N°687, 21 janvier 2019
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La
Revue de Presse du lundi ...
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Benjamin Smith veut faire d’Air France-KLM la première compagnie aérienne en Europe
(source Journal de l’économie) 19 janvier - Le nouveau patron d’Air France-KLM,
Benjamin Smith,
est pour la première fois depuis sa nomination publiquement intervenu à
l’occasion d’une réunion avec la commission du développement durable du
Sénat. Il n’a pas hésité à montrer l’ambition qu’il avait pour la
compagnie aérienne, en n’occultant pas les difficultés du groupe. Selon
lui, la marque Air France recèle un « très fort potentiel », en
particulier auprès des clients « premium », ceux qui ont les moyens de
s’offrir mieux que la classe éco. C’est aussi la raison qui l’a poussé à
retirer ses ailes à Joon : « La multiplicité des marques a créé de la
complexité et a sans doute affaibli la puissance de la marque Air
France ». Pour parvenir à devenir le premier groupe aérien en
Europe, Air France-KLM va revoir ses offres long courrier afin de leur
apporter « davantage de cohérence, de simplicité et de lisibilité ». La
maintenance va également être revue et améliorée. Ben Smith a également
salué la « qualité » des échanges entre la direction et les partenaires
sociaux, ce qui est un changement considérable par rapport à ce que
l’entreprise a connu au printemps dernier. Le directeur général a su
apaiser le climat social en signant un accord salarial avec toutes les
catégories de personnels. Benjamin Smith n’a pas caché les
difficultés auxquelles l’entreprise faisait face. Il y a « le niveau des
cotisations en France et son absence de plafonnement », la taxe Chirac
qui pèse sur le prix des billets d’avion. Il prévient aussi que la
privatisation d’Aéroports de Paris ne saurait se faire « au détriment de
la compétitivité ».
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AF-KLM houdt zich aan garanties over KLM (AF-KLM adhère aux garanties concernant KLM)
(source ANP, traduit avec Deepl com) 17 janvier - Ben Smith, PDG
d'Air France-KLM, n'a pas l'intention de remettre en cause les accords
passés avec le gouvernement néerlandais concernant la position de KLM au
sein du groupe aérien. C'est ce qu'a déclaré le PDG (...) à la suite d'une rencontre avec une délégation du
gouvernement à La Haye.
"Toutes les garanties qui ont été
accordées depuis la création du groupe seront bien sûr respectées ", a
déclaré M. Smith à l'ANP. "KLM est une partie très importante du groupe
et ça ne changera pas." (...) Il y a
trois ans, Air France-KLM s'était engagée à ne plus centraliser ses
activités. Aucun emploi ou vol ne sera transféré des Pays-Bas vers la
France et KLM conservera le contrôle de ses propres finances. Le
Parlement estime qu'il est très important que cette position
relativement indépendante de KLM reste intacte.
Smith n'a pas voulu commenter les rumeurs
persistantes selon lesquelles il
voulait un siège pour lui-même au conseil de surveillance de KLM.
Il a souligné que ces questions ne relèvent pas de sa compétence. Les
dirigeants et le comité d'entreprise de KLM ne veulent pas que les plus
hauts dirigeants de la société mère puissent également s'immiscer dans
le fonctionnement de l'entreprise en tant que directeur de surveillance.
Un porte-parole du ministre néerlandais des Finances a (...) souligné
l'importance de KLM et de Schiphol pour les Pays-Bas ".
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L'offre Hop! et Ouibus disponible 48h avant départ
(source Déplacements Pros) 17 janvier - Après son annonce
en décembre 2018, la nouvelle offre Air France, qui combine aérien et
bus, est disponible au départ et vers Grenoble, Saint-Etienne, Saint Chamond, Chambéry et Vienne, depuis l'aéroport de Lyon-Saint-Exupéry.
Les réservations seront désormais ouvertes jusqu'à 48h avant le
départ, contre 72h, sur le site officiel de la compagnie aérienne et ses
différents canaux de vente. Pour rappel, cette offre multimodale était
une première pour l'aéroport de Lyon et faisait partie des grandes
annonces de Hop! en fin d'année.
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Transavia lance sa carte cadeau
(source TourMaG) 21 janvier - C'est en partenariat avec
Flightgiftcard, un spécialiste de la carte cadeau, que Transavia
propose à ses voyageurs des bons à offrir à ses proches.
Valable deux ans et à partir de 20 euros, la carte peut être utilisée
sur l'ensemble du réseau de la low-cost. Et la date de
lancement n'a pas été choisi au hasard par Transavia, elle a été
lancée le 3e lundi de janvier considéré comme le plus déprimant de
l'année et baptisé le "Blue Monday".
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Alitalia : les revenus et le trafic passagers augmentent en 2018
(source Air Journal) 15 janvier - La compagnie aérienne Alitalia a
enregistré en décembre une hausse de 7% de ses revenus passagers en
2018, décembre étant le treizième mois consécutif de croissance. Le
nombre de client est resté stable (+0,9%). (...) Une hausse qui s’est faite « sans expansion de la
flotte », précise Alitalia, et dans tous les secteurs du réseau,
« national, international et intercontinental » (...). Ni les
capacités ni le coefficient d’occupation ne sont mentionnés. (...)
L’augmentation a été déterminée « notamment par la
croissance record du long-courrier » qui (...) a enregistré une augmentation
de 7,1% par rapport à 2017. Les revenus liés au secteur du fret
ont également augmenté, en hausse de 4% en décembre par rapport au même
mois de 2017 et de 9,3% sur une base annuelle. Le
processus de vente d’Alitalia n’est pas non plus évoqué
dans le communiqué.
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Delta Airlines: consensus battu au 4e trimestre
(source CercleFinance) 15 janvier - Delta Airlines affiche
(au 4ème trimestre) un bénéfice par action (BPA) en
hausse de 42% à 1,30 dollar, dépassant donc de quatre cents l'estimation
moyenne des analystes, tiré par une croissance de 7,5% de ses revenus
opérationnels à 10,7 milliards de dollars. La compagnie aérienne
d'Atlanta a enregistré un BPA ajusté en progression de 19% à 5,65
dollars sur l'ensemble de 2018, et affirme rester confiante dans sa
fourchette cible allant de six à sept dollars pour l'exercice 2019.
'Nous tablons sur une croissance à deux chiffres des bénéfices grâce à
des revenus plus élevés, au maintien d'une trajectoire de coûts sous
l'inflation et à un gain modeste lié à des coûts de kérosène plus bas',
explique le directeur général (CEO) Ed Bastian.
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Norwegian ferme six de ses bases 737
(source Journal de l'Aviation) 18 janvier - Norwegian continue de réduire la
voilure. La compagnie low-cost a annoncé la fermeture de six de ses
bases 737 (-800 et MAX 8) à partir du mois d'avril et sur la majeure
partie de 2019. Elle espère réduire ainsi la saisonnalité de ses
opérations et améliorer sa rentabilité. (...) La low-cost avait déjà entrepris un plan de
réduction de ses coûts au quatrième trimestre 2018, qui doit lui
permettre de réaliser plus de 200 millions d'euros d'économies cette
année par la révision de son programme de vols et de ses capacités.
Elle
a également mis des appareils en vente (dont ses A320neo) et souhaite
créer une coentreprise dans la propriété d'avions. Ces décisions
sont de mauvais augure quant à la situation de la compagnie. Norwegian
avait pourtant publié des résultats positifs au troisième trimestre,
mais son trafic augmente moins vite que ses capacités et sa dette reste
trop élevée. Elle devrait néanmoins être soulagée par la baisse des prix
du carburant sur la fin de l'année. (...)
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La guerre des prix secoue les compagnies low-cost européennes
(source Les Échos) 18 janvier - Le coup de froid attendu cet hiver
sur le transport aérien européen se confirme. Aux incertitudes liées au Brexit s'ajoute une guerre des prix plus virulente que prévu sur les
lignes intra-européennes. Les premières concernées par cette baisse des
prix sont les grandes compagnies low-cost européennes, Ryanair et
easyJet, dont l'essentiel du trafic est intra-européen. Pour la deuxième
fois en quatre mois, le champion irlandais a dû revoir à la baisse ses
prévisions de bénéfices pour l'exercice 2018-2019, clôturé fin mars. Il
devrait se situer entre 1 et 1,1 milliard d'euros, contre de 1,1 à 1,2
milliard prévu précédemment, et même 1,35 milliard en début d'exercice.
(...) Le premier transporteur aérien européen en nombre de passagers
(139,2 millions en 2018) met en avant la baisse des tarifs aériens
durant la saison d'hiver. Elle pourrait atteindre 7 %, au lieu des 2 %
prévus initialement. (...) Toutefois, cette baisse des tarifs a
des avantages. En profitant aux consommateurs, elle dope la croissance
du trafic. (...) Par ailleurs, comme le souligne Michael
O'Leary, la guerre des prix pourrait être « bonne à moyen et long
terme » pour Ryanair, en contribuant à éliminer les concurrents les plus
fragiles. Le bouillant patron irlandais évoque notamment le cas de
Norwegian (...), mais aussi l'islandaise Wow Air, la britannique Flybe
et l'allemande Germania, toutes trois en quête d'un repreneur.
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Austrian va investir 200 millions d'euros pour la flotte d'Airbus
(source Air & Cosmos) 18 janvier - Austrian Airlines,
filiale du groupe Lufthansa, a annoncé jeudi 17 janvier sa
volonté d'investir 200 millions d'euros pour développer sa
flotte d'Airbus pour mieux concurrencer la recrudescence des
transporteurs à bas coûts. Austrian veut faire passer sa flotte
de 36 Airbus (7 Airbus A319, 23 Airbus A320 et 6 Airbus A321) à 46
appareils. Parallèlement, la compagnie autrichienne devrait
sortir de flotte ses 18 Bombardier Q400 d'ici 2021. (...)
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Du nouveau en classe Premium sur British Airways
(source Air Journal) 21 janvier - Les passagers voyageant dans la
cabine Premium de la compagnie aérienne British Airways, World Traveller
Plus, sont sur le point de voir de nouvelles améliorations de leur
expérience à bord, en particulier dans la restauration.
Les modifications apportées à la cabine Premium de la compagnie
nationale britannique, qui seront déployées au cours des prochains mois,
comprendront de nouveaux meubles, un service amélioré et une expérience
de restauration améliorée. (...) À partir du printemps,
British Airways investira également dans les services World Traveller
Plus, avec de nouveaux kits, des couettes et des oreillers. (...)
British Airways avait dévoilé l’année
dernière son nouveau siège World Traveller Plus à l’aéroport de
Londres-Gatwick. Le siège comporte un écran de divertissement 50% plus
grand, ainsi que des appuie-jambes des repose-pieds et un appui-tête
réglables en six directions pour répondre aux besoins des clients de
toutes les tailles. Ce siège figurera en particulier dans les 18 Airbus
A350-1000 attendus à partir de cette année. (...)
2019 est l’année du centenaire de
British Airways. La compagnie aérienne investit 6,5 milliards de livres
sterling sur cinq ans pour les clients, y compris dans de nouveaux
avions, de nouvelles cabines, de nouveaux services de restauration, de
nouveaux salons, le WiFi et de nouvelles routes.
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Aéroports de Paris SA prend acte du refus d'homologation de ses tarifs de redevances 2019
(source Capital) 16 janvier - Aéroports de Paris SA a pris acte de la
décision de l'Autorité de supervision indépendante des redevances
aéroportuaires (ASI) portant refus d'homologation des tarifs des
redevances aéroportuaires, applicables à compter du 1er avril 2019, sur
les aérodromes de Paris-Charles de Gaulle, Paris-Orly et Paris-Le
Bourget ainsi que leurs modulations, à l'exception des redevances
d'assistance aux personnes handicapées et à mobilité réduite. Le
groupe étudie la portée précise de cette décision et les suites à y
donner. Conformément au code de l'aviation civile, il dispose d'un mois,
à compter de la notification de la décision de refus, pour notifier à
l'ASI de nouveaux tarifs de redevances. En cas de refus d'homologation
de cette nouvelle proposition, ou en l'absence de nouvelle proposition
tarifaire, les tarifs précédemment en vigueur demeureront applicables.
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Brexit : les 15 questions qui inquiètent entreprises et ménages
(source Les Échos) 21 janvier - (...) 2 - Le Brexit sera-t-il un casse-tête
pour Airbus ?
(...) Toutes les ailes de tous les modèles d'Airbus
proviennent du Royaume-Uni, y compris celles de l'A220, l'ex-Cseries
de Bombardier, dont les ailes sont fabriquées à Belfast, en Irlande du
Nord. La fabrication de ces ailes sur le site de Broughton au
Pays-de-Galles est elle-même dépendante de l'importation d'éléments en
provenance des sites européens d'Airbus. Tout obstacle douanier ou réglementaire à la libre circulation des marchandises entre le
Royaume-Uni et l'Union européenne pourrait donc ralentir ou bloquer la
production des chaînes d'assemblage d'Airbus à Toulouse, Hambourg,
Montréal, Tianjin en Chine et Mobile aux États-Unis.
Pour parer
à cette éventualité, le groupe a commencé à stocker les éléments
nécessaires à la fabrication des ailes côté britannique, afin de pouvoir
faire face à un mois de perturbations. Ce qui est non seulement
compliqué - certains éléments mesurent jusqu'à 30 mètres de long - mais
aussi très coûteux. Selon le président exécutif d'Airbus, Tom Enders,
les coûts générés par ces stocks se chiffreraient déjà en dizaines de
millions d'euros. Dans le cas d'un Brexit sans accord, l'impact sur la
compétitivité pourrait être encore plus lourd, a-t-il souligné, ce qui
pourrait obliger Airbus à revoir à terme ses investissements au
Royaume-Uni. 3 - Les avions des compagnies aériennes
britanniques pourront-ils continuer à voler en Europe ?
Quel que
soit le scénario envisagé, les compagnies britanniques ont tout à perdre
et rien à gagner à un Brexit.
En cas de sortie du Royaume-Uni sans le moindre accord avec la
Commission européenne, le Royaume-Uni devra renégocier des accords
aériens bilatéraux avec chacun des 27 pays de l'Union européenne. Et si
la question des liaisons entre le Royaume-Uni et ces pays pourra être
réglée rapidement, par une simple reconnaissance mutuelle des dessertes
existantes, les compagnies britanniques perdront, en
revanche, certains droits. Celui d'opérer des vols entre deux
pays de l'Union, comme le
fait couramment easyJet aujourd'hui, et celui de détenir plus de 49 % du
capital d'une compagnie européenne, comme c'est le cas d'IAG pour
Iberia, Vueling, Aer Lingus et Level en France.
Quant aux
pilotes munis de licence britannique, ils ne pourront plus voler que sur
des appareils immatriculés en Grande-Bretagne, sauf accord spécifique
avec chaque pays européen. Les mêmes restrictions s'imposeraient aux
compagnies européennes au Royaume-Uni. Mais celles-ci étant absentes des
lignes intérieures britanniques et n'ayant pas de participation
majoritaire dans des compagnies d'outre-Manche, cela rendrait difficile
tout accord express basé sur la réciprocité. Enfin, un Brexit sans
accord pourrait entraîner pour les passagers à destination ou en
provenance du Royaume-Uni, des contrôles aux frontières plus longs et la
perte des droits en cas de retards, annulations et refus d'embarquement
garantis par la réglementation européenne. (...)
Revue de presse boursière ...
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Un avis favorable des analystes de Bernstein fait décoller l'action Air France-KLM
(source BFM Bourse) 14 janvier - Le bureau d'études américain reconnaît que l'année 2018 a été mouvementée pour la compagnie
franco-néerlandaise (...).
"Compte tenu des prix actuels du carburant et
des revenus qui ont le vent dans le dos, il existe un potentiel
d'appréciation à court terme pour le titre" de la compagnie aérienne. Il
reste toutefois "préoccupé par les fondamentaux du groupe en termes de
performance et les problèmes de longue date que vont devoir résoudre la
nouvelle équipe dirigeante et son nouveau PDG Benjamin Smith" (...). Le
groupe a d'ailleurs annoncé, vendredi dernier, la signature d'un nouvel
accord pour 2019 avec des organisations syndicales représentatives de
ses personnels au sol. "2019 commence avec des vents arrières
favorables" pour Air France-KLM, juge l'expert de Bernstein, (...)
compte tenu non seulement "des prix du carburant orientés à la baisse
mais également d'une croissance de ses capacités qui ralentit l'été en
Europe (une restriction de cette croissance permet davantage de
stabilité des rendements) ainsi que des rendements premiums qui
continuent de bien performer". Pour ces raisons, l'intermédiaire
américain ajuste à la hausse ses prévisions de bénéfices pour
l'entreprise, à 651 millions d'euros pour l'exercice 2019 (+35%).
Bernstein relève également son objectif de cours à 10 euros sur le
titre, contre 7,5 euros auparavant. (...) Daniel Roeska,
l'expert de Bernstein, considère néanmoins qu'en dehors des
améliorations à court-terme (prix du carburant, relation avec les
syndicats, rendements), ce sera l'agenda stratégique du nouveau PDG
Benjamin Smith qui constituera l'axe principal de développement.
L'analyste espère que le nouveau dirigeant entreprendra "une refonte
globale de la gouvernance du groupe" et qu'il mettra l'accent sur les
plateforme aériennes". À long terme, toutefois, le spécialiste du
dossier se demande si Air France-KLM peut rattraper les compagnies
aériennes historiques et dominantes en Europe (British Airways et
Lufthansa).Selon lui, la compagnie franco-néerlandaise doit poursuivre
et compléter sa restructuration avant de pouvoir se concentrer de
nouveau sur sa croissance. "D'ici là, il n'est pas certain qu'Air France-KLM puisse s'étendre au-delà de ses principaux marchés" que sont la
France et les Pays-Bas. Ce n'est d'ailleurs "pas impossible" que le
groupe devienne "juste" un "acteur de niche prospère" au coeur de la
stratégie mondiale de Delta, actionnaire d'Air France avec 8,8% du
capital au 30 juin 2018. Ce qui n'est "pas nécessairement une mauvaise
nouvelle pour les investisseurs" conclut-il.
Fin de la revue de presse
> Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 10,210 euros en clôture
lundi 21 janvier. Elle est en forte hausse cette semaine, +10,33%, suite aux changements de recommandation de
Barclays, Bernstein et Oddo.
La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM
monte à 10,60 euros.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord) est
en hausse de 3$ à 63$.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
A bientôt.
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François Robardet
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