N°707, 10 juin 2019
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La Revue de Presse du lundi ...
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L'environnement, nouveau cheval de bataille d'Air France-KLM… et de ses concurrents
(source Les Échos) 6 juin - Face à la multiplication des attaques contre le transport aérien, il ne se passe plus un jour sans
qu'une compagnie aérienne annonce une nouvelle initiative en faveur de
l'environnement. Ce mercredi, c'était au tour d'Air France et de sa
filiale low-cost Transavia France de communiquer, pour annoncer la
suppression des articles en plastique sur leurs vols, d'ici à la fin de
l'année. (...) Au total, Air France et sa
filiale élimineront ainsi de leurs déchets, dès l'an prochain, quelque
1.340 tonnes de plastique. Les deux compagnies anticipent ainsi l'entrée
en vigueur de la directive européenne adoptée en mars, visant à
interdire à partir de 2021 la vente de ces articles en plastique à usage
unique.
Air France en a profité pour souligner ses efforts afin de réduire ses
émissions de gaz à effet de serre. Depuis 2011, la compagnie a réduit de
20 % ses émissions de CO2. La consommation de kérosène serait tombée à
3,21 litres par passager pour 100 km. Ou encore 80 g de CO2 par
passager/km. Soit bien en dessous du seuil de 95 g de CO2/km fixé par
l'Union européenne pour 95 % des voitures en 2020. Dimanche dernier,
KLM avait
déjà dévoilé, de son côté, deux initiatives pour réduire les émissions
de CO2. A savoir un soutien financier à un projet d'avion plus
« éco-efficient » développé par l'université hollandaise de Delft
et
surtout, un contrat pour la fourniture de 75.000 tonnes de
biocarburant par an à compter de 2022, générant 85 % de CO2 de moins que
le kérosène. (...) Selon son PDG, Pieter Elbers, cet apport de biocarburant
devrait permettre de réduire les émissions de CO2 de KLM de l'ordre de
200.000 tonnes par an, « soit l'équivalent d'un millier de vols entre
Amsterdam et Rio ». Ce qui n'a
toutefois pas empêché Ryanair de tacler les efforts de ses concurrents
en matière de réduction du CO2. La compagnie low-cost, qui s'était
retrouvée dans le Top 10 des plus gros pollueurs européens établi par
l'organisation non gouvernementale européenne Transport & Environnment
en avril dernier, a en effet décidé de publier
chaque mois le chiffre de ses émissions de CO2.(...) Etude à
l'appui, Norwegian revendique pour sa part, le titre de compagnie
long-courrier la moins polluante sur le marché transatlantique, avec un
écart de 63 % avec le dernier du classement, British Airways, là encore
grâce à des avions plus récents (des Boeing 787). Des chiffres
difficilement vérifiables (...), mais qui illustrent
bien la volonté des compagnies de faire de la préservation de
l'environnement, un argument de différenciation commerciale.
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Air France-KLM pourrait racheter une compagnie aérienne ?
(source Business Travel) 6 juin - Lors du sommet de la IATA Benjamin
Smith n’a pas écarté l’idée du rachat d’une compagnie aérienne en Europe
de l’Ouest pour participer à la consolidation du marché européen.
« C’est une industrie très concurrentielle et nous n’avons pas le
choix » a déclaré Benjamin Smith. Ces dernières années Air
France-KLM avait subi des difficultés financières tandis que ses
concurrents avaient racheté de nombreuses entreprises en Europe. IAG a
racheté Iberia, Aer Lingus et Vueling tandis que Lufthansa s’est emparée
d’Austrian Airlines, Swiss, Brussels Airlines ainsi que des actifs d’Air
Berlin. Air France-KLM pourrait être intéressée par LOT Polish
Airlines, Norwegian ou Scandinavian Airlines ou pourquoi pas la low-cost
Wizz Air en pleine croissance en Europe de l’est (…)
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Vols domestiques chez Air France : Transavia ne remplacera pas Hop!
(source TourMaG) 6 juin - Depuis quelques jours, des négociations sur
l’expansion de Transavia France, bridée à l’exploitation de 40 appareils
maximum, se sont ouvertes entre la direction d’Air France et son
Syndicat national des pilotes de ligne (SNPL), dont les représentants
syndicaux approuvent à 97% le déplafonnement de la limite actuelle de 40
avions. La question de
la reprise de certaines lignes court-courriers et domestiques, opérées
par la filiale Hop, y a été abordée. D’après plusieurs sources
présentes autour de la table des négociations, il semble néanmoins très
peu probable que Transavia viennent
empiéter sur les plates-bandes de Hop. Pour autant, « le
développement de Transavia représente une opportunité pour les emplois
et les carrières d’Air France. Le SNPL s’engage dans cette négociation
avec confiance afin de trouver les modalités d’un accord qui permette à
Transavia de devenir un acteur low-cost majeur », a fait savoir le
président du SNPL Air France. Pour la
direction d’Air France, « faire évoluer le périmètre de Transavia France
permet à la fois de protéger les parts de marché d'Air France sur son
réseau et de positionner Transavia France comme un acteur majeur sur le
marché des compagnies low-cost ». « Vouloir développer Transavia, c’est très bien, tant mieux
pour eux et leurs pilotes. Mais ce développement va certainement jouer
un rôle sur notre avenir. On observe Transavia et tout le groupe Air
France qui se développe, et Hop qui s’affaisse toujours plus »,
prévient
de son côté une source syndicale chez Hop. (...)
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Dix ans de joint-venture pour Air France, KLM et Delta
(source Air Journal) 5 juin - Les compagnies aériennes Air France, KLM
Royal Dutch Airlines et Delta Airlines célèbrent 10 années de succès de
leur coopération transatlantique, un partenariat construit autour d’un
réseau de sept hubs (5 aux États-Unis et 2 en Europe) et couvrant le
Canada, les USA, le Mexique et l’Europe. Bluebiz, le programme de
fidélité d’entreprise des deux transporteurs européens et de leurs
partenaires, a été rénové. Durant la dernière décennie, les
trois compagnies française, néerlandaise et américaine ont franchi
ensemble de nouvelles étapes en ouvrant de nouvelles routes entre
l’Europe et l’Amérique du Nord et en améliorant le service proposé à
leurs clients. Ces derniers bénéficient aujourd’hui de 38 routes
supplémentaires entre l’Europe et l’Amérique du Nord comparé à il y a 10
ans, portant ainsi l’offre à plus de 270 vols transatlantiques par jour. (...) Les clients des trois compagnies de l’alliance SkyTeam
peuvent gagner des Miles et les échanger contre des avantages ou des
options, y compris des surclassements, grâce aux programmes de
fidélité ; les clients éligibles bénéficient du plus grand réseau de
salons en aéroport en Amérique du Nord et en Europe. (...)
Le
partenariat entre Air France, KLM et Delta est né d’un précédent accord
entre KLM et Northwest Airlines. A la suite de l’accord « ciel ouvert »
sur le transport aérien entre les États-Unis et l’Europe en 2007, et la
fusion entre Delta et Northwest, le groupe Air France-KLM et Delta
Airlines ont annoncé le 20 mai 2009 leur engagement à long terme avec
une coentreprise. Un an plus tard, Alitalia rejoignait le partenariat,
offrant ainsi de nouvelles opportunités de vols entre l’Amérique du Nord
et l’Italie. L’année dernière, Delta a investi 375 millions d’euros pour
acquérir 10% du capital du groupe Air France-KLM. Bluebiz,
(...) le programme de fidélité d’entreprise d’Air
France, de KLM et de leurs partenaires a été rénové avec de nouvelles
fonctionnalités, un nouveau design et des avantages supplémentaires pour
ses membres. Aujourd’hui, Virgin Atlantic (uniquement au Royaume-Uni, en
Chine, à Hong-Kong et en Afrique du Sud), en passe de devenir membre de
la coentreprise, rejoint bluebiz à la suite de l’ajout récent de Kenya
Airways. Selon les marchés, jusqu’à 8 compagnies aériennes font parties
du programme de fidélité : Air France, KLM et Delta, GOL Linhas Aéreas,
China Eastern Airlines (uniquement au départ de CDG, Schiphol et
Shanghai), China Southern Airlines, Kenya Airways et donc Virgin
Atlantic. Les membres du programme bluebiz « bénéficient
d’économies immédiates » lorsque leurs collaborateurs voyagent sur les
vols des compagnies aériennes partenaires. Les membres ont désormais
l’opportunité de participer au programme CO2ZERO qui leur permet
d’utiliser leurs blue credits pour compenser les émissions de CO2 liées
à leurs voyages avec Air France, KLM et Delta Airlines.(...)
Patrick Alexandre, Directeur Général Adjoint Air France-KLM, Commercial,
Ventes & Alliances, a déclaré : (...) Avec ce programme rénové,
« nous avons souhaité proposer quelque chose de plus clair et plus
simple. Clair et simple à comprendre, à utiliser et à gérer. Nous
continuons d’investir dans ce programme et ce segment dynamique
important pour notre activité, qui représente plus de 30% de notre
chiffre d’affaires total ». (...)
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Ryanair : trafic en hausse de 13%, émissions détaillées
(source Air Journal) 6 juin - La compagnie aérienne low-cost Ryanair
a transporté 14,1 millions de passagers en mai toutes filiales
comprises, son trafic progressant de 10% sur les douze derniers mois.
Elle a d’autre part commencé à publier des statistiques mensuelles sur
ses émissions de CO2. (...) La première compagnie européenne,
accusée
début avril de figurer dans le Top Ten du classement des plus gros
pollueurs du continent, est devenue mercredi « la première
compagnie aérienne de l’Union européenne à publier des statistiques
mensuelles sur ses émissions de CO2 », affichant une moyenne de 66g de
CO2 par passager/km en mai 2019. (...) Les
émissions de CO2 par passager/km de Ryanair ont été réduites de 82 à 67g
(-18%) au cours de la dernière décennie, « tandis que les concurrents à
prix élevés tels que Lufthansa, British Airways et AF-KLM génèrent
actuellement plus de 120g par passager/km » ; une affirmation
immédiatement contrée sur les réseaux sociaux par Air France-KLM qui
vient de publier son dernier rapport sur le développement durable,
faisant état de 80 g par passager/km. (...) Dans le cadre de
son engagement environnemental, Ryanair investira plus de 20 milliards
USD dans une flotte de 210 nouveaux Boeing 737 Gamechanger (les 737 MAX
8-200 NDLR) qui transporteront 4% de passagers supplémentaires mais
réduiront la consommation de carburant de 16% et les émissions sonores
de 40% ». (...)
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France-USA : Norwegian passe la barre symbolique des 1,5 million de passagers
(source Déplacements Pros) 7 juin - La compagnie low-cost a annoncé
avoir transporté 1,5 million de passagers depuis la France vers les
États-Unis depuis 2016. (...) "Je me réjouis du succès que Norwegian remporte en France. En
transportant 1,5 million de passagers sur ses vols transatlantiques,
dont la moitié de voyageurs américains, Norwegian a réussi en moins de
trois ans à imposer en France son modèle low-cost long-courrier, dans un
marché extrêmement concurrentiel", a déclaré dans un communiqué Bjorn Kjos, PDG de Norwegian Air Shuttle.
(...) En 2018, la low-cost a transporté 37 millions de passagers à
travers le monde et dispose désormais d'une flotte de 160 avions, dont
des Boeing 787 Dreamliner de moins de 2 ans.
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Airbus : Virgin Atlantic commanderait des A330neo
(source Boursier com) 3 juin - Airbus (...) serait tout proche de boucler une vente d'appareils
long-courrier A330neo à la compagnie aérienne Virgin Atlantic. Citant
des sources proches du dossier, Reuters précise que le transporteur
britannique serait à la recherche d'environ 6 à 10 appareils. Il aurait
privilégié la version modernisée de l'A330 au 787 Dreamliner de Boeing.
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Boeing doit maintenant gérer des problèmes de moteurs sur son 777X
(source Boursier com) 6 juin - Quand rien ne va... Boeing
doit décidément faire face à une série de vents contraires. Après la crise du
737MAX à la suite des deux crashs mortels survenus en moins de six mois,
les problèmes de moteurs Rolls-Royce équipant certains Dreamliners,
le
géant américain doit aussi gérer des
difficultés avec le nouveau moteur GE9X de General Electric qui équipera
le futur 777X. Un obstacle qui
vient s'ajouter aux retards de montage du moteur et des ailes de
l'appareil déjà recensés. Ces imprévus risquent de
compliquer la tâche de Boeing qui vise une
entrée en service du 777X en 2020, ont indiqué à Reuters des
sources industrielles.(...) Les problèmes de ce moteur,
entre autres, rendent de plus en plus improbable un premier vol d'essai
du 777X fin juin (...). Une source proche du dossier a dit à
Reuters que la période des vols d'essai avait à l'origine été fixée à 14
mois mais une procédure d'homologation devenue plus stricte après les
accidents des 737 MAX d'octobre et de mars implique que ce calendrier ne
sera sans doute pas accéléré. Cela veut dire que les premières
livraisons du 777X auraient vraisemblablement lieu vers la fin 2020,
voire en 2021, selon des sources professionnelles. Dans le meilleur des
cas.
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La France veut désormais une taxe européenne sur le transport aérien
(source Les Échos) 6 juin - Après avoir fait miroiter pendant un an
des allègements de taxes pour restaurer la compétitivité du transport
aérien français, le gouvernement français souhaite désormais
l'instauration d'une nouvelle taxe sur l'aérien, à l'échelle européenne,
« pour renforcer sa contribution à la transition écologique ». La
ministre des Transports, Elisabeth Borne, a officiellement mis le sujet
sur la table, à l'occasion du conseil des ministres des Transports de
l'Union européenne, qui se tenait ce jeudi à Luxembourg, au nom de
« l'urgence de l'enjeu climatique ». (...) A ce stade,
il s'agit seulement de « préparer le terrain », avant l'installation de
la nouvelle Commission européenne, à l'automne, explique un conseiller.
Une nouvelle réunion informelle des ministres des Transports, dédiée à
la tarification du C02 dans l'aérien, est d'ores et déjà prévue les 23
et 24 juin à Amsterdam. Néanmoins, le processus est lancé et l'idée
d'une taxe sur les billets d'avion a déjà des partisans en Europe. Outre la Suède, qui a instauré en début d'année une taxe allant de 4 à 40 euros sur tous les vols au départ des
aéroports suédois, la Hollande et la Belgique ont également fait part de
leurs projets de taxe européenne. (...) S'agissant des modalités, le texte se limite à évoquer
« différentes pistes de tarification […] pour renforcer le principe
pollueur-payeur ». A savoir une taxe sur le kérosène, des
« charges sur les billets et sur les vols » - qui pourraient prendre la
forme, selon nos sources, d'une taxe carbone ou d'une taxe sur le prix
du billet - ou encore un « renforcement » du système européen de quotas
d'émissions de gaz à effet de serre (ETS), qui oblige déjà les
compagnies européennes à payer pour leurs émissions de CO2 sur les vols
intra-européens. Cependant, aucune indication n'est donnée
concernant le montant de cette taxe, son assiette et sa destination
finale. (...)
Par
ailleurs, si la proposition française prend soin de souligner la
nécessité de « tenir compte de la situation au niveau mondial […]
afin
d'éviter les distorsions de concurrence », elle ne dit pas comment.
Comparée à des taxes nationales, une taxation européenne aurait
l'avantage d'éviter des distorsions de concurrence entre compagnies
européennes, sur les lignes intra-européennes. A condition que la
proposition fasse l'objet d'une décision unanime des États européens. Le
gouvernement français aurait en effet donné l'assurance aux
professionnels français qu'il n'y aurait de nouvelle taxe qu'au niveau
européen, excluant ainsi de suivre l'exemple suédois d'une taxe
nationale. En revanche, sur les
lignes internationales, les transporteurs européens se retrouveraient
pénalisés par rapport à leurs concurrents étrangers. Ainsi pour se
rendre de Nice à Bangkok, un passager sera taxé sur la totalité du
trajet s'il choisit Air France via Paris ou Lufthansa via Francfort,
alors qu'il ne sera taxé que sur le tronçon Nice-Dubaï, s'il choisit
Emirates, le vol Dubaï-Bangkok échappant à la réglementation européenne.
Même chose avec une taxe sur le kérosène chargé en Europe, avec en plus
le risque de voir certaines compagnies se réapprovisionner hors d'Europe
ou emporter plus de carburant. Cependant, le plus gros risque pour
toutes les compagnies opérant en Europe est que le renchérissement du
prix du billet se traduise soit par une baisse de trafic, soit par une
baisse des marges. C'est ce qui s'est passé en Suède.
La Revue de Presse Boursière ...
>
EasyJet évincée de l'indice phare de la Bourse de Londres
(source Le Figaro avec AFP) 5 juin - La compagnie aérienne
britannique EasyJet va sortir de l'indice vedette de la Bourse
de Londres, après avoir vu sa capitalisation fondre ses
derniers mois, a annoncé aujourd'hui l'opérateur London Stock Exchange
(LSE). (...)
Cette éviction d'EasyJet n'est
pas une grande surprise puisque le groupe a vu son cours chuter de 18%
depuis le début de l'année au point que sa capitalisation boursière est
tombée à autour à 3,5 milliards de livres (3.9
milliards d'euros), la plus faible du FTSE-100.
Il a notamment pâti d'un contexte difficile en début d'année pour les
valeurs exposées à l'économie britannique, qui ont eu tendance à être
délaissées par les investisseurs inquiets des conséquences du Brexit.
En outre, le secteur aérien européen traverse une zone de
turbulences, en particulier les spécialistes du court-courrier, en
raison d'une augmentation des coûts du carburants et la féroce
compétition sur le continent qui tire les prix vers le bas et comprime
les marges. La compagnie au logo orange et blanc avait publié mi-mai des
pertes quadruplées au premier semestre 2028-2019, à 218 millions de
livres et s'était montrée prudente pour le reste de l'année du fait des
conditions de marché défavorables.
Fin de la revue de presse
> Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 8,092 euros en clôture lundi
10 juin. Elle est
en hausse de 4,95%.
La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM
est à 10,77 euros. Il avait baissé suite à l'annonce des résultats du
premier trimestre ainsi qu'à l'annonce d'un nouveau plan de départs
volontaires parmi les personnels d'escale.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord)
repart à la hausse, +2$ à 63$, l'Arabie saoudite ayant annoncé que l'Opep
était proche d'un accord pour prolonger le pacte de réduction de la
production au-delà de juin. Le baril de pétrole Brent avait baissé de 9$ la
semaine précédente, à la suite d'une hausse inattendue des stocks de
brut aux Etats-Unis.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
A bientôt.
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François Robardet
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