N°705, 27 mai 2019
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La Revue de Presse du lundi ...
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Air France : feu vert des pilotes SNPL à l'essor de Transavia
(source Le Figaro avec AFP) 27 mai - (...) Le SNPL
annonce le lancement cette semaine d'un «cycle de négociation
portant
sur l'expansion de Transavia France» devant permettre de revenir sur le
quota d'appareils de la filiale «low-cost», établi dans un accord de
2014 pour limiter le transfert d'activité depuis Air France-KLM et en
passe d'être atteint avec 38 avions en rotation d'ici cet été.
(...) «On s'est fixé l'objectif d'aboutir à un accord d'ici
juillet», précise à l'AFP son vice-président, (...) estimant
que «Transavia est un moyen d'attaquer les low-cost qui mènent une
stratégie offensive en France». Le choix du nouveau patron
Benjamin Smith de jouer la carte de la compagnie à bas coûts, en
progression fulgurante avec 15,8 millions de passagers transportés en
2018 --soit une augmentation de 7,1% par rapport à 2017-- suscite des
inquiétudes chez les autres syndicats. Dans un courrier daté de
vendredi, 12 organisations demandent au directeur général canadien du
groupe Air France-KLM de les «rencontrer dans les plus brefs délais afin
d'éclairer l'ensemble du personnel quant au projet industriel auquel
vous réfléchissez».
Cet accord protège de facto
l'emploi de toutes les catégories de salariés d'Air France, pilotes mais
aussi hôtesses, stewards et personnel au sol.
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Air France : neuvième 787 (...)
(source Air Journal) 21 mai - La compagnie aérienne Air France a pris
possession de son neuvième Boeing 787-9 Dreamliner, l’appareil
étant déployé vers 14 destinations cet été. (...)
« Après
quelques jours entre les mains des professionnels de la Direction
générale industrielle d’Air France », ce nouvel avion configuré pour
accueilli 30 passagers en classe Affaires, 21 en Premium et 225 en Economie
effectuera ses premiers vols commerciaux. (...) Ce neuvième Dreamliner
« marque la volonté de poursuivre la modernisation de la flotte d’Air
France » selon son communiqué, une modernisation qui passera
par l’arrivée des premiers Airbus A350-900 à la fin de l’été. (...)
Rappelons qu’Air France n’a pas confirmé la rumeur sur la
répartition des nouveaux avions dans la flotte du groupe : les 28
A350-900 seraient tous déployés aux couleurs françaises, y compris les
sept figurant toujours au nom de KLM dans les listings d’Airbus (la
compagnie néerlandaise avait reporté leur livraison à 2021 en aout
dernier), tandis que les 787 Dreamliner encore en commande rejoindraient
tous la flotte de la compagnie basée à Amsterdam. (...)
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Virgin Atlantic profite du vide laissé par Jet Airways (Inde)
(source Tourmag) 23 mai - La nature a horreur du vide, l'aérien
aussi. A partir du 27 octobre 2019, Virgin Atlantic va déployer un
Boeing 787-9, trois classes (Economy, Premium Economy ou Upper-Class),
entre Londres Heathrow et l’aéroport de Bombay.
La compagnie
britannique profite de "l'interruption des vols Jet Airways" selon Juha Jarvinen, le vice-président exécutif commercial chez Virgin Atlantic
pour desservir la liaison abandonnée. (...) "Cette ouverture vers le
marché indien nous permet également, en collaboration avec Delta, de
faire de Londres Heathrow une plaque tournante entre les États-Unis et
l’Inde, grâce à des temps de correspondance optimisés au maximum."
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Air Europa ouvre une filiale au Brésil
(source riotimesonline, traduit avec deepl com) 19 mai - La compagnie espagnole
Air Europa a
demandé l'autorisation d'exploiter des vols intérieurs au Brésil. La
décision (...) a été saluée
par les responsables gouvernementaux. (...) Avec Avianca Brasil en redressement judiciaire, l'entrée de
nouvelles compagnies a été défendue par le gouvernement comme
fondamentale pour rééquilibrer l'offre de vols et réduire le prix des
billets. Avianca était l'une des quatre plus grandes
compagnies aériennes du pays. Aujourd'hui, elle a rendu la plupart de
ses avions à ses créanciers et mis à pied la plupart de ses employés, y
compris les pilotes et les personnels de cabine. Aujourd'hui, la compagnie espagnole Air Europa
tente de combler le vide sur le marché intérieur. (...)
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32 millions de passagers pour Vueling en 2018
(source Déplacements Pros) 20 mai - La compagnie aérienne fête ses 15
ans en 2019 et atteint les 32 millions de passagers transportés en 2018.
Désormais, la filiale du groupe IAG transporte 1 voyageur sur 3 pour ses
vols domestiques. Vueling passe de 400 000 passagers transportés
en 2004, à plus de 32 millions en 2018. La compagnie low-cost consolide
sa position de leader en Espagne sur les vols domestiques et sur les
flux entre l'Espagne et la France. Elle occupe également la deuxième
place pour les connexions avec l'Italie. En 2019, elle possède 118
appareils, contre 2 à ses débuts en 2004. Son objectif
désormais : continuer de se développer en Europe, notamment en France,
et améliorer l'expérience voyageur. Pour ce faire, la compagnie a lancé
en 2018 son programme Vueling For You qui vise à faire de Vueling la
compagnie numéro 1 de l'expérience client. Elle a donc entamé un renouvellement progressif de sa flotte, notamment avec l'arrivée de 17
A320neo.
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Hausse de 29% du CA de Volotea en 2018
((source Air et Cosmos) 23 mai - Discrètement mais sûrement, la
low-cost espagnole Volotea poursuit sa croissance. La compagnie vient
d'annoncer qu'elle avait réalisé en 2018 un chiffre d'affaires de 396,1
millions d'euros, en hausse de 29% par rapport au chiffre d'affaires de
l'exercice 2017. A noter que, à eux seuls, les revenus annexes de Volotea (frais ancillaires) ont atteint un montant de 137,7 millions
d'euros, soit une croissance de 31% par rapport à l'année précédente.
Ils représentent 35% du chiffre d'affaires total. En atteignant
13,6 millions d'euros, le résultat d'exploitation de Volotea est en
hausse de 63% par rapport à 2017. (...) Volotea a opéré
(...) avec un taux de remplissage record de 93,1%, soit 7,7% de plus que
l'année précédente.
En 2019, Volotea opère une flotte de
36 avions, composée de Boeing 717 et d'Airbus A319. (...)
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La faillite de Wow Air pourrait faire entrer l'Islande en récession
((source Les Échos) 23 mai - Dans le sillage de la faillite de Wow Air, victime de
la concurrence des low-cost et de la hausse du carburant, la banque
centrale islandaise a drastiquement révisé à la baisse ses prévisions de
croissance pour 2019. L'établissement table désormais sur une
progression du PIB de 0,4 % - contre 1,8 % auparavant - et fait resurgir
le spectre de la récession dans laquelle le pays avait été plongé à
l'occasion de la crise financière de 2008. (...) Le
tourisme est devenu le principal moteur de l'économie locale depuis la
crise financière de 2008, durant laquelle le gouvernement, au bord de la
banqueroute, avait dû nationaliser des banques criblées de dettes.
L'épisode a paradoxalement
mis le pays sous le feu des projecteurs, tout comme l'éruption de l'Eyjafjallajökull
en 2010 (...). Depuis, l'explosion de l'afflux touristique - de
450.000 en 2010 à plus de 2 millions en 2018 - a sorti le pays de
l'ornière mais l'a rendu dépendant : le tourisme pèse désormais 23 % du
PIB. C'est donc tout ce pan de l'économie qui
pourrait accuser le coup de la faillite de Wow Air. (...)
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737 MAX : Boeing croule sous les demandes d'indemnisation
(source Capital) 23 mai - Depuis désormais un peu plus de deux mois,
aucun Boeing 737 MAX n'a arpenté le ciel. La flotte entière est clouée
au sol après les crashs d'Ethiopian Airlines et de Lion Air, qui ont
fait respectivement 157 et 189 morts. (...) Trois des plus
importantes compagnies aériennes chinoises, Air China, China Eastern
Airlines et China Southern Airlines, ont ainsi réclamé
cette semaine des indemnisations auprès de Boeing au titre des
pertes financières générées par l'immobilisation de la flotte et des
reports de livraisons des 737 MAX, rapportent Les Échos. (...)
Avant les trois entreprises chinoises,
les européennes Norwegian Air Shuttle et Ryanair ont déjà annoncé
vouloir obtenir des réparations. (...) Même plainte du côté de
Turkish Airlines, (...) d'Emirates (...). Du côté des
experts, on confirme la nécessité pour Boeing de procéder à des
indemnisations. Et la note sera salée, selon le titre économique : la
facture pourrait atteindre des milliards de dollars.
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737 MAX : pas de date de retour officielle pour Boeing
(source Les Échos) 24 mai - Le 737 MAX dont le dispositif
anti-décrochage MCAS a été pointé du doigt dans les accidents
d'Ethiopian Airlines le 10 mars (157 morts) et de Lion Air le 29 octobre
en Indonésie (189 morts), n'a pas obtenu de date de remise en service
après plus de huit heures de discussions des autorités mondiales de
l'aviation civile, réunies jeudi au Texas. Lors d'une
conférence de presse, Dan Elwell, le chef intérimaire de la FAA (l'agence fédérale
américaine de l'aviation) a indiqué que « le seul calendrier est de
s'assurer que l'avion est sûr avant de voler ». La méfiance viendrait
surtout des régulateurs des autres pays à l'égard de la FAA quand à son
système de certification. Ainsi, les autorités étrangères aux
États-Unis, auraient posé « beaucoup de questions », souhaitant des
« clarifications » sur les procédures. Mercredi,
Dan Elwell avait indiqué que Boeing n'avait pas soumis pour
évaluation la mise à jour du système anti-décrochage MCAS, en raison de
questions additionnelles. L'avionneur avait pourtant affirmé la semaine
dernière que le correctif était prêt pour la certification. (...)
Quand bien même les autorités américaines
levaient son interdiction de vol, mercredi, le Canada et l'Europe ont
indiqué qu'ils définiraient eux-mêmes la date de reprise des vols des
737 MAX. L'attente est loin d'être terminée et cette incertitude devrait
être très rapidement perceptible en Bourse, pour le géant américain de
l'aérien.
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La famille A220 d'Airbus vient de gagner une heure d'autonomie supplémentaire
(source Le Journal de l'Aviation) 21 mai - Christian Scherer,
le directeur commercial d'Airbus, a (...) annoncé une augmentation très significative de la distance
franchissable des deux membres de la famille A220 (ex-CSeries).
Le rayon d'action des appareils d'Airbus Canada est ainsi augmenté de
450 nautiques (830 km) grâce à une future augmentation de la masse
maximale au décollage (MTOW) de l'ordre de 2,3 tonnes. Cette option, qui
sera disponible à partir du second semestre 2020, permettra ainsi à
l'A220-100 d'atteindre les 3400 nautiques (6300 km) et à l'A220-300 les
3350 nautiques (6205 km).
L'allongement du rayon de la famille A220 va ainsi lui ouvrir de
nouveaux marchés, à l'instar de lignes directes supplémentaires entre
l'Europe de l'Ouest et le Moyen-Orient ou encore entre l'Asie du Sud-Est
et l'Australie. Nul doute aussi que de nouvelles routes seront également
possibles entre l'Amérique du Nord et l'Amérique Centrale. (...) Le carnet de commandes de la famille A220 d'Airbus
Canada totalise 530 appareils.
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Un seul pilote dans le cockpit des Airbus et des Boeing, est-ce inéluctable ?
(source La Tribune) 23 mai - Airbus planche sur le passage à un
pilote dans le cockpit (en phase de croisière) des avions commerciaux
vers 2023. (...) Or, une éventuelle mise en service en 2023
signifie au regard des délais nécessaires pour la certification d'un tel
projet que celui-ci est à un stade avancé (...). Airbus compte s'appuyer sur l'automatisation développée pour les objets
volants autonomes pour arriver au concept de « Single Pilot Operations
(SPO)». (...)
Les partisans du passage à un pilote dans le cockpit estiment
que la présence de deux pilotes dans le cockpit se pose en phase de
croisière « où l'on surveille essentiellement les systèmes » et, qu'en
allégeant demain les tâches de l'équipage en transférant une partie
d'entre elles à « la machine », cette présence de deux pilotes n'est
plus nécessaire. Ceci dans les phases de croisière uniquement. (...)
En outre,
affirment-ils, la réduction du nombre de pilotes à bord permet à chaque
pilote de faire plus de décollages et d'atterrissages et donc de lutter
contre un problème de compétence observé sur les pilotes de vols à
équipage renforcé. (...)
«Nous sommes en sous activité en
croisière, c'est une évidence. Pour autant, il faut être capable de
répondre à l'immédiateté d'une situation dégradée. Les pilotes sont là
pour ça. L'être humain a une capacité de réaction et un niveau de
finesse que n'a pas la machine, mais il commet des erreurs », explique
un commandant de bord, qui se demande comment
un pilote seul pourra gérer une situation dégradée soudaine en situation
de stress le temps que le commandant de bord ne revienne de sa couchette
(...).
L'inquiétude des pilotes revêt d'autres formes qui n'ont pas
grand-chose à voir avec la sécurité des vols. Notamment le financement,
en France, des retraites des navigants. S'il y a moins de pilotes, il y
a de facto « moins de cotisants à la CRPN (caisse de retraites des
personnes navigants)», explique un pilote. Le passage à un
pilote dans le cockpit sera, potentiellement, la dernière l'étape avant
l'avion autonome. Un sujet qui irrite les pilotes, y compris les moins
réticents au « SPO ». Évidemment, même si l'appel à la technologie a
permis de rendre le transport aérien très sûr, la question de
l'acceptation des passagers va évidemment se poser dès le SPO
(Single Pilot Operations). C'est pour cela que les experts
voient les premières mises en service sur les avions cargo.
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Les députés votent une contribution de l'aérien à défaut de taxer le kérosène
(source AFP) 23 mai - Les députés ont voté dans la nuit de lundi à
mardi en commission pour une contribution du transport aérien au
financement des autres modes de transport, sans aller jusqu'à une
taxation du kérosène, sujet qui doit se régler "à l'échelle européenne"
selon le gouvernement. Cette contribution d'environ 30 millions
d'euros sera une réaffectation des surplus de recettes de la taxe de
solidarité sur les billets d'avion, dite "taxe Chirac", au profit de
l'Agence de financement des infrastructures de transport de France (Afitf). (...)
"La France poussera pour une
taxation du transport aérien mais qui doit se faire à l'échelle
européenne", a affirmé Mme Borne devant la commission du Développement
durable. Mais elle peut "d'ores et déjà adresser un signe de sa
mobilisation sur le sujet" via cette contribution, a-t-elle souligné. (...)
>
Safran déboule dans la course incertaine à l'avion électrique
(source La Tribune) 27 mai - Alors que la pression sociale s'accentue
sur le transport aérien pour que ce secteur accentue ses efforts pour
réduire ses émissions de CO2 qui représentent 2,5% des émissions
mondiales, le groupe aéronautique Safran s'est lancé avec force dans la
propulsion électrique, avec la ferme intention de "faire la course
devant", selon Stéphane Cueille, le directeur de l'innovation et de la
R&T de Safran. (...) Pour des
engins volants de très petite taille, (..) destinés à assurer
des vols de très courte distance, à l'instar des taxis volants, des
drones logistiques cargo, voire même des avions de transport de
passagers d'une douzaine de places (...), Safran est
plus que jamais présent en travaillant sur plusieurs démonstrateurs. En
2019, le groupe prévoit déjà de livrer 200 moteurs, tous construits sur
son site de Villaroche, en Île-de-France. (...) Autre marché
visé, celui des "sauts de puce" en avion de moins de 20 places,
(...) intégrant une part
d'électricité dans la propulsion, laquelle permettra de d'effectuer,
selon la distance, des vols 100% électriques ou hybrides. De tels
appareils pourraient voir le jour après 2025. Safran est donc sur tous
les fronts. (...) Au-delà de ces petits véhicules,
il est difficile d'envisager aujourd'hui des avions électriques plus gros,
capables de remplir un jour les missions de l'A320 ou du B737. Pour
rappel, ces derniers transportent près de 80 tonnes à pleine charge sur
3.000 miles nautiques. "Les spécialistes des batteries nous
disent qu'ils n'ont pas dans les cartons ce qu'il nous faudrait (...).
Même si l'on multiplie par 5 [la puissance des batteries] (...), il
faudrait (...) un avion de la taille d'un A380 pour transporter 200
passagers entre Paris et Toulouse ! (...)
Au regard de la
technologie aujourd'hui, difficile même d’imaginer un avion
tout-électrique pour la génération N+2 d'avions moyen-courriers, vers
les années 2060. Quant aux long-courriers, personne n'y pense.
Aussi, tous les yeux se tournent vers les biocarburants, qui peinent à
décoller dans l'aviation. Quinze ans après le vol d'un B747 de Virgin
avec un moteur alimenté avec un mélange de biocarburant et de kérosène,
ces carburants alternatifs ne représentent qu'une goutte d'eau dans la
consommation totale des compagnies aériennes.
Fin de la revue de presse
> Assemblée générale des actionnaires Air France-KLM
le 28 mai 2019
L'assemblée générale des actionnaires Air France-KLM se tient ce
mardi 28 mai à 14h30 à l’Espace Grande Arche de la Défense.
Je remercie tous ceux d'entre vous qui,
possédant des actions Air France-KLM ou des parts (FCPE Majoractions,
Aéropélican et/ou Concorde chez Natixis), m'ont confié leurs pouvoirs. Pour de plus détails, retrouvez mon
Flash80.
> Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 7,828 euros en clôture lundi 27
mai. Elle est
en baisse de 3,86%, après des baisses de
1,05%, 12,34% et 7% les semaines précédentes. Il faut remonter à juillet
2018 pour trouver trace d'un cours aussi bas
La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM
est à 10,77 euros. Il a baissé suite à l'annonce des résultats du
premier trimestre ainsi qu'à l'annonce d'un nouveau plan de départs
volontaires parmi les personnels d'escale.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord) est
en baisse de 2$ à 70$. Les cours du pétrole
restent dopés par les baisses de production de l'Opep et les tensions
géopolitiques au Venezuela et en Iran.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
A bientôt.
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François Robardet
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salariés actionnaires PS et PNC Vous pouvez me retrouver sur mon
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