N°732, 2 décembre 2019
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La Revue de Presse du lundi ...
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L'entrée d'Air France-KLM dans le capital de Virgin Atlantic pourrait capoter
(source La Tribune) 29 novembre - Annoncée en juillet 2017 dans le
cadre d'un vaste schéma d'alliances commerciales et capitalistiques à
plusieurs bandes impliquant également la compagnie américaine Delta, la
prise de participation du groupe français dans le capital de Virgin
Atlantic à hauteur de 31% est remise en question. (...)
Interrogé, Air France-KML n'a pas souhaité faire de commentaire.
Pour rappel, Virgin Atlantic est
détenue par Virgin Group (propriété du milliardaire britannique Richard
Branson) à hauteur de 51%, et par Delta à hauteur de 49%. L'accord, qui
avait été signé à l'été 2017, permet à Air France-KLM d'acheter 31% du
capital de Virgin Atlantic au groupe Virgin pour un montant de 220
millions de livres sterling (258 millions d'euros). (...) Aujourd'hui,
alors que tout semblait sur les rails, et que l'accord commercial sur
l'axe transatlantique entre Air France-KLM, Delta et Virgin Atlantic a
reçu le feu vert des autorités américaines, l'entrée d'Air France-KLM
dans le capital de Virgin Atlantic pourrait tomber à l'eau. Selon des
sources concordantes en effet, le groupe Virgin a manifesté son souhait
de ne plus faire l'opération, au motif que la coopération commerciale
sur l'axe transatlantique suffisait. Ce changement de position a été
rapporté à Air France-KLM par Delta. Selon certaines sources, la
compagnie américaine, qui avait poussé pendant des années Air France-KLM
à faire cette opération avec Virgin, serait curieusement en phase avec
Richard Branson aujourd'hui. La balle est dans les mains d'Air
France-KLM. Contractuellement, le groupe français peut entrer dans le
capital de Virgin Atlantic. (...) La problématique est simple : soit Air
France-KLM va jusqu'au bout d'une opération qui est sa seule opération
capitalistique depuis plus de dix ans. Soit elle y renonce (tout en
conservant le partenariat commercial) et préfère utiliser l'argent pour
d'autres projets de croissance externe ou tout simplement pour financer
des avions. (...) Pour autant, le conseil d'administration ne
s'est pas encore prononcé. (...)
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Fiji Airways confie la maintenance équipements de ses A350 à AFI KLM E&M
(source Air & Cosmos) 27 novembre - Fiji Airways a rejoint la
communauté des opérateurs d'Airbus A350 bénéficiant d'un accès aux
solutions équipements dédiées d'AFI KLM E&M. La compagnie
fidjienne a opté pour un partenariat long terme, et bénéficiera de
services en matière de réparation d’équipements, de logistique et
d’accès à des pièces de rechange (via le Main Base Kit et le pool de
pièces). La signature de cet accord voit AFI KLM E&M étendre ses
relations de travail avec Fiji Airways, qui ont débuté en 2013 pour la
flotte A330 de la compagnie. Dans le même temps, le groupe Airline-MRO
renforce sa position de leader sur le marché de la région Pacifique, et
s’est imposé comme un partenaire pour les principales compagnies
aériennes dans la zone. Le cœur du réseau régional d’AFI KLM E&M
est le hub de Singapour, qui comprend un pool de pièces et l’atelier de
réparation, Singapore Component Solutions. Avec près de 170 avions
supportés sur tous les continents, AFI KLM E&M est aujourd’hui un acteur
majeur sur le marché du support équipements A350.
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Dubai Airshow 2019 : L'activité dédiée aux services d'Airbus se renforce au Moyen-Orient
(source Le Journal de l'Aviation) 21 novembre - En plus des multiples
contrats d'avions commerciaux signés par Airbus, le salon aéronautique
de Dubaï a également été une vitrine des offres de services proposées
par l'avionneur européen dans la région. Rémi Maillard,
le directeur d'Airbus Services a d'ailleurs
insisté sur l'importance de cette activité pour l'avionneur européen, la
totalité du marché étant amenée a pratiquement doubler de taille pour
générer jusqu'à 4900 milliards de dollars cumulés sur les 20 prochaines
années si l'on
combine les services liés à la disponibilité avion (Contrats à l'heure
de vol, MRO, pièces détachées, maintenance préventive...), aux
opérations en vol (training des pilotes, flight planning,
documentation...), ainsi qu'à l'expérience passagers (retrofit cabine,
cabine connectée...). Nous nous situons alors dans le même ordre
de grandeur que celui du marché des ventes d'avions commerciaux neufs
sur les deux prochaines décennies (en tarifs catalogue). Pour
la seule région du Moyen-Orient, les services représentent ainsi un
potentiel de 515 milliards de dollars sur les 20 prochaines
années. (...) Le directeur d'Airbus Services est
également revenu sur la plateforme Skywise qui aligne désormais plus de
90 clients pour plus de 10000 avions qui seront graduellement connectés.
Les compagnies de la région ayant opté pour la plateforme digitale
d'Airbus sont notamment Saudia, Flynas, Emirates, Jazeera, Etihad, Oman
Air, Gulfair et Air Arabia. Rémi Maillard s'est une nouvelle fois montré
très confiant dans le fait que l'objectif des 100 compagnies aériennes
serait atteint d'ici la fin de l'année. (...)
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Lufthansa : Qatar Airways comme futur partenaire ?
(source Boursier com) 2 décembre - Vers un bouleversement complet du
ciel aérien européen ? Les dernières déclarations du directeur
général de Qatar Airways ont eu l'effet d'une petite bombe sur le
secteur ce lundi matin puisque le dirigeant a indiqué songer à entrer au
capital de Lufthansa. "Si l'opportunité d'investir dans
Lufthansa se présentait, nous nous pencherions dessus", a ainsi affirmé
Akbar al Baker à l'agence allemande DPA. Qatar Airways pourrait dans un
premier temps proposer à la compagnie aérienne allemande de nouer un
partenariat. "L'Allemagne est un pays important pour nous, que ce soit
pour les services de transport aérien ou pour le développement du
tourisme", a souligné le dirigeant, qui a évoqué un éventuel accord de
partage de codes ou une coopération commerciale.
Simple effet d'annonce ou réelle volonté qatarie, toute entrée de la
compagnie du Golfe au capital du transporteur allemand provoquerait
d'importants changements au sein des grandes alliances mondiales.
Membre de Oneworld au même titre que British Airways ou American
Airlines, Qatar Airways a d'ailleurs indiqué que cette adhésion
pourrait constituer un obstacle à tout partenariat avec Lufthansa, qui
fait de son côté partie de Star Alliance (United Airlines, Air Canada).
Reste que le transporteur basé à Doha a souvent indiqué qu'il
pourrait être amené à quitter l'alliance faute de grande entente avec
ses autres partenaires. Pour mieux entrer chez Star Alliance ?
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La reprise d'Alitalia toujours dans l'impasse
(source Le Journal de l'Aviation avec AFP) 29 novembre - La reprise
de la compagnie aérienne italienne en difficultés Alitalia est dans
l'impasse après des mois de négociations infructueuses avec d'éventuels
repreneurs, provoquant une vive inquiétude des syndicats tandis que le
gouvernement italien reste indécis sur la solution à adopter.
"Pour le moment, il n'y a pas une solution de marché", a souligné à
plusieurs reprises cette semaine le ministre du Développement économique
Stefano Patuanelli. "Nous devons comprendre comment créer une
solution de marché (un ou plusieurs repreneurs privés) ou comment agir
pour trouver une possibilité, compatible avec les moyens financiers"
dont dispose actuellement Alitalia "pour trouver une solution
différente", a-t-il ajouté, en ouvrant la voie à une implication directe
de l'État italien dans le sauvetage. "Nous sommes en train de
réfléchir aux prochains pas que nous pouvons entreprendre. A l'heure
actuelle, nous avons pris acte (...) qu'il n'y a plus de consortium qui
puisse faire une offre définitive de rachat", a-t-il ajouté. (...)
Selon des calculs de l'agence AGI, la "meilleure" année
d'Alitalia sur la dernière décennie a été 2011 avec une perte de
"seulement" 69 millions d'euros, un chiffre qui grimpait à 280 millions
l'année suivante pour atteindre 580 millions en 2014. (...)
"Avec l'argent
gaspillé dans Alitalia, l'État italien aurait pu acheter six compagnies
aériennes, à savoir Air France, KLM, Turkish Airlines, Fly Norvegian,
Finnair et SAS", assure l'association de consommateurs ADUC. (...)
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Lufthansa vend ses activités de catering en Europe
(source L’Écho) 26 novembre - Lufthansa avait annoncé en
avril la vente "totale ou partielle" de LSG, sa filiale active
dans le catering. Une activité qui doit faire face à de faibles
marges sur un marché concurrentiel. Plus tôt dans l’année, le
CEO de Lufthansa, Carsten Spohr, avait déclaré que le business de
restauration de la compagnie aérienne souffrait du grand nombre de sites
qu’il dessert, de coûts de personnel élevé et d’une exposition aux taux
de change. (...) "La vente fait partie de la nouvelle stratégie
du groupe Lufthansa, qui vise à se concentrer sur son activité de
transport aérien." Deux repreneurs potentiels
restaient en lice à l’issue d’un processus de vente aux enchères
interminable, indiquent des sources proches du dossier: la société de
restauration aérienne Gategroup, et son rival autrichien Do & Co. Et
l’offre de Gategroup a dépassé celle de Do & Co.
Gategroup, ex-filiale de Swissair qui opère
sous la marque Gategourmet, appartient au fonds public
singapourien Temasek et à la société d’investissement asiatique RRJ
Capital, qui a repris en plusieurs étapes la société au conglomérat
chinois HNA. Avec ses 43.000 employés et un chiffre d’affaires
de 4,9 milliards de francs suisses (4,5 milliards d’euros) en 2018, il
est le leader mondial du secteur.
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Hong Kong Airlines retarde le paiement des salaires en raison de la baisse de fréquentation
(source AFP) 29 novembre - Hong Kong Airlines a annoncé vendredi que
le paiement des salaires de certains membres de son personnel sera
retardé, ses activités étant "durement touchées" par la crise politique
que connait l'ex-colonie britannique. Près de six
mois de manifestations ont porté un rude coup à la fréquentation
touristique de Hong Kong et de nombreuses compagnies qui
desservent la mégalopole rencontrent des difficultés. (...) Depuis le début du mouvement de
contestation en juin, le nombre d'arrivées dans l'ex-colonie britannique
a chuté de moitié. Cette baisse de fréquentation touristique
affecte durement l'économie hongkongaise déjà touchée par la guerre
commerciale que ce livre Washington et Pékin. Hong Kong est entrée en
récession au troisième trimestre. Cathay Pacific est également
affectée par la chute du trafic passager alors qu'elle a été critiquée
par Pékin en raison de la participation d'une partie de son personnel au
mouvement pro-démocratie. Singapore Airlines, China Eastern et
Virgin Australia ont tous réduit le nombre de vols à destination de Hong
Kong.
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Pourquoi Boeing s’enfonce dans la crise
(source Le Journal du Dimanche) 1er décembre - (...) La dernière
grande manifestation aéronautique de 2019 devait donner la température
de Boeing, secoué par le plus gros crash industriel de son
histoire. (...)
A Dubaï, les représentants de l’américain
n’ont pu que confirmer leur embarras croissant face à une crise
amenée à durer au moins jusqu’au premier semestre 2020. Si d’ici là,
rien ne vient à nouveau contrecarrer leurs plans. (...) En
septembre, les commandes de l’américain pour 2019 étaient
toujours bloquées à 170 avions, dont 56 en format cargo.
C’est cinq fois moins que l’an dernier quand ses ventes
s’étaient envolées à 893 appareils dont 665 modèles 137 Max. (...)
A l’image de l’A380 d’Airbus, le très gros porteur de sa
gamme, le 777, n’a plus autant la cote. Cette défiance s’est
encore confirmée avec le souhait émis par Emirates de convertir des
commandes de 777 en 787, plus faciles à remplir. L’américain continue
pourtant à croire à son super jumbo. Les trois versions de son nouveau
777 vont réaliser leurs vols de certification début 2020, pour de
premières livraisons attendues en 2021. (...) Avec le
737 Max, (...) il y a six mois
encore, Boeing cherchait à augmenter sa cadence de production. La
réduire est aujourd’hui sa priorité. Car où stocker les appareils sortis
de la ligne d’assemblage ? Ils sont actuellement parqués sur trois
sites, à travers les États-Unis, déjà en voie de saturation.
Leur
remise en service va devenir un casse-tête industriel. Une fois la
nouvelle certification obtenue côté américain, puis dans les autres
pays, les ennuis ne seront pas terminés pour Boeing. Tous les Max
dormants devront être rapatriés à Seattle et « réveillés », au prix de
nombreux tests. Les pilotes de chaque compagnie vont devoir repasser en
formation, a priori sur simulateur, mais pourquoi pas en conditions
réelles. « Chaque compagnie décidera de ce qu’elle veut faire », reconnaît
l’avionneur. (...)
Les avatars du Max ont ébranlé la confiance des passagers dans les
avionneurs, mais aussi dans les organismes de certification. (...) Plus
question pour les Européens de se caler sur l’avis américain. (...)
Après avoir pointé la
défaillance d’un logiciel embarqué, l’insuffisance de formation des
pilotes, des problèmes de conception de la structure même de l’appareil
(notamment des moteurs trop lourds), un défaut plus important du système
de commandes de contrôle en vol est aujourd’hui évoqué. Le deuxième
rapport d’accident, celui d’Ethiopian Airlines, attendu avant la fin de
l’année apportera peut-être la réponse.
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La piste 3 d'Orly remise en service lundi après de gros travaux de réfection
(source Le Figaro avec AFP) 2 décembre - La piste 3 de l'aéroport
d'Orly, fermée pendant plus de quatre mois pour être déconstruite puis
reconstruite, a été remise en service lundi, a annoncé le gestionnaire
de l'aéroport Groupe ADP. En 18 semaines de travaux, plus de
6.000 vols ont été modifiés (déplacés ou annulés), précise le groupe
dans un communiqué. La piste 3 d'Orly, l'aéroport du sud de Paris, a été
construite en 1947 et allongée en 1959 pour atteindre une longueur de
3.320 m. Les deux tiers ouest de la piste ont été déconstruits
et reconstruits totalement en raison de désordres structurels, tandis
que le tiers a été rechargé en enrobé. Sur le plan
environnemental, une usine de recyclage, installée spécifiquement au
bord des pistes de l'aéroport, a permis la réutilisation de 200.000
tonnes de matériaux en provenance de l'ancienne piste 3, selon Groupe
ADP. Ce recyclage a permis d'éviter la circulation de 13.000
semi-remorques: 6.500 pour l'évacuation vers une décharge et autant pour
l'acheminement des matériaux sur le chantier, selon la même source.
En raison de la dérive naturelle du nord magnétique, la piste 3 ou piste
08-26 a changé de dénomination pour devenir la piste 07/25. Ces
chiffres, que l'on aperçoit fréquemment en bord de piste à
l'atterrissage, indiquent l'orientation de cette dernière par rapport au
nord magnétique.
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Stopper la croissance du trafic aérien : et si tout commençait à Beauvais ?
(source Libération Par Un collectif) 25 novembre - Au cours des deux
dernières décennies, l’aéroport de Beauvais-Tillé, hub de la
compagnie aérienne low-cost Ryanair, est devenu le «troisième aéroport
de Paris». (...)
Au début de l’année 2019, la société
d’exploitation de l’aéroport a soumis au ministère de la Transition
écologique et solidaire un projet d’arrêté pour faire passer son trafic
de 4 à 6 millions de passagers annuels d’ici à 2022 en permettant des
dérogations au couvre-feu nocturne. (...)
Déjà en 2008 puis encore en 2017, la
chambre régionale des comptes a pointé le régime de faveur indu dont
bénéficie Ryanair : la société d’exploitation de l’aéroport, bien
qu’elle agisse en délégation de service public, accorde à la compagnie
irlandaise la gratuité de certains services au sol et procède au
remboursement de taxes environnementales théoriquement à la charge de la
compagnie : 78 millions d’euros ont été versés sur la période 2008-2014,
dans un total mépris du principe «pollueur-payeur».
Ici comme ailleurs, le modèle d’affaires de Ryanair s’appuie sur
une perfusion massive d’argent public, dont la compagnie
s’assure en agitant incessamment le chiffon rouge de la délocalisation
et des pertes d’emplois. (...) Au niveau
global, l’augmentation du trafic de 4 à 6 millions de passagers aura des
conséquences climatiques catastrophiques : il générera un surplus
d’émissions d’environ 225 000 tonnes équivalent – CO2 par an – et ce
alors même qu’il faudrait fournir un effort collectif sans précédent
pour diviser par quatre nos émissions en deux décennies et limiter le
réchauffement planétaire à 2°C. Ces émissions
supplémentaires sont d’autant plus inacceptables que le transport aérien
reste, même lorsqu’il est low-cost, l’affaire d’une minorité
privilégiée. Dans ces conditions, soutenir la modification du couvre-feu
et continuer à accéder aux demandes de Ryanair – qui
est d’ailleurs l’un des dix plus gros émetteurs européens de CO2 –
est réelle folie : au niveau local pour les riverains et pour
les finances publiques, au niveau global pour le climat. (...)
Fin de la revue de presse
>
Suivi du référendum sur la privatisation d’Aéroports de Paris
Le dispositif de consultation sur la privatisation du groupe ADP est
ouvert depuis le 13 juin et jusqu'en mars 2020. Pour mener à un
référendum d'initiative partagée (RIP), il requiert la signature de 4,7
millions d'électeurs.
Sur Internet, la consultation se signe sur
le site referendum.interieur.gouv fr
Au 18 novembre, alors que la
moitié du délai de signature est écoulée, la
consultation avait
recueilli 1.001.000 signatures, soit 21,22% des signatures requises.
> Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 10,44 euros en clôture lundi
2 décembre. Elle est en baisse de
-1,28%, suite à une dégradation d'opinion par Crédit Suisse.
La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM
est à 11,07 euros, en augmentation suite à l'annonce des
résultats du 3ème trimestre et des neuf premiers mois de l'année.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord) est
en baisse de 1$ à 61$.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
A bientôt.
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François Robardet
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