N°669, 17 septembre 2018
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La Revue de Presse du lundi ...
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Benjamin Smith, le nouveau patron canadien d'Air France-KLM, entre en piste
(source Les Échos) 16 septembre - L'heure de l'embarquement a sonné pour Benjamin
Smith. Un mois après l'annonce de sa nomination, le nouveau directeur
général d'Air France-KLM prend officiellement ses fonctions ce lundi,
même si, selon certaines indiscrétions, l'ancien numéro deux d'Air
Canada avait déjà commencé à rencontrer les principaux dirigeants du
groupe. (...) Sans être saluée par
des hourras, l'arrivée de Benjamin Smith représente un certain
soulagement mêlé d'espoir prudent chez Air France-KLM. Elle met
formellement fin à une période d'incertitude de quatre mois, ouverte par
le vote de rejet du projet d'accord salarial et la démission du PDG,
Jean-Marc Janaillac. Elle constitue aussi une promesse de rupture dans
l'histoire d'Air France, Benjamin Smith étant à la fois le premier
étranger et le plus jeune patron jamais nommé à la tête d'Air
France-KLM. Mais c'est aussi et surtout la première fois qu'Air
France-KLM se choisit un professionnel expérimenté, ayant fait toute sa
carrière dans le transport aérien. Tous ses prédécesseurs, même s'ils
avaient quelques connaissances du secteur, étaient issus de la haute
administration française. (...) D'après quelques témoignages
recueillis auprès de salariés d'Air Canada, Benjamin Smith a su se faire
apprécier à ses différents postes. Perçu comme un « homme de terrain et
de dialogue », « Ben » avait notamment pour habitude de faire la tournée
des popotes plusieurs fois par an, pour expliquer ses décisions aux
employés d'Air Canada. A chaque intervention, il insistait
notamment sur la nécessité pour chaque salarié, de placer le service au
client au cœur des préoccupations. Un sens de la communication qui
devrait lui être utile chez Air France-KLM. Cependant,
Benjamin Smith va devoir surmonter des obstacles bien plus redoutables
chez Air France-KLM. A commencer par la question des revendications
salariales chez Air France. (...)
« Toute tentative visant à
repousser la conclusion d'un accord portant sur les salaires sera [...]
perçue comme une attitude extrêmement mal venue », prévient le principal
syndicat de pilotes SNPL AF, qui met également en garde les dirigeants
d'Air France contre la tentation d'attendre début décembre, l'élection
d'un nouveau bureau du SNPL AF, « plus conciliant », pour faire des
concessions. (...)
Car contrairement à Air Canada - où la
direction avait pu imposer aux syndicats une révision à la baisse des
accords sans que ces derniers puissent recourir à la grève, dans le
cadre de la loi des faillites canadienne -, Benjamin Smith ne pourra
rien changer chez Air France sans en passer par un accord avec le SNPL
AF. La création d'une véritable filiale long-courrier à coûts
réduits, la poursuite du développement de la filiale low-cost Transavia
ou l'achat de nouveaux avions régionaux plus performants pour Hop !
nécessitent notamment d'être négociés et approuvés par le SNPL AF.
Benjamin Smith est également attendu sur
la gouvernance d'Air France et de KLM, dirigée respectivement par Franck Terner et Pieter Elbers. Au premier est reproché, à tort ou à raison,
l'échec des négociations salariales et une accumulation de difficultés
opérationnelles ayant conduit à une multiplication des retards et
annulations de vols cet été. Quant au second, si son bilan
à la tête de KLM semble inattaquable, le degré d'autonomie de la
compagnie néerlandaise vis-à-vis du groupe, ainsi que le non-respect de
l'accord initial sur la répartition de la croissance entre Air France et
KLM, sont autant de sources de tensions au sein du groupe. (...) Cependant,
le succès ou l'échec du nouveau patron dépendra aussi des
choix du gouvernement sur deux dossiers clefs : la réduction des charges
pesant sur Air France et l'éventuelle cession des 14 % du capital encore
détenu par l'État. Or, sur ces deux dossiers, les intentions du
gouvernement sont encore très floues. Les Assises du transport
aérien, lancées en mars dernier par la ministre des Transports Elisabeth
Borne pour réfléchir aux moyens d'améliorer la compétitivité du
transport aérien français, tardent à déboucher sur des mesures
concrètes. Initialement attendus pour septembre, les arbitrages
interministériels ont pris du retard et ses « conclusions » ne seront
pas connues, au mieux, avant la mi-octobre. Mais certains évoquent déjà
un report à la fin de l'année. Le diagnostic est pourtant
bien connu. Avec des charges sociales et des taxes très supérieures à
celle de nos voisins européens, le transport aérien français - et Air
France en particulier - est lourdement pénalisé. (...)
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Air France : les 100 pilotes les mieux payés perçoivent 300 000 euros par an
(source Libération) 13 septembre - Selon un document interne à la
compagnie, que s’est procuré Libération, près de 100 pilotes (99
exactement ...) émargent à plus de 300 000 euros brut
par an. La plupart d’entre eux sont des commandants de bord, souvent
arrivés au grade d’instructeur et qui pilotent les plus gros avions
d’Air France. Généralement des appareils dédiés aux liaisons
long-courriers comme les Boeing 777 et les Airbus A380. Une règle
intangible veut, en effet, que la fiche de paie d’un navigant augmente
en fonction de la masse de l’avion et de sa vitesse. Premier
constat, parmi les 100 pilotes les mieux payés, les hommes constituent
une majorité plus qu’écrasante. Seule une femme figure dans cette
catégorie. Dans les cockpits, la parité a encore de sérieuses marges de
progrès. Certes, la profession s’est tardivement féminisée et
l’avancement dans une compagnie aérienne passe par un cursus aussi long
que balisé. Ce n’est peut-être pas la seule raison. «Au moment des
évaluations, les instructeurs ne sont pas tendres avec les femmes
pilotes qu’ils estiment moins aptes à gérer un incident de vol», glisse
un responsable syndical. Ce niveau de rémunération pourrait
surtout peser dans les délicates négociations salariales, chez Air
France, qui, depuis le mois de février, ne trouvent pas d’issue.
(...) L’intersyndicale
de la compagnie demande une augmentation de 5,1% des rémunérations pour
2018, toutes catégories de personnels confondues. Un chiffre destiné à
rattraper six années de blocage des salaires. Les pilotes pourraient, en
outre, demander une rallonge spécifique de 3% ou 4% supplémentaires. La
direction pourrait donc être tentée de leur rappeler le niveau de
rémunération atteint par les plus qualifiés pour les inviter à la
modération. D’autant que les dix pilotes les mieux payés
perçoivent 340 000 euros par an, à peu de choses près, la même fiche de
paie que les dix membres de la direction générale les mieux rémunérés.
Ils émargent en moyenne à 360 000 euros par an. (...) Selon le bilan social d’Air France, que Libération a également pu
consulter, près de 30% des pilotes d’Air France émargent à plus de 200
000 euros brut par an. La secrétaire
générale de la section CGT (...) estime «qu’il ne devrait pas y avoir un écart supérieur de 1 à 20 entre
les plus faibles et les plus hautes rémunérations» tout en considérant
que le commandant de bord d’un avion de 500 passagers «a plus de
responsabilités qu’un membre de la direction générale». (...)
Le secrétaire
général de FO-Air France, résume sans doute une sorte de consensus
interne autour de cette question récurrente du salaire des pilotes les
mieux payés : «C’est une micro caste que l’on va chercher à montrer du
doigt. Je ne suis cependant pas sur la position d’aller attaquer une
catégorie de personnel.»
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HOP! Air France : 120 suppressions de postes administratifs, débrayage le 17 septembre 2018
(source Air Journal) 13 septembre - Lors de son comité d’entreprise
du 12 septembre 2018, la direction de HOP! Air France a annoncé la
suppression de 120 postes les services supports administratifs, à quoi
s’ajoutent la suppression de 126 postes en escale déjà prévues à Lyon et
Nantes. (...) Dans son appel au débrayage du 17 septembre,
la CFDT
dénonce la mauvaise gestion de HOP! par la maison-mère Air France-KLM :
« Entre 2013 et 2017, l’offre commerciale a diminué de 25% et les
charges avions ont reculé de 21% sur la même période. La restructuration
du réseau, qui ressemble désormais à une peau de chagrin, a été opérée
mais est percutée par la LGV Paris-Bordeaux et le TGV Bretagne. Les
fermetures de certaines lignes ont laissé le tarmac grand ouvert à
EasyJet et Volotea, qui n’en espéraient pas tant ! Cette attrition
déstabilise les résultats de HOP !
Face aux low cost, l’accord de
Scope Clause (qui limite les avions de HOP ! à moins de 110 sièges)
signé entre la direction d’Air France et le SNPL [syndicat des pilotes,
ndlr] empêche le développement de la compagnie !
De même, nous
pouvons nous poser la question suivante : le Groupe Air France-KLM
n’a-t-il pas défini les perspectives de développement de Transavia au
détriment de HOP ! ? De plus, les importants problèmes opérationnels
liés à la fusion de 2016 et au départ des pilotes, depuis 2017, vers Air
France ont accentué la désorganisation de l’entreprise et du collectif
de travail. »
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Air France s’envole pour Dallas et Joon atterrit à Quito
(source Air Journal) 14 septembre - Air France reliera Paris à Dallas
aux États-Unis dès le printemps prochain, sa treizième destination aux
États-Unis. (...) Air France sera en concurrence sur ce
trajet avec American Airlines (...). Rappelons qu’au départ de Paris, Air
France dessert déjà 12 villes aux États-Unis à savoir Atlanta, Boston,
Chicago, Detroit, Houston, Los Angeles, Miami, Minneapolis, New York,
San Francisco, Seattle, Washington. (...) La desserte de Quito en Équateur débutera à partir du 14 mai 2019.
Elle sera opérée par Joon, la low-cost d’Air France sur
les vols long-courriers. (...) La ligne sera
opérée en Airbus A340 (...). Joon
sera sans concurrence sur ce trajet Paris-Quito qui s’ajoute à la
connectivité déjà offerte par la compagnie partenaire KLM Royal Dutch
Airlines. La compagnie hollandaise propose un vol quotidien en Boeing
777 vers Quito et Guayaquil au départ d’Amsterdam-Schiphol.
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L'État italien veut remettre la main sur Alitalia
(source Les Échos) 13 septembre - Une nouvelle compagnie sera créée
dont 51 % du capital sera détenu par un consortium d'entreprises
publiques piloté par Ferrovie dello Stato, la SNCF locale. (...)
Restera ensuite à choisir un partenaire industriel. Pour
l'instant le britannique Easyjet, l'allemand Lufthansa et le hongrois
Wizz Air ont manifesté leur intérêt pour au moins une partie d'Alitalia.
Les échéances se rapprochent. Le 15 décembre le prêt-relais de 900
millions d'euros consenti par l'État doit être remboursé et
d'ici la fin
du mois d'octobre le nom du partenaire, qui deviendra en fait principal
investisseur de la nouvelle Alitalia, doit être dévoilé. Il ne viendra
plus du Moyen-Orient, après l'échec de la gestion Etihad, mais peut-être
d'Extrême-Orient. Le sous-secrétaire d'État au Développement économique, Michele Geraci a confirmé qu'il étudiait toutes les opportunités,
Air
China étant la compagnie la plus citée. « Nous cherchons un investisseur
stratégique, un actionnaire minoritaire, prêt à relancer la société. Une
compagnie aérienne asiatique pourrait être la meilleure solution,
beaucoup plus intéressante qu'une allemande qui viendrait nous faire
concurrence » Reste à savoir également qui dirigera la compagnie
en attendant que la nouvelle Alitalia décolle en 2019. Elle
est toujours
placée sous la tutelle de trois commissaires qui ont amélioré les
comptes mais préviennent que beaucoup reste à faire. « Pour assurer
l'avenir d'Alitalia, explique l'un d'entre eux, Luigi Gubitosi, il faut
des interventions structurelles, ce qui implique un plan d'au moins 5
ans avec des investissements sur la flotte ». Déjà placée sous
la surveillance des autorités de la concurrence à Bruxelles, Alitalia
devra également veiller à ce que le soutien d'entreprises publiques ne
soit pas considéré comme une aide d'État illégale.
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Norwegian supprime son service entre Londres et Singapour
(source Air Journal) 17 septembre - Le dernier vol de la low-cost
Norwegian Air Shuttle à destination de Londres Gatwick quittera
Singapour le 11 janvier, selon le site de Norwegian.
(...) La disparition de ce service met un doute
sur l’économie de l’aviation long-courrier low-cost notamment vers
l’Asie, alors que les prix du carburant augmentent, et en particulier
sur des liaisons déjà compétitives. À environ 80 dollars le baril, le
pétrole brut de Brent a presque triplé par rapport à 2016.
Norwegian qui a lancé cette liaison en septembre 2017, disant alors que
l’Asie serait un « élément clé de sa croissance future », misait sur une
configuration densifiée et des coûts d’exploitation réduits du Boeing
787 Dreamliner qui lui permettraient de chiper des passagers à ses
concurrents dits traditionnels tels que British Airways, Singapore
Airlines (ou encore Qantas), également présents sur cet axe mais depuis
Heathrow. Rappelons aussi que dans le but de réduire son
endettement à hauteur de 2 milliards d’euros, Norwegian a entamé des
négociations pour vendre 90 Airbus A320neo encore en commande chez
l’avionneur Airbus. De même, le mois dernier, le groupe IAG a confirmé
qu’il n’envisageait plus l’acquisition de Norwegian après avoir acheté
au début de l’année une participation de 4,61% en vue de négociations de
rachat.
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Aéroport Bâle-Mulhouse : une compagnie aérienne low-cost desservant l’Amérique pourrait voir le jour en 2019
(source france3-régions) 12 septembre - Alvaro Oliveira, un ancien pilote
de Ryanair et 3 associés espèrent réunir cette semaine 100 millions de
dollars, soit environ 86 millions d'euros, pour la création d'une
compagnie aérienne low-cost basée à l'aéroport Bâle-Mulhouse. Baptisée «Swiss
Skies» elle pourrait voir le jour au second semestre 2019, ont indiqué
les fondateurs au "Financial Times". La société table sur des coûts
inférieurs de 30% à celle des compagnies aériennes établies et vise un
chiffre d'affaires de 1,5 milliard de dollars en cinq ans. 5000 emplois,
dont 50% directement liés aux activités aéroportuaires, pourraient être
créés, selon les fondateurs. La société va se concentrer sur les
destinations en Amérique du Nord, notamment celle de Cincinnati aux
États-Unis. "De nombreux voyageurs seront ravis de pouvoir profiter
de vols internationaux depuis des aéroports moins surchargés et plus
proches de chez eux, ce qui leur permettra de réduire sensiblement les
coûts engagés tout en diminuant de 30% le temps de voyage", selon Alvaro
Oliveira, co-fondateur de Swiss Skies, qui vise à terme 45 destinations
sur cinq continents.
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Google se lance dans les guides de voyages
(source Le Soir) 16 septembre - Le département
d’expérimentation de Google, Aera
120, tente une nouvelle expérience avec son service de planification de
voyages. L’outil se destine à faciliter les explorations des voyageurs à
travers une vingtaine de grandes villes. Un concept qui rappelle
étrangement celui de la maison mère, Google Trips.
Le plus
étonnant est que ce nouvel outil made in les locaux de Google
n’est pas
une application, mais un site Internet conçu pour tourner sur les smartphones
qui répertorie les lieux incontournables, les attractions et les
activités d’une vingtaine de villes pour le moment. (...)
En cliquant sur l’une des
villes (...), on peut voir les activités répertoriées suivant des
catégories ; conseils locaux, les incontournables, les tours gratuits,
mais aussi suivant les intérêts des voyageurs. (...)
Ces parcours par intérêts
sont sans doute le point le plus intéressant sur Touring Bird. Google
affirme que les informations et les guides sont réalisés par des équipes
de connaisseurs. Près de 400 contributeurs locaux ont participé aux
projets, référençant près de 25.000 activités et 2.000 conseils.
L’autre gros avantage de l’application est l’accès aux termes de
politique d’annulation des réservations quant aux visites et attractions
de chaque ville. En misant également sur les activités gratuites,
Touring Bird se veut orienté vers les consommateurs, l’outil veut :
« aider les voyageurs à explorer, comparer et réserver des circuits,
billets et activités de plusieurs fournisseurs à travers le monde – le
tout en un seul endroit » (...).
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Double caisse à l'aéroport de Nice : les compagnies attaquent l'État
(source La Tribune) 17 septembre - (...) Selon nos informations, ce
jeudi, deux associations de compagnies aériennes, le
Scara (syndicat des compagnies aériennes autonomes) et la CSTA (chambre
syndicale du transport aérien, membre de la Fnam, la fédération
nationale de l'aviation marchande) ont déposé un recours au
Conseil d'État contre un arrêté signé le 12 juillet par la
ministre des transports, Elisabeth Borne, autorisant la mise en
place d'un système dit de "double caisse" à l'aéroport de Nice,
qui a pour conséquence d'entraîner une hausse des redevances
aéroportuaires payées par les transporteurs.
Contrairement au système dit de "caisse unique", dans lequel les revenus
des commerces et parkings sont mélangés avec ceux des redevances
aéroportuaires, la "double caisse" sépare la comptabilité de ces deux
sources de revenus. Résultat : les services
aéronautiques, qui font partie du périmètre régulé, ne peuvent plus être
subventionnés par les revenus des commerces ou des parkings
(services dits extra-aéronautiques) sur lesquels les aéroports ont la
liberté de fixer les prix et qui dégagent de très fortes marges. Par
conséquent, privés de cette manne pour atteindre les niveaux de
rentabilité espérés par les actionnaires dans la caisse aéronautique,
(CMPC, le coût moyen pondéré du capital, le taux de rentabilité annuel
moyen attendu par les actionnaires et les créanciers en retour de leur
investissement), les aéroports augmentent les redevances
aéroportuaires. (...) Interrogé, le ministère des transports n'a
pas souhaité commenter. Cette décision, qui est
intervenue en plein pendant les Assises du transport aérien, est
un nouveau mauvais signal envoyé aux compagnies aériennes,
après la décision de privatiser ADP (qui pourrait se traduire par une
hausse des redevances) et les vols supplémentaires accordés à Emirates
en France. Décidées en plein pendant les Assises censées améliorer la
compétitivité du transport aérien français, elles interpellent sur la
volonté de l'État de donner un coup de pouce à ce secteur en difficulté.
Fin de la revue de presse
> Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 8,722 euros en clôture
lundi 17 septembre. L'arrivée de B. Smith et l'absence de
mouvement de grève expliquent sa progression de 4,43% en une semaine.
La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM se situe à
9,57 euros.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord) est
à 79$. C'est la troisième fois en 2018 qu'il atteint ce niveau.
Pour retrouver un cours supérieur à 81 euros, il faut remonter à
novembre 2014.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
A bientôt.
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François Robardet
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