N°674, 22 octobre 2018
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La Revue de Presse du lundi ...
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Un accord sans gagnant chez Air France
(source Les Échos) 20 octobre - Le compromis passé entre la direction
et les syndicats d'Air France n'a rien d'une victoire, ni pour les uns
ni pour les autres et laisse intacts les vrais problèmes.
0,85 % :
tel est le supplément de hausse des salaires obtenu par les syndicats
d'Air France, à l'issue de 15 jours de grève et de six mois de crise de
gouvernance, qui auront coûté à la compagnie 335 millions d'euros (...) soit
une trentaine de millions d'euros supplémentaires sur une masse
salariale d'environ 4,16 milliards, inégalement répartie entre les
44.262 équivalents temps plein d'Air France. Pas de
quoi crier victoire pour autant, du côté de la direction d'Air France,
même si cet accord constitue un premier succès personnel pour le nouveau
patron d'Air France-KLM, Benjamin Smith. Même limitée à 4 %,
la
hausse générale des salaires alourdira les charges d'Air France
d'environ 166 millions d'euros par an. (...)
L'effort supplémentaire consenti représente presque
l'équivalent de l'objectif de réduction des coûts de 1 % par an d'ici à
2020, qui devait permettre à Air France d'amener progressivement sa
rentabilité à un niveau comparable à celui de ses grands concurrents. Un
effort consenti sans aucune contrepartie susceptible d'améliorer la
performance économique d'Air France. Et ce, dans un contexte de hausse
de la facture de carburant qui risque déjà d'amputer sérieusement le
résultat d'exploitation, de 588 millions d'euros en 2017.
Pas de quoi non plus crier victoire du côté des
syndicats, qui sortent une fois de plus en ordre dispersé du conflit.
Les deux principales organisations « réformistes », la CFE-CCG et la
CFDT, qui avaient signé un premier accord salarial en février, se
retrouvent en porte-à-faux vis-à-vis des salariés et à couteaux tirés
avec les autres syndicats à quelques mois des élections
professionnelles. Quant à l'intersyndicale à l'origine des
grèves, sur les dix organisations qui la composaient, quatre seulement
ont signé l'accord. Le fer de lance du mouvement de grève, le syndicat
de pilotes SNPL AF, a préféré réserver sa signature pour un accord
global incluant ses revendications catégorielles, dont le montant total
devrait dépasser celui de la hausse générale sur les feuilles de paie
des pilotes. De quoi
laisser planer le doute sur un retour durable à la paix sociale et à la
croissance chez Air France. Si cet accord a le mérite de permettre de
tourner la page d'une des pires crises de l'histoire de la compagnie, il
ne règle aucun ses problèmes structurels, que sont un niveau de charges
nettement supérieur à ceux de ses concurrents et l'absence de stratégie
à long terme susceptible d'emporter l'adhésion des salariés.
Il
ne contribuera pas non plus à améliorer une rentabilité toujours
insuffisante pour pouvoir faire face sans péril à une nouvelle crise
économique ou financière. Car si jusqu'à présent, la formidable demande
de transport aérien a permis à Air France de remplir ses avions cet été
à des niveaux de prix inespérés, lui permettant ainsi de digérer
la facture des grèves , une baisse d'un seul point de la recette
unitaire coûterait à Air France entre 200 et 300 millions d'euros. Or
lors de la crise de 2008, la recette unitaire avait chuté de 15 %.
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Quelle stratégie pour Ben Smith à Air France-KLM ?
(source Le Point) 21 octobre - Benjamin Smith, canadien, nouveau
directeur général d'Air France-KLM, découvre jour après jour les arcanes
du groupe franco-hollandais, et plus particulièrement ceux d'Air France (...). Sur le plan
social, il doit poursuivre les discussions avec les syndicats de pilotes
qui veulent encore plus d'augmentations que les 4 % accordés aux autres
salariés. Le Syndicat national des pilotes de ligne (SNPL), majoritaire,
n'a pas signé l'accord conclu la semaine dernière (...). C'est
incontournable à Air France. La modernisation et la réforme de la
compagnie passent aussi par des accords avec les pilotes qui ne manquent
pas d'y associer des contreparties financières. C'est une particularité
d'Air France, où une catégorie du personnel décide de la stratégie de
l'entreprise et peut paralyser son évolution. Imaginons un instant que,
chez Renault, les ingénieurs de production décident des modèles de
voitures à lancer… Le groupe affiche trop de marques, constate Ben Smith.
Le passager est confronté à Air France, KLM, HOP !, KLM Cityhopper,
Transavia, Joon. Même des produits d'Air France-KLM peuvent lui être
proposés, comme le programme de fidélisation Flying Blue. HOP !, mal
structurée et qui perd beaucoup d'argent, et Joon, qui se veut à coûts
réduits (pour la compagnie) sans être low-cost (pour le passager), sont
les plus menacées, brouillant l'image d'Air France. Derrière cette
politique de marques apparaît un point-clé de la stratégie des
compagnies aériennes avec la création d'une vraie low-cost
long-courrier. Ce qui veut dire, sur le
plan social, partir d'une feuille blanche en s'appuyant sur la
législation européenne et non plus nationale (...). Sous pavillon français, cet
alignement aux conditions du marché est possible, comme l'a montré
French Bee, la low-cost du groupe Dubreuil et cousine d'Air Caraïbes.
Dans ce dernier cas, le SNPL a donné son accord. Le fera-t-il à Air
France ? Ben Smith apporte son expérience d'Air Canada, où il a créé la
filiale Air Canada Rouge. Autre étonnement du dirigeant venu d'outre-Atlantique, la composition de
la flotte du groupe n'affiche pas moins de vingt types d'avions. À peu
près autant que dans les catalogues d'Airbus et de Boeing réunis. On
pourrait ajouter les configurations différentes des cabines pour un même
type d'avions, ce qui complique encore la gestion. Conséquence, des
sous-groupes réunissent un très petit nombre d'exemplaires. Smith
caricature l'état des lieux en déclarant, selon un de ses proches, qu'il
doit y avoir zéro ou cent appareils par type d'avions. Et le patron de
regarder avec curiosité la flotte de seulement dix Airbus A380 d'Air
France. Le super jumbo, coûteux à exploiter avec un carburant en hausse,
semblerait avoir son avenir derrière lui. La rationalisation du nombre d'avions pourrait passer par une
mise en commun de certains avions entre Air France et KLM. Un équipage
d'Air France pourrait voler de Paris à New York avec un B787 d'Air
France et effectuer le vol retour sur le même avion de KLM, ce qui
permettrait d'optimiser l'emploi des navigants et l'utilisation des
appareils. Là aussi, cela passe par des accords avec les organisations
professionnelles. Cette optimisation pourrait aussi s'appliquer au
moyen-courrier, dont il faut rajeunir les flottes. Il faut en effet
remplacer progressivement les flottes de monocouloirs d'Air France
(famille A320), de KLM (B737), de Transavia Holland et de Transavia
France (B737) et de HOP ! (CRJ et E-Jets) d'ici à 2025. Un minimum de
150 appareils est donc concerné. (...)
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Air France KLM : Forte croissance de Transavia à l’hiver 2018/2019
(source Quotidien du tourisme) 18 octobre - Pour la saison hiver
2018-2019 (28 octobre 2018 au 30 mars 2019), Air France-KLM augmente son
offre de 2,5% par rapport à la saison hiver précédente. En
long-courrier, la croissance de l’offre sera de 2,8 %. De son côté
l’activité passage moyen- et court-courrier connaitra une croissance de
+1,1 %. Enfin, c’est l’activité low-cost du groupe, à travers Transavia,
qui connaitra la plus forte croissance.
Transavia développera son réseau depuis toutes ses bases en France et
aux Pays-Bas avec 18 nouvelles routes (...). Au départ des Pays Bas, la compagnie low-cost du
groupe augmentera son offre de vol de 3,8 % et de 25 % au départ de la
France.
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AFI KLM E&M : un nouvel agrément de l'EASA
(source Boursier com) 16 octobre - AFI KLM E&M a obtenu l'agrément de
l'Agence européenne de la sécurité aérienne (European Aviation Safety
Agency, EASA) portant sur la révision des moteurs de type LEAP-1B. Avec
cette nouvelle étape-clé dans son programme d'industrialisation du
produit LEAP, AFI KLM E&M est désormais autorisé à offrir une gamme
complète de services de support moteurs à ses clients opérateurs de
flottes Boeing 737 MAX : inspection, modification, réparation et
révision. Cette annonce marque un succès et une nouvelle
preuve de la capacité d'innovation d'AFI KLM E&M, qui devient ainsi le
1er fournisseur de services MRO non-OEM à disposer de tous les agréments
pour supporter les moteurs LEAP-1B à travers le monde.
(...) AFI KLM E&M s'est lancé opérationnellement sur ce produit au
printemps dernier, après avoir reçu l'agrément de l'EASA et de la Federal Aviation Administration (FAA) pour la maintenance en ligne (sous
l'aile et sur site) des moteurs LEAP-1A et LEAP-1B. Ce programme
d'industrialisation continue actuellement à monter en puissance. Grâce
aux accords bilatéraux entre l'EASA et la FAA, AFI KLM E&M recevra dans
les prochaines semaines l'agrément des autorités américaines et pourra
ainsi étendre la couverture mondiale de son support moteurs 737 MAX.
En
parallèle, le groupe poursuit ses développements afin de proposer la
même gramme de services complets sur les moteurs LEAP-1A équipant
l'Airbus A320neo.
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Delta Air Lines va utiliser la plate-forme digitale Airbus Skywise
(source Air et Cosmos) 15 octobre - Dans le cadre d'un contrat sur
plusieurs années, Delta Air Lines va utiliser les outils de maintenance
prédictive développés par la plate-forme digitale Skywise pour son parc
d'Airbus A320 et A330. Pas moins de 400 avions Airbus A320 et
A330 de Delta Air Lines seront bientôt connectés à la plate-forme
digitale de maintenance prédictive Skywise conçue et développée par
Palantir Technologies et Airbus. Delta Air Lines a en effet signé un
contrat avec Airbus et sur plusieurs années pour utiliser les outils de
Skywise afin d'analyser les données opérationnelles et les performances
de ses Airbus A320 et A330 afin d'affiner et de déterminer les causes
probables de défaillances ou pannes techniques pour anticiper toute
opération de maintenance. Avec à la clef, pour Delta Air Lines des
immobilisations impromptues réduites et une optimisation de
l'utilisation journalière des appareils connectés.
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easyJet : en plein trou d'air
(source Boursier com) 19 octobre - easyJet chute de
6% à Londres ce vendredi (...). Les capacités devraient
finalement progresser de 4,2% sur l'exercice, soit moins que prévu en
raison des perturbations extérieures à la compagnie (grèves des
contrôleurs, conditions météos...). Le coefficient d'occupation est
attendu à 93,6%, en augmentation d'un point, alors que le trafic, hors
Tegel, est anticipé en hausse de 5,4% avec 84,6 millions de personnes
transportées... Sur l'exercice 2019, easyJet
a indiqué que ses capacités devraient croître d'environ 10% à près de
105 millions de sièges... La recette unitaire, à change constant,
est en
revanche attendue en repli de 1% à 5% sur la première partie de
l'exercice. Si le marché est toujours bien orienté, le
transporteur avait bénéficié d'éléments exceptionnels en 2018, comme les
faillites de Monarch et d'Air Berlin, ainsi que les nombreuses
annulations de vols de Ryanair. Pâques sera par ailleurs comptabilisé au
second semestre lors du prochain exercice. Les coûts unitaires, hors
carburant et à taux de change constant, sont anticipés stables...
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Ryanair, touchée mais pas blessée
(source Les Echos) 22 octobre - Malgré des bénéfices en baisse
de 7 % au premier semestre, Ryanair conserve une rentabilité
record et prépare une nouvelle offensive.
Touchée mais
pas blessée, ni même déstabilisée : tel est le message envoyé par
Ryanair à l'occasion de la présentation de ses résultats
semestriels. Si les effets
conjugués des grèves et de la hausse du prix du pétrole ont fait chuter
ses bénéfices de 7 %, la compagnie low-cost irlandaise
a maintenu ses objectifs annuels et reste championne d'Europe de
la rentabilité, avec une marge nette de 25 %. Malgré les
nombreux vols annulés cet été, le trafic de Ryanair devrait aussi
repasser devant celui du groupe Lufthansa, avec un objectif de 141
millions de passagers sur l'exercice 2018-2019 clos fin mars. Et la
compagnie prépare déjà une nouvelle offensive d'ampleur cet été,
notamment sur le marché français. (...)
Ryanair
compte sur la conjoncture pour accélérer la disparition de ses
concurrents les plus fragiles. « Avec un baril à 85 dollars,
des taux d'intérêt en hausse et un dollar plus fort, les compagnies les
plus faibles ne passeront pas l'hiver », estime Ryanair, qui en veut
pour preuve les disparitions récentes de Skyworks, VLM, Small Planet,
Azur Air, Colbalt et Primera Air. Ryanair (...)
s'estime pour sa part bien protégée de l'aléa pétrolier, ayant couvert
90 % de ses besoins de carburant pour les 12 prochains mois à 68 dollars
le baril.
Par ailleurs, (...) Ryanair vient
(...) de resserrer la vis, en imposant un supplément tarifaire au-delà
du simple petit bagage en cabine. Une décision justifiée par la
nécessité d'éviter les abus et les problèmes à l'embarquement, mais qui
a surtout permis à Ryanair d'augmenter de 27 % les recettes
tirées des options payantes (...).
De quoi permettre à Ryanair de préparer avec sérénité
sa prochaine offensive estivale, qui s'annonce massive. Outre
l'ouverture de ses deux premières bases françaises, à Bordeaux et à Marseille, Ryanair prévoit d'ouvrir plus de 100
nouvelles lignes, a-t-elle indiqué. Avec comme atout supplémentaire,
l'arrivée dans sa flotte des premiers Boeing 737 Max 200, qui offriront
à Ryanair 4 % de capacité supplémentaire (197 sièges contre 189 sur les
B737-800) pour une consommation de carburant réduite de 16 %.
Ryanair en
attend 210 d'ici à 2024, qui devraient lui permettre de rester la plus
« low-cost » des compagnies à bas coûts européennes et de viser les 200
millions de passagers à l'horizon 2024.
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Tata Group pourrait devenir majoritaire chez Jet Airways
(source Déplacements pros) 18 octobre - D'après l'agence Reuters,
Tata Group a engagé des discussions avec Jet Airways pour acquérir une
part importante du capital. Sans doute une majorité qui lui permettrait
de repenser le développement de la compagnie. Le Times of India
précise que les premiers contacts sont positifs et que l'opération
pourrait se concrétiser rapidement. Selon des sources proches du
dossier, Tata pourrait prendre immédiatement 26% du capital puis de
nouveau 26% d'ici 12 mois. Pour Tata, l'univers du transport aérien
n'est pas une découverte. Le groupe possède déjà Vistara avec Singapore
Airlines et AirAsia India, avec le transporteur malaisien AirAsia Group.
Naresh Goyal, président de Jet Airways, n'a pas voulu commenter
l'information, se bornant à rappeler que plusieurs pistes sont possibles
pour aider Jet Airways à franchir la crise actuelle. Une aide financière
d'Etihad Airways, actionnaire du transporteur, n'est pas exclue. Elle
pourrait dépasser les 30 millions d'euros pour permettre l'exploitation
et le paiement des salaires.
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Chypre : la principale compagnie aérienne arrête subitement son activité
(source Le Figaro) 18 octobre - L'arrêt du jour au lendemain
des activités de Cobalt Air, la plus importante compagnie aérienne de
Chypre, a fait l'effet d'une bombe sur l'île. L'État s'est
engagé à rembourser les voyageurs forcés de racheter un billet
d'avion. (...) Dans une déclaration interne citée par le Cyprus
Mail, les dirigeants écrivent qu'ils ont «travaillé sans relâche au
cours des derniers mois pour assurer le financement à long terme» de la
société, mais sans succès. «C'est une déception énorme», ajoute le
texte, qui exprime également des «regrets pour tout inconvénient causé
par cette décision soudaine à nos passagers». (...)
Pourtant,
rien n'annonçait une telle chute. Lancée après la faillite de la
compagnie nationale Cyprus Airways durant la crise, Cobalt Air avait
réussi à devenir, en seulement trois ans, la principale compagnie de l'île. (...) Selon la ministre des transports,
Cobalt souffrait cependant de graves problèmes
de trésorerie, et la compagnie cherchait depuis plusieurs
semaines un nouvel investisseur européen pour renflouer ses comptes. «La
société aurait pu nous prévenir plus tôt», a-t-elle déclaré, ajoutant
que les textes européens interdisaient à l'État chypriote de lui venir
en aide. A l'heure actuelle, le sort des 280 employés demeure incertain.
Cobalt était soutenue financièrement par la compagnie
chinoise Joy Air: basée à Xi'an, cette filiale de la
China Eastern Airlines et du constructeur d'avion public AVIC
possédait 49% du capital de Cobalt. Selon l'AFP, des
restrictions «imposées par Pékin» auraient gêné les transferts d'argent
entre la Chine et Cobalt, étranglant financièrement cette dernière.
La compagnie chypriote ne disposerait ainsi plus que de 15 millions
d'euros sur ses comptes, une somme qui lui permettrait seulement de
payer ses employés, mais pas de faire voler ses avions, la forçant ainsi
à interrompre ses activités.
Revue de presse boursière
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Le secteur aérien à la peine, Mainfirst inquiet pour la demande
(source Reuters) 19 octobre - Le secteur aérien recule vendredi en
Bourse, pénalisé notamment par une note négative de Mainfirst qui
estime
que les compagnies aériennes passeront un hiver difficile. (...) "Nous observons une croissance de la capacité de 8% à
11% cet hiver, des perspectives de demande de plus en plus fragiles et
des coûts de carburant en augmentation : un mélange toxique pour les
bénéfices, les marges et le résultat opérationnel courant", résument les
analystes dans une note sectorielle. Les analystes estiment donc
que le revenu unitaire des compagnies aériennes devrait être sous
pression cet hiver. Le tableau s'annonce néanmoins légèrement plus
positif à l'été 2019 "à mesure que l'industrie s'adaptera (espérons-le)
à un environnement de prix du carburant plus élevé, ce qui permettra de
mieux répercuter la charge des coûts", estiment-ils. Mainfirst
abaisse donc globalement sa prévision de bénéfice de 2019 de 13% à 35%
pour les compagnies aériennes européennes, en attendant d'y voir plus
clair sur les perspectives de l'été 2019. Pour les investisseurs
axés sur le long terme, les niveaux de valorisation de IAG et de
Lufthansa semblent attrayants, estime Mainfirst, mais à court terme, la
dynamique est négative pour toutes les compagnies aériennes.
Fin de la revue de presse
> Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 8,146 euros en clôture
lundi 22 octobre. Elle monte de 2,33% en une semaine.
La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM se situe à
9,55 euros.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord) baisse de
1$ pour revenir à
80$.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
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François Robardet
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