photo François Robardet, Administrateur Air France-KLM
Air France : le SNPL va lancer un référendum sur le développement de Transavia
I Lettre de l'Administrateur Air France-KLM

François Robardet Représentant des salariés et anciens salariés actionnaires PS et PNC

N°711, 8 juillet 2019  
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La Revue de Presse du lundi ...

> Air France : le SNPL va lancer un référendum sur le développement de Transavia

(source La Tribune) 4 juillet - Le développement de Transavia sera décidé par les pilotes du SNPL d'Air France. Ce jeudi, le conseil du syndicat national des pilotes de ligne de la compagnie française (...) a décidé de soumettre au vote de ses adhérents le projet d'accord sur le développement de Transavia (...).
 
Selon nos informations, le projet prévoit un développement sans aucune limite de Transavia France contrairement à ce qui a toujours existé depuis la création de la filiale low-cost d'Air France en 2007. Autrement dit, le plafond de 40 avions disparaît.
 
Le développement de Transavia reste néanmoins très encadré. Il s'effectuera de ses bases existantes d'Orly, Nantes et Lyon sans exclure la possibilité d'en ouvrir d'autres en France. Des bases à l'étranger sont interdites. La flotte de Transavia France devra être composée uniquement d'avions monocouloirs. Les trajets ne devront pas dépasser 3.000 miles nautiques et les vols transatlantiques sont interdits. Transavia n'exploitera pas de vols réguliers au départ de Roissy-Charles de Gaulle, le hub d'Air France. Aucune route assurée par Air France ne pourra être également exploitée par Transavia, précise la direction, laquelle dit garantir une flotte de 110 avions moyen-courriers à Air France. (...)
 
Le projet d'accord et les conditions de détachement des pilotes d'Air France irritent les pilotes dits historiques de Transavia, ceux qui étaient là en 2007 pour le lancement de compagnie. (...) Ils se voient proposer d'avoir un contrat Air France (...) mais perdent une partie de leur ancienneté et de leur séniorité, explique l'un d'eux.
 
Pour autant, l'application à Transavia des règles de rémunération en vigueur à Air France permettra une hausse de rémunération de 4 à 5% pour les commandants de bord et de 15% pour les copilotes en appliquant les règles d'ancienneté d'Air France. Soit une hausse de la masse salariale de Transavia de 7 à 8%.
 
En contrepartie, les salaires des pilotes d'Air France seront gelés l'an prochain selon des pilotes présents au conseil (la direction explique que le projet d'accord parle de modération salariale), et la compagnie pourra commercialiser des sièges supplémentaires sur les B777 en retirant les toilettes privatives des pilotes. Le gain pour l'entreprise de ces deux mesures est évalué par un pilote à 20 millions d'euros.
 
Pour rappel, les pilotes ont obtenu au titre des augmentations générales des hausses de salaire de 2% en décembre 2018 et 2% début 2019, puis près de 4% après un accord catégoriel en février ainsi qu'une revalorisation du protocole instructeurs au printemps.
 
Chez Transavia, la hausse de rémunération pour les pilotes ne semble pas apaiser les choses.
 
« Ce projet va autoriser le développement de Transavia au détriment des pilotes historiques de Transavia », tempête Cyril Froment, délégué syndical du SPL, un syndicat affilié à la CFDT. Selon lui, si le projet n'est pas retiré, la paix sociale sera levée dès le lundi 8 juillet et des appels à la grève pourraient suivre cet été.
 
Ce qui serait un coup dur pour Transavia, qui souffre déjà d'un manque de commandants de bord.
 
Les tensions sont fortes également chez HOP, la filiale régionale d'Air France. Le SNPL HOP demande l'intégration des pilotes chez Air France et menace lui aussi de faire grève.

Mon commentaire : Toutes les catégories de personnel d'Air France et de Transavia France sont concernées par le développement de Transavia France, filiale à bas coûts d'Air France. Mais seul un syndicat de pilotes d'Air France participe aux négociations sur ce sujet.

Si les négociateurs n'intègrent pas les préoccupations des autres salariés du Groupe Air France, des mouvements sociaux ne sont pas à exclure.

> Trafic Air France-KLM : +3,4% en juin, +4,2% sur six mois

(source Air Journal) 8 juillet - Le trafic du groupe aérien franco-néerlandais a progressé en juin avec 9,658 millions de passagers, une hausse de 3,4% par rapport au même mois l’année dernière. Une croissance de 0,7% est affichée par la seule Air France, quand KLM Royal Dutch Airlines gagne 4,7% et la low-cost Transavia +9,0%. Sur les six premiers mois de l’année, le groupe a accueilli 50,474 millions de clients (+4,2%).
 
(...) Le coefficient d’occupation global du groupe, toutes filiales comprises, progresse de 1,5 point de pourcentage à 90,7%. (...)
 
L’activité fret d’Air France-KLM a vu son trafic mensuel en TKT (tonne kilomètre transporté) reculer de 3,6% le mois dernier, sur des capacités en baisse de 0,1% ; le taux de remplissage recule de 2,1 points de pourcentage à 56,9%. (...)

Sur les six premiers mois de l’année, le groupe Air France-KLM a accueilli 50,474 millions de passagers (+3,4% par rapport à la même période en 2018), avec un coefficient d’occupation moyen de 90,7% (+1,5 point). Air France affiche 25,672 millions de clients entre janvier et juin (+4,7%), KLM 16,979 millions de clients (+2,2%) et la low-cost Transavia 7,823 millions de passagers (+7,0%).

Mon commentaire : Au premier semestre 2019, le trafic du Groupe Air France-KLM a bien progressé. Les résultats financiers seront publiés le 31 juillet.

> L'aviation ne mérite de croitre que lorsque les nuisances diminuent réellement

(source Het Parool traduit avec Deepl) 7 juillet - Schiphol et les compagnies aériennes pourraient poursuivre la croissance du trafic aérien. Au préalable, il faudra réduire les nuisances pour les riverains et l'environnement, afin que le nombre de vols puisse augmenter après 2020 (...) déclare la ministre de l'aviation, Cora van Nieuwenhuizen, dans un entretien avec Het Parool. (...)
 
Croissance du trafic en limitant les inconvénients. Comment voulez-vous y parvenir ?
"Je ne mets plus d'horizon, il n'y aura plus de grand saut. Nous allons vraiment faire l'inverse : d'abord moins de nuisances, puis la croissance. Ce n'est que si le nombre de personnes souffrant d'une gêne sévère diminue que Schiphol pourra connaître une nouvelle croissance."
 
"Nous allons développer Schiphol par petits pas. Chaque année, nous examinerons ce que le secteur de l'aviation peut offrir dans le domaine de la réduction du bruit. Ensuite, il y aura éventuellement une croissance. Si la nuisance ne diminue pas, Schiphol restera à 500.000 vols. Et il n'y aura jamais plus de 540.000 vols dans les années à venir, pour des raisons de sécurité."
 
Pouvez-vous donner des exemples ?
"Nous attendons de l'aéroport Schiphol d'Amsterdam qu'il élabore un plan de réduction des nuisances et qu'il s'attaque, entre autres, au top 20 des plaintes pour nuisances. Et un fonds doit être mis en place pour les situations de détresse, l'isolation des maisons et la création de moments de repos fixes." (...)
 
Prenez-vous au sérieux les énormes investissements réalisés par KLM et Easyjet, entre autres, dans des avions plus économiques et plus silencieux ou du biokérosène ?
"Ils font aussi ces investissements sur la base de leur propre motivation. Tout le monde en profite. Je ne peux pas encore dire si le soutien de KLM pour le biokérosène sera récompensé par une croissance supplémentaire."
 
(...) "Nous avons mis en place un programme pour rapprocher la gêne calculée de la gêne que les gens disent ressentir. Je comprends parfaitement qu'il est frustrant pour les résidents locaux d'être confrontés à toutes sortes de moyennes et de ressentir les désagréments de manière très différente (...)."
 
Comment allez-vous procéder ?
Après mes vacances, je vais m'asseoir avec tous les protagonistes. La première croissance sera possible en 2021. Nous ne devrions pas attendre trop longtemps pour les premières mesures. C'est aussi un appel au secteur de l'aviation ; plus vite nous aurons des mesures concrètes en place, plus vite nous pourrons à nouveau nous développer."

Mon commentaire : La croissance de KLM passe par une augmentation des créneaux à Schiphol.  La décision incombe au gouvernement néerlandais, lequel cherche un moyen de convaincre la population riveraine de l'accepter.

La tâche est ardue. Ces dernières années, dans des situations similaires (Mexico, Londres, Munich, Nantes, ...), les projets permettant une augmentation du trafic ont été soit suspendus, soit annulés.

> Report du plan pour l'avenir d'Air France-KLM

(source De Telegraaf traduit avec Deepl) 3 juillet - Le plan conjoint des gouvernements français et néerlandais pour l'avenir d'Air France-KLM est reporté à une date ultérieure. Le ministère des finances l'a confirmé à De Telegraaf.

En février, les Pays-Bas sont devenus le deuxième actionnaire de la compagnie aérienne franco-néerlandaise. Cette décision n'a pas été bien accueillie par le gouvernement français au départ.

Par la suite, les Pays-Bas et la France ont décidé de nommer une commission de hauts fonctionnaires, qui formuleraient collectivement un plan pour l'entreprise, sa direction et sa gouvernance. Ce devait être terminé fin juin, mais la question est maintenant de savoir si ce sera possible avant septembre.

Les Pays-Bas souhaitent préserver les intérêts de KLM pour l'économie néerlandaise et la conduite autonome des affaires en signant de nouveaux accords.

Mon commentaire : Les difficultés que rencontre le gouvernement néerlandais pour augmenter la capacité de Schiphol pourraient expliquer le retard des travaux de la commission mise en place en février.

A noter que le président de l'Agence des Participations de l'État, M Martin Vial, qui participe aux travaux de cette commission, a été désigné fin mai membre du Conseil d'Administration Air France-KLM. Il y représentera l'État français.

> Air France KLM : Steven Zaat est nommé Directeur Général Adjoint Economie-Finances d'Air France

(source zonebourse) 2 juillet - Air France a annoncé la nomination de Steven Zaat en tant que Directeur Général Adjoint Economie-Finances d'Air France à compter du 3 juillet. Il rapportera directement à Anne Rigail et sera membre du Comité Exécutif. Il remplacera Marc Verspyck qui cessera ses fonctions de Directeur général adjoint Economie Finances d'Air France à cette même date, avant de quitter l'entreprise.
 
(...) Steven Zaat a rejoint KLM en 2000 où il a occupé différentes fonctions au sein de la division Engineering and Maintenance puis au sein des Alliances et de l'Audit.
 
En 2014, il a rejoint le groupe Air France-KLM, en tant que VP Finance & Control Air France-KLM Engineering & Maintenance.
 
En 2015, il devient Senior Vice President Corporate Control Air France-KLM, en charge des Services financiers partagés, du Corporate Control et des joint-ventures. Il a fait partie des équipes de négociations de la joint-venture entre Air France-KLM, Delta et Virgin Atlantic.

Mon commentaire : La nomination d'un néerlandais à un poste de Directeur Général Adjoint d'Air France illustre la volonté de Ben Smith de constituer des équipes mixtes au sein des entreprises du Groupe Air France-KLM.

Ce n'est cependant pas une nouveauté. De 2005 à 2012, un français, Frédéric Gagey, a exercé la fonction de directeur général des affaires financières de KLM.

> Très bon trimestre pour Delta, seule grande compagnie américaine à ne pas avoir de B 737 Max

(source Déplacements Pros) 5 juillet - Les compagnies aériennes américaines ont connu un trimestre difficile, mais Delta a été l'exception notable. La compagnie aérienne annonce que ses résultats trimestriels sont meilleurs que prévu.
 
Contrairement à American Airlines (AAL), United (UAL) et Southwest (LUV), Delta Air Lines n'a pas été obligée d'annuler des vols au cours du trimestre en raison de l'immobilisation au sol du Boeing 737 Max, tout simplement parce que la compagnie n'en possède pas.
 
Delta annonce des revenus totaux en hausse de 8 % à 8,5 % pour le trimestre qui vient de s'achever. C'est plus que prévu. La compagnie prévoyait que les recettes augmenteraient de 6 % à 8 %. (...)

> Trafic du groupe IAG : +6,0% au premier semestre

(source Air Journal) 8 juillet - International Airlines Group (IAG), rassemblant British Airways, Iberia, Aer Lingus, Vueling et Level, a accueilli 11,273 millions de passagers le mois dernier, un trafic en hausse de 6,1% par rapport à juin 2018.

Sur les six premiers mois de l’année, ce trafic a progressé de 6,0% à 55,885 millions de passagers
.
 
(...) Le coefficient d’occupation moyen des avions du groupe gagne 0,6 point à 83,0%, sur des capacités globalement en hausse de 5,7%.
 
(...) En six mois, British Airways a accueilli 23,115 millions de clients(+2,8%), Aer Lingus (...) a vu son trafic progresser de 4,6% à 5,451 millions de clients, Iberia (avec Iberia Express) (...) a accueilli 10,643 millions de passagers (+7,4%), la low cost Vueling (...) a accueilli 15,904 millions de passagers (+6,4%), la low cost Level (...) a vu son trafic passager atteindre 772.000 passagers (+459,4%) (...).
 
Dans le secteur fret, le groupe a enregistré (...) au premier semestre une augmentation de 1,1% de ce même trafic. (...)

Mon commentaire : Sur les six premiers mois de l'année, le Groupe IAG a transporté 10% de passagers de plus que le Groupe Air France-KLM.

> IAG : condamné à une amende après le vol de données de clients

(source Cercle Finance) 8 juillet - International Airlines Group (IAG) a reçu une amende de 183,4 millions de livres (environ 200 millions d'euros) après le vol de données de clients sur le site Web de British Airways en 2018.
 
Dans un communiqué, le groupe de compagnies aériennes, formé par la fusion de British Airways et d'Iberia, s'est dit 'surpris' et 'déçu' par la pénalité annoncée par le UK Information Commissioner's Office (ICO).
 
'British Airways a réagi rapidement à un acte criminel visant à voler les données de ses clients. Nous n'avons trouvé aucune preuve de fraude / activité frauduleuse sur des comptes liés au vol', indique le communiqué de presse.
 
International Airlines Group a déclaré qu'il avait l'intention de prendre des mesures pour défendre sa position, notamment en faisant appel de la décision. (...)

Mon commentaire : Le montant de l'amende infligée à British Airways étonne par son importance.

> La compagnie saoudienne flyadeal privilégie Airbus au 737 de Boeing

(source Reuters) 7 juillet - La compagnie saoudienne à bas coûts flyadeal ne confirmera pas une commande de 737 MAX à Boeing d'un montant de 5,9 milliards de dollars (5,26 milliards d'euros) et va au contraire se doter d'une flotte composée intégralement d'A320 d'Airbus.

Flyadeal a entrepris une réflexion sur cette commande à la suite des deux catastrophes aériennes impliquant le 737 MAX survenues en octobre en Indonésie et en mars en Ethiopie, qui ont fait au total 346 morts. Le 737 MAX a été interdit de vol à la suite du crash en Ethiopie.

(...) Flyadeal avait passé commande de 30 exemplaires de 737 MAX en décembre, préférant ce modèle à l'A320neo.
Cette commande provisoire, qui comportait aussi une option sur 20 avions supplémentaires, représentait 5,9 milliards de dollars au prix catalogue, selon Boeing.

"Nous avons connaissance du fait que flyadeal ne concrétisera pas son engagement relatif au 737 MAX pour le moment étant donné les exigences de la compagnie en termes de calendrier", a dit un porte-parole de Boeing.

Mon commentaire : L'annonce d'un éventuel report à 2020 de la remise en service du B737 Max est de nature à inquiéter les compagnies aériennes clientes de Boeing. Elles peuvent être tentées d'opter pour Airbus.

Compte-tenu des volumes (les monocouloirs moyen-courrier représentent près de 80% du carnet de commandes des deux avionneurs) il est difficile d'envisager qu'Airbus soit en mesure de répondre à toutes les demandes.

> Indemnisation des passagers : les bons et les mauvais élèves

(source Air Journal) 6 juillet - Le site RetardVol.fr, spécialiste de l’indemnisation aérienne, dresse un classement des compagnies aériennes. Qui sont celles qui respectent le droit à l’indemnisation des passagers en cas de retard ou annulation de leurs vols ?
 
Le top 5 des bons élèves est composé des compagnies Tui Fly (8,8/10), French Bee (8,3/10) et Air Caraïbes (7,3/10), Corsair (7,3/10) et EWA Air (7/10), compagnie de Mayotte filiale d’Air Austral. Dans le bas du classement : Iberia, Aigle Azur, Air Algérie et Air Antilles. Toutes ces compagnies obtiennent 0/10 ! Il est généralement très compliqué de faire valoir ses droits et l’intervention d’un avocat voire une assignation en justice est fréquemment nécessaire.
 
Air France, premier transporteur en France, se classe parmi les bons élèves (6,8/10), mais a vu son service se dégrader légèrement depuis un an avec notamment l’externalisation à Madagascar d’une partie du service lié aux réclamations et le manque d’expérience de ces nouvelles équipes.
 
Avec une note de 4/10, la low cost EasyJet, deuxième compagnie aérienne dans l’Hexagone, fait partie des mauvaises compagnies en la matière. Délais de réponse moyens, et aucun justificatif fourni lors de refus d’indemnisation. Pour sa part, la low cost Ryanair obtient 0,5/10, et figure parmi les pires compagnies de ce classement. Réponses automatiques, communications trompeuses lors de la grève de leurs pilotes… Tout semble fait par Ryanair pour décourager les voyageurs d’être indemnisé.
 
« Lors de l’achat d’un billet d’avion, nous conseillons aux passagers de ne pas regarder uniquement le prix mais aussi la qualité de service d’indemnisation lorsqu’un problème survient. Si nous existons c’est parce que 30% des compagnies seulement appliquent le règlement Européen. (...) », souligne Anaïs Escudié, présidente de RetardVol.fr.

Indemnisation

Fin de la revue de presse

> Suivi du référendum sur la privatisation d’Aéroports de Paris

Le dispositif de consultation sur la privatisation du groupe ADP est ouvert depuis le 13 juin et jusqu'en mars 2020. Pour mener à un référendum d'initiative partagée (RIP), il requiert la signature de 4,7 millions d'électeurs.

Sur Internet, la consultation se signe sur le site referendum.interieur.gouv fr

Au 7 juillet, la consultation avait recueilli 492.000 signatures, soit 10,5% des signatures requises.

> Mon commentaire sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM

L'action Air France-KLM est à 8,89 euros en clôture lundi 8 juillet. Elle est en hausse de 4,15%.

La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM est à 10,47 euros.

Le baril de pétrole Brent (mer du nord) est en hausse de 1$ à 65$.

Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.

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Vous pouvez me poser, par retour, toute question relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...

A bientôt.

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| François Robardet

Administrateur Air France-KLM représentant les salariés actionnaires PS et PNC
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