N°667, 3 septembre 2018
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La Revue de Presse du lundi ...
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Baptême du feu imminent pour le DG d’Air France
(source Libération) 30 août - L’intersyndicale, réunie jeudi, a
annoncé un «fort durcissement» du rapport de force avec les dirigeants
de la compagnie aérienne. En cause, les revendications salariales non
entendues depuis le départ en mai de l’ancien patron Jean-Marc
Janaillac.
«Cette fois-ci on est dans le dur, et ça va être sérieux.» Cette
réflexion d’un pilote d’Air France au cuir tanné par des années de
syndicalisme en dit long sur le climat social plutôt orageux de la
compagnie en cette fin du mois d’août. (...) Après une fin
d’hiver et un printemps émaillés par dix-neuf jours de grèves et la
démission non attendue du PDG Jean-Marc Janaillac, Air France rempile
pour un des plus durs conflits sociaux de son histoire. Les arrêts de
travail ont déjà coûté 335 millions d’euros de manque à gagner et rien
ne laisse entrevoir, à ce jour, une fin de crise. De nouveaux arrêts
pourraient sérieusement plomber l’avenir de la compagnie nationale en la
faisant sortir des opérateurs de premier rang. Au fil des ans,
le transport aérien est devenu de plus en plus concurrentiel et les
voyageurs n’ont que l’embarras du choix pour aller à New York ou
Shanghai. Représentante des salariés au conseil d’administration et
pilote de Boeing 777, Véronique Damon est aux premières loges pour
constater le blocage qui met Air France en péril : «Nous sommes face à
deux points de vue difficiles à concilier. La direction ne veut pas voir
les problèmes sociaux et les organisations syndicales ne peuvent être
audibles que par le conflit.» En interrogeant les
deux parties, Libération a pu constater ce hiatus. (...) «Cela fait six mois que ça dure, les syndicats ont
commencé à réclamer 6 % d’augmentation, puis 5,1 %, alors qu’en France,
la masse salariale des entreprises a dû progresser de seulement 1 %
cette année», renchérit un membre de la direction générale. De son côté,
le président du Syndicat national des pilotes de ligne (SNPL), Philippe
Evain, est tout aussi remonté : «La situation est ubuesque, le conseil
d’administration d’Air France-KLM décide des émoluments du nouveau
directeur général, mais avec les salariés, rien ne se passe alors que
l’entreprise réalise des bénéfices depuis quatre ans pendant que nos
salaires sont bloqués.» Chose rare chez Air France, alors que
les discussions sont officiellement rompues, aucun contact officieux
n’est organisé, préliminaire habituel à la reprise des négociations.
Traditionnellement, même dans les moments de pire fâcherie
direction-syndicat, les belligérants ont pour coutume de se retrouver
dans un bistrot pour maintenir le contact et préparer la suite.
Si pour l’heure le mot «grève» n’a pas encore été prononcé, ce serait
pour certains salariés une question de jours. «En fait, explique l’un
d’eux, les pilotes attendent le 4 ou le 5 septembre car c’est au début
de chaque mois que leur sont communiqués les plannings de vol. A ce
moment-là, il suffit de regarder sur quelles dates sont programmés les
plus enclins à faire grève, pour décider à quel moment elle aura lieu,
de manière à perturber au maximum le programme de vols.» Si les avions
aux dérives bleu-blanc-rouge restent de nouveau cloués au sol, les
passagers se détourneront-ils durablement de la compagnie pour lui
préférer Easyjet en Europe, American Airlines ou Emirates sur les
destinations plus lointaines ?(..) Le député LREM Jean-Baptiste Djebbari, pilote
de profession, est, (...) inquiet : «Le président du [SNPL] est dans
une logique de rapport de force. Une nouvelle grève serait toxique pour
l’avenir d’Air France.» Le mois de septembre sera de toute évidence
crucial. (...) Deux scénarios
semblent se dessiner. Le plus défavorable passerait par un blocage
persistant des discussions sur les augmentations de salaires qui se
traduirait par des arrêts de travail à répétition au moment où se font
les réservations pour la saison d’hiver et les vacances de fin d’année.
Combinée à la hausse du prix du kérosène, cette spirale pourrait faire
renouer Air France avec les pertes. En 2017, le groupe Air France-KLM a
réalisé un bénéfice d’exploitation de 1,5 milliard d’euros. Néanmoins,
il demeure beaucoup plus faible que celui de ses concurrents directs,
Lufthansa et British Airways. Dans cette hypothèse, un des alliés d’Air
France figure idéalement en embuscade pour prendre le pouvoir. La
compagnie américaine Delta possède déjà 8,8 % du capital d’Air
France-KLM et elle pourrait être tentée d’augmenter sa participation et
de s’offrir ainsi une tête de pont en Europe. Une mésaventure similaire
est arrivée à Alitalia à Rome et à Iberia à Madrid, passées
respectivement sous le contrôle d’Etihad (Abou Dhabi) et British
Airways. Une autre issue reste envisageable. Le nouveau DG d’Air
France-KLM, nommé le 16 août, s’est illustré par des accords sociaux de
longue haleine avec les personnels d’Air Canada, son ex-employeur. «Il
pourrait être tenté de proposer aux syndicats d’Air France une
augmentation de salaires étalée sur dix ans et à condition que les
bénéfices soient au rendez-vous, comme il l’a fait au Canada», estime un
membre du CA. Vérité d’un côté de l’Atlantique…
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Air France KLM : Le gouvernement dresse le portrait d'un patron pour Air France
(source Reuters) 31 août - - Air France doit avoir un patron à la
fois attentif au contexte social de la compagnie française et capable de
la ramener dans la course face à ses concurrentes internationales, a
déclaré vendredi le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux.
Air France-KLM, maison-mère de la compagnie française, a nommé le 16
août Benjamin Smith, numéro deux d'Air Canada, au poste de directeur
général en annonçant son arrivée "au plus tard" le 30 septembre.
Une source proche du dossier a dit à Reuters la semaine dernière que
Franck Terner pourrait être remplacé à la direction générale d'Air
France, son éventuel successeur étant destiné à devenir le principal
interlocuteur des syndicats, qui ont déjà mené cette année 15 jours de
grèves sur les salaires. "Air France doit pouvoir demain
rivaliser avec de grandes compagnies internationales et faire face à la
concurrence, c’est ça au fond le portrait de celui ou de celle qui aura
vocation à prendre cette direction", a dit Benjamin Griveaux en réponse
à une question sur le profil recherché pour le futur patron d'Air
France. "Une écoute attentive au contexte social d’une
entreprise dont on connaît l’identité particulière mais aussi une
stratégie pour lui permettre de répondre à la concurrence croissante sur
un secteur aérien en pleine croissance", a-t-il précisé lors du compte
rendu du conseil des ministres. "Tout bon dirigeant d’un groupe,
quel que soit le groupe, doit avoir à cœur le bien-être des salariés,
doit entendre les revendications qui sont celles des salariés, exprimées
parfois par des partenaires sociaux qui les représentent, et en même
temps proposer une stratégie gagnante pour une entreprise qui est dans
un secteur en croissance mais un secteur extrêmement concurrentiel",
a-t-il ajouté. (...)
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La compagnie aérienne Hop va supprimer et...recréer des emplois à Nantes
(source France Bleu Loire Océan) 31 août - La compagnie aérienne Hop
devrait présenter un plan de sauvegarde de l'emploi qui va concerner 110
salariés dans toute la France selon les informations présentées jeudi en
comité d'entreprise (...). Le site de Nantes
devrait être relativement épargné. (...) Parmi ces 110 postes, 35 seront relocalisés et
75 devraient faire l'objet d'un PSE, un plan de sauvegarde de l'emploi.
L'entreprise
va procéder à une réorganisation des services administratifs, elle va
fermer son site de Rungis en région parisienne et relocaliser une partie
du personnel à Nantes et à Clermont-Ferrand. Sur la base de Nantes qui
compte à ce jour 180 salariés et où va être transférée la gouvernance de
la compagnie, 26 postes seront supprimés et 28 recréés dans la foulée
mais il ne s'agira pas des mêmes métiers explique le représentant local
de la CFDT de Hop Etienne Guénat. Un nouveau comité d'entreprise aura
lieu le 12 septembre.(...)
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KLM : pas d’Airbus A350 avant 2021
(source Air Journal) 28 août - La compagnie aérienne KLM Royal Dutch
Airlines a repoussé d’un an l’arrivée dans sa flotte des sept Airbus
A350-900 attendus, et opèrera donc ses Boeing 747 un peu plus longtemps.
Sur la commande de 25 A350-900 fermes et autant en option annoncée
en juin 2013 par Air France-KLM, sept sont destinés à la compagnie
nationale néerlandaise. Mais après un premier report annoncé en janvier
2017 pour l’année 2020 (un an près Air France donc), KLM a de
nouveau repoussé leur entrée en service, cette fois à 2021 au plus tôt.
Un porte-parole a confirmé l’information au blog néerlandais Up in the Sky, la conséquence pour la flotte étant que les douze Boeing 747
resteront en service un an de plus que prévu ; « le développement de la
flotte est un processus dynamique », a-t-il déclaré. Au deuxième
trimestre de cette année, KLM a déjà remplacé trois 747-Combi par autant
de 787-9 Dreamliner. Les livraisons d’A350-900 à KLM devraient
désormais s’étaler entre 2021 et 2023. Les listings d’Airbus indiquent
toujours sept A350-900 pour KLM, ainsi que 21 pour Air France ; dans ce
dernier cas, ils entreront en service d’abord chez la filiale à coûts
réduits Joon, a priori pour la saison hivernale 2019-2020.
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Norwegian Air Argentina commence ses vols intérieurs en Argentine
(source Air Journal) 26 août - Bjørn Kjos, président de la
compagnie aérienne à bas prix Norwegian a confirmé qu’à partir de septembre, il
vendra des billets pour des vols domestiques en Argentine commençant à
partir du 16 octobre par deux vols quotidiens entre Cordoba et Buenos
Aires. En outre, une autre liaison quotidienne reliera Buenos Aires à
Mendoza. Les vols seront opérés en Boeing 737, quatre exemplaires devant
être basés en Argentine d’ici la fin de l’année. Depuis février,
la compagnie a déjà volé entre Buenos Aires et Londres à raison de trois
rotations par semaine en Boeing 787-9 Dreamliner et elle ambitionne de
les étendre à un vol hebdomadaire à partir de décembre.
(...) À la fin de
l’année dernière, le ministère des Transports argentins lui a accordé
l’autorisation d’exploiter 152 lignes en Argentine: 80 lignes
intérieures et 72 en connexion avec l’international, dont 15 sont
reliées à Cordoba.
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Chine : les bénéfices piquent du nez dans l'aérien au 1er semestre
(source AFP) 31 août - Les principales compagnies aériennes chinoises
ont vu leurs bénéfices chuter durant la première moitié de 2018, l'essor
du nombre de passagers n'arrivant pas à compenser l'envolée des prix du
kérosène et la faiblesse du yuan. China Eastern Airlines a
dégagé un bénéfice net de 290 millions d'euros
sur le premier semestre, soit un plongeon de 47,50% par rapport à la
même période de l'année passée (...). China Southern Airlines -
première compagnie en Asie par l'importance de sa flotte - avait annoncé
plus tôt cette semaine une chute de son bénéfice net de 24%, à 260 millions d'euros. L'entreprise a
cependant annoncé un chiffre d'affaires en hausse de 12%, à 8,5 milliards d'euros. Une croissance au diapason
de celle du nombre de passagers, dopée par l'essor de la classe moyenne
et le développement du tourisme. Air China, compagnie
emblématique du transport aérien en Chine, a fait état d'une baisse
moins prononcée de son bénéfice net (-4,05%), à 440 millions d'euros. Pour autant, Air China a noté dans son
rapport d'activité que la croissance rapide des capacités de transport
avait progressé à un rythme plus lent que celle de la demande.
La Chine est le deuxième marché aéronautique mondial et pourrait
dépasser les Etats-Unis dans les années à venir. L'an dernier,
American Airlines a pris une participation de 200 millions de dollars
dans China Southern, avec l'objectif que les deux groupes entament une
coopération renforcée sur les vols transpacifiques. Une manière pour
la compagnie chinoise de muscler son profil à l'étranger et pour
l'américaine de profiter de la croissance du trafic aérien du géant
asiatique.
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Inde : des compagnies paradoxalement en difficulté
(source l’Écho touristique) 31 août - Les transporteurs mondiaux ont afflué en
Inde, attirés par le boom des voyages intérieurs, et ce qui devrait
devenir le troisième marché aérien mondial d’ici 2025. Pourtant, l’Inde
s’est révélée être un terrain de jeu très concurrentiel, où les profits
sont rares et l’espérance de vie des compagnies aériennes plus faible.
Jet Airways India Ltd. vient de communiquer le compte-rendu de son
conseil d’administration. Un document intitulé « Jet Airways envisage
une levée de fonds et accélère sa stratégie de redressement ».
Effectivement la compagnie indienne, l’un des premiers transporteurs à
s’être lancé après l’ouverture du marché au début des années 90, a
besoin de liquidités pour répondre à ses besoins. (...)
Il s’agit là du dernier signe des difficultés du
secteur aérien indien en proie à une guerre tarifaire qui a rendu la vie
difficile aux transporteurs étrangers, que ce soit le groupe malaisien AirAsia Group ou Singapore Airlines. Et la concurrence devrait
s’intensifier si Qatar Airways donne suite à sa proposition de créer une
compagnie aérienne court-courrier dans le pays. (...) Il faut savoir que
les
transporteurs indiens paient les plus hauts prix du carburéacteur au
monde, à cause des taxes locales allant jusqu’à 30%. Mais la véritable
cause a été une guerre tarifaire prolongée qui a tellement réduit les
prix des billets qu’ils peuvent difficilement couvrir les coûts. Alors
que l’Inde a connu 46 mois consécutifs de croissance passager à deux
chiffres, le marché reste difficile pour les compagnies aériennes.
Depuis le milieu des années 2000, des transporteurs à bas coûts comme IndiGo et SpiceJet
Ltd. ont été obligés d’offrir des réductions aux passagers à la
recherche d’une bonne affaire. (...)
Air India, le transporteur
d’État, survit seulement aux renflouements, mais aucun soumissionnaire
n’a manifesté d’intérêt alors que le gouvernement souhaite céder une
partie de ses actifs cette année. AirAsia, entré en 2014 avec un vœu de
rentabilité en quatre mois, est encore loin d’atteindre son objectif.
Vistara, la joint-venture entre Singapore Airlines et le groupe Tata qui
a débuté en 2015, n’a pas encore réalisé de bénéfices. SpiceJet était en
difficulté cette même année. Cependant, tous les transporteurs
indiens ne perdent pas d’argent. IndiGo, qui a démarré en 2006 en
mettant l’accent sur la ponctualité et les billets à bas prix, a réussi
à limiter les coûts. Elle n’a jamais perdu d’argent depuis son lancement
en 2015. Sa flotte d’avions est également plus récente et plus
économique que de nombreux concurrents.
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Pourquoi certaines compagnies aériennes ont-elles rallongé leurs trajets ?
(source Le Figaro) 28 août - Vous avez peut-être remarqué que
certains trajets en avion sont plus longs qu'avant. Du moins, que les
horaires de vol affichés sur votre billet d'avion ne correspondent pas
toujours au temps de trajet effectif. Pour en avoir le cœur net, une
association de consommateurs britanniques, Which?, a passé au crible 125
vols proposés par quatre compagnies (Ryanair, Virgin Atlantic, Easyjet
et British Airways) et comparé les temps de trajet indiqués sur les
billets d'avion en 2009 à ceux de 2017. Résultat: sur 76 d'entre eux, la
durée du vol - si l'on se fie aux horaires affichés - s'est en effet
allongée de plusieurs dizaines de minutes. (...) Les
compagnies aériennes «bricolent» régulièrement les horaires de vol
prévus pour se donner une marge de manœuvre, explique Keith Mason,
professeur de gestion des transports aériens à l'université de Cranfield,
cité par Which?. Cela permet notamment aux compagnies aériennes
d'améliorer leur ponctualité. «En effet les compagnies vont proposer des
temps de vol qui peuvent permettre de tenir la ponctualité compte tenu
des aléas possibles, notamment la saturation des infrastructures»,
confirme auprès du Figaro Didier Bréchemier, spécialiste du transport
aérien au cabinet Roland Berger. L'allongement du planning des
vols s'explique aussi par «la saturation du ciel qui accentue
l'augmentation des temps de roulage» (le temps où l'avion arrive et
repart), ajoute Didier Bréchemier. Entre 2011 et 2016, le trafic aérien
européen a en effet augmenté de 30%. Résultat, un vol sur cinq subit un
retard supérieur à 20 minutes. (...)
Mais
cet allongement des temps de trajet ne garantit pas pour autant un
meilleur respect des horaires prévus. L'an dernier, Ryanair affichait un
taux de ponctualité de 86%, Easyjet de 79%, British Airways de 77% et
Virgin Atlantic de 82%, selon le classement réalisé par la plateforme
AirHelp, dévoilé par le Figaro. En tout cas, cette méthode permet de
réduire les compensations auxquelles peuvent prétendre les passagers
(jusqu'à 600 euros pour un retard supérieur à trois heures). Un bénéfice
qui ne peut être négligeable, pour des compagnies en recherche d'un
maximum d'économies sur un marché hautement concurrentiel.
La Presse
Boursière ...
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Air France-KLM : la rentrée sera chaude
(source Zone Bourse) 30 août - Benjamin Smith, le futur directeur général
d'Air France KLM, ne s'attend sûrement pas à un début de mandat de tout
repos. Sa mission principale consiste même à réduire la profonde
fracture entre la direction et les syndicats d'Air France. Histoire de
bien planter le décor, l'intersyndicale a même durci le ton ce jeudi 30
août, entraînant un, énième, plongeon du titre en bourse : -10,5%
en deux jours (...).
Fin de la revue de presse
> Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 8,384 en clôture
lundi 3 septembre. Elle perd 9,5% en une semaine, suite à l'annonce par
des syndicats d'Air France d'un durcissement de leur mouvement.
La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM se situe à
9,57 euros.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord) est
à 78$. Il a augmenté de 2$ en une semaine.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
A bientôt.
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François Robardet
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Magne Cette revue de presse traite de sujets
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