 juillet, d'une demande d'anti-trust auprès des autorités américaines pour intégrer Virgin Atlantic à la coentreprise transatlantique avec Delta. Une confirmation attendue, mais qui signifie également la fin de tout partenariat avec Alitalia, dont la présence au sein de la coentreprise transatlantique n'est même plus évoquée.(...)

Mon commentaire : Les équipes conjointes Air France-KLM en charge des alliances internationales effectuent un remarquable travail. Les accords de coentreprise (joint-venture) portent sur des longues durées et concernent des marchés dynamiques. Ces rapprochements donnent de nouvelles forces face à la concurrence,.

> Lufthansa a fait feu de tout bois au premier semestre

(source La bourse au quotidien) 31 juillet - Ceux qui avaient déjà enterré les compagnies nationales occidentales, Lufthansa et autres British Airways étant prises en étau entre la concurrence il est vrai féroce des low-cost et celle tout aussi redoutable ou presque des compagnies du Golfe, vont encore devoir patienter.
 
Lufthansa a en effet dévoilé des résultats d’une remarquable solidité au titre du premier semestre de son exercice. (...)
 
Le transporteur allemand, également propriétaire de Swiss International Air Lines, a notamment dégagé un bénéfice net de 677 M€, en croissance de 5 M€ (+0,7%) par rapport à son niveau au terme des six premiers mois de 2017. (...)

Mon commentaire : Le Groupe Lufthansa enregistre un résultat d’exploitation de 1,008 milliard, soit plus de quatre fois celui d'Air France-KLM. Son bénéfice net s’élève à 677 millions d’euros ce qui met le groupe allemand dans une situation confortable pour s’améliorer encore et continuer de racheter des compagnies.

> IAG améliore ses résultats au premier semestre malgré des grèves en France

(source AFP) 3 août - Le groupe aérien britannique IAG a annoncé vendredi un bénéfice net multiplié par plus de deux au premier semestre, malgré des grèves en France, sous l'effet d'une solide activité et de la restructuration d'un système de retraite.
 
Le bénéfice net s'est établi à 1,4 milliard d'euros, contre 607 millions un an plus tôt, selon un communiqué du groupe, qui possède British Airways, Iberia, Vueling et Aer Lingus.
 
Ces résultats sont largement embellis par un gain de 678 millions d'euros enregistré au premier trimestre et lié à la fin d'un coûteux plan de retraite des salariés de British Airways, remplacé par un système moins généreux.
 
Le directeur général du groupe Willie Walsh regrette toutefois l'impact des grèves des contrôleurs aériens en France qui « ont continué à être un problème pour nos activités et ont causé des perturbations pour nos clients ».
 
(...) IAG a pu compter sur une solide activité, avec un chiffre d'affaires en hausse de 3,1% à 11,2 milliards d'euros. Hors effets de change, son revenu par passager a progressé de 2,3% tandis que ses coûts hors carburant ont reculé de 2%.
 
Toutes ses compagnies ont amélioré leurs ventes et leurs rentabilités, à l'exception de Vueling.
 
Le groupe se donne par ailleurs des objectifs assez prudents pour l'ensemble de l'année et non chiffrés. Il se contente de miser sur une hausse de son bénéfice opérationnel par rapport à l'an passé.

Mon commentaire : Le chiffre d’affaire d’IAG est inférieur à celui de Lufthansa et son bénéfice est bien supérieur .

> Les grèves chez Ryanair menacent son modèle low-cost

(source Les Echos) 2 août - Le dialogue social a du mal à prendre chez Ryanair. (...) Pas moins de quatorze jours de grève depuis décembre en Irlande, mais aussi en Italie, en Allemagne, au Portugal et en Belgique, qui ont entraîné plusieurs centaines d'annulations. En y ajoutant les problèmes météo et de contrôles du trafic aérien, Ryanair indique avoir dû annuler « plus d'un millier de vols » sur le seul mois de juillet - contre 23 en juillet 2017 - impactant « près de 200.000 passagers ».
 
Cette situation n'est pas sans rappeler  la crise de septembre 2017, (...) obligeant le PDG, Michael O'Leary, à concéder 20 % d'augmentation générale à ses pilotes et à ouvrir la porte aux organisations syndicales.
 
(...) Cette décision a donné des ailes aux syndicats de navigants de l'Europe entière. (...) Plusieurs syndicats appellent désormais à une journée de grève européenne chez Ryanair le 10 août prochain. Avec pour objectif principal d'obliger la compagnie à octroyer à ses navigants - pilotes et personnels de cabine - des contrats de travail dans leur pays de rattachement, au lieu de l'habituel contrat de droit irlandais.

(...) Quant à la règle d'or chez Ryanair, consistant à appliquer le droit irlandais à tous les personnels travaillant dans des appareils immatriculés en Irlande, ses dirigeants y voient non seulement un moyen de payer moins de taxes et de charges sociales, mais aussi d'éviter des surcoûts administratifs, et de favoriser des transferts d'une base à l'autre. Ryanair opère en effet des bases dans 22 pays et change couramment ses avions et leurs équipages de bases en fonction des besoins.
 
(...) La position de Ryanair paraît difficilement tenable. En septembre 2017, un jugement de la Cour européenne de Justice a en effet confirmé le droit des navigants de Ryanair à s'adresser au tribunal le plus proche de leur domicile, en cas de litige avec leur employeur. Ce qui revient à leur appliquer les règlementations nationales. Tôt ou tard, Ryanair sera donc obligé de parvenir à des accords avec les syndicats représentatifs dans chacun des pays où elle a des avions basés. (...)

Mon commentaire : Le succès de Ryanair repose notamment sur sa maitrise des coûts. Une bonne partie de ses pilotes ont des contrats de type auto-entrepreneur, enregistrés en Irlande. Lorsqu'ils ne volent pas, ils ne sont pas payés. Dans les mauvaises périodes, en hiver, Ryanair a pu laisser au sol jusqu'à cent avions, sans avoir à verser de salaire à ses équipages.

Nos collègues de Ryanair obtiendront-ils enfin une amélioration de leurs conditions de travail ?

> SunExpress veut lancer des vols sans escales vers l'Afrique de l'Ouest

(source Déplacements Pros) 26 juillet - La compagnie turque SunExpress est en train d'évaluer le lancement de routes sans escale vers l'Afrique de l'Ouest. Ces lignes seront exploitées par des B737 MAX 8 au départ de Turquie et d'Allemagne.
 
Le responsable de la planification de SunExpress vient de le confirmer. "Accra et d'autres marchés d'Afrique de l'Ouest sont sur le radar et nous avons besoin d'avoir des discussions avant de lancer des routes, nous sommes dans la phase de réflexion. Les données internes sont intéressantes, mais le développement des routes est un long processus et nous devons être vraiment sûrs que c'est faisable".
 
Le transporteur de loisirs, une joint-venture 50/50 entre Lufthansa et Turkish Airlines, a un total de trente-deux B737 MAX 8 en commande avec Boeing, les livraisons devant commencer en 2019 et se poursuivre jusqu'en 2024. Les cinq premières unités de ce type devraient être livrées l'année prochaine.
 
Le nouvel appareil sera déployé à la fois par l'entité turque de la compagnie et sa filiale allemande SunExpress Deutschland.

Mon commentaire : L'Afrique subsaharienne est un marché à fort potentiel VFR (Visit Friends and Relatives). 

Si SunExpress, qui est présente sur ce type de marché (VFR) entre l'Allemagne et la Turquie, parvenait à exploiter des lignes directes vers l'Afrique de l'Ouest avec des Max B737-900ER, ce serait une première avec des avions densifiés, sans classe affaires.

Filiale de Lufthansa et Turkish Airlines, elle pourrait alors alimenter leurs hubs.

> Des moteurs défectueux et les changes font tomber Rolls-Royce dans le rouge

(source AFP) 2 août - Le motoriste britannique Rolls-Royce a annoncé jeudi être tombé dans le rouge au premier semestre, plombé par le coût de problèmes techniques sur certains moteurs d'avions et par des effets de change négatifs.
 
Le groupe a dégagé une perte nette de 962 millions de livres (1,1 milliard d'euros) au cours des six premiers mois de l'année, contre un bénéfice net de 1,172 milliard un an plus tôt, selon un communiqué.
 
Rolls-Royce publie des résultats contrastés alors qu'il est engagé dans une vaste restructuration qui passe par des milliers de suppressions d'emplois et vise à améliorer ses performances financières en berne depuis des années.
 
Il entend se concentrer sur trois activités, la défense, l'énergie et surtout l'aéronautique, où il est incontournable dans les moteurs en tant que fournisseur d'Airbus et Boeing.
 
Rolls-Royce fait toutefois face à un sérieux problème technique sur les moteurs Trent 1000 qu'il fabrique pour Boeing. Ces derniers font l'objet de contrôles poussés ces derniers mois pour des défaillances sur des compresseurs et causent des perturbations pour des compagnies aériennes.
 
Ce problème lui a coûté 554 millions de livres rien que sur le premier semestre, soit environ 40% de la facture totale estimée jusqu'à 2022, qui devrait donc frôler 1,4 milliard de livres. (...)

Mon commentaire : Rolls Royce rencontre des problèmes avec ses moteurs qui équipent certains B787. Les B787 d'Air France-KLM ne sont pas concernés, ils sont dotés de réacteurs fournis par General Electric.

> Nouvelle vie pour les A380 d'occasion

(source Les Echos) 3 août - La nouvelle vie du premier Airbus A380 d'occasion commence bien. Un mois à peine être passé des mains de Singapore Airlines - qui l'a exploité pendant dix ans - à  celles du loueur d'avions portugais Hifly , le tout premier A380 à avoir changé d'exploitant - qui est aussi le sixième exemplaire fabriqué par Airbus - a déjà gagné trois contrats d'affrètements, dont un pour le compte d'Air Austral. La compagnie de l'île de La Réunion va en effet affréter pour deux semaines, du 24 août au 9 septembre, le « superjumbo » de Hifly, pour assurer la desserte de Sain-Denis de La Réunion.
 
L'A380 de Hifly remplacera l'un des deux Boeing 787 d'Air Austral, cloué au sol pendant trois mois, le temps d'une inspection approfondie de ses moteurs Rolls-Royce. Une mesure imposée par l'Agence européenne de sécurité aérienne  après plusieurs incidents techniques survenus sur ce type de moteurs chez d'autres compagnies, dont Air Austral se serait probablement passé, même si les frais de remplacement de l'appareil seront probablement à la charge du motoriste britannique. (...)

Pour la plupart des passagers (...), l'arrivée de l'A380 sera plutôt une bonne surprise. Au lieu d'un petit B787-8 bi-classes de 262 sièges dont 18 « affaires », ils voyageront dans l'un des A380 les plus luxueusement aménagés qui soit, avec 471 sièges, dont 12 fauteuils de première classe et 60 sièges couchettes affaires hérités de Singapore Airlines. (...)

(...) Ce mois-ci, la low cost  Norwegian a également réservé l'A380 de Hifly pour (...) remplacer « pendant quelques semaines » l'un de ses Boeing 787 cloué au sol par la même mesure d'inspection de ses moteurs Rolls-Royce.
 
(...) Selon les chiffres fournis par un spécialiste des affrètements, Hifly facturerait à ses clients compagnies aériennes de l'ordre de 45.000 euros l'heure pour son A380, assurance et équipage inclus.

(...) Le loueur (...) espère élargir la base de clientèle et générer des débouchés pour la dizaine d'A380 qui arriveront sur le marché de l'occasion dans les cinq prochaines années, afin de leur éviter le triste sort des deux premiers A380 de Singapore Airlines, condamnés au démantèlement faute de repreneurs.

Mon commentaire : Louer un avion, ce n'est pas une première. Mais quand il s'agit d'un des A380 délaissés par Singapore Airlines après à peine dix ans d'exploitation, c'est un évènement.

La Presse Boursière

> Air France-KLM : Bien orienté, un analyste en soutien

(source Cercle Finance) 6 août - (...) Oddo BHF réitère son opinion 'achat' sur le titre de la compagnie aérienne et relève sa cible de 9,5 à 10,3 euros (...).
 
Dans sa note de recherche, l'analyste souligne que le groupe franco-néerlandaiscontinue de bénéficier d'un environnement porteur avec une demande solide " et tient un " discours rassurant sur le contrôle des coûts unitaires ".

Le bureau d'études pense que le potentiel de baisse est finalement limité dans un scénario le plus défavorable, mais que les implications de l'arrivée d'un nouveau CEO offrent un potentiel d'appréciation significatif.

Fin de la revue de presse

> Mon commentaire sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM

L'action Air France-KLM est à 8,59 en clôture lundi 6 août. Après l'annonce de résultats meilleurs que prévus, elle gagne 11,7 % en une semaine.

La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM se situe à 9,27 euros.

Le baril de pétrole Brent (mer du nord) est stable à 74$.

Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.

Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur du groupe Air France-KLM.

Vous pouvez me poser, par retour, toute question relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...

A bientôt.

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| François Robardet

Administrateur Air France-KLM représentant les salariés actionnaires PS et PNC

Lettre rédigée avec la collaboration de Christian Magne
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