N°700, 22 avril 2019
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La Revue de Presse du lundi ...
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Air France : "Nos avions sont beaucoup plus à l’heure qu'avant"
(source franceinfo) 17 avril - Anne Rigail est la
première femme à diriger Air France. A la tête de la compagnie depuis le
mois de décembre, elle veut tourner la page d’une année éprouvante pour
la compagnie, marquée par un long conflit social, mais aussi de nombreux
retards et des vols annulés. (...) "Nos
avions sont plus à l’heure qu’avant", assure-t-elle. "En mars, on
était sixième au classement international de la ponctualité des vols.
L’enjeu est maintenant de pérenniser cette performance l’été prochain,
pendant la période de pointe (…) Notre plan permettra de compenser les
aléas". La
compagnie va développer sa flotte : "Nous avons déjà sept B787 et nous
allons les compléter dans l’année à venir par trois nouveaux B787",
annonce Anne Rigail. Air France compte aussi sur les nouveaux Airbus :
"Nous commençons à accueillir l’A350 qui sera un cœur de flotte pour
nous. Le premier va arriver en septembre. Nous allons en accueillir six
sur l’année à venir". Pour attirer les clients,
la
compagnie veut monter en gamme, en "modernisant les cabines de
l’ensemble de la flotte long-courrier", avec des "lits entièrement plats
en business class", des écrans vidéo plus larges, et le wifi à bord.
Mais, promet Anne Rigail, ces changements n’entraîneront pas de hausse
de tarifs. (...)
La compagnie Transavia, qui a de plus en plus de
succès, va être développée. La filiale low-cost d’Air France fonctionne
aujourd’hui avec 39 appareils. Anne Rigail veut aller plus loin : "les
syndicats et tous les collaborateurs comprennent l’intérêt de développer
Transavia pour la puissance d’Air France-KLM". (...)
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Pourquoi les pilotes français veulent faire grève en mai
(source Le Point) 19 avril - (...) Dans
un courrier avec préavis de grève envoyé à Matignon et aux ministères
des Transports et du Travail, le Syndicat national des pilotes de ligne
exige le maintien de la représentativité spécifique des pilotes et de la
caisse de retraite du personnel navigant, révèle La Tribune. Ce
mouvement social concernerait tous les pilotes adhérents au SNPL, à
savoir Air France (environ 90 %) mais aussi Aigle Azur, Air Austral, Air
Caraïbes, ASL Airlines, Corsair, XL Airways, etc. Les compagnies
étrangères comme Easyjet et Vueling sont aussi concernées quand des
pilotes basés en France adhèrent aux sections du SNPL. Le
préavis (...) indique que le mouvement commence le lundi 6 mai et se
termine le samedi 11 mai à 23 h 59. (...) Premier point des revendications,
les
pilotes veulent conserver leur forte représentativité dans les collèges
signant les accords sociaux même en étant minoritaires dans
l'entreprise. Si la loi LOM est appliquée, les élus du personnel au sol
(catégorie majoritaire de l'entreprise) pourraient alors signer des
textes les concernant. La deuxième revendication anticipe le
débat national sur les retraites. La disparition de la caisse de
retraite des personnels navigants (CRPN) interviendra-t-elle dans le
cadre de la réforme ? Ce régime, deux fois plus coûteux pour les
entreprises que le régime classique « cadres », prévoit actuellement que
les droits pleins sont acquis dès 25 ans d'activité. En moyenne, le
personnel de cabine part ainsi en retraite dès 56 ans.
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Data Analytics : la bataille entre OEM et sociétés de maintenance va s'intensifier
(source Journal de l'Aviation) 16 avril - S'il y a bien un sujet sur
lequel tous les acteurs étaient à l'unisson lors du dernier salon MRO
Americas à Atlanta c'est que les algorithmes prédictifs
commencent à être au point et qu'ils vont tout
simplement durablement révolutionner le secteur de la
maintenance dans les prochaines années. (...) Et ce n'est que le tout
début, d'une part parce que les outils prédictifs vont logiquement
évoluer vers des outils prescriptifs, améliorant
significativement les processus décisionnels des tâches de maintenance
tout en optimisant leurs coûts, mais aussi parce que le volume de
données disponibles va tout simplement exploser avec l'augmentation de
la part des avions de nouvelle génération dans la flotte mondiale. (...)
Évidemment, l'éternel débat sur la propriété des données est encore
revenu sur le tapis et il est clair que les grandes sociétés MRO sont
celles qui pourraient avoir le plus à perdre face aux OEM, qui disposent
désormais d'une nouvelle arme extrêmement puissante : la connaissance de
l'évolution de leur produit sur l'ensemble de leur cycle de vie, un
savoir qui n'était jusqu'à présent détenu que par les opérateurs
eux-mêmes, ainsi que par les sociétés de maintenance affiliées.
Pour l'instant, les compagnies aériennes ne choisissent pas encore leur
prestataire MRO sur ce critère mais beaucoup entendent bien profiter de
ces nouveaux outils pour améliorer leurs opérations dans un très proche
avenir. La bataille va donc être amenée à s'intensifier.
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Les États-Unis examinent de "très près" l'accord Qatar- Air Italy
(source Reuters, traduit avec Deepl) 10 avril - Les États-Unis
examinent de près l'acquisition par Qatar Airways, une compagnie d'État,
d'une participation de 49 % dans Air Italy, qui dessert des destinations
américaines depuis juin, dans le cadre d'une décision que les
législateurs américains considèrent comme une violation de l'accord
visant à ne pas ajouter de nouveaux vols sur le marché intérieur. (...) Air Italy
dessert New York et Miami depuis juin de l'année dernière et devait
commencer à desservir San Francisco et Los Angeles à partir de ce
mois-ci et Chicago en mai. (...) Scott Reed, directeur de
campagne du Partenariat pour un ciel ouvert et équitable, un groupe
représentant les trois plus grandes compagnies aériennes et syndicats de
l'aviation des États-Unis, a déclaré que (...) " les deux partis s'inquiètent du fait que
Qatar Airways viole l'accord
conclu l'an dernier avec les États-Unis - rendant ses finances plus
opaques plutôt que moins transparentes et utilisant Air Italy comme
substitut pour saper l'industrie aérienne des États-Unis ". (...) Dans
une lettre d'accompagnement à ces accords, le gouvernement qatari a
indiqué qu'il n'avait pas l'intention de lancer des vols supplémentaires
au départ du Qatar vers des destinations américaines, mais a indiqué que
certains passagers embarqueraient sur des vols en Europe avant de
prendre un vol vers des destinations américaines.
Unis ont signé l'année dernière un accord
bilatéral régissant les relations entre le Qatar et les
Unis. Qatar Airways s'était
alors notamment engagée à la transparence financière de ses comptes.
Pour les compagnies aériennes états-uniennes, la prise de
participation de Qatar Airways dans Air Italy constitue une violation de
cet accord.
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Cap à l’est toute pour la Joint-Venture AF/KLM & MU
(source Déplacements pros) 18 avril - Air France et son partenaire
historique China Eastern Airlines (MU) qui, depuis Octobre 2017 détient
8.8% du capital du groupe Air France – KLM proposent pour cet été 18
destinations en Asie. Mais le partenaire du groupe à des vues
encore plus grandes. (...) Zoran Jelkic (Directeur
Général France, AF/KLM) souligne que l’ambition commune des partenaires
est la commercialisation des destinations au départ des pays respectifs.
Sur ce point, 600 contrats corporate ont été signés depuis 2017. (...) Fort de son développement et de
son partenariat, China Eastern Airlines annonce qu’elle lancera le 19
Juin une route directe Paris Qingdao puis l’an prochain verra la
naissance des routes Paris Daxing (le nouvel aéroport de Pékin) et Paris
Wenzhou. (...)
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Sortie de piste pour Jet Airways, le partenaire indien d'Air France-KLM
(source Les Échos) 17 avril - La longue agonie de Jet Airways semble
toucher à sa fin. Après avoir cherché en vain ces derniers jours
une ultime bouée de sauvetage auprès des banques ou du gouvernement
indien, celle qui fut naguère la première compagnie indienne privée
s'est finalement résolue à annoncer l'arrêt complet de ses activités, ce
mercredi 17 avril, dans l'attente d'une hypothétique solution de reprise. (...) Cette nouvelle défection d'une compagnie indienne, dix ans
après la faillite de Kingfisher, illustre la fragilité du transport
aérien en Inde, malgré la croissance à deux chiffres du trafic. (...)
Jet Airways avait pourtant longtemps fait figure de modèle. (...) Mais des erreurs de gestion,
comme le rachat d'Air Sahara et un endettement excessif, ajoutés à la
concurrence des compagnies du Golfe et au renchérissement du prix du
pétrole, ont fait plonger l'entreprise dans le rouge en 2017.
L'arrêt des vols de Jet Airways est
aussi un coup dur pour Air France et KLM, qui exploitaient avec Jet
Airways une soixantaine de vols par semaine sur Delhi, Mumbai, Chennai
et Bangalore. Dans l'immédiat, les deux compagnies vont devoir replacer
sur leurs vols ou ceux d'autres compagnies, des milliers de passagers
laissés pour compte par Jet Airways, sans grand espoir d'être payées en
retour. (...) Outre le coût financier immédiat, la disparition de
Jet Airways prive Air France-KLM de partenaire sur le marché indien, qui
représentait « plus de 1,2 million de passagers » en 2017, dont 700.000
sur Air France et la moitié en correspondance pour l'Amérique du Nord.
De quoi déstabiliser encore davantage des lignes indiennes déjà
lourdement concurrencées par les compagnies du Golfe.
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Lufthansa enregistre une perte opérationnelle ajustée de 336 millions d'euros au premier trimestre
(source Journal de l'Aviation avec AFP) 16 avril - Le géant européen
du transport aérien Lufthansa affiche au premier trimestre une
perte opérationnelle (EBIT) ajustée de 336 millions d'euros,
en raison notamment d'une hausse des prix du
carburant, selon des chiffres préliminaires publiés lundi.
Sur la même période en 2018, le groupe allemand avait affiché un EBIT
ajusté positif de 52 millions d'euros, a affirmé Lufthansa dans un
communiqué, précisant qu'une concurrence accrue en Europe a
également pesé sur les prix sur les trois premiers mois de
2019. (...) En raison de la cession des opérations d'Air
Berlin, le premier trimestre 2018 représente également une "base de
comparaison très élevée", a indiqué Lufthansa. Lufthansa a rappelé que le groupe "avait déjà averti
que le résultat du premier trimestre serait plus faible". (...)
Lufthansa avait déjà prévenu lors de ses résultats annuels que
ses capacités de transports augmenteraient en 2019 nettement moins que
prévu afin de réagir aux "goulot d'étranglement des infrastructures", à
savoir les difficultés rencontrées par les aéroports et les contrôleurs
aériens pour absorber la progression du trafic.
Pour
l'année en cours, Lufthansa a réitéré sa prévision d'une marge
opérationnelle entre 6,5% et 8,0%, alors qu'elle était de 7,9% en 2018.
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Alitalia: plus que 15 jours pour trouver une solution
(source AFP) 15 avril - Les syndicats sonnaient l'alarme en Italie
quant à l'avenir de la compagnie aérienne Alitalia,
alors qu'aucune solution ne se profile à 15 jours de la date
butoir fixée à la société
des chemins de fer FS pour déposer son offre concrète de reprise. (...)
La société
des chemins de fer italiens Ferrovie dello Stato (FS) a déposé fin
octobre une offre de rachat d'Alitalia, mais elle ne souhaite pas monter
à plus de 30% de son capital. (...) Selon la presse italienne,
outre les 30% de FS, Delta prendrait 15% et le Trésor italien 15%. Il
manque donc encore un ou plusieurs partenaires pour les 40% restants.
Ceux-ci doivent être trouvés d'ici le 30 avril, délai fixé à FS par les
administrateurs d'Alitalia pour présenter une offre liante.
Selon les médias, Delta serait en contact avec la compagnie chinoise
China Eastern. (...)
En cas d'échec de FS, la compagnie allemande Lufthansa est toujours
intéressée, mais seulement par une partie des activités, sans aucune
présence de l'État au capital et au prix de milliers de
licenciements. (...)
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Boeing : 90 jours pour un examen complet du 737 Max
(source Le Figaro) 21 avril - Les représentants de neuf autorités
internationales du secteur aérien ont annoncé leur intention de procéder
à partir du 29 avril à un examen technique conjoint des modifications
apportées au système de contrôle de vol automatisé du Boeing 737 Max.
L’objectif est d’évaluer la fiabilité du système de commande de vol de
l’appareil, de déterminer sa conformité à toutes les règlementations en
vigueur et d’identifier les améliorations qui pourraient s’avérer
nécessaires à l’avenir. Ce comité d’experts devra remettre ses
conclusions dans un délai de 90 jours.
L’avionneur américain souhaite mettre en place, au plus vite,
toutes les modifications nécessaires à la remise en exploitation de
Boeing 737 Max. (...) Le 16 avril dernier, Boeing a effectué un vol
d’essai de son 737 Max avec le système antidécrochage MCAS modifié. Ce
vol a été présenté comme une étape cruciale en vue d’obtenir une
nouvelle autorisation de mise en service. La direction de Boeing a
indiqué qu’un nouveau vol de certification était prévu avec l’agence
fédérale américaine de l’aviation (FAA). (...)
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L'Europe cherche comment réduire les bouchons dans le ciel
(source Les Échos) 18 avril - Comment juguler l’explosion des retards
aériens liés aux problèmes du contrôle du trafic aérien en Europe ?
Telle est la question à laquelle s'est attelé un comité d'experts, dans
un rapport remis en début de semaine à la Commission européenne. (...)
Les auteurs du rapport appellent (...) à une
réforme en profondeur de l'organisation du contrôle aérien, ce qui
nécessitera l'accord de tous les États concernés. Car si
les grèves de contrôleurs aériens ont beaucoup fait parler d'elles l'an
dernier, elles ne sont à l'origine que de 15 % des retards. Les
problèmes de fond restent le manque de contrôleurs aériens, le retard
pris dans la modernisation des équipements, notamment en France, et
par-dessus tout, la fragmentation du système de contrôle entre les
différents systèmes nationaux, 15 ans après le lancement du projet de
« ciel unique européen ». (...)
Plutôt que de poursuivre sur la voie
d'une unification lente, voire impossible de l'espace aérien, les
rapporteurs préconisent de renforcer le rôle d'Eurocontrol. De simple
coordinateur des systèmes de contrôles nationaux, l'organisme bruxellois
deviendrait ainsi le véritable gestionnaire du contrôle aérien européen,
en charge des programmes de vols, mais aussi des centres de contrôle
eux-mêmes. Les compétences de ce gestionnaire central
engloberaient également les principaux aéroports européens, ainsi que
tout ce qui touche à la modernisation du matériel. Avec l'objectif
affiché d'unifier les systèmes informatiques et d'offrir plus de
flexibilité dans l'utilisation des ressources.
Autre proposition : les différents
centres de contrôles s'engageraient sur de véritables contrats
d'objectifs auprès d'Eurocontrol et des aéroports. Avec à la clef des
incitations ou des pénalités financières, selon le degré de réalisation.
Une contractualisation souhaitée de longue date par les compagnies
aériennes et les aéroports, qui sont aujourd'hui les seuls à supporter
financièrement le coût des retards, estimé à 1,7 milliard d'euros, au
total, en 2018. (...) Mais pour l'heure, la dernière mesure en
date prise par la Commission européenne a consisté à revoir à la baisse
l'objectif de ponctualité pour la période 2020-2021.
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Aéroport de Toulouse: procédure de vente annulée mais pas le contrat de cession
(source abc bourse) 16 avril - La cour administrative d'appel a annulé mardi les décisions portant
sur la sélection des candidats au rachat des parts détenues par l'État
au sein de l'aéroport de Toulouse, mais a précisé dans un communiqué que
le contrat de cession n'était pas pour autant remis en cause dans
l'immédiat. La cour administrative d'appel (...) avait été saisie par trois syndicats contestant la
privatisation partielle d'ATB qui avait permis au groupe chinois Casil
d'acquérir 49,99% de la société de gestion de l'aéroport. Ils
arguaient que "l'offre indicative" (initiale) avait été déposée par
Casil associé à la SNC Lavalin, mais que l'offre finale n'avait été
présentée que par le groupe Casil. La Cour leur a donné
raison mardi sur ce point. (...) Elle a toutefois précisé que son arrêt n'avait "pas, par lui-même,
d'effet sur l'application du contrat de cession passé le 7 avril 2015
entre l’État et la société Casil Europe (holding française créée par le
groupe d'État chinois Shandong High Speed Group et le fonds
d'investissement hongkongais Friedmann Pacific Asset Management, ndlr)
lequel (...) est au demeurant un contrat de droit privé". (...)
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Aéroports de Paris inaugure Orly 3, bâtiment de jonction de Paris-Orly
(source Air Journal) 19 avril - Groupe ADP
(Aéroports de Paris) a inauguré hier, officiellement, le
bâtiment de jonction de l’aéroport Paris-Orly, baptisé Orly 3,
en présence du Premier ministre Edouard Philippe et de la ministre
chargée des transports, Elisabeth Borne. (...) Dans le cadre de
la modernisation du deuxième aéroport parisien, les terminaux Orly-ouest
et Orly-sud ont été renommées : l’ancien Orly-ouest s’appelle
désormais Orly 1 et Orly 2; le nouveau bâtiment de jonction, au
centre, est baptisé Orly 3; et l’ancien Orly-sud devient Orly 4. (...)
La salle d’embarquement d’Orly 3 offre la possibilité de
traiter au contact 4 gros porteurs ou 8 moyens porteurs sur 4 postes
avions dits « mixtes », ce qui la rend plus flexible. La moitié
de la salle d’embarquement peut également être utilisée en mode
« bi-statut » : Schengen ou international en fonction des besoins
d’exploitation. (...)
Fin de la revue de presse
> Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 11,12 euros en clôture jeudi 18 avril. Elle est
en hausse de
0,27%. Depuis 2011, elle n'a dépassé ce seuil de 11 euros qu'à
deux reprises, brièvement en 2014 et pendant 6 mois fin 2017.
La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM
est à 11,17 euros.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord) est
en stable à 71$, au plus haut depuis 6 mois. Les cours du pétrole
restent dopés par les baisses de production de l'Opep et les tensions
géopolitiques au Venezuela et en Iran.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
A bientôt.
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François Robardet
Administrateur Air France-KLM représentant les
salariés actionnaires PS et PNC Vous pouvez me retrouver sur mon
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liés à l'actionnariat d'Air France-KLM. Si vous ne voulez plus
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