photo François Robardet, Administrateur Air France-KLM
Accord en vue entre Air France-KLM et KLM sur la gouvernance ?
I Lettre de l'Administrateur Air France-KLM

François Robardet Représentant des salariés et anciens salariés actionnaires PS et PNC

N°691, 18 février 2019   Si vous ne voyez pas correctement cette page, suivez ce lien

La Revue de Presse du lundi ...

> Accord en vue entre Air France-KLM et KLM sur la gouvernance ?

(source La Tribune) 17 février - Fin du psychodrame en vue à Air France-KLM ? Peut-être. (...) Pour rappel, le mandat du président du directoire de KLM arrive à échéance fin avril et les relations glaciales qu'entretiennent le directeur général d'Air France-KLM, Ben Smith, et Pieter Elbers, ainsi que les divergences sur l'organisation du groupe qui opposent non seulement les deux hommes mais aussi Pieter Elbers et une partie du conseil d'administration d'Air France-KLM, posaient la question du maintien ou pas de Pieter Elbers dans ses fonctions. Pour résumer, alors que Ben Smith cherche à accentuer la coopération des deux compagnies, Pieter Elbers est partisan d'une autonomie de la compagnie néerlandaise.
 
Selon nos informations, un compromis s'est dégagé sur la gouvernance du groupe entre les différentes parties, plaçant le renouvellement de Pieter Elbers à la tête de KLM en ballotage favorable. Vendredi dernier, au cours du conseil de surveillance de KLM auquel étaient présents Ben Smith et les membres du comité des nominations d'Air France-KLM, le dirigeant néerlandais a en effet, selon nos informations, donné son accord au schéma d'organisation du groupe présenté par Ben Smith. Celui-ci renforce la coopération d'Air France et de KLM sur plusieurs secteurs clés comme la flotte, sans toucher aux structures d'organisation actuelles. Autrement dit, contrairement à plusieurs projets présentés dans le passé, le projet de Ben Smith ne prévoit pas de remontées de certains postes des compagnies vers le groupe.
 
Ben Smith entend par ailleurs renforcer le "comité des CEO" d'Air France-KLM, une sorte de mini-directoire d'Air France-KLM qui regroupait jusqu'ici les patrons d'Air France-KLM, de KLM et d'Air France, et propose la nomination de Pieter Elbers et de la directrice générale d'Air France, Anne Rigail, au poste de directeur général adjoint d'Air France-KLM, en plus de leurs fonctions au sein de leur compagnie.
 
(...) Reste au conseil d'administration d'Air France-KLM de trancher après avoir entendu la présentation de la vision de Ben Smith pour le groupe et analysé dans le détail la position de Pieter Elbers. (...) 
 
Le doute sur le renouvellement de Pieter Elbers a suscité des réactions surréalistes aux Pays-Bas. Plus de 1.000 employés de KLM ont manifesté jeudi au siège de la compagnie, près de l'aéroport international Schiphol d'Amsterdam, pour apporter leur soutien à Pieter Elbers. Ils ont remis une pétition signée par 25.000 employés, brandissant des pancartes où était notamment inscrit "KLM a besoin d'Elbers", cerné de cœurs bleus. (...)
 
Le premier ministre Mark Rutte a même été interpelé sur le sujet. S'il a souligné que KLM était extrêmement importante pour l'économie des Pays-Bas et qu'il est essentiel qu'elle soit bien dirigée, il s'est refusé à commenter les discussions lors de son point de presse hebdomadaire à l'issue de la réunion de son cabinet.

Mon commentaire : A la veille d'un conseil d'administration, il m'est impossible de commenter cet article. Seul l'avenir permettra de juger du bien-fondé des informations relatées.

> Elections professionnelles chez Air France après 4 ans de turbulences

(source AFP) 17 février - Les 45.000 salariés d'Air France sont appelés à voter à partir de lundi pour leurs représentants et à dresser le bilan de quatre années houleuses marquées par des négociations salariales difficiles, plusieurs grèves et le départ de deux patrons.
 
Pour la première fois, ces élections professionnelles se feront à travers un vote électronique, qui sera clos le 11 mars à 14H00.
 
Plusieurs syndicats (...) redoutent que le vote électronique soit "préjudiciable à la participation". Cette dernière s'était élevée à 70 % lors des dernières élections en 2015. Si le quorum (50 % de suffrages valablement exprimés) n'est pas atteint, un second tour commencera le 25 avril.
 
Les syndicats de la compagnie font campagne sur leur bilan, après une année 2018 d'âpres négociations sur les salaires qui avaient débouché sur 15 jours de grève du personnel entre février et mai, coûtant 335 millions d'euros à la compagnie.
 
Désavoué lors d'une consultation organisée par la direction, le patron d'Air France-KLM Jean-Marc Janaillac avait quitté l'entreprise en mai, deux ans seulement après avoir succédé à Alexandre de Juniac.
 
Tout droit venu d'Air Canada, Benjamin Smith a pris les commandes du groupe en septembre et s'est vite employé à résoudre le conflit social au sein de la compagnie française. En octobre, après des années de gel des grilles salariales, un accord inter-catégoriel a été signé pour tout le personnel d'Air France, comprenant une hausse générale de 2 % pour 2018 et 2 % pour 2019.
 
Des accords catégoriels ont ensuite été conclus avec les personnels au sol et les hôtesses et stewards. (...)
 
Le vote permettra de constituer des comités sociaux et économiques (CSE) -7 en tout-, (...) pour remplacer les anciens comités d'entreprises (CE).
 
En 2015 (...) dans le collège des hôtesses et stewards, le SNPNC et l'Unsa avaient ensemble atteint 46 % lors des dernières élections, contre 22 % pour l'Unac et 9 % pour le SNGAF.
 
Chez les personnels au sol, qui constituent le gros des effectifs, la CFDT était devenue la première force syndicale (20,3 %) devant la CGT (19,7 %) et la CFE-CGC (18,7 %).
 
Parmi les pilotes enfin, le syndicat majoritaire SNPL (65 %) avait cédé un peu de terrain face au Spaf (21 %) et le syndicat contestataire Alter avait manqué de peu la représentativité (9,85 %).
 
Le SNPL Air France a organisé, avec une équipe renouvelée, un référendum auprès des 4.000 pilotes de la compagnie sur un projet d'accord avec la direction. Il porte notamment sur l'équilibre entre Air France et KLM, la productivité et une augmentation salariale catégorielle d'environ 4 %, a indiqué à l'AFP Guillaume Schmid, son vice-président.
 
(...) Le résultat de cette consultation doit être connu mardi, à la veille de la publication par Air France-KLM de son bilan financier 2018.

Mon commentaire : Le type de vote (électronique) pour les représentants des salariés est une première à Air France. J'appelle tous les salariés à s'exprimer sans tarder.

Pour ma part, je reste attaché aux valeurs d'humanisme figurant dans le préambule des statuts de mon syndicat, la CFDT.

> La Commission européenne approuve la prise de participation d'Air France dans Virgin Atlantic

(source Journal de l’Aviation) 13 février - Air France-KLM et Virgin Atlantic vont pouvoir avancer ensemble. La Commission européenne a autorisé le 13 février le projet du groupe franco-néerlandais de prendre une participation de 31% dans la compagnie britannique aux côtés de Delta. L'instance européenne a jugé que le projet ne menaçait pas la concurrence sur les réseaux des deux opérateurs. (...)
 
Air France-KLM avait annoncé son intention d'acquérir une participation dans Virgin Atlantic en juillet 2017, pour un montant estimé à 251 millions d'euros. Ce faisant, elle rend possible la création d'une coentreprise unifiée Air France-KLM/Delta/Virgin sur le marché transatlantique.
 
Delta Airlines est en effet entrée au capital de la compagnie britannique en juin 2013 pour former avec elle une coentreprise entre les États-Unis et le Royaume-Uni. Elle en détient aujourd'hui 49%. Les 31% d'Air France-KLM seront acquis auprès du groupe Virgin, qui ne conservera donc que 20% de participation dans sa filiale.

Mon commentaire : L'achat d'une part de Virgin Atlantic par Air France-KLM entre dans le cadre plus large de la constitution d'une coentreprise réunissant Air France-KLM, Delta Airlines et Virgin Atlantic.

Pour finaliser l'opération, les compagnies aériennes concernées doivent recueillir l'accord de l'Union Européenne (qui vient d'être donné) et l'accord des autorités antitrust étatsuniennes (à venir).

A noter que les conditions du Brexit pourraient remettre en cause la présence d'Air France-KLM au capital de Virgin Atlantic. Si Virgin Atlantic devait rester majoritairement britannique, Air France-KLM, qui dispose d'une option de vente, sortirait du capital de la compagnie anglaise.

> La SNCF italienne négocie avec Delta et easyJet pour sauver Alitalia

(source Les Échos) 14 février - Le plan de sauvetage d'Alitalia voulu par le gouvernement italien se précise. Suite au retrait d'Air France-KLM, la société des chemins de fer Ferrovie dello Stato (FS) a annoncé, ce jeudi, le début de négociations avec l'américain Delta et le britannique easyJet. (...)

Les deux compagnies aériennes envisagent d'acquérir jusqu'à 40 % de la nouvelle Alitalia, dont 30 % seraient détenus par FS (...). Sous réserve d'un plan industriel « durable et en accord avec la législation européenne », l'État serait disposé à convertir en capital (de 15% à 20 %) une partie du prêt-relais de 900 millions d'euros consenti. Pas moins de 6 milliards d'euros ont déjà été déboursés ces huit dernières années pour venir en aide à l'entreprise qui bat de l'aile depuis plus d'une décennie. (...)
 
Un accord avec Delta et easyJet n'est pas assuré. Il dépendra du plan industriel qui sera dévoilé d'ici à la première semaine de mars. Les liaisons long-courrier, plus rentables, devraient être développées sous l'égide de Delta, celles moyen et court-courrier seraient confiées à easyJet. Une fois élaborée, cette feuille de route sera soumise à l'approbation des trois commissaires extraordinaires exerçant leur tutelle sur la compagnie depuis mai 2017.
 
Restera ensuite à convaincre l'antitrust européen et les syndicats. Ces derniers se sont opposés à l'intérêt manifesté par l'allemande Lufthansa, dont les conditions de reprise avancées étaient jugées trop sévères concernant les emplois. Alitalia compte 11.500 salariés pour une flotte de 118 appareils. Les effectifs pourraient être réduits de 3.000 postes et le nombre d'avions passerait sous la barre des 110 avions. La suppression de 700 vols par mois à partir du mois de mars a déjà été annoncée.
 
Les 14 mois consécutifs de croissance, un trafic passagers stable (+0,9 %) et des revenus en hausse de 7 % en 2018 n'ont permis que de limiter les pertes, à environ un demi-milliard d'euros l'an dernier. Les syndicats demandent au gouvernement de faire « vite », arguant qu'il n'est plus possible « d'attendre pour préserver le futur d'Alitalia. » Si il en a encore un.

Mon commentaire : Alitalia souffre de plusieurs maux. Le principal est de n'avoir pas su gérer efficacement ses deux hubs : un à Milan avec une clientèle affaires, le second à Rome avec une clientèle à dominante loisirs.

> Jet Airways : le comité d'administration valide le plan de sauvetage

(source TourMaG) 15 février - La compagnie indienne, Jet Airways semble voir le bout du tunnel, une lumière salvatrice vient de poindre après que le conseil d'administration ait entériné le plan de sauvetage proposé pour redresser ses comptes.
 
Mal en point, avec une dette estimée à près d'un milliard d'euros, la compagnie indienne a accepté le plan qui prévoit de résorber le trou par "une combinaison appropriée de fonds propres, de restructuration de la dette, de cessions-bails/refinancement d’appareils entre autres."
 
(...) Dans le même temps, Jet Airways a dévoilé les chiffres des 3 derniers mois de l'année 2018, lors desquels la situation financière n'a cessé de se dégrader.
 
En effet, la compagnie a enregistré une perte de 74 millions d'euros contre un bénéfice de 20 millions d'euros, un an plus tôt. Ces mauvais résultats sont expliqués par une dépréciation de la monnaie locale conjuguée avec une hausse du prix du carburant.

Mon commentaire : La situation des compagnies aériennes indiennes ne s'améliore pas. En Inde, la concurrence est très forte. Elle ne permet pas aux compagnies de répercuter les hausses de carburant et la baisse de la monnaie sur le prix des billets.

> Le RGPD pourrait aider les passagers des compagnies aériennes à se faire rembourser

(source Clubic) 12 février - Alors que le droit à indemnisation devenait de plus en plus difficile à mettre en œuvre, les passagers aériens pourraient bien brandir une nouvelle arme : le RGPD.
 
Jusqu'au 14 février 2018, se faire indemniser d'un retard important par votre compagnie aérienne s'avérait être relativement simple. Il suffisait en effet d'invoquer le règlement européen du 11 février 2004 régissant les conditions communes d'indemnisation des citoyens européens en cas d'importants retards de vol, d'annulation ou de refus d'embarquement. La règle voulait que le passager imputé ne présente qu'une preuve de son enregistrement sur le vol qui posait problème.
 
Se faire indemniser relève désormais du parcours du combattant
Mais ce fameux 14 février 2018, la Cour de cassation (plus haute juridiction de l'ordre judiciaire) a rendu un arrêt qui vient davantage renforcer les conditions d'indemnisation des passagers français, et ainsi restreindre la possibilité de parvenir à obtenir satisfaction. Les juges du quai de l'Horloge ont accordé le droit aux compagnies de s'exempter de tout remboursement dans les cas où le passager n'apporte pas de preuve réelle de sa présence à bord du vol, une carte d'embarquement pouvant se procurer de façon dématérialisée aujourd'hui. (...)

En réalité, l'article 15 du Règlement général sur la protection des données (RGPD) pourrait tout changer dans la pratique actuelle d'indemnisation des passagers. Ses dispositions offrent le droit à tout citoyen de demander l'accès à ses données personnelles détenues par toute entreprise. Ainsi, le passager pourrait prouver sa présence à bord en faisant jouer ce droit. Mais certaines compagnies seraient réticentes à l'idée d'y céder.
 
Pour maître Gautier, « le RGPD octroie des droits à chaque particulier et chaque entreprise doit les respecter. Utiliser une règle de droit pour la mise en œuvre d'une seconde n'est pas détourner la première. » La Cour de cassation semble donc être dans une impasse. Va-t-elle être contrainte de revoir sa position ? Cèdera-t-elle à un revirement de jurisprudence ? Il est encore trop tôt pour le dire. Mais cette affaire prouve encore une fois l'utilité croissante du RGPD dans un monde connecté

Mon commentaire : Les indemnisations des clients des compagnies aériennes augmentent d'année en année. Les compagnies traditionnelles, Air France-KLM, IAG et Lufthansa, sont plus enclines à indemniser leurs clients que les compagnies à bas coûts. En 2018, Lufthansa a ainsi versé 500 millions d'euros à ses passagers en dédommagement des retards et des annulations de vols.

Pour diminuer ces montants, les compagnies cherchent à améliorer leur ponctualité et leur régularité. Au sein d'Air France le programme PERFOPS (performance opérationnelle) répond à cette préoccupation.

D'autres compagnies sont tentées de ne pas indemniser leurs clients. Une démarche qui pourrait trouver ses limites par le recours au Règlement général sur la protection des données (RGPD).

> Grâce à son année 2018, ADP devient le premier gestionnaire d'aéroports au monde

(source TourMaG) 15 février - Grâce à ses excellents résultats sur l’année 2018, Aéroport de Paris (ADP) devient le numéro 1 mondial de la gestion aéroportuaire. (...)
 
En 2018, le groupe a affiché un trafic en hausse de 3,8% à Paris CDG et Orly, atteignant désormais 105,3 millions de passagers transportés.
 
Au total, en ajoutant les aéroports du groupe TAV Airports (16 aéroports dans le monde, dont l'aéroport d’Istanbul Atatürk) et Amman, le groupe enregistre une hausse de 7,6%, à 281,4 millions de passagers. ADP devance désormais AENA, le groupe aéroportuaire espagnol, au classement des gestionnaires mondiaux.
 
Dans le même temps, le groupe ADP a vu son chiffre d’affaires consolidé s’envoler à hauteur de 4,478 milliards d’euros, ce qui correspond à une progression de 23,8%. (...)
 
« Le résultat net part du groupe est en croissance de 6,9% à 610 millions d’euros, et permet de proposer un dividende de 3,70 euros par action à la prochaine assemblée générale », explique le P-DG d’Aéroports de Paris, Augustin de Romanet. (...)
 
Malgré ces excellents résultats, l’Autorité de supervision indépendante des redevances aéroportuaires (ASI) vient de valider l’offre d’ADP d’augmenter à hauteur d'un pourcent ses tarifs aéroport en 2019.
 
Une décision qui provoque la colère des compagnies aériennes, en premier lieu duquel le Syndicat des compagnies aériennes autonomes (Scara) qui s’offusque, dans un communiqué. (...)

> A380 : les ailes brisées d'une icône du ciel

(source L’Opinion) 14 février - L’A380 d’Airbus, ce très gros avion qui peut transporter jusqu’à 800 passagers était une prouesse, le plus gros appareil commercial du monde. Il était supposé répondre à la congestion des aéroports, et les passagers l’adoraient. Mais commercialement, depuis 2005, il n’y en aura eu que 250 de livrés.
 
La décision de la compagnie Emirates de transformer la commande de 39 appareils en biréacteurs plus récents, puis la perspective du retrait de deux autres commandes signe la fin du programme. Trop peu rentable. Qu’est-ce qui a eu raison de l’A380 ?
 
(...) La concurrence d’autres produits Airbus, comme l’A350, plus petit et plus maniable et l’A330neo, plus économe en carburant. Et enfin, la concurrence : les améliorations constantes des gros porteurs de Boeing, comme les 787 dreamliner – commandés à près de 1500 exemplaires - et les 777.
 
Et le succès jamais démenti du super jumbo 747 qui aura 50 ans cette année. Une défaite commerciale pour Airbus, mais peut –être le moyen, aussi, de recentrer ses forces et ses effectifs sur les programmes plus porteurs et plus rentables.

Mon commentaire : L'A380 semble destiné à subir le même sort qu'avant lui le Concorde et la Caravelle. Tous les trois ont été des avions innovants, mais en décalage avec les attentes des compagnies aériennes.

L'A380 est gourmand en kérosène. Le nombre de lignes sur lesquelles il peut être rentabilisé est trop faible pour qu'il présente encore un intérêt pour les compagnies aériennes.

Fin de la revue de presse

> Mon commentaire sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM

L'action Air France-KLM est à 10,13 euros en clôture lundi 18 février. Elle est en baisse de -1,55%.

La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM est à 11,16 euros.

Le baril de pétrole Brent (mer du nord) est cette semaine en forte hausse de 5$ à 66$. Plusieurs raisons : les efforts délibérés de l'Opep, la crise au Venezuela et des interruptions accidentelles en Arabie saoudite. Les prix sont au plus haut depuis trois mois.    

Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.

Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur du groupe Air France-KLM.

Vous pouvez me poser, par retour, toute question relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...

A bientôt.

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| François Robardet

Administrateur Air France-KLM représentant les salariés actionnaires PS et PNC
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