N°724, 7 octobre 2019
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Explications sur le Flash n°81 : KLM is 100 years old, en anglais
La Revue de Presse du lundi ...
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Pollution : Air France va compenser 100% des émissions de CO2 de ses vols intérieurs
(source Le Parisien) 30 septembre - Le
mouvement flygskam, lancé en Suède, que l'on peut traduire par la honte
de prendre l'avion parce qu'il pollue, se répand. Comment limiter
l'impact de l'avion sur l'environnement ? Nous avons déjà de
nombreuses actions pour limiter nos émissions de CO2. D'abord, le
renouvellement à 50 % de notre flotte par des avions de nouvelle
génération qui consomment entre 20 % et 25 % de fioul en moins.
Il y a
aussi l'éco-pilotage, la gestion des mouvements d'avion au sol avec
l'utilisation d'engins électriques. Nous avons aussi des compensations
des émissions de CO2 sur les vols européens dans le cadre de l'ETS
(Système d'échange de quotas d'émission) et sur les vols internationaux
avec le programme Corsia (Compensation et réduction de carbone pour
l'aviation internationale). Entre 2011 et 2018, nous avons déjà réduit
de 20 % nos émissions de CO2. Mais pour autant nous voulons aller plus
loin.
C'est-à-dire ? Nous voulons réduire davantage
notre empreinte carbone. À partir du 1er janvier 2020, nous allons
compenser 100 % des émissions de CO2 de nos vols domestiques. Cela
représente 500 vols par jour. Air France le fait volontairement sans y
être contraint. C'est un investissement de plusieurs millions d'euros.
De quelle façon ? Et bien nous allons financer des
projets de plantation d'arbres, de protection de forêts, de transition
énergétique ou encore de sauvegarde de la biodiversité. Cela pourrait
correspondre, par exemple, à planter l'équivalent de 70 millions
d'arbres. Nous avons aussi décidé de supprimer en janvier prochain tous
les plastiques à usage unique à bord. Et dès octobre, nous allons
commencer à trier et recycler les déchets comme on le fait chez soi.
Votre trafic a-t-il diminué à cause du flygskam ? Les Suédois disent qu'ils
ont constaté une baisse de fréquentation sur leurs vols domestiques.
Chez Air France, nous n'avons pas assez de recul pour le savoir. Pour
autant, nos clients nous parlent. J'ai deux ados à la maison et je peux
vous dire que les discussions à table sont assez musclées sur les
engagements que notre génération doit prendre pour assurer que nos
enfants et nos petits enfants peuvent aussi voyager en proposant un
transport aérien durable à terme. Il faut construire une industrie
aérienne dont on soit fier et qui n'aille pas à l'encontre de la
planète.
Le gouvernement veut mettre en place dès 2020 une
écotaxe qui ira de 1,50 euro en classe éco à 18 euros en classe affaires
sur les vols au départ de la France. Que pèsera-t-elle pour Air France ? Elle
représentera 60 millions d'euros par an qui s'ajoutent à toutes les
taxes précédentes. Elle va financer le transport routier, qui représente
15 % des émissions de CO2 au niveau mondial contre 2 % à 3 % pour
l'aérien, et le ferroviaire qui sont déjà largement subventionnés. Cette
taxe est un non-sens. Nous ne sommes pas contre l'écotaxe, mais contre
son utilisation. Elle serait vertueuse si elle permettait de financer la
recherche sur les avions ou de créer une filière sur les biocarburants.
Cela signifie que le prix des billets va augmenter ?
Nous ne pourrons pas répercuter l'écotaxe car nos clients
n'accepteraient pas de payer plus. Sur un Paris-Nice à 93 euros, vous
avez déjà 53 % de taxes. Le client regarde le prix final. Il ne se dit
pas je vais faire un acte citoyen en payant cette taxe. (...)
Allez-vous continuer à tailler dans
votre réseau domestique qui connaît des difficultés ? Ce n'est
pas notre souhait. La marque Air France doit rester très présente en
France où nous avons 65 % de parts du marché aérien. Pour autant, le
réseau domestique a perdu l'an dernier 190 millions d'euros. Entre 2018
et 2021, nous aurons réduit nos capacités de 15 %, essentiellement sur
les lignes transversales parce que c'est là que l'on perdait le plus
d'argent.
Est-ce que l'avenir n'est pas de transférer ces
lignes à votre filiale low-cost Transavia ? Ce n'est pas notre
priorité. Notre volonté est de développer Transavia depuis nos bases de
Paris, Nantes et Lyon vers les destinations loisir européennes. Voilà
pourquoi nous avons négocié un accord avec les pilotes qui déplafonne le
nombre d'avions exploités par Transavia. (...)
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Pour la France, les Pays-Bas ne peuvent être au capital d’Air France-KLM et de KLM
(source La Tribune) 4 octobre - Lancées en mars après l'entrée brutale de l'État
néerlandais dans le capital d'Air France-KLM au niveau de la
participation de l'État français (14%), les négociations entre la France
et les Pays-Bas pour définir une nouvelle organisation du groupe qui
fasse consensus n'avancent pas. Pour rappel, le groupe de travail
présidé par Martin Vial, le directeur de l'Agence des participations de
l'État, devait initialement rendre ses conclusions fin
juin.
De nombreux points de divergences ne sont toujours pas
résolus, notamment le poids de l'État hollandais au sein du groupe,
désormais plus important que celui de l'État français. En effet,
jusqu'ici, l'État français était présent au capital d'Air France-KLM
mais pas à celui d'Air France, alors que l'État néerlandais ne l'était
pas au niveau d'Air France-KLM mais l'était au niveau de KLM. Avec deux
fondations bataves, l'État néerlandais détient même la majorité du
capital de KLM. Depuis son coup de force, l'État néerlandais est donc à
la fois actionnaire du groupe et de sa filiale néerlandaise, alors que
la France n'est actionnaire que d'Air France-KLM.
« La
discussion avec l'État néerlandais porte sur la clarification du
positionnement de KLM dans le groupe. Nous, nous souhaitons une
normalisation de la structure capitalistique », a expliqué ce vendredi à
quelques journalistes Martin Vial, le commissaire aux participations de
l'État, en rappelant que « l'État néerlandais est à la fois actionnaire
d'Air France-KLM et de KLM », alors que l'État français n'est plus dans
le capital d'Air France.
« Quand vous avez un actionnaire qui est à la fois en haut
(actionnaire de la maison-mère, NDLR) et en bas (dans une filiale,
NDLR), cela signifie que vous ne pouvez pas gérer votre filiale de façon
totalement autonome puisque votre actionnaire dans la gouvernance du
haut a son mot à dire sur le fonctionnement du bas. Cela fausse la
gestion normale d'un groupe », a-t-il expliqué.
Pour lui,
l'État néerlandais doit choisir : être au capital d'Air France-KLM ou à
celui de KLM. (...)
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KLM accorde des hausses de salaires substantielles à ses personnels
(source Les Échos) 2 octobre - La paix sociale est de retour chez
KLM. Après trois grèves de ses personnels au sol, ayant entraîné
l'annulation de près d'une centaine de vols, la compagnie néerlandaise,
filiale du groupe Air France-KLM, vient de signer un accord social
pluriannuel mettant fin aux turbulences de ces dernières semaines.
Comprenant plusieurs volets, cette convention collective, qui a
réclamé cinq mois de négociations avec huit syndicats, comprend surtout
des hausses de salaire pour l'ensemble des personnels. « Les
négociations ont donné lieu à des pas en avant accomplis par les deux
camps. Le résultat se traduit par des hausses de salaire substantielles
tout en créant un climat de calme et de clarté avec des mesures
favorables aux employés », a indiqué KLM dans un communiqué.
Dans le détail, les pilotes et
le personnel de cabine se voient octroyer une augmentation de salaire de
7 % ces deux prochaines années, sans que soit revue leur participation
aux bénéfices. Les quelque 14.000 salariés employés au sol vont
bénéficier, eux, d'une hausse salariale de 8,5 % sur la période à venir,
mais leur participation aux bénéfices sera rognée.
Au-delà, la
convention collective comporte de nouvelles mesures sur les conditions
de travail, avec notamment un assouplissement des emplois du temps. Pour
répondre à la surcharge de travail dénoncée par les personnels au sol,
KLM prévoit ainsi de créer 80 nouveaux postes, dont des bagagistes.
Répondant à l'exigence des syndicats s'inquiétant de la généralisation
des emplois précaires au sein de la compagnie, la plupart d'entre eux
seront assortis d'un contrat de travail de cinq ans. (...)
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Nathalie Stubler (Transavia) : "nous voulons écrire le volume 3 de notre histoire"
(source TourMaG) 1er octobre - Après avoir accueilli 15,8 millions de
passagers en 2018 (+7,1%), Transavia affichera cette année encore une
progression réjouissante.
« L’été a été superbe », lance
Nathalie Stubler, P-DG de la filiale low-cost d’Air France-KLM, depuis
le stand de l’IFTM Top Résa qui a ouvert ses portes mardi 1er octobre à
Paris.
Sur la période de janvier à août 2019, Transavia affiche
une croissance de 10% au global, avec un nombre de passagers transportés
et un taux de remplissage en hausse. Seule la ponctualité devrait
s’affaisser. (...)
Un bouleversement du programme de développement en province serait-il à
prévoir ? « Pas du tout », répond la direction. « Nantes reste
une priorité, d’ailleurs le trafic y a augmenté de 50% sur l’année
écoulée, avec des taux de remplissage qui se maintiennent et une
pression sur les prix qui tend à se stabiliser. C’est un marché toujours
extrêmement intéressant pour nous », se réjouit Nathalie Stubler,
précisant que Transavia voulait s’y établir « sur la durée ».
40
avions en 2020, puis plus de limite D’autant que, après leurs confrères
de chez Air France, les adhérents du SNPL Transavia viennent de voter à
90% en faveur de l’accord de développement de la filiale low-cost du
groupe Air France-KLM.
L’accord est
donc désormais définitivement signé et la compagnie va pouvoir,
après un cloisonnement à 14, puis à 40 appareils, se développer sans
limite.
« C’est
une étape extrêmement importante dans l’histoire de notre compagnie »,
se réjouit Nicolas Hénin. Après s’être attaché à expliquer clairement
ses projets à ses syndicats, la direction estime avoir maintenant le feu
vert pour écrire « le volume 3 de notre histoire », glisse Nathalie
Stubler, parlant d’un moment très « enthousiasmant ».
L’objectif
d’atteindre les 40 avions d’ici à 2020 pourra donc être atteint. (...)
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Des téléconsultations médicales pour les passagers d’Air France
(source Air Journal) 4 octobre - La compagnie aérienne Air France va
proposer un service de téléconsultation avec un professionnel de santé
parlant français 24h/24, 7j/7, aux passagers voyageant à l’étranger et
ayant souscrit à une assurance Allianz Travel Multirisques ou
Assistance. (...)
Ce
service de téléconsultation « accompagne les voyageurs pour les rassurer
en cas de problème de santé à l’étranger. Ceux-ci accèdent rapidement à
une réponse fiable concernant un problème de santé, un traitement, ou
une orientation vers les structures de soins locales adaptées et
reconnues », souligne Air France dans son communiqué. Conformément aux
exigences de protection et de sécurisation des données de santé, les
échanges s’effectueront « en toute confidentialité ». C’est la première
fois en France que la téléconsultation, accessible depuis le monde
entier (hors Corée du Nord), est proposée dans une assurance voyage.
Elle répond « à des cas de symptômes légers et est complémentaire à
l’assistance médicale, proposée habituellement dans le cadre de
l’assistance voyage ». (...)
« Ce nouveau service proposé à
nos clients constitue une réelle plus-value car il permet de rassurer
les voyageurs qui partent parfois à l’autre bout du monde. En effet,
grâce à la téléconsultation, ils peuvent voyager plus sereinement en
ayant accès à l’expertise d’un médecin français 24h/24 et 7j/7 et
bénéficier rapidement d’une ordonnance en cas de besoin », déclare
Patrick Alexandre, Directeur Général Adjoint Air France KLM, Commercial,
Ventes & Alliances. (...)
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XL Airways, Aigle Azur : pourquoi la faillite n'a pas permis de les sauver
(source La Tribune) 6 octobre - Une semaine après Aigle Azur,
XL Airways a été placée elle aussi en liquidation. Ses 570
salariés vont être licenciés d'ici à trois semaines. Au total,
les deux compagnies aériennes françaises laissent plus de 1.700 salariés
sur le carreau. Elles laissent aussi des milliers de passagers
lésés quand ils ont acheté leur billet en direct et des centaines
d'agences de voyages et de tour-opérateurs fragilisés.
Pourquoi, ces deux compagnies n'ont pas survécu aux faillites ?
Pourquoi une fois placées en redressement judiciaire, ces deux
entreprises n'ont pu être reprises ? Largement médiatisée parce
qu'elle justifie la fin de non-recevoir d'Air France notamment,
l'incompatibilité des règles du redressement et de la liquidation
judiciaire avec la réalité du transport aérien est l'une des raisons.
L'obligation de reprendre les personnels avec leur contrat de travail
(et donc avec leur rémunération et leur ancienneté), empêche en effet
tout projet de reprise par une autre compagnie aérienne d'aboutir. (...)
Mais ces "raisons sociales" n'expliquent pas
tout. (...) Dans ces deux cas le calendrier de la procédure a
été déterminant dans ces faillites. Trop serré, il n'a pas permis la
constitution d'offres sérieuses et financées. Entre le
placement en redressement judiciaire et la date limite du dépôt des
offres de reprise, les candidats à la reprise d'Aigle Azur n'ont eu
qu'une semaine pour présenter leur plan industriel et réunir un tour de
table solide. Ceux de XL Airways n'ont eu quant à eux que cinq jours.
"Ce n'est pas bien sérieux", expliquent plusieurs candidats à la reprise
d'Aigle Azur
La raison est simple. Le niveau de cash de ces deux
compagnies ne permettait pas un calendrier plus large. (...) Si les
caisses étaient quasiment vides, c'est que la déclaration de cessation
de paiement a visiblement été trop tardive. (...)
Le
dépôt de bilan a tardé parce que les entreprises ont tenté au préalable
de trouver une solution avant d'arriver à cette phase ultime. Ceci sous
le régime confidentiel de la conciliation judiciaire qui permet de
négocier avec les créanciers sans effrayer les clients. L'Etat
a été partie prenante dans ces deux dossiers puisque les deux compagnies
étaient aidées depuis des mois par le Ciri (le comité interministériel
de restructuration industrielle), qui dépend de Bercy : accords avec les
sociétés de location d'avions, gel des charges sociales et patronales,
des redevances aéroportuaires d'ADP..., toutes ces mesures ont permis de
repousser le tas de sable en espérant trouver une solution à deux
compagnies qui étaient en "faillite virtuelle" depuis des mois. Pour une
multitude de raisons, ces mesures ont échoué. (...)
Si ces
mesures ont permis de passer l'été et d'éviter une grosse pagaille en
pleine période estivale (l'obsession de Bercy), il a également lésé tous
les clients qui ont continué d'acheter des billets d'avion pendant l'été
pour des voyages prévus plusieurs mois après et qui ne seront donc pas
assurés. (...)
Agences de voyages et tour-opérateurs enragent.
Comme à chaque faillite, ils demandent la création d'un fonds de
garantie pour que l'argent des billets d'avion soit séquestré jusqu'à
l'exécution du vol.
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Turkish Airlines : la compagnie qui monte au Moyen-Orient
(source BusinessTravel) 2 octobre - Nouvel aéroport, réseau en
développement, transformation de la flotte...A Harun basturk, le
vice-président des ventes en déplacement à Paris en dit plus à
BusinessTravel France
sur les projets de la compagnie...
Le nouvel aéroport d'Istanbul
est un atout extrêmement important pour Turkish Airlines.
L'ancien aéroport était saturé. Ce nouvel aéroport répond vraiment à
toutes les attentes. (...)
Contrairement à certaines compagnies du Golfe qui connaissent un
ralentissement de leur activité comme Qatar Airways ou un plan
d'austérité comme Etihad, Turkish Airlines poursuit sereinement sa
croissance.
Il faut dire que la compagnie au contraire de ses
rivaux du Golfe a un atout extrêmement important : un marché intérieur
d'environ 82 millions d'habitants. (...)
Mais contrairement à
d'autres, comme les compagnies aériennes américaines qui investissent au
capital de partenaires asiatiques, Turkish Airlines n'a pas de tels
projets. « Notre stratégie est d'avoir une croissance organique et nous
ne prévoyons pas de prendre des participations au capital de compagnies
aériennes » assure-t-il. (...)
Turkish Airlines ne
prévoit pas non plus d'accords de joint-ventures à court-terme comme le
font de nombreuses compagnies sur le transatlantique ou les liaisons
trans-Pacifique.
Turkish Airlines voit également différemment en termes
de services à bord. Contrairement à la tendance du marché elle a
supprimé la classe économique premium de ses nouveaux avions, B787 et
A350 configurés en bi-classes.
« Nous avions testé la classe
économique premium sur nos B777 mais c'était compliqué. Elle attire des
voyageurs Business et cela enlève des sièges de notre cabine Business.
Et puis je crois plus en l'éco premium pour les liaisons point à point.
Hors Turkish Airlines est une compagnie de réseau » assure-t-il. (...)
En France, la compagnie
continue à se développer avec une très forte présence en
région. Elle vient de lancer cette année une nouvelle route vers
Strasbourg, sa 7ème destination en France. « Notre hub est bien placé
pour desservir de petites villes françaises et l'idée est d'apporter
plus de connectivité aux habitants des régions via notre hub. Strasbourg
est notamment importante pour la clientèle Business ».
En France
et dans le monde Turkish Airlines se développe sereinement, loin des
soubresauts qui affectent certaines compagnies du Golfe.
Fin de la revue de presse
>
Suivi du référendum sur la privatisation d’Aéroports de Paris
Le dispositif de consultation sur la privatisation du groupe ADP est
ouvert depuis le 13 juin et jusqu'en mars 2020. Pour mener à un
référendum d'initiative partagée (RIP), il requiert la signature de 4,7
millions d'électeurs.
Sur Internet, la consultation se signe sur
le site referendum.interieur.gouv fr
Au 7 octobre, la
consultation avait
recueilli 819.000 signatures, soit 17,36% des signatures requises.
> Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 10,05 euros en clôture lundi 7
octobre. Elle est
en hausse (pour la quatrième semaine consécutive) de 4,67%.
La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM
est à 10,74 euros.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord) est
en baisse de 3$ à 58$. Hormis deux brèves périodes, il
enregistre son plus bas cours depuis le début de l'année.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
A bientôt.
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François Robardet
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