N°719, 2 septembre 2019
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La Revue de Presse du lundi ...
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L'État français ne prévoit pas d'augmenter sa participation dans Air France-KLM
(source Agefi-Dow Jones) 30 août - Une augmentation de la
participation de l'État français au capital du groupe de transport
aérien Air France-KLM n'est "pas à l'ordre du jour", a déclaré vendredi
[29 août]
le Commissaire aux participations de l'État, Martin Vial, sur Radio
Classique.
"Notre objectif n'est pas d'augmenter nos participations dans des
entreprises commerciales" et en conséquence "l'augmentation de notre
participation dans Air France-KLM n'est pas à l'ordre du jour", a
déclaré le haut fonctionnaire. L'État français détient 14,3%
d'Air France-KLM, contre 14% pour l'État néerlandais qui était entré
subitement au capital du groupe aérien fin février, à la surprise
générale. Après cette montée au capital de La Haye, le ministre
français de l'Economie, Bruno Le Maire, et le ministre néerlandais des
Finances, Wopke Hoekstra, ont créé un groupe de travail commun pour
permettre le renforcement d'Air France-KLM. "Ces discussions visent à
trouver des accords sur des convergences de points de vue sur la façon
de développer le groupe, sur la gouvernance et sur la structure de
l'organisation du groupe Air France-KLM", a expliqué Martin Vial.
Les résultats des travaux de ce groupe de travail, initialement attendus
pour la fin juin, ne sont toujours pas connus.
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Transavia : pourquoi les pilotes « historiques » ne croient pas à la croissance de la compagnie
(source Air Journal) 30 août - A compter du 1er septembre 2019, et ce
jusqu’au 15 octobre, une petite partie des pilotes de Transavia, que
l’on pourrait qualifier d’» historiques » de la compagnie,
a posé un
préavis de grève via le syndicat des pilotes de ligne, le SPL.
Alors que le transporteur low-cost du groupe Air France-KLM enregistre
ces dernières années de bons résultats commerciaux et se développe à une
vitesse soutenue, ces pilotes estiment être laissés pour compte.
Pour eux, la mainmise du puissant syndicat national des pilotes de ligne
(SNPL) d’Air France est totale sur la gestion de la compagnie et de son
avenir. « Depuis sa création, la compagnie est bloquée par le
SNPL Air France : 4 avions, 11, 14 puis 40. Benjamin Smith veut
développer Transavia certes, mais en échange le SNPL veut prendre le
contrôle total de l’entreprise », estime Cyril Froment, pilote depuis la
création de Transavia en 2007 et délégué syndical du SPL (Syndicat des
Pilotes de Ligne). (...) Pour ce dernier, le
projet d’accord est ainsi « loin d’être signé ». « La direction a du mal
à le rendre légal car un syndicat extérieur a négocié pour une
entreprise qui n’est pas la sienne. (...)
Plus globalement, le SPL remet en
cause la croissance annoncée de la compagnie ces prochaines années.
« Plus de 40 avions d’accord, mais ce n’est pas possible dans les
conditions actuelles : nous n’avons pas assez de formateurs, nous devons
déjà affréter des avions à cause du manque de personnel… Il nous est
impossible d’accueillir de nouveaux appareils avant 2021 », estime le
représentant du SPL. Il ajoute : « nous voulons être une
entreprise normale qui puisse se développer et recruter par ses propres
moyens, libérée de toutes ces contraintes extérieures ». (...)
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Air Europa va relier Madrid à Fortaleza
(source Air Journal) 30 août - A partir du 20 décembre 2019, la
compagnie privée espagnole proposera deux vols par semaine entre sa base
à Madrid-Barajas Adolfo Suarez et l’aéroport de Fortaleza-Pinto Martins (...).
Air Europa sera sans concurrence sur cette route, sa quatrième
vers le pays d’Amérique latine après celles vers Recife, Sao
Paulo et Salvador de Bahia (...). La compagnie de
l’alliance SkyTeam propose désormais 24 lignes transatlantiques (...). Elle propose aussi 13
destinations en Europe et en Afrique du nord, et vingt en Espagne.
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Aigle Azur dépose le bilan : Air France sur le coup
(source La Tribune) 2 septembre - Aigle Azur s'est déclarée
en cessation de paiement et a été placée en redressement judiciaire.
Les vols continuent. Air France travaille sur une offre et fait partie
des éventuels candidats à la reprise de tout ou partie d'Aigle Azur.
Le couperet est tombé pour les 1.150 salariés d'Aigle Azur (...).
Avec une vingtaine de millions d'euros dans les caisses, Aigle
Azur dispose de suffisamment de trésorerie pour tenir jusqu'à
mi-octobre, voire fin octobre, selon un membre du Comité
d'Entreprise. Les vols sont maintenus. Mais depuis la
médiatisation des difficultés de la compagnie début août, les prises de
réservation pour les prochains mois, synonymes de rentrée de cash, se
sont effondrées. L'annonce du dépôt du dépôt de bilan ne peut
qu'amplifier ce phénomène. Le calendrier est donc très serré (...).
Selon plusieurs sources, Maître Bourbouloux (administratrice
provisoire d'Aigle Azur) a notamment indiqué au Comité d'Entreprise
avoir reçu une marque d'intérêt de la part d'Air France (...) sans
préciser si l'idée était de reprendre tout ou partie d'Aigle Azur.
Interrogée, la compagnie n'a pas fait de commentaire (...).
Comme
indiqué dans nos colonnes vendredi dernier, Lionel Guérin et Philippe Micouleau, respectivement ancien
directeur général délégué d'Air France et ancien PDG de HOP, travaillent
eux aussi sur un projet de reprise d'Aigle Azur (...). Ces deux
personnalités du transport aérien français sont en discussion avec des
fonds d'investissement spécialisés dans les retournements d'entreprise
bien connus du comité interministériel de restructuration industrielle (Ciri)
. À l'origine d'une semaine rocambolesque, Richard Houa,
président de l'entreprise Lu Azur, actionnaire à 19% d'Aigle Azur,
devrait également être candidat à la reprise. Quant à Vueling,
qui était prêt à débourser une vingtaine de millions d'euros pour
récupérer les vols vers les Portugal, reste à savoir si elle va
confirmer son intérêt (...).
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Projet de base Ryanair à Beauvais : les élus votent pour les dérogations au couvre-feu
(source Le Parisien) 30 août - « La veille, certains maires me
disaient qu'ils allaient voter contre, et aujourd'hui, ils ont fait
l'inverse », regrette Dominique Lazarski, présidente de
l'association de riverains de l'aéroport Beauvais-Tillé. Ce
vendredi, elle participait à la Commission consultative de
l'environnement en présence de huit représentants de riverains, huit
élus, dont la maire Caroline Cayeux (DVD), et un
collège de l'aéronautique sur le projet d'une base Ryanair à l'hiver
2019. Un dossier qui prévoit des dérogations
« exceptionnelles » au couvre-feu établi depuis 2002. Actuellement,
selon ce dernier, une amende (pouvant aller jusqu'à 40 000 €) est prévue
en cas de décollage ou d'atterrissage d'un avion entre minuit et 5
heures du matin. Un vote unanime Sur les 24 participants, 16
ont voté pour, et 8 contre, à savoir… les associations de riverains.
« Je suis très déçue de la position des élus. On nous a seulement
proposé une « phrase » à ajouter sur l'arrêté : « que les autres
dispositions de 2002 restent inchangées ». Donc, tous ont validé « les
dérogations » envisagées. On aura des avions la nuit », s'agace-t-elle.
De quoi inciter, selon elle, la ministre des Transports, Elisabeth
Borne, à lancer le processus de validation de la base. « L'inverse
l'aurait fait réfléchir. On se sent lésés. » (...). Prochaine étape : le dossier sera
évalué par l'Autorité de contrôle des Nuisances sonores et de la qualité
de l'Air des aéroports (ACNUSAT), mercredi prochain, avec encore un avis
consultatif. Avant d'être ensuite lancé en consultation sur le site du
Ministère pendant 21 jours.
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La low-cost Norwegian sollicite l'aide de ses créanciers
(source awp/afp) 2 septembre - La compagnie à bas coûts Norwegian Air Shuttle
a annoncé lundi avoir sollicité un rééchelonnement de
ses remboursements d'obligations, d'un montant total de près de 350
millions d'euros, ce qui lui donnerait une bouffée d'oxygène sur le plan
financier. Pour convaincre ses créanciers, Norwegian propose
d'apporter ses "slots" (créneaux de décollage et atterrissage) à
l'aéroport de Londres Gatwick en garantie, alors que les obligations
concernées ne sont actuellement pas sécurisées. La
troisième low-cost européenne devrait normalement rembourser 250
millions d'euros en décembre prochain et 964 millions de couronnes
suédoises (97,3 millions de francs suisses) en août 2020, des échéances
qu'elle souhaite pouvoir repousser à novembre 2021 et février 2022
respectivement (...).
Norwegian (...) pionnière
dans le long courrier à bas coûts, ploie sous une dette considérable et
accumule les pertes depuis 2017. Ces difficultés ont été
aggravées par des problèmes avec ses moteurs Rolls-Royce ainsi que par
l'immobilisation des Boeing 737 MAX, dont elle exploite 18
appareils (...). Pour sortir de l'ornière, Norwegian avait
annoncé le mois dernier la cession de ses actifs bancaires (...).
La compagnie a aussi fermé des bases et des liaisons aériennes, et
repoussé la livraison d'un certain nombre de nouveaux appareils Airbus
et Boeing. Elle négocie en outre la vente d'une partie de sa flotte à
une joint-venture susceptible d'être mise en place avec un partenaire
financier (...).
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Résultats du deuxième trimestre d'AirAsia X : diminution de la capacité et augmentation de la perte d'exploitation
(source AirAsia X) 30 août - Au deuxième trimestre 2019, l'opérateur de
gros-porteurs AirAsia X affiche une perte opérationnelle de -23 M€
(marge opérationnelle de -10,9%), soit une détérioration de -3 M€ (-1,8
pt de marge opérationnelle) par rapport à la même période en 2018 (...).
Elle a réduit sa capacité de -6% mais a tout de même
été
confrontée à une baisse de 1 pt du taux de remplissage (de 81% à 80%).
Son chiffre d'affaires est en baisse de -4% à 216 M€, AirAsia X ayant
accueilli moins de passagers La Recette unitaire au Siège
Kilomètre Offert (RSKO) s'est amélioré de 2% à
2,56 cent, mais le Coût unitaire au Siège Kilomètre Offert (CSKO) a augmenté davantage (4%) et est plus élevé
(2,87 cent).).
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La reconstruction de la piste 3 d'Orly, un gigantesque chantier de 120 millions d'euros
(source Le Figaro Avec AFP) 27 août - Le groupe ADP a engagé
des travaux de reconstruction de la piste 3 de l'aéroport d'Orly plus
que septuagénaire, un gigantesque chantier qui s'étale sur
quatre mois jusqu'au 2 décembre pour un investissement total de 120
millions d'euros (...). La piste 3 d'Orly, l'aéroport du
sud de Paris géré par Aéroports de Paris (ADP), a été construite en 1947
et allongée en 1959 pour atteindre une longueur de 3.320 m (...).
Les deux-tiers Ouest de la piste doivent
être déconstruits et reconstruits totalement et le tiers Est est
rechargé en enrobé. La fermeture de la piste 3
pendant toute la durée des travaux qui ont débuté le 28 juillet et celle
de la piste 2 jusqu'à début septembre -limitant les opérations sur la
plateforme pendant la première phase à une seule piste- ont demandé des
ajustements de programme de la part des compagnies aériennes. En tout
4.600 vols sur un total de 55 à 60.000 ont été annulés, 3.000
reprogrammés et un nombre limité reporté sur l'aéroport de Paris-Charles
de Gaulle, selon ADP (...).
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737 MAX: Les experts ont besoin d'un délai supplémentaire
(source Reuters) 30 août - L'autorité fédérale américaine de
l'aviation civile, la FAA, a annoncé vendredi que le comité d'experts
internationaux chargé du dossier du Boeing 737 MAX aurait besoin de
quelques semaines supplémentaires pour achever son rapport sur la
certification de l'appareil immobilisé depuis près de six mois.
L'équipe d'experts a besoin de temps pour documenter son travail,
explique la Federal Aviation Administration, qui dit attendre ses
recommandations dans les semaines à venir. Boeing avait
déclaré avant cette annonce espérer pouvoir procéder en septembre à un
vol de certification, dans la perspective d'une reprise de
l'exploitation commerciale du 737 MAX au "début du quatrième
trimestre" (...).
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Crash du Rio-Paris : le rapport qui cible Airbus
(source Le Parisien) 31 août - Dix ans après le crash du vol
Rio-Paris AF447, qui a causé la mort de 228 personnes le 1er juin 2009,
les juges d'instruction du pôle accidents collectifs du tribunal de
Paris doivent bientôt rendre leur décision. On connaîtra alors le sort
judiciaire d'Air France et d'Airbus, mis en examen pour homicides
involontaires depuis 2011 dans ce dossier. La compagnie aérienne et le
constructeur de l'A330, ou bien l'une et pas l'autre, pourraient être
renvoyés devant le tribunal correctionnel ou bénéficier d'un non-lieu.
Mi-juillet, au grand dam des familles des victimes, le
parquet de Paris avait requis le seul renvoi d'Air France et un non-lieu
pour Airbus, considérant qu'« aucune faute pénale en lien
causal avec l'accident ne peut être imputée au constructeur » (...).
Créée dans la
foulée du drame, partie civile au dossier, Entraide et solidarité AF447
ne se résigne pas à l'idée que seuls les pilotes ou la compagnie Air
France, si celle-ci était in fine renvoyée devant le tribunal
correctionnel, soient désignés comme responsables du drame. Avant que
n'intervienne la décision des juges d'instruction, elle a donc
sorti de ses tiroirs un document qui prouve, selon elle, qu'Airbus
« avait pleinement conscience » des défaillances de ces sondes
fabriquées par l'équipementier Thalès. « C'est notre dernière cartouche », explique sa
présidente, Danièle Lamy. « Nous gardions cette carte pour le procès »,
explique son fils Laurent Lamy, informaticien, très engagé dans le
comité d'experts informel qui s'est soudé autour de l'association.
Daté de novembre 2004, intitulé « expertise d'une sonde Pitot », ce
document élaboré pour Thalès leur a été transmis par une source anonyme
il y a deux ans. Il détaille sur 36 pages les résultats de l'étude
comparative du vieillissement de deux sondes ayant « environ 10 000
heures de vol ». L'une, très dégradée, est une Pitot AA (Thalès) qui
présente une forte corrosion; l'autre une Pitot Goodrich (fabriquée par
Aérospace), peu dégradée. « Ce rapport, dont Airbus a vraisemblablement
eu connaissance, démontre que Thalès savait que sa sonde était quasi HS
après 10 000 heures de vol, analyse Laurent Lamy. La corrosion des tubes
rendait le système de réchauffage inefficient. Or les sondes de l'AF447
totalisaient près de 19 000 heures de vol! Soit quasiment le double… » (...).
Pour les familles, le déficit d'information aux équipages concernant
le givrage des sondes en altitude ayant contribué à l'effet de surprise
des pilotes, suffisant aux yeux du parquet pour justifier le renvoi
d'Air France, devrait l'être également pour Airbus. « Un débat
judiciaire sans Airbus serait un débat tronqué », insiste l'association (...).
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Référendum ADP: la pétition en soutien au RIP de plus en plus compromise
(source Huffington Post) 29 août - Pour atteindre le nombre de
soutiens nécessaires à l'organisation d'un RIP, il faudrait plus de
20.000 nouvelles signatures par jour, mais la moyenne est inférieure à
4000.
ADP - C’est encore loin du compte. Le conseil constitutionnel a
enregistré à la date de ce jeudi 29 août 713.000 soutiens au référendum
d’initiative partagée (RIP) sur la privatisation d’Aéroports de Paris,
soit 15% des signatures exigées d’ici à la mi-mars 2020. Ce
chiffre, publié sur le site adprip.fr confirme une nette baisse de la
mobilisation au cours des deux mois des vacances d’été, après un bon
démarrage au printemps. Au 1er juillet, lors du premier pointage,
480.300 soutiens avaient été enregistrés (10%) et ils étaient 615.000
(13%) au 30 juillet. Pour être validée, la proposition de
loi référendaire doit être approuvée par un dixième des électeurs
inscrits, soit environ 4,7 millions de personnes. Pour atteindre ce
chiffre, il faudrait désormais plus de 20.000 signatures par jour. (...) Selon
une récente enquête YouGov pour Le HuffPost, 75% des Français interrogés
sont “prêts à signer une pétition pour réclamer l’organisation d’un
référendum sur la privatisation des Aéroports de Paris”. Ils ont
visiblement dû mal à passer des mots aux actes.
Fin de la revue de presse
>
Suivi du référendum sur la privatisation d’Aéroports de Paris
Le dispositif de consultation sur la privatisation du groupe ADP est
ouvert depuis le 13 juin et jusqu'en mars 2020. Pour mener à un
référendum d'initiative partagée (RIP), il requiert la signature de 4,7
millions d'électeurs.
Sur Internet, la consultation se signe sur
le site referendum.interieur.gouv fr
Au 29 août, la
consultation avait
recueilli 713.000 signatures, soit 15,11% des signatures requises.
> Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 10,235 euros en clôture lundi
2 septembre. Elle est
en baisse de 0,53%.
La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM
est à 10,79 euros.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord) est
en baisse de 1$ à 58$.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
A bientôt.
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François Robardet
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